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[RP] Une union bénit des amis~Mariage Gui & Al.

Guigoux
La cérémonie avait été interrompue et Cel avait filé vers sa douce; Gui lui, profita du moment pour récupérer les deux petits roux qui étaient sur la pointe des pieds.

-Allons les enfants, Idana accouche, il faut la laisser respirer un peu. Puis après vous verrez un bébé qui pleure et qui pue. Un de plus! Mais vous pouvez aller jouer, on vous appellera après, quand on reprendra.

Il les amena un peu à l'écart et laissa s'affairer les demoiselles. Il regarda sa douce et la questionna du regard sur son état de forme à elle. Puis il revint s'amuser un peu avec les enfants.

-Si vous avez besoin, je joue avec les enfants.

Cela allait être une belle boucherie, avec un résultat joyeux. Il espérait en tout cas.
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Eliotte
toujours sur la pointe des pieds , éli essayait de voir ce qu'il se passait. dame hips une fois par terre une fois debout et les autres qui bougeaient autour d'elle.

il fallait bien qu'ils apprennent les deux ptits roux la vie. Mais apparemment papa avait une autre idée.

il les prend chacun dans sous un bras et les emmène dehors.


mais papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa on voulait voir nous. justement on ne veut pas voir le bébé qui pue et pleure, on veut voir comment on fait pour sortir.


les voilà, dehors bon tant pis namour et éli allaient bien trouver autre chose à faire. tiens ils pourraient remplir les poches en peau d'eau pour les lancer sur les gens à la fin du mariage si celui là allait reprendre.
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Mini.
Idana ça va allez, t'en fais pas on est tous là..

C'était bien là le problème !
Ils étaient tous là à admirer le spectacle qui se déroulait sous leurs yeux ...
La pauvre baleine ne savait plus où se mettre, non seulement, elle tenait de la place mais elle se trouvait confuse que son rejeton pointe le bout de son nez en pleine cérémonie !
Et on pouvait la comprendre !

Tous aidèrent à la transporter dans un coin un peu plus tranquille ...
Il va s'en dire, que ses cris allaient résonner un moment entre les montagnes de Savoie et nul doute, que de Bourg à Annecy, tout le monde saurait, qu'aujourd'hui, un enfant de plus peuplerait le Royaume ...

Respirez, Idana. De grandes inspirations et de grandes expirations. Allongez-vous, ça va aller.

Mini s'assura que la parturiente soit installée le plus commodément possible avant de se relever et de virer les hommes ...
Tout le monde sait que l'enfantement est une histoire de femmes !
Aussi demanda-t-elle à Flore, Violinah et Alwenna dont le tour viendrait peut-être dans la foulée, qui sait ?, de rester pour l'aider ...
Gui s'occupa d'éloigner les mômes bien qu'elle surprit le regard empli de curiosité de la fillette croisée en taverne, la rouquine à tête de fouine : Eliotte !!

A l'abris des regards, planquée dans un bosquet, cerné de buissons touffus, la future mère pouvait enfin, respirer à son aise ...
L'une d'entre elles tiendrait le futur père informer de l'avancée des travaux ...
Enfin ... De l'accouchement !
Cela faisait des lustres que Mini n'avait plus pratiqué d'accouchement, elle se demanda l'espace de quelques secondes si elle saurait encore faire ...
Puis elle releva les manches de sa robe, ses jupons aussi et s'installa le mieux possible entre les jambes d'Idana ...
Elle releva les jambes de la patiente et appuya sur son ventre, tentant de déterminer la position du bébé ...
Pourvu qu'il ne lui présente pas ses miches, c'est tout ce qu'elle demandait ...

Idana, respirez bien, c'est très important. Je sais que vous souffrez mais la délivrance est bientôt là ... Vos amies et moi allons vous y aider.

Elle esquissa un sourire d'encouragement et demanda à deux d'entre elles de se mettre de chaque côté de la patiente ...

Une qui lui tient la main et qui n'a pas peur de se la faire broyer lors des poussées et une autre qui éponge son front, s'il vous plaît.

