Arry
- Même si on le disait encore et toujours entouré de donzelles (ce qui était globalement vrai), le Zolen comptait quelques irréductibles porteurs de bourses dans son entourage. Et vu que les amitiés, c'est comme les femmes, ça s'entretient, le poil de paluche avait été temporairement oublié pour torcher trois courriers :
Citation:
Gab,
Ta frangine a manqué de défaillir lorsque je lui ai malencontreusement avoué que Kierkegaard, dans un surprenant élan de générosité, avait eu à cur de t'offrir une catin pour la nuitée. La prochaine fois que tu auras le pissenlit chatouilleux, afin de préserver les économies de ma femme (et à fortiori les miennes), nous nous rendrons sur Tulle. Au moins, là-bas, c'est toujours ouvert, c'est toujours gratuit.
Fricoter avec une donzelle du Conseil devrait être interdit. D'autant qu'on a déjà Maïwen et Lucie qui roucoulent comme des tourterelles en chaleur et la Proc en transe dès qu'elle effleure un texte de loy. M'enfin, le marché n'étant guère appétissant actuellement, j'imagine qu'on peut faire une exception en raclant dans les stocks comtaux. J'ai hâte mais vraiment hâte de te voir à l'uvre avec Petit Croûte. Par Deos, évite de lui demander :
- Si elle dort nue.
- Si elle sait tenir une maisonnée.
- Si elle a de quoi constituer une dot conséquente.
Tu devrais tenter le coup du pigeon égaré. Certaines âmes naïves aiment à croire au Destin.
En espérant que jupons tu sauras retrousser.
Arry.
Ta frangine a manqué de défaillir lorsque je lui ai malencontreusement avoué que Kierkegaard, dans un surprenant élan de générosité, avait eu à cur de t'offrir une catin pour la nuitée. La prochaine fois que tu auras le pissenlit chatouilleux, afin de préserver les économies de ma femme (et à fortiori les miennes), nous nous rendrons sur Tulle. Au moins, là-bas, c'est toujours ouvert, c'est toujours gratuit.
Fricoter avec une donzelle du Conseil devrait être interdit. D'autant qu'on a déjà Maïwen et Lucie qui roucoulent comme des tourterelles en chaleur et la Proc en transe dès qu'elle effleure un texte de loy. M'enfin, le marché n'étant guère appétissant actuellement, j'imagine qu'on peut faire une exception en raclant dans les stocks comtaux. J'ai hâte mais vraiment hâte de te voir à l'uvre avec Petit Croûte. Par Deos, évite de lui demander :
- Si elle dort nue.
- Si elle sait tenir une maisonnée.
- Si elle a de quoi constituer une dot conséquente.
Tu devrais tenter le coup du pigeon égaré. Certaines âmes naïves aiment à croire au Destin.
En espérant que jupons tu sauras retrousser.
Arry.
Citation:
Salut l'ami,
Toujours en vie, comte ?
Je suis à Bordeaux avec Viki, je pêche. C'est l'amour fou mais entre nous je tourne en rond.
Le Capitaine de Bordeaux cherche des gars pour aller taper des bandits, Fatoum. Raspoutine ne semble pas avoir besoin de bras armée donc je vais y aller. Viki est partante mais sa cousine aussi. Chacun son fardeau.
Cela ne pose pas de souci que je me batte avec une autre province ?
Mioss
Salut l'ami,
Toujours en vie, comte ?
Je suis à Bordeaux avec Viki, je pêche. C'est l'amour fou mais entre nous je tourne en rond.
Le Capitaine de Bordeaux cherche des gars pour aller taper des bandits, Fatoum. Raspoutine ne semble pas avoir besoin de bras armée donc je vais y aller. Viki est partante mais sa cousine aussi. Chacun son fardeau.
Cela ne pose pas de souci que je me batte avec une autre province ?
Mioss
Citation:
Le Rescapé, salut,
Le fardeau est certes désagréable pour les esgourdes mais il ne l'est guère pour les mirettes. La consolation est maigre mais je n'ai rien dégoté de mieux. Peut-être que parmi ces Fatum finis à la pisse de chaton l'un d'eux aura la fabuleuse idée de tartiner la cousine de gnons. Une perte de connaissance de plusieurs jours, rien de tel pour respirer !
Tu peux cogner qui il te plaît de cogner, Mioss, tant que tu évites de te faire percer la couenne trop profondément. Le Capitaine te dirait certainement que les cicatrices font la force d'un homme, montre ses exploits, son expérience et tout le tintouin du viril militaire. De mon côté, j'aurais tendance à dire que se faire taillader le gras, c'est douloureux, que le sang, c'est dégoûtant et que celui qui se retrouve la carcasse tartinée de marques a encore du progrès à faire en matière de défense. Ou de course, selon la stratégie adoptée.
Tu diras à ta femme que refourguer armes et vivres aux Royaux pour ensuite aider une province vassale à bouter du malandrin sont des signes avant-coureurs d'une royalisation aiguë. Vendue !
En espérant apercevoir ta trogne dans le coin bientôt.
Gaffe à vous deux,
Arry.
Le Rescapé, salut,
Le fardeau est certes désagréable pour les esgourdes mais il ne l'est guère pour les mirettes. La consolation est maigre mais je n'ai rien dégoté de mieux. Peut-être que parmi ces Fatum finis à la pisse de chaton l'un d'eux aura la fabuleuse idée de tartiner la cousine de gnons. Une perte de connaissance de plusieurs jours, rien de tel pour respirer !
Tu peux cogner qui il te plaît de cogner, Mioss, tant que tu évites de te faire percer la couenne trop profondément. Le Capitaine te dirait certainement que les cicatrices font la force d'un homme, montre ses exploits, son expérience et tout le tintouin du viril militaire. De mon côté, j'aurais tendance à dire que se faire taillader le gras, c'est douloureux, que le sang, c'est dégoûtant et que celui qui se retrouve la carcasse tartinée de marques a encore du progrès à faire en matière de défense. Ou de course, selon la stratégie adoptée.
Tu diras à ta femme que refourguer armes et vivres aux Royaux pour ensuite aider une province vassale à bouter du malandrin sont des signes avant-coureurs d'une royalisation aiguë. Vendue !
En espérant apercevoir ta trogne dans le coin bientôt.
Gaffe à vous deux,
Arry.
Citation:
Raph,
Tu viens siffler un godet à Venta un de ces jours ? Interdiction de te débiner en te cachant derrière l'armée. Une armée, c'est comme un cul, ça se bouge.
C'était foireux cette brouille l'autre fois. Un coup de prune, un pochon de chouquettes et on oublie le tout ?
Arry.
Tu viens siffler un godet à Venta un de ces jours ? Interdiction de te débiner en te cachant derrière l'armée. Une armée, c'est comme un cul, ça se bouge.
C'était foireux cette brouille l'autre fois. Un coup de prune, un pochon de chouquettes et on oublie le tout ?
Arry.