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[RP] Allégeances à Arthur Cano – la cérémonie

Celtic_de_vandimion
Roderick prit la lame et la dressant vers le plafond rendit au Coms le salut a l'épée.

L'ancien maitre d'armes leva l’épée au ciel puis fit un appel du pied dextre et senestre, il amena l'arme au menton et dégageant sa poitrine, offrit la cible de gauche a droite, en demi-lune.

Ce salut particulier fut clos par trois pas en arrière tête baissée et protégeant la lame de l'arme il fit demi-tour et se mit en retrait pour écouter la lecture du contreseing effectué par Montjoie.

Lecture faite, Roderick Fit une profonde révérence en remerciement a la Princesse et quittant la salle, retourna rapidement auprès des hommes et femmes de son armée.

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Vicomte de Beaumont-du-Roure, seigneur d'Aumes et de La Rochette
En attente de blason
Arthurcano
Roderick lui fit salut militaire et quitta prestement la salle pour s'en aller rejoindre ses frères d'arme.

Il n'eut pas attendre longtemps que Montjoie appelle la suivante... Mounia...

Mounia qui déjà s'avançait et mettait un genou à terre, comme nombre sa dévotion au comté n'était plus à démontrer et sa constance à la mairie de Nîmes d'un secours inconditionnel pour cette ville... Le temps, il le savait commençait à lui peser et du sang neuf était attendu à Nîmes pour lui permettre un repos mérité.

Arthur devant Mounia dis alors les mots coutumiers...


Mounia Land, voulez vous être tout à fait notre femme?

Ces mots toujours le surprenait mais la tradition Languedocienne continuerait ainsi longtemps...
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Mounia
Mounia Land, voulez vous être tout à fait notre femme?

En temps normal, Mounia aurait rit mais elle avait bien conscience du sérieux de la situation. Elle esquissa donc un sourire, regrettant presque d'avoir attaché ses blondes ondulations qui auraient pu cacher la scène. Le silence s'installait, Mounia paniqua un peu. La phrase revint à sa mémoire.

Oc!lo voli.

Elle rougit, presque autant qu'au jour de son mariage. Bon sang, elle aurait du vraiment demander à quelqu'un de l'accompagner...Un regard amical dans son dos lui aurait suffit à retrouver la confiance.
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Arthurcano
Arthur voyait dans le regard de la blonde Mounia, ce même désarroi que lui même avait connue deux mois auparavant... Fort de ses amis présent, il avait trouvé force et courage. NE voyant pas son époux, il lui adressa un regard de soutien et lui murmura... Tu t'en sort très bien...

De ses mains posés sur ses épaules, il l'aida à se relever et posa sur ses lèvres le baiser chaste de cette coutume ancestrale...

Puis, il fit un pas en arrière toujours souriant... Attendant son allégeance...

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Salvaire_d_irissarri
A peine le temps de s'en revenir à Randon, faire le tour du propriétaire, féliciter ses gensses qui avaient si bien tenu le castel en leur absence, que les voilà, encore, à repartir pour la salle de plaid et les allégeances. Sa fidèle intendante, Boulga, à ses côtés, tous deux bien installés en leur confortable carriole, ils poursuivaient gentillotement ces douces calineries et autres amabilités qu'ils s'étaient tous deux largement prodigués pendant leur petit tour du Lengadòc. Ils avaient grand besoin de leur mutuel réconfort, tous deux encore si troublés par l'affaire de Montpèlhier. Bien que rassurés par leur passage à Alais et la rencontre avec leurs amis Motshow et les donàs Llynak et Zebulon, et bien que n'en parlant plus entre eux, ils sentaient, devinaient l'un en l'autre, le poids de la culpabilité et l'effort nécessaire à chacun pour oublier... peut-être, un jorn... l'acte odieux qui les avait fait porter le coup fatal à leurs amis et voisins.

C'est donc avec cette désagréable sensation d' inquiétude d'apercevoir icelieu le boucher baron que s'avança le jeune homme, suivi par son intendante, tout à fait resplendissante dans sa nouvelle tenue. Elle était fière de lui, d'elle et voulait faire honneur à leur mesnie en se présentant à ses côtés. Il avait été heureux d'accéder à sa demande. Après tout, le ser d'Euphor lui-même, n'avait-il point accordé sa confiance à sa jeune mestresse ?

Saluant d'une large inclinaison du buste, le Roy d'armes et la dame inconnue à ses cotés, se présenta courtoisement à celle-ci et à mi-voix :
Salvaire d'Irissarri è Castelmaure - baron d'Apcher et baron de Randon, mendois .
Puis parcourut ensuite la salle du regard, adressant signe de tête ou de main à ceux qu'il connaissait, puis s'installa sans bruit pour ne point troubler la cérémonie en cours, près de Marieline, elle aussi touchée et accablée sans doute par le même tourment. Décidément les mendois étaient certes peu nombreux mais tojorn aux avant-postes, tojorn actifs et tojorn solidaires. Il toucha la main de Marieline et lui adressa donc un sourire qu'il tenta d'exprimer solidaire.

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“ Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet”Salvaire d'Irissarri é Castelmaure, baron d'Apcher et de Randon, en Lengadòc.
Ingeburge
Et comme elle le lui avait murmuré quelques minutes plus tôt quand elle s'était avancée vers le trône, Ingeburge se pencha vers Mounia et lui indiqua à mi-voix la marche à suivre maintenant que cette dernière avait formellement accepté