Puis elle se concentra sur la future mère et son entre-jambe ...
D'un oeil avisé, évalua l'ouverture et se demanda comment le baleineau allait pouvoir pointer son nez par un trou plus petit que celui d'une souris ...
Enfin, la nature est bien faite, faisons lui confiance !

Dès que vous sentez votre ventre se contracter, Idana, poussez aussi fort que vos forces vous le permettent. N'hésitez pas à vous époumonner, il faut ça sorte !

Mini rit doucement mais la situation était loin d'être comique ...
Déjà au sein de l'hôpital, les enfantements n'étaient pas de tout repos mais alors en pleine nature et sans matériel, ça allait être folklorique !!!
Ah sacrés Bretons !!!!

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Fervente militante contre la bêtise humaine ...
Violinah
Non. Évidemment que non, tu ne t'y connais pas en naissances. Tu aides à transporter Idana, mais tu demeures tétanisée. Tout s'accélère autour de toi. 
Tu finis par te retrouver, recroquevillée au fond de toi-même. Tu secoues la tête. Ici, tu ne seras plus utile. À pas lents, tu t'éloignes, non sans avoir adressé un sourire d'encouragement à Idana. Puis tu t'approches de Gui et des enfants et tu te laisses tomber sur le sol.


« Quand on était les Enfants du Vent, on était toujours joyeux. Toujours là quand l'un d'nous avait b'soin d'aide. On s'remontait toujours l'moral. On f'sait des spectacles, aussi. J'faisais un peu d'tout. Aussi bien d'la danse que des acrobaties. On m'soufflait qu'j'étais la plus belle quand j'passais ramasser les pièces. »

Un sourire se dessine sur ton visage à l'évocation de ces souvenirs.

« Le soir, on f'sait des feux et on veillait tard, et on chantait et moi j'dansais, souvent, avec le feu. »

Oui, et tu jouais trop près du feu, aussi. Tu t'es même brûlée au flanc, mais ça, tu ne le diras pas.

« C'était mon ami, l'feu... Même qu'on m'surnommait « Danseuse de Feu »... Pas très original, j'sais bien, mais moi j'aimais bien qu'on m'appelle comme ça. Disons que quand j'dansais avec, j'devenais quelqu'un d'autre... »

Mais maintenant, c'est fini. Est-ce de cela que tu as peur, Violinah ? Tu souris aux quelques personnes qui t'écoutent.

« Si vous v'lez, j'vous montrerai, un jour... »
Idana
Elle se recroqueville sur sa douleur et serre la main de Cel, paniquée un instant de la perdre ... je veux pas que tu t'en ailles !

Elle ne sait pas Mini !
je sais qu'elle sait pas !

Elle ne sait pas Mini non ! elle ne sait pas que Cel c'est plus que l'homme de sa vie, plus que son époux, plus que son Amour ... il est toute sa vie ! il sait d'elle tout ce que les autres ne savent pas ! il est celui qui lui a donné envie d'avancer dans la vie, celui qui l'a tiré de ce gouffre où elle s'enfonçait et qui a donné le sourire à la petite gueuse malingre qu'elle était.

Elle ne sait pas Mini qu'ils sont si proches tous les deux qu'ils ne font qu'un, et que l'un sans l'autre ils seraient perdus. elle ne sait pas Mini que tout ce qu'ils se sont promis tous les deux, c'est pour toujours . Oh pas cette sorte de mot que l'on dit sans presque y songer, pour eux toujours c'est aussi quand ils seront très vieux et même dans l'au delà.


Non elle ne sait pas Mini !
Non elle sait pas !

Ils sont liés à tout jamais et pas un jour elle ne fera un pas sans lui, pas un jour elle ne lâchera sa main, et encore moins aujourd'hui.

Cel reste avec moi !

La phrase est dite sans possibilité de s'y opposer, il était là pour Matéo, il sera là aussi pour ce nouvel enfant.

