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[RP ouvert] A Clermont,un bal est donné !

Elayne
Quelques jours avant le bal...

Elayne, petite brune à la tête haute et à l'orgueil démesuré et au caractère fort pour reprendre les paroles d'un soldat de Montpensier venait d'apprendre la nouvelle qu'un bal se préparait. C'est qu'elle aimait bien les bals la belle Elayne, on pouvait boire, danser, rire avec les autres et regarder les gens se cracher les uns sur les autres dès qu'ils ont le dos tourné...Ah les joies des bals pompeux et politique, elle avait de plus en plus envie d'y mettre un peu d'ambiance et de choquer quelques nobles.

Elle pris contact avec son cavalier à Moulin et sourit de sa reponse qui ne l'enchanta que plus même si quelques details devait etre a revoir notamment sur la tenu de celui-ci. Elle prepara ses affaires avec soin essayant plusieurs robe pour que cela puisse aller avec le contexte plus que non populaire.

Elle n'avait que faire que certains berricons viennent pour le bal tant qu'on pouvait taper dessus ou au moins leur marcher sur les pieds en dansant. Elle sourit en voyant sa paire d'escarpin a talon et elle s'empressa de les mettre de coté pour pouvoir se faire plaisir quelques temps.


Le jour du bal.

Ca y est c'etait le grand jour et la belle Elayne, qui n'est pas une poire attention !, s'habilla de tout son attirail, se parant de bleu et d'argent et pris la route de Clermont. Il fallait dire que la route n'etait pas très longue pour allez al capitâle et que son cheval ferait en sorte de ne pas lui embourber les pieds.



Elle arriva devant la salle et sourit en voyant son cavalier arrivé mais dechanta quand elle le vit avec son seau rempli d'immondice


HULRIKA ! Tu vas me faire le plaisir de jetter ça avant d'entrer... Et quelle est cette tenue hein ! Tu aurais pu mettre une jupe ! Bon au moins on choquera moins comme ça

Elle lui sourit mais lui passa quand même un coup sur ses braies et sa chemise et lui debarbouilla un coin de sa joue tout sale et jeta le seau dehors, se reculant pour ne pas se prendre ca sur le pied

Tss...Sale bête, tu aurais pu faire un effort ! Bon entrons madame mon cavalier et amusons nous. N'oublie pas que tu me dois une danse.

Elle s'avança, prenant le bras d'Hulrika, se collant à elle pour montrer qu'elles venaient ensemble et jeta un coup sur les personnes presentes et se dirigea vers Sofio et Morphey. Elle alla les saluer et sourit de voir que ses amis, a qui elle venait de donner 800 ecus pour deux champs.. allaient bien. Elle salua egalement les personnes qu'elle connaissait a savoir Jason et Méjo et leur sourit et fronça les sourcils en voyant Jazon, le nobliaux qui lui avait arraché une promesse de sang qui lui tiraillait la main...

Sofio, Morphey, je suis si contente de vous voir. Comment allez vous tous les deux ?

Elle s'arreta un instant après avoir parler avec sofio et reconnu son amie Pascale et se précipita pour la saluer
[/img]
Hulrika
Pas patiente pour un sou, elle la remarqua un peu plus loin, et s'dirigea vers elle, son seau bien en main.
Siffle alors qu'elle détaille la robe.

Eh beh, tout ça pour faire honneur... ah qu'est-ce quelle disait l'annonce, ah oui, honneur à nos voisins et festoyer.
T'es magnifique - compliment bien placé, bien qu'elle n'aime trop en faire, m'enfin, fallait bien faire quelques entorses à ses foutues règles parfois - t'as du économiser longtemps pour t'payer telle robe.
Ah non! Je ne jette rien du tout! T'imagines même pas combien d'jours, il m'a fallu pour apporter telle offrande. Une jupe? Puis quoi encore? Plutôt crever!
Gromelle quand Elayne ose la débarbouiller puis hausse les épaules. Non mais dis que j'te fais honte aussi.
Protestation détonnante quand Elayne s'empare du seau et qu'elle le voit se déverser à son grand regret.
Ah non, mais non! Pourquoi t'as fait ça dediou? Merd'!
Sent l'énervement lui monter au nez, puis se calme peu à peu, s'dit qu'elle a encore sa hache, et que savoir des berrichons dans les parages, suffit amplement à son état, autant pas en rajouter.
Bon, tu vas m'le payer ça, on verra ça plus tard. Pour l'instant, on va s'amuser un peu.

