Mahelya
* Ou deux Tornades et un saucissons d'écureuil non ?
Clap clip clap, raisonnaient les pas de la jeune fille sur la rue principale de Limoges, rue qui avait le privilège d'être pavée. Le bureau de la COLM était à présent derrière eux, la banderole blanche et sang encore bien visible, et aussi étrange que cela puisse paraître, la Flammèche était silencieuse depuis au moins deux minutes. Chose assez rarissime pour que cela puisse être noté. Elle s'était tu depuis qu'il lui avait proposé son bras par un habile "- Jusqu'au bout du monde, si tel est votre désir." et qu'elle s'était accroché à lui. Cela l'avait un peu perturbée tout en lui procurant une grande joie.
Le fond de l'air était frais et Mahe s'était couverte d'une petite laine, de couleur crème sur sa robe au ton de miel, des tons chaleureux mettant parfaitement ses boucles rousses en valeur et c'est prunelles vertes émeraude, vives et pleines de malice. Comme il était de coutume à cette époque, n'étant la promise de personne, les cheveux de la jeune fille étaient complètement lâchés, une vraie cascade de boucles insolentes qui venaient mourir dans sa cambrure qui se marquait d'avantage à mesure que les jours défilaient.
Ils marchaient doucement et en silence, un vif rayon de soleil projetait leur ombres loin devant eux. Dieu ! Qu'elle était petite par rapport à lui ! Minuscule ! et frêle aussi ! à moins que ce ne soit parce qu'elle marchait un peu moins vite que lui ? Le silence commençait à se faire assourdissant et bientôt lÉtincelle allait de nouveau se mettre à parler. Parfois, elle posait ses prunelles vertes sur le profile de son "cavalier". Et immédiatement un sourire s'esquissait sur ses lèvres. Pour sur ils passeraient un bon moment ensemble, elle ne cessait de parler, et lui aimait apparemment taquiner.
Le centre de la Capitale était dépassé depuis quelques minutes déjà, elle n'avait fait aucun commentaire, préférant passer un peu plus tard et prendre son temps pour les explications. Pour leur ils avaient un pique-nique à préparer. Et pour cela, ils se dirigeaient à présent vers une bâtisse en pierre de taille presque à la sortie de la ville, c'est là qu'elle habitait.
- Voilà nous sommes chez moi ! c'est ma maison ! La mienne à moi ! voilà quelques jours que je n'y était pas passée mais heureusement Bertille est là !
Rappelons que la dite Bertille est la cuisinière, celle qui a sauvé le Conseil Comtal ! Tous en Cur ! "Gloire à Bertille".
- Ne sentez-vous pas cette odeur de poulet ? Ohhhh ... et je parie qu'elle a fait du pain aussi. Hummm et ne trouvez vous pas que cela sent les fraises ? j'espère qu'elle voudra bien nous en donner un peu.
Souhaitez-vous entrer ?
Qu'Ilia ne comprenne pas pourquoi la cuisinière se trouvait là à faire à manger alors que la Rouquine venait d'avouer qu'elle n'était pas venue ici depuis de jour, n'avait même pas effleuré l'Esprit de la Donzelle. Tout pour elle semblait parfaitement naturelle.
- On va se préparer un vrai petit festin ! Dites désirez-vous que l'on visite avant un peu Limoges ou que je vous emmène tout de suite à ma clairière afin que nous puissions ripailler ? Non parce que je vous le dit il faut prendre des forces si l'on veut faire tout Limoges à pied.
_________________
RP faisant suite au petit passage à la COLM des deux héros protagonistes de celui-ci. Envie de participer, n'hésitez pas un petit MP
Clap clip clap, raisonnaient les pas de la jeune fille sur la rue principale de Limoges, rue qui avait le privilège d'être pavée. Le bureau de la COLM était à présent derrière eux, la banderole blanche et sang encore bien visible, et aussi étrange que cela puisse paraître, la Flammèche était silencieuse depuis au moins deux minutes. Chose assez rarissime pour que cela puisse être noté. Elle s'était tu depuis qu'il lui avait proposé son bras par un habile "- Jusqu'au bout du monde, si tel est votre désir." et qu'elle s'était accroché à lui. Cela l'avait un peu perturbée tout en lui procurant une grande joie.
Le fond de l'air était frais et Mahe s'était couverte d'une petite laine, de couleur crème sur sa robe au ton de miel, des tons chaleureux mettant parfaitement ses boucles rousses en valeur et c'est prunelles vertes émeraude, vives et pleines de malice. Comme il était de coutume à cette époque, n'étant la promise de personne, les cheveux de la jeune fille étaient complètement lâchés, une vraie cascade de boucles insolentes qui venaient mourir dans sa cambrure qui se marquait d'avantage à mesure que les jours défilaient.
Ils marchaient doucement et en silence, un vif rayon de soleil projetait leur ombres loin devant eux. Dieu ! Qu'elle était petite par rapport à lui ! Minuscule ! et frêle aussi ! à moins que ce ne soit parce qu'elle marchait un peu moins vite que lui ? Le silence commençait à se faire assourdissant et bientôt lÉtincelle allait de nouveau se mettre à parler. Parfois, elle posait ses prunelles vertes sur le profile de son "cavalier". Et immédiatement un sourire s'esquissait sur ses lèvres. Pour sur ils passeraient un bon moment ensemble, elle ne cessait de parler, et lui aimait apparemment taquiner.
Le centre de la Capitale était dépassé depuis quelques minutes déjà, elle n'avait fait aucun commentaire, préférant passer un peu plus tard et prendre son temps pour les explications. Pour leur ils avaient un pique-nique à préparer. Et pour cela, ils se dirigeaient à présent vers une bâtisse en pierre de taille presque à la sortie de la ville, c'est là qu'elle habitait.
- Voilà nous sommes chez moi ! c'est ma maison ! La mienne à moi ! voilà quelques jours que je n'y était pas passée mais heureusement Bertille est là !
Rappelons que la dite Bertille est la cuisinière, celle qui a sauvé le Conseil Comtal ! Tous en Cur ! "Gloire à Bertille".
- Ne sentez-vous pas cette odeur de poulet ? Ohhhh ... et je parie qu'elle a fait du pain aussi. Hummm et ne trouvez vous pas que cela sent les fraises ? j'espère qu'elle voudra bien nous en donner un peu.
Souhaitez-vous entrer ?
Qu'Ilia ne comprenne pas pourquoi la cuisinière se trouvait là à faire à manger alors que la Rouquine venait d'avouer qu'elle n'était pas venue ici depuis de jour, n'avait même pas effleuré l'Esprit de la Donzelle. Tout pour elle semblait parfaitement naturelle.
- On va se préparer un vrai petit festin ! Dites désirez-vous que l'on visite avant un peu Limoges ou que je vous emmène tout de suite à ma clairière afin que nous puissions ripailler ? Non parce que je vous le dit il faut prendre des forces si l'on veut faire tout Limoges à pied.
_________________