Elle sait qu'elle ne criera pas , elle est dure au mal Idana, elle a été bien forgée dans son enfance. Alors elle serre les dents, elle se concentre sur ce qu'on lui dit de faire et broie la main de Cel ... et de personne d'autre.

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Guigoux
A Eliotte d'abord.

-Tu es toute jeune ma puce! Tu as encore le temps!

Ils partirent elle, et Tit jouer. Gui les surveillait du coin de l’œil. Puis sa cousine vint se poser proche d'eux. Et il lui posa une grosse bise sur la joue et passa un bras autour de ses épaules. Elle embraya de suite sans que le jeune breton ne puisse dire mot.

-Mais si on te le souffle, c'est parce que tu es la plus belle! C'est tout!

Il enchaina avec la question bête.

-Mais tu ne t'es jamais brûlée?

Il se tourna et la regarda.

-Tu as peur de ne plus le faire ma belle? Parce que moi je suis d'accord pour que tu nous montre. Et je pense que plein seront d'accord. Et si jamais tu veux danser, dis le... Personne ne t'en empêchera.

Il lui sourit et l'ébouriffe.

-Cela n'avait pas l'air d'aller bien du tout. Si tu veux en parler ma belle!
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Mini.
Violinah s'en va et celui que la baleine appelle Cel, reste !
Qu'à cela ne tienne, quoi qu'il en soit le baleineau verra le jour !
Mini leva les yeux au ciel, décidément que de rebondissements en cette journée ...
Elle fixe un instant Alwenna ...
Pourvu qu'il ne lui prenne pas l'envie d'accoucher à elle aussi ...
Notre brunette n'avait malheureusement pas quatre bras !

Puis elle fixe la petite main d'Idana qui semble si fragile dans celle de Cel ...
Et pourtant à voir ses jointures blanchir, elle était prête à parier qu'il faudrait presque amputer le futur papa, si elle continuait à serrer si fort ...
Mini se reconcentra sur l'orifice maternel, et ses émeraudes se mirent à briller de plaisir et de joie mêlés ...

Poussez encore, Idana. Je vois son crâne. Dites donc, sont chevelus les bretons !!

Et de zieuter les tignasses parentales ... En effet oui !
Cet enfant avait de qui tenir ...
Mini observa le visage de la mère, elle était en sueur mais pas un son ne sortait de sa gorge ...
Elle souffrait en silence comme on dit, au moins, les enfants qui jouaient plus loin, ne s'affoleraient pas ...
La brunette trouva cela fort courageux même si elle ne connaissait pas la raison de ce mutisme presque religieux ...
Une chose était sûre, Idana n'était pas une chochotte !!

Il faut la rafraîchir un peu, s'il vous plaît.

Et une minuscule tête chevelue de sortir d'entre les cuisses de la jeune bretonne ...
Un sourire étira les lèvres de l'infirmière ...

Idana, encore un petit effort, je tiens sa tête mais il reste les épaules à passer et le reste sera une formalité. Poussez !!

Mini maintint avec précaution la tête de l'enfant tandis que son autre bras essuyait la sueur perlant sur son front ...
Nom d'une vache enragée, pourquoi fallait-il qu'elle accouche aujourd'hui, sous un soleil de plomb et une chaleur torride, y a pas idée !!!!

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Fervente militante contre la bêtise humaine ...
Violinah
Tu souris.

« Oui, enfin, j'l'étais, avant... Maint'nant paraît qu'j'suis laide et ennuyeuse. »

Tu grimaces. Si, tu t'es brûlée. Après, tu n'as plus dansé, jusqu'à ce que Suzannah aux cheveux de feu vienne te voir et t'explique qu'il ne voulait pas te faire de mal, le feu, qu'il ne l'avait pas fait exprès et qu'il était désolé...