Bras saisi un peu fermement, elle se dirige vers la place affublée ainsi de sa cavalière, la mine renfrognée.
Voyons voir qui a fait l'déplacement.
Puis son visage laisse place à un sourire amusé au coin des lèvres. Elle observe les gens, des nobles, des nobles, ah un gueux et encore des nobles on dirait vu les sappes.

Puis son regard se porte sur le groupe de cavaliers qu'elle avait déjà repéré de loin et se laisse entrainer par Elayne.

Tiens, j'connais un peu d'monde là. Y'a un combat qui s'prépare?

Protocole oblige, elle fait des p'tites révérences. B'jour les Valmonte. Juste. Puis Mejo. B'jour. Inclinaison d'la tête là. Ah bah on est pas les seules gueuses, ça fait plaisir.

Bras qui se détache, sa cavalière lui fait déjà faux bond, ça commence bien. Tiens Pascale, sacrée avocate que celle là.
Elle reste un peu en r'trait histoire de jauger la situation et d'comprendre qu'est-ce qui s'trame déjà.

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Mejoada
elle avait trouvée un petit coin bien en retrait de tout mouvements, bon elle était pas non plus caché hein, mais de la ou elle était elle pouvait tout voir, les gens qui allait au buffet et les vas et viens des gens arrivants au bal, les grands gens du duché qui s'animés entre eux, et bien entendu les gardes qui veillaient a leurs sécurités.

elle eut un regard vers l'un deux perchés sur son cheval et même si il la voyait pas elle lui adressa un sourire.
toutefois elle reporta son attention un peu sur la troupe de troubadours qui tenté d'animé la fête de leurs musique et chant, se posant sur une bûche de bois qui était un peu en retrait, une chance quelle était venue avec ces braies, là au moins elle se sentirait a l'aise dans quelques choses pas comme a cette fête ou elle ne savait même pas pourquoi on l'y avait convié, se demandant encore pourquoi elle y était venue, elle fut ravie d'apercevoir 2layne magnifiquement vêtue et de Hul, au moins des visages quelle connaissait, elle leur fit a toute deux un sourire et un petit salue de la main.

voila au moins deux personnes quelle pourrait surement retrouver plu tard, enfin si elle se décidé a sortir de ce petit coin très tranquille ou elle se sentait a l'aise, pas gagné ça encore.
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Bernadotte
Perdu dans ses pensées et repensant à ses traits d'humour douteux, l'officier supérieur fit machinalement une ronde parmi les postes de garde, observant ainsi les convives loin des tumultes de la fête, qui semblaient se transformer en pugilat.

Les soldats lui présentèrent les honneurs et l'un d'eux l'interpella bruyamment en désignant les diplomates Berrichons:
"Major, qu'attendons nous pour en finir avec ceux là!!". Le sang de Bernadotte ne fit qu'un tour et il attrapa le soldat par le haut de son col et se tourna vers les autres en disant d'une voix claire: "Ecoutez moi bien soldat car je ne le répéterai pas: Aucun sang ne doit être versé... Ces gens sont nos ennemis... mais tant qu'ils sont les invités de la Duchesse, ils sont sous notre protection!! Quoi que vous puissiez en penser, quoi que j'en pense... Si le moindre sang de ces diplomates coule, c'est l'Honneur du Duché et celui de la COBA qui sera à jamais entaché."

