Vera.
- Récupération d'une bastonnade à sens unique, la migraine est là, les courbatures, puis la pauvreté aussi. Missive parfumée aux odeurs DiCésariniesques. Ronflante d'expression lyrique, qui pourraient me faire vaciller, larmoyer, extasier si ce n'est que le Mouflon est si doué pour créer en moi des sentiments et des réactions contraires. Le paradoxe à son paroxysme, l'amour dans son état passionnel et la rage aussi, par contre celle qui donne envie à un être aussi pacifique que moi de lui arracher les yeux, de le morde, de le griffer telle une harpie. Je respire doucement , constatant que le Corse est toujours aussi intéressé par le planning de mes cycles ( enfin je crois qu'il tient à jour celui de l'ensemble des bonnes femmes avec qui il traîne). Je pourrai penser aussi qu'il a la fougue de ma folie celle qui rêve que d'une chose porter la vie, pondre des petits DiCésarini- Von Bretzel . Mieux vaut penser à l'option A , qui était celle du parfait misogyne qui avait décidé que toutes les bonnes femmes qu'étaient de mauvaises humeur avaient tout bonnement leur règle,l'option B reproduction n'était pas du tout au goût du jour et c'était mieux ainsi.
Citation:
Mon cher DiCésarini,
Je suis si touchée que vous soyez émotionné de mes malheurs, ne vous mettez pas dans tous vos états voyons, il serait triste que vous soyez surmené par mes histoires. Je note que vous tenez toujours à jour mes cycles qui au demeurant sont relativement réguliers , mais pourquoi suis-je souvent chafouine quand le sujet vous concerne vous ?
Voyez vous Ettore, ce n'est pas tant mon état de femme indisposée et encore moins cette attaque de malfrat qui me brise les pieds là , dans l'immédiat mais plutôt votre missive qui m'enrage. Si vous saviez dans quel état vous me rendez DiCésarini, si vous saviez !
Encore heureux que vous ne puissiez pas faire route pour me voir, je crois que je vous aurais étripé , que mes dernières paires de poulaines à "grelots" et pas "glands" auraient épousé la forme de votre faciès ! Le seul gland que j'imagine actuellement c'est vous mon cher promis.
Comment pouvez vous oser me "menacer" par ce que je le vie telle une menace, de m'envoyer mon "Bourreau" Sérance, celui qui en veut qu'à ma Fleur et au reste de mon équilibre mental. Voila, vous soulignez encore une fois votre complète indifférence à mon égard. Je ne veux ni de vos sous, ni de vos poulaines ou chausses à glands , je ne veux surtout pas que vous m'expédiez Sérance à moins que l'idée d'avoir un nouveau mariage pas factice entre lui et moi ne vous effraie pas du tout Mondurausse!
Vous m'exaspérez énormément. Ne gardez pas Limoges, ne soyez pas le père si jaloux, vous aurez autant de succès que le "promis jaloux", du genre à laisser tomber votre promise dans les bras d'un pervers et Limoges entre les mains de raclures de votre espèce.
Si je vois Cyrianna, vous savez ce que je lui demanderai ? Des conseils , des prières à réciter pour que le Très Haut me donne assez de patience pour vous supporter au moins jusqu'à ce que vous soyez mon époux et que vous me fassiez ce que je veux une panoplie de chiards qui auront pour but de me distraire pour oublier votre manque d'humanité !
Votre compassion, votre passion imaginaires , votre tendresse qu'a l'effet d'une bonne gifle , vous pouvez vous les garder!
Si vous me manquez c'est juste par ce que je veux vous écraser les petons et vous arracher votre langue, et aussi vous péter les doigts pour vous apprendre à écrire autant de vilenies.
Je préfère prendre tout mon temps, pour éviter de vous faire du mal!
Je vous aime aussi mais je vous hais aussi.
Je pense trop à vous pour penser au blé, allez crever DiCésarini!
Salutations enragées et oui je les AI!
Véra.
Mon cher DiCésarini,
Je suis si touchée que vous soyez émotionné de mes malheurs, ne vous mettez pas dans tous vos états voyons, il serait triste que vous soyez surmené par mes histoires. Je note que vous tenez toujours à jour mes cycles qui au demeurant sont relativement réguliers , mais pourquoi suis-je souvent chafouine quand le sujet vous concerne vous ?
Voyez vous Ettore, ce n'est pas tant mon état de femme indisposée et encore moins cette attaque de malfrat qui me brise les pieds là , dans l'immédiat mais plutôt votre missive qui m'enrage. Si vous saviez dans quel état vous me rendez DiCésarini, si vous saviez !
Encore heureux que vous ne puissiez pas faire route pour me voir, je crois que je vous aurais étripé , que mes dernières paires de poulaines à "grelots" et pas "glands" auraient épousé la forme de votre faciès ! Le seul gland que j'imagine actuellement c'est vous mon cher promis.
Comment pouvez vous oser me "menacer" par ce que je le vie telle une menace, de m'envoyer mon "Bourreau" Sérance, celui qui en veut qu'à ma Fleur et au reste de mon équilibre mental. Voila, vous soulignez encore une fois votre complète indifférence à mon égard. Je ne veux ni de vos sous, ni de vos poulaines ou chausses à glands , je ne veux surtout pas que vous m'expédiez Sérance à moins que l'idée d'avoir un nouveau mariage pas factice entre lui et moi ne vous effraie pas du tout Mondurausse!
Vous m'exaspérez énormément. Ne gardez pas Limoges, ne soyez pas le père si jaloux, vous aurez autant de succès que le "promis jaloux", du genre à laisser tomber votre promise dans les bras d'un pervers et Limoges entre les mains de raclures de votre espèce.
Si je vois Cyrianna, vous savez ce que je lui demanderai ? Des conseils , des prières à réciter pour que le Très Haut me donne assez de patience pour vous supporter au moins jusqu'à ce que vous soyez mon époux et que vous me fassiez ce que je veux une panoplie de chiards qui auront pour but de me distraire pour oublier votre manque d'humanité !
Votre compassion, votre passion imaginaires , votre tendresse qu'a l'effet d'une bonne gifle , vous pouvez vous les garder!
Si vous me manquez c'est juste par ce que je veux vous écraser les petons et vous arracher votre langue, et aussi vous péter les doigts pour vous apprendre à écrire autant de vilenies.
Je préfère prendre tout mon temps, pour éviter de vous faire du mal!
Je vous aime aussi mais je vous hais aussi.
Je pense trop à vous pour penser au blé, allez crever DiCésarini!
Salutations enragées et oui je les AI!
Véra.
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