« Et non, j'me suis jamais brûlée. L'feu a toujours été un ami. Si vous v'lez, pour fêter ça, ce soir, j'peux essayer d'danser. Mais ça fait longtemps... P'têt qu'le feu m'reconnaîtra pas. J'sais pas. J'veux bien essayer... Mais faudra qu'j'lui parle avant. Que j'l'apprivoise à nouveau. Mais ce soir, quand il fait nuit, hein ? C'est plus beau, la nuit... »

Il t'ébouriffe les cheveux, tu fais de même et en profites pour te pencher vers lui.

« Et non, Gui. J'aime pas quand y'a beaucoup d'monde. J'sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. J'aime pas. »

Petit sourire.

« J'suis comme ça, j'y peux rien... »
Asceline
[A quelques lieux de là]

Fermez les yeux. Non, en fait non, ne le faites pas, vous ne pourrez plus lire après. Imaginez -oui, c'est beaucoup mieux ça, imaginez- la plus gracieuse des femmes montée à cru sur le plus beau des étalons. Imaginez ensuite, ces cheveux au vent, le tamtam des sabots, sa respiration haletante, le sourire de la dame, le tout enveloppé par un rayon de soleil providentiel qui suit pas à pas leur course. Vous y êtes? Voilà, maintenant, vous oubliez tout ça, car ce qui va suivre est aux antipodes de l'image de l'amazone que vous venez de vous faire.

Oui, Asceline arrivait à tout allure à cheval. Oui, elle avait sa tresse défaite et ses beaux cheveux foncés dansaient au gré du vent et des mouvements de l'animal. Oui, l'étalon respirait fort, mais sa démarche n'avait rien de gracieux. Car, si tout s'était déroulé à la perfection au début, leur relation naissante pris finalement un tournant à 180°C. Elle avait sans doutes tiré un peu trop fort sur sa crinière pour qu'il s'arrêta. Il s’était un peu vexé et s'était mis à tourner en rond faisant basculer la belle sur sa droite. Dommage, elle aurait pu faire une entrée impériale et triomphante. Bien sûr, elle s'était agrippée très fort, les mains d'abord, les jambes ensuite avaient très vite fait le tour de son cou... Mais il n'avait pas voulu en rester là et s'arrêter pour qu'elle puisse descendre... Il avait couru, elle avait fermé les yeux. Au lieu de triomphante, elle aurait une entrée fracassante... Si prés du but! Elle avait survécu aux branches, aux tentatives répétées de l'animal pour se défaire du fardeau qu'elle représentait...

Ils approchaient à vive allure de l'assemblée. Elle ne pouvait pas le voir. Asceline hurlait. Le cheval s'arrêta brusquement, son arrière train rencontra le sol avec brutalité quelques mètres plus loin. Elle avait ouvert les yeux et avait remarqué la foule. Son orgueil lui faisait plus mal que son séant. Mais peut-être qu'aucun ne l'avait encore remarquée... Frottant encore son arrière train, elle s'était relevée pour se mélanger discrètement au reste de l'assemblée...
Celiano.vampiritch
Citation:
Je veux pas que tu t'en ailles !
Cel reste avec moi !


Il était près d'elle, il resterait près d'elle... Encore plus après ces deux phrases dites presque en le suppliant de rester... Je reste ne t'en fais pas, je ne pars pas.

Il était calme le Cel, résistant à l'envie de retirer sa main parce que la douleur commençait à se faire quelque peu sentir... Mais non ! Il ne la laisserait pas tomber, oh ça non.
Il était aussi soulagé d'avoir une infirmière à leurs côtés, quelqu'un qui savait prendre en main cette situation délicate ! Autrement... Il ne savait pas ce qu'il aurait fait.

Citation:

Idana, encore un petit effort, je tiens sa tête mais il reste les épaules à passer et le reste sera une formalité. Poussez !!


Et la voix de la dite infirmière se fit entendre... La délivrance était proche et le blond encouragea une fois de plus sa femme... Il la trouvait merveilleuse, incroyable, forte, courageuse...
C'était sa femme, et il l'aimait plus que tout, pour toujours.

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Idana
Elle n'entendait plus rien, ou plutôt si mais juste une sorte de bourdonnement dans les oreilles sous l'effort.