François, l'ordonnance de Bernadotte, apporta Bucéphale que Bern s'empressa de monter. L'officier regarda le poste de garde et dit: "Si l'un de ces berrichons venaient à périr sur nos terres, il sera dit que le BA est un peuple d'assassins, de bandits... Nous traitons les Berrichons de moins que rien, de brutes sanguinaires, alors montrons leur ce sont que de vrais hommes d'Honneur, des gentilshommes. Cette paix, à laquelle nous aspirons tous depuis longtemps et pour laquelle bons nombres de nos frères sont morts, est la volonté de notre Roi... Malheur à qui ne respecte pas la volonté royale!!! N'oubliez pas vos serments"

Juché sur son cheval, Bernadotte observa ses hommes acquièser d'un regard penaud. L'officier appela son ordonnance et dit: "Les soldats n'ont pas le droit au vin ce soir, mais veille à ce qu'un peu de charcuterie et de pain leur soit distribué. Ce soir, c'est la Duchesse qui invite!! " Le poste de garde acclama la générosité du jeune Major qui donna un léger coup de talon à son destrier qui se mit en marche vers le second poste de garde. Durant le trajet, le seigneur d'Epalais surveillait attentivement le bal, dominé par un géant blond venu du Berry et la riche toilette d'Androlyne, duchesse du Bourbonnais Auvergne.
June
    June, c'était vrai, ne s'était pas présenté au Duc de Lapalisse. Qu'importe, il s'en fichait et puis, de toute façon, ses hommes connaissaient le nom du grand blond. Il entendit les murmures sur sa présence, sur son rôle de Maire, sur ses paroles lorsqu'il l'était. Mais, pauvre bazin ! Mets-toi donc à ma place ! Toi, petit auvergnat, dans ta ville assaillie, aurais-tu courbé l'échine au lieu de rasséréner tes troupes, de n'importe quelle façon que ce soit ? Toi l'auvergnate, n'aurais-tu point combattu pour tes idéaux, la ville qui t'a accueillie ? Eh bien... Le Chacal lui avait montré ce qu'il y avait de bon chez les auvergnats ; voilà à présent qu'il voyait le mauvais.

    "Votre Grâsce, soyez assuré que je ne manquerai pas de porter votre bon souvenir au duc de Berry, George le Poilu. Il y a maintenant bien longtemps que vous ne vous êtes pas revus, je gage que votre route ne tardera pas à recroiser la sienne. Tôt ou tard.

    Ceci étant dit, je me dois de corriger certaines de vos méprises, qui faussent fondamentalement votre discours :

    - Le Berry n'est pas un obstacle à la paix. Les négociations de paix actuellement en cours à Rome réunissent l'Alliance du Ponant et la Couronne de France. Elles ont pour objectif d'aboutir à un traité de paix qui mettra fin à la guerre ayant opposé la Couronne au Ponant pendant près de 6 mois. L'Alliance du Ponant a été, dès le début des négociations, très claire avec la Couronne de France (qu'elle ait été portée par Nebisa de Malemort ou par Vonafred de Varenne) : le Ponant ne signera rien tant que la félonie du Duc de Berry n'aura pas été levée et tant que le passif berrichon n'aura pas été réglé.
    Rappelons que si le Ponant est entré en guerre contre la Couronne de France, c'était dans le but de porter secours à son allié berrichon, alors en proie à l'invasion de la coalition Touraine-Auvergne-Bourgogne. Il est donc important, si l'on veut clore définitivement ce chapitre ensanglanté de notre histoire commune, de traiter les causes premières de la guerre, à savoir la félonie injustifiée de George le Poilu, comme le Ponant l'a démontré en argumentant en ce sens à Rome.

    - Le Berry fait bel et bien partie de l'Alliance du Ponant. Je pense que plus personne ne révreau ban cet état de fait aujourd'hui. Tout le monde a pu se rendre compte pendant la guerre que le Berry était un membre à part entière du Ponant, qui a les mêmes devoirs et les mêmes prérogatives que les autres membres. Tout le monde a pu prendre la mesure de l'engagement du Berry aux côtés du Ponant dans sa lutte pour la paix et la liberté. Y compris les différents monarques s'étant succédés sur le trône de France.

    - Le Berry est en mesure de signer des écrits, et ne vous a pas attendu pour le faire. Le duc de Berry a par exemple apposé son scel sur le texte instaurant la trêve entre le Ponant et la Couronne, et personne n'a jamais remis en cause la légalité de cette trêve. Et c'est ce même scel provincial qui viendra authentifier le traité de paix négocié à Rome par les négociateurs du Ponant et de la Couronne.

