Un_vendeur
[Jean Voipluvitekemonombre]
C'est que sa petite affaire commençait à bien tourner. Les gens se succédaient dans son bureau. Même les gardes du Château venaient ici, poster leurs courriers. Enfin "les gardes" ... Surtout "Aldo" en Vérité. Et bien que le loustique était très particulier pour les yeux profanes du pauvre Jean, il devait avouer que ça le mettait toujours de bonne humeur que de croiser le garde coloré, au déhanché hallucinant. C'était à se demander comment il arrivait à marcher sans tomber d'un coté ou de l'autre tant il était désarticulé. Ce qui avait surtout déclenché l'hilarité de notre Jean, c'était que le garde acidulé s'était semble-t-il amouraché de la Comtesse. Probablement Seleina. Mais secret professionnel oblige, Jean garderait le secret.
Le jour suivant deux visiteurs avaient franchit sa porte, dont l'un était sans doute au service de la fameuse Comtesse citée un peu plus haut. Le garde Rose aurait donc une réponse et l'air de rien cette attention de la Brune couronnée pour le soldat coloré, mis du baume au cur à Jean.
Puis il y eu Firmin, le tisserand, Encore une lettre pour la Rouquine c'est qu'elle commençait à les entasser dans son bureau. Probablement viendrait-elle les chercher le lendemain matin. Elle était plutôt de la matinée. Enfin c'est ce qu'il avait remarqué.
Et ça tombait bien car le Lendemain c'était aujourd'hui. Le soleil baignait de ses premiers rayons la place de Limoges. Les rues commençaient doucement mais surement à s'animer. C'était le meilleur moment de la journée. Lorsque les criminels rentraient se coucher et que la ville doucement se réveillait, les rues appartenaient alors encore aux passants et non pas aux marchants qui monopolisaient l'espace de leur étales bien garnis.
Le regard sombre de Jean accoudé contre le chambranle de la porte de son petit bureau, se posa sur une Chevelure éclatante, Rouge, or et cuivré, illuminée par le Soleil. Il ne s'était pas trompé, la Rouquine était prévisible... Ou presque...
Nonchalamment il leva la main en sa direction, afin d'attirer son attention. Il avait oublié à quel point elle était vive car déjà ses petits pieds la menaient vers lui.
- B'jour Mam'zelle Mahelya. Comment qu'vous allez ? Entrez ! Entrez ! J'ai beaucoup d'courrier pour vous. Dites jeun'fille .... Hum ... ça me r'garde pas trop ... Mais ... C'est-y pas qu'vous auriez un prétendant ?
C'est que sa petite affaire commençait à bien tourner. Les gens se succédaient dans son bureau. Même les gardes du Château venaient ici, poster leurs courriers. Enfin "les gardes" ... Surtout "Aldo" en Vérité. Et bien que le loustique était très particulier pour les yeux profanes du pauvre Jean, il devait avouer que ça le mettait toujours de bonne humeur que de croiser le garde coloré, au déhanché hallucinant. C'était à se demander comment il arrivait à marcher sans tomber d'un coté ou de l'autre tant il était désarticulé. Ce qui avait surtout déclenché l'hilarité de notre Jean, c'était que le garde acidulé s'était semble-t-il amouraché de la Comtesse. Probablement Seleina. Mais secret professionnel oblige, Jean garderait le secret.
Le jour suivant deux visiteurs avaient franchit sa porte, dont l'un était sans doute au service de la fameuse Comtesse citée un peu plus haut. Le garde Rose aurait donc une réponse et l'air de rien cette attention de la Brune couronnée pour le soldat coloré, mis du baume au cur à Jean.
Puis il y eu Firmin, le tisserand, Encore une lettre pour la Rouquine c'est qu'elle commençait à les entasser dans son bureau. Probablement viendrait-elle les chercher le lendemain matin. Elle était plutôt de la matinée. Enfin c'est ce qu'il avait remarqué.
Et ça tombait bien car le Lendemain c'était aujourd'hui. Le soleil baignait de ses premiers rayons la place de Limoges. Les rues commençaient doucement mais surement à s'animer. C'était le meilleur moment de la journée. Lorsque les criminels rentraient se coucher et que la ville doucement se réveillait, les rues appartenaient alors encore aux passants et non pas aux marchants qui monopolisaient l'espace de leur étales bien garnis.
Le regard sombre de Jean accoudé contre le chambranle de la porte de son petit bureau, se posa sur une Chevelure éclatante, Rouge, or et cuivré, illuminée par le Soleil. Il ne s'était pas trompé, la Rouquine était prévisible... Ou presque...
Nonchalamment il leva la main en sa direction, afin d'attirer son attention. Il avait oublié à quel point elle était vive car déjà ses petits pieds la menaient vers lui.
- B'jour Mam'zelle Mahelya. Comment qu'vous allez ? Entrez ! Entrez ! J'ai beaucoup d'courrier pour vous. Dites jeun'fille .... Hum ... ça me r'garde pas trop ... Mais ... C'est-y pas qu'vous auriez un prétendant ?