La petite voix s'était tue, la laissant seule avec cette douleur vrillante qui lui donnait la sensation d'être en train de se couper en deux. Les jointures de sa main dans celle de son blond devenaient blanches, et si elle avait pu regarder le visage de Cel, elle y aurait certainement vu une grimace de douleur.

Ne pas crier, c'était rien , rien qu'un mauvais moment à passer et enfin elle verrait le petit être qui était encore en elle. Mais la sensation d'écartèlement se renforçait et les yeux fermés, les mâchoires crispées, elle finit tout de même par articuler
... c'est fini ! je ferais plus jamais l'amour !!!
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Mini.
Idana pousse encore et encore ... Inlassablement, quoique !
Après la tête chevelue, voilà une paire d'épaules qui se dégage de l'orifice maternel ...
Les émeraudes s'illuminent, c'est presque fini !
Mini tente d'aider la mère et tire doucement l'enfant alors que celle-ci finit par articuler qu'elle ne ferait plus jamais l'amour ...
C'est ce que nous verrons !
Enfin ... Nous, non mais il est bien évident que Cel saurait la convaincre le moment venu ...

Un petit effort, Idana. Il ne reste plus grand chose ...

Et de la voir se crisper une ultime fois et le sourire de la brunette de s'élargir alors qu'elle tient ce petit être plein de vie, enfin, entre ses mains ...
Le père a fini de souffrir lui aussi, Idana desserre doucement l'étreinte de sa main, ses jointures reprennent une couleur normale, la pauvre est à bout de souffle après ce difficile exercice ...
Il faut maintenant couper le cordon et malheureusement, toujours pas de trousse ...
Comment Mini va-t-elle faire pour se dépatouiller de cela ?!
Elle hurla ...

Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiictoriaaaaaaaaaaaaaaaaaaa j'ai besoin de toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Toute la Savoie avait dû l'entendre mais dans le fond, qu'importe !
En attendant que la jeune angloise pointe le bout de son nez, l'infirmière annonça aux heureux parents ...

C'est une fille !

Et de sourire largement alors que la mi-bretonne/savoyarde s'époumonnait comme une perdue, signifiant sa présence ...

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Fervente militante contre la bêtise humaine ...
Idana
L'accalmie après la tempête, tout s'apaise, et dans les oreilles juste le son de la brise bruissant dans les branches, c'est le paradis. Et la main se décrispe doucement autour de celle de son blond, lui redonnant enfin une certaine liberté.
Citation:
Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiictoriaaaaaaaaaaaaaaaaaaa j'ai besoin de toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Et v'là que le paradis se transforme en un hurlement pire que sa voix de marchande de poisson, ce qui n'est pas peu dire !

Moui, pire que toi !
Citation:
C'est une fille !

Les mots captent son attention, et elle murmure ... Cel, nous avons une petite fille ... nous avons une petite fille !

oui vous avez une fille, tu l'as déjà dis !
pfff

Et elle se nomme Liana .... mon bébé, ma petite fille !

Et le coeur se gonfle déjà d'amour pour ce bébé qu'elle n'a même pas vu encore, et qui lui fait verser les seules larmes qu'elle sache faire couler ... celles qui viennent du bonheur !
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Celiano.vampiritch
Il ne sentait plus sa main le blond... Mais qu'importe ! Qu'est ce que sa douleur à côté de celle d'Idana... Puis qu'est ce que la douleur à côté du moment ou ils verront leur deuxième enfant pour la première fois.
Et le moment approchait puisque c'est d'un grand sourire que l'infirmière leur annonça...


Citation:
C'est une fille !


Le blond afficha un sourire des plus heureux, encore plus large en entendant leur fille pleurer ! Pour sûr que tout le village serait au courant avec cette voix résonnante au milieu des montagnes.
Il serra comme il le put sa femme dans ses bras, l'embrassant amoureusement. Il aurait bien fait une énorme bise à la formidable infirmière mais elle était encore occupée !
Il avait hâte de voir sa fille, voir enfin ce petit bout d'eux !

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