    Pour autant, est-ce que l'apposition du scel royal à côté des sceaux provinciaux signifie reconnaissance des régnants du Ponant comme légitimes régnants des provinces françaises par le roi ?
    Est-ce que l'apposition des sceaux provinciaux à côté du scel royal signifie reconnaissance du roi de France comme légitime suzerain de ces provinces par les régnants du Ponant ?
    Pas forcément. Cela veut surtout dire que les régnants et le roi de France se reconnaissent mutuellement comme des interlocuteurs légitimes pour mettre fin à la guerre et faire la paix. C'est le principal.

    Maintenant, là où je vous rejoins entièrement, c'est sur le fait que la confiance se gagne par des actes et ne se décrète pas. Le passé du Bourbonnais-Auvergne et du Berry est trop douloureux pour que nous puissions tirer un trait dessus et faire comme si de rien n'était, comme si le Berry et l'Auvergne ne s'étaient pas faits la guerre par trois fois. Pour instaurer ce climat de confiance entre nos deux peuples, que chacun appelle de ses voeux, il faudra du temps, et de la bonne volonté.

    Je suis persuadé que nous vivons aujourd'hui un moment historique. La Paix est en passe d'être signée, et nous avons l'occasion de régler les différends du passé pour donner une nouvelle impulsion aux rapports entre le Berry et l'Auvergne.

    A présent, je vous laisse à vos destriers ; il serait dommage de repartir sans avoir goûté à vos vins, n'est-ce pas ?"


    Il salua Tixlu et s'en retourna auprès de ses hommes, à qui il demanda de descendre les tonnelets accrochés aux mules. Se dirigeant vers Androlyne, il lui expliqua ce que les berrichons apportaient :

    "J'ai apporté des tonnelets de bug, la bière saint-aignanaise, et notre célèbre Poire de Sancerre ! Celle-ci est fine et légèrement vieillie, un régal... Permettez que je vous offre la première coupe, Duchesse ? Et vous aussi, Semias ? Tenez, je voulais vous présenter quelqu'un."

    Il s'était tourné vers ce dernier tout en parlant à Androlyne. Puis, il fit signe à un jeune homme resté en retrait de s'approcher. Il l'invita d'un murmure à se présenter lui-même, autant pour son besoin de communication que pour l'envie du blond de tremper au plus vite ses lèvres dans la délicieuse Poire dont il raffolait tant.

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Bernadotte
En inspectant les abords du bal, Bernadotte méditait sur sa campagne du Berry, sur le bien fondé des guerres menées au nom du roi et du BA. Son séjour à Bourges ne l'avait pas marqué outre mesure... et l'ambiance en Taverne ne lui avait pas semblé trop hostile... Amusante dira t-on et c'est de bonne guerre comme on dit dans la populace. Assurément qu'il aurait défendu Clermont bec et ongles si elle avait été assiégée...

Bern arriva à un poste de guet, où les soldats semblaient occupé à interroger un gamin d'une dizaine d'année. L'officier mit le pied à terre et alla s'enquérir de la situation. Il porta un flambeau à hauteur du visage de l'enfant et reconnut son fils, Alban. Le Major fronça les sourcils mais ne lui posa aucune question. Il déclara:
"Laissez le passer, c'est mon fils..." Le Major sourit et lui dit d'une voix douce "Tu viens pour t'amuser je suppose... J'espère que ta mère et ta soeur pourront venir elles aussi. Allons suit moi, je vais te présenter à la Duchesse."

Le Seigneur d'Epalais et son jeune fils se dirigèrent vers le buffet. L'officier supérieur songea a l'éducation qu'il donnait à son fils, empreinte d'autorité, du sens de l'honneur et du devoir, d'humilité mais surtout de respect d'autrui qu'il soit ami, ou ennemi... Il comparait mentalement ces valeurs aux dures paroles, moqueries qu'il avait prononcée contre les diplomates berrichons. L'officier s'en repentait quelque peu et tout en s'approchant de la Duchesse, il les regrettaient. Bern, qui avait confié son épée à son ordonnance, s'approcha de la duchesse et s'inclina: "Mes Respects Vôtre Grâce..." Il déclara tout en désignant le garçonnet placé à sa droite: "Permettez moi de vous présenter mon fils, Alban. Je voudrais profiter de ce moment pour m'excuser de ma conduite peu courtoise envers les invités de Vôtre Grâce. Il n'y a pas de mot pour qualifier une telle conduite de ma part..." L'officier adressa à la duchesse un regard plein d'humilité et de regrets sincères.

