Traigo
Qui aurait cru, en voulant rentrer dans larmée, quil serait tombé sur une instructrice aussi charmante ? Sûrement pas Traigo
.
[J-1 avant le rendez-vous]
Voici quelques jours que le tout nouveau Viennois avait déposé sa candidature au sein de lOst du Duché. Saviez-vous quil a, à lheure actuelle, croisé que des femmes ? De son recrutement à sa formation ? Hum ? Comment ça non ? Oui, de toute manière aucune importance ou presquaucune
Traigo venait de rentrer de sa première journée de formation, non pas insatisfait . mais il navait en tête quune chose, enfin plus précisément, une personne. Il ne savait rien delle, à part son nom. Son regard avait croisé le sien, un peu par hasard, lorsquil se présenta à elle pour rentrer dans larmée du duché
Il naurait jamais pensé quun être puisse-être aussi envoutant rien quà son regard. Ainsi, à en perdre la raison, elle en devenait secrètement la maitresse de son cur
Secrètement, il échangeait avec elle quelques missives, un peu comme une drogue auquel il ne pouvait faire abstraction, un soulagement à chaque retour de pigeon, des sourires, discrets.
Puis ce fut linvitation, léloignement était trop dur à supporter, il se devait de la revoir ..
Il ny avait pas dhomme plus réservé, au premier contact, avec lenvie de toujours vouloir bien faire, de ne jamais vouloir décevoir, et Traigo sétait lui-même surpris à avoir eu laudace dinviter une telle femme, peut être bien la représentation de la perfection, à sa table, afin de partager un moment à ses côtés .
La nuit allait être reposante, mais avec un petit pincement au cur, cette chose, que la aussi nous ne contrôlons pas, et que certaines personnes appellent « stress », serait-il à la hauteur ? Qui vivra verra
[Le Jour J]
La nuit ne fut pas aussi reposant que prévue, Traigo avait tourné dans tout le sens dans sa couche de fortune .mangé, abîmé par ce stress qui avait pris possession de son corp. La faim non plus nétait pas au rendez-vous en ce début de journée, et sans piper mot, il préféra se préparer à partir.
Ils avaient choisi de faire une moitié de chemin chacun, et de se retrouver à une Auberge de relais, calme, .
Pour loccasion, Traigo avait sorti le grand jeu. Il ne pouvait se présenter, en une mauvaise tenue, et toute ses économie passèrent dans lachat dune tenue, certes, loin dêtre celle dont il aurait rêvé et souhaité, mais toujours mieux que celle de tous les jours .
Il était lheure de partir Le temps de prendre encore une ou deux chose dans une sacoche, et de sceller son cheval, Méthanos, compagnons de toujours, ils sétaient trouvé sur les routes, avec un point commun : ils étaient seul, et depuis ce jour, lhomme et lanimal sont devenu compagnons de route. Le doute sinstallait, et instinctivement, il parla à sa monture,
Tu sais je ne sais pas dans quoi je me suis embarqué tout en finissant de refermer la sacoche en question, et en contrôlant une dernière fois sa monture, elle est si charmante, si envoutante, si ,il sarrêta net, et regarda son compagnons, jamais il ne lui avait parlé de ce quil ressentait, et sétait surpris à ce confier à lui, gêné, il reprit : Quoi ? Ne me regarde pas comme ça ! Ce nest pas de ma faute ..
Léger soupir, sans vouloir se lavouer, il comprenait tout doucement quil venait tomber dans les bras de lamour .En silence, il monta Méthanos, une main posé sur les quelques missive échangées, soigneusement pliées dans lune de ses poches .
Le petit voyage se fit silencieusement, alors quil était en temps normale proche de la nature, attentif au moindre détail, en harmonie presque avec celle-ci, pour cette fois, il nen avait que faire .Bercé par les pas de son compagnons de route, et la brise légèrement fraiche, il navait quune pensée, elle.
Après quelques heures de chevauchement, il arriva enfin au point de rendez-vous, scrutant à droit, à gauche, pas le moindre signe de vie de la personne en question. En vain Son cur se serra un peu plus quavant, et la gorge ce serrait
LAuberge était vide, du moins, vide de la femme qui occupait son esprit, malheureusement
Il attacha sa monture dans un coin, non loin de quoi sabreuver. Des fleurs était éclosent juste à côté, il en prit quelques-unes, en se trouvant lexcuse intérieurement que le Très Haut ne lui en voudrait pas trop pour ce geste, qui nétait que pour la bonne cause .
Les minutes passaient, et les cent pas furent rapidement fait, lassé, il choisit de sassoir sur le petit muret devant lauberge, à côté de son compagnon
Mon vieux , je crois bien quelle ne viendra pas . En laissant échapper un soupir, Quest-ce que jai pu être naïf de croire pouvoir intéresser une telle femme
Un hennissement se fit entendre, sans aucune idée de sa signification Il baissa la tête, le « bouquet » de fleur improvisé tomba par terre .
Elle ne viendra pas, ou est-ce limpatience qui lui joue des tours ? .
[J-1 avant le rendez-vous]
Voici quelques jours que le tout nouveau Viennois avait déposé sa candidature au sein de lOst du Duché. Saviez-vous quil a, à lheure actuelle, croisé que des femmes ? De son recrutement à sa formation ? Hum ? Comment ça non ? Oui, de toute manière aucune importance ou presquaucune
Traigo venait de rentrer de sa première journée de formation, non pas insatisfait . mais il navait en tête quune chose, enfin plus précisément, une personne. Il ne savait rien delle, à part son nom. Son regard avait croisé le sien, un peu par hasard, lorsquil se présenta à elle pour rentrer dans larmée du duché
Il naurait jamais pensé quun être puisse-être aussi envoutant rien quà son regard. Ainsi, à en perdre la raison, elle en devenait secrètement la maitresse de son cur
Secrètement, il échangeait avec elle quelques missives, un peu comme une drogue auquel il ne pouvait faire abstraction, un soulagement à chaque retour de pigeon, des sourires, discrets.
Puis ce fut linvitation, léloignement était trop dur à supporter, il se devait de la revoir ..
Il ny avait pas dhomme plus réservé, au premier contact, avec lenvie de toujours vouloir bien faire, de ne jamais vouloir décevoir, et Traigo sétait lui-même surpris à avoir eu laudace dinviter une telle femme, peut être bien la représentation de la perfection, à sa table, afin de partager un moment à ses côtés .
La nuit allait être reposante, mais avec un petit pincement au cur, cette chose, que la aussi nous ne contrôlons pas, et que certaines personnes appellent « stress », serait-il à la hauteur ? Qui vivra verra
[Le Jour J]
La nuit ne fut pas aussi reposant que prévue, Traigo avait tourné dans tout le sens dans sa couche de fortune .mangé, abîmé par ce stress qui avait pris possession de son corp. La faim non plus nétait pas au rendez-vous en ce début de journée, et sans piper mot, il préféra se préparer à partir.
Ils avaient choisi de faire une moitié de chemin chacun, et de se retrouver à une Auberge de relais, calme, .
Pour loccasion, Traigo avait sorti le grand jeu. Il ne pouvait se présenter, en une mauvaise tenue, et toute ses économie passèrent dans lachat dune tenue, certes, loin dêtre celle dont il aurait rêvé et souhaité, mais toujours mieux que celle de tous les jours .
Il était lheure de partir Le temps de prendre encore une ou deux chose dans une sacoche, et de sceller son cheval, Méthanos, compagnons de toujours, ils sétaient trouvé sur les routes, avec un point commun : ils étaient seul, et depuis ce jour, lhomme et lanimal sont devenu compagnons de route. Le doute sinstallait, et instinctivement, il parla à sa monture,
Tu sais je ne sais pas dans quoi je me suis embarqué tout en finissant de refermer la sacoche en question, et en contrôlant une dernière fois sa monture, elle est si charmante, si envoutante, si ,il sarrêta net, et regarda son compagnons, jamais il ne lui avait parlé de ce quil ressentait, et sétait surpris à ce confier à lui, gêné, il reprit : Quoi ? Ne me regarde pas comme ça ! Ce nest pas de ma faute ..
Léger soupir, sans vouloir se lavouer, il comprenait tout doucement quil venait tomber dans les bras de lamour .En silence, il monta Méthanos, une main posé sur les quelques missive échangées, soigneusement pliées dans lune de ses poches .
Le petit voyage se fit silencieusement, alors quil était en temps normale proche de la nature, attentif au moindre détail, en harmonie presque avec celle-ci, pour cette fois, il nen avait que faire .Bercé par les pas de son compagnons de route, et la brise légèrement fraiche, il navait quune pensée, elle.
Après quelques heures de chevauchement, il arriva enfin au point de rendez-vous, scrutant à droit, à gauche, pas le moindre signe de vie de la personne en question. En vain Son cur se serra un peu plus quavant, et la gorge ce serrait
LAuberge était vide, du moins, vide de la femme qui occupait son esprit, malheureusement
Il attacha sa monture dans un coin, non loin de quoi sabreuver. Des fleurs était éclosent juste à côté, il en prit quelques-unes, en se trouvant lexcuse intérieurement que le Très Haut ne lui en voudrait pas trop pour ce geste, qui nétait que pour la bonne cause .
Les minutes passaient, et les cent pas furent rapidement fait, lassé, il choisit de sassoir sur le petit muret devant lauberge, à côté de son compagnon
Mon vieux , je crois bien quelle ne viendra pas . En laissant échapper un soupir, Quest-ce que jai pu être naïf de croire pouvoir intéresser une telle femme
Un hennissement se fit entendre, sans aucune idée de sa signification Il baissa la tête, le « bouquet » de fleur improvisé tomba par terre .
Elle ne viendra pas, ou est-ce limpatience qui lui joue des tours ? .