Il se tourna vers le dignitaire berrichon et le salua d'un signe de tête: "Bonjour Messire June. Permettez moi de me présenter, je suis le Major de la COBA Bernadotte. En tant que soldat, j'ai bien entendu servi sous les murs de Bourges où nous nous sommes rencontrés.... Bien que beaucoup de mes compatriotes n'apprécient guère votre présence sur nos Terres, je peux vous assurer que vous êtes en sécurité ici. Je tiens à m'excuser si je vous ai paru peu courtois, je pense que vous comprendrez aisément que nous n'avons point l'habitude de recevoir vos compatriotes avec tant d'égards... Ceci étant, vous êtes les invités de notre Duchesse, et vous serez traités avec tous les égards qui vous est dû et cela malgré les différents qui opposent nos deux duchés."

L'officier se tût, observant son fils qui paraissait impressionné par le géant berrichon, qui dépassait de plus de deux têtes son père.
June
Alors qu'il invitait d'un geste le jeune homme venu avec lui à se présenter, voilà qu'un auvergnat, une tête connue, s'approcha accompagné de son fils. L'homme le salua et parla, de Bourges et d'autres faits. Le grand blond l'écouta attentivement, hochant de temps en temps la tête à ses paroles.
Avec un sourire sympathique, June lui répondit.


"Bonjour Bernadotte, oui nous nous connaissons, nous étions chacun d'un côté de la muraille de Bourges... Dure période que c'était, hélas ; j'aurais aimé vous connaître à un autre moment et à un autre endroit, et plutôt autour d'une bonne bouteille de Poire, croyez-moi. Vous savez, je sais que je suis en sécurité, et de toute façon, voyez : mes hommes ne portent pas d'arme. Je suis le seul à posséder une épée, que j'ai enlevée et rangée dans mes bagages. Ne vous excusez pas.

Hélas ! Il y a une haine qui reste dans le temps et dans les générations... Il faudra faire avec. Je vous remercie, en tout cas, de vos paroles. Elles montrent que vous êtes un homme intelligent, et même si vous ne pardonnez ou ne vous faites pardonner, elles sont la preuve d'une envie d'avancer."


Humble, le Chancelier berrichon le remercia d'un signe de tête, le sourire ayant quelque peu faiblit pour faire place à davantage de sérieux et d’amabilité. Il sourit au jeune garçon qui accompagne le Major de la COBA.
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Androlyne
La Duchesse remercia d'un petit signe de tête l'intervention du Chancelier June. Même si elle trouvait que c'était donner bien trop d'importance à la bande de joyeux drilles venus faire du spectacle pour tenter de gâcher des festivités qui ne se voulaient que populaires.

Elle lui emboîte le pas et doit presque courir pour rester à sa hauteur pour aller goûter la poire.


Que diriez vous de boire votre Poire de Sancerre avec un petit pâté de sanglier ...

Elle voit alors s'approcher le Major Bernadotte accompagné d'un jeune garçon qu'il lui présente comme son fils et s'excuse de ses débordements de langage.

Enchantée de vous rencontrer jeune homme,
Major Bernadotte, vous me connaissez assez pour savoir que je vous pardonne vos paroles déplacées, je sais très bien que les militaires ne conçoivent que seule la guerre peut être la solution à tous les maux du Royaume.

Nous sommes heureusement quelques uns à penser différemment.
Venez donc vous joindre à nous, nous allions lancer une attaque en règle ... sur le buffet.

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Bernadotte
L'officier sourit et lâcha la main du garçonnet en l'autorisant d'aller se servir à manger au buffet. Il regarda la duchesse et dit: "Si je puis me permettre votre Grâce, je ne pense pas que les militaires pensent que la guerre soit le seul remède aux maux du royaume... Les guerres ne sont pas livrées à l'initiative des militaires mais des dirigeants politiques... Nous ne faisons qu'éxécuter les ordres donnés. La guerre intervient en dernier recourt et apporte bien peu de solution si ce n'est que d'écraser et d'humilié l'adversaire qui ne songe qu'à se venger... Le début d'une chaîne sans fin et d'une haine ancestrale, ce qui est regrettable je vous l'accorde"

Le Seigneur d'Epalais esquissa un léger sourire et regarda le géant berrichon: "Nous aurions tous aimé nous rencontré à un autre moment et à un autre endroit je crois... Mais chacun de nous à fait son devoir, pour sa patrie et pour ce dont il croyais juste. Désormais, la volonté royale est à la paix et à la prospérité. Une coopération entre Berrichon et Auvergnate sera un signe fort lancé aux autres duchés mais je ne vous cache pas que cela sera difficile vue la haine mortelle qui divise nos deux peuples. Cependant, seul le temps et la patience peuvent nous dire ce que l'avenir nous réserve." La Duchesse parla d'une offensive sur le buffet et Bern sourit: "A vous l'honneur vôtre Grâce"
Jerome1976
Malgré l'intérêt que je portait aux troubadours, je me décidais a quitter la place de clermont. je n'étais pas d'humeur a faire la faites, et pensant a la journée a la mine qui m'attendait, je repris le chemin de mon foyer.
Lapaysanne


Ils étaient tous à festoyer , à danser , et que je te montre qui a le plus costume , qui se la pète le plus , oubliant leurs devoirs : surveiller les villes !
Et pendant ce temps la , les brigands s'organisaient pour prendre les mairies .
La vieille en avait un peu marre de les voir tous frimer , faire des promesses au peuple qu'ils ne tenaient jamais .
Elle rappliqua au beau milieu du bal , monta sur l'estrade arrêtant net les musiciens et prit la parole .


C'est y pas fini c'te folklore ! V'la t'y pas que j'te danse et que j'te montre qu'c'est moi le beau !
Z'y voyez pas qu'pendant vous vous amusez nos mairies y sont pillés !
Z'étes tous la à fanfaronner , mais z'avez que d'la goule pour parler .
C'est y quand qu'vous z'allez réagir non de d'la !


La vieille levait sa cane tout en parlant , c'est qu'elle était vraiment en colère la !
Une mairie venait de tomber ! Et une de plus !
Androlyne
Edit censure: Pas de HRP dans le RP, merci, même si l'intention est tout à fait louable
{BB}




Androlyne sourit aux propos de Bernadotte devenus bien plus posés qu'au début de la soirée.

A vous l'honneur Votre Grâce

Les cuisiniers du château ont déployés tout leur art et là vous avez du pâté de sanglier qu'ils ont concoctés avec les bêtes qui ont été tuées pendant les grandes battue organisées par le Duc Semias.


Les valets sous la direction de Barnabé se démènent pour que chaque invités ait un verre à la main et les invitent à venir se servir au buffet avant d'aller s'assoir autour des tables disposées à cet effet. [/quote]
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June
Il suivit ses hôtes, attiré par un fin fumet. Du pâté, avec la coupe de Poire ? Quelle bonne idée !

Obligé de repartir IG, je laisse un Personnage Secondaire en BA pour pouvoir continuer à poster dans ce RP

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Riggins
Ah oui, comme par hasard, vous partez ?
pile quand vos petits amis du fatume viennent de prendre murat.

Vous pourrez sans doute me rappelez ou est ce que la lance de euh a été se refugier apres ses mefaits dans le maine ?
je ne vais pas vous enfoncer dans votre mensonge, en berry bien sur.

accueilli avec la benedeiction de votre felon, le poilu lui meme.

qu'aujourd'hui, pendant votre visite soit disant de courtoisie, une mairie auvergnate tombe, c'est pas une coincidence.
rassurez vous, nous ne tarderons pas a nous revoir au pied des remparts ... de bourges j'espere.
nous vous ferons voir comment est la vengance chez nous.

sur ce, je vous laisse, je dois retourner a murat recuperer ce qu'on peut encore sauver.


Tim salua sofio et les autres et s'en retourna vite vers murat

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Androlyne
Edit censure: Pas de HRP dans le RP, merci.
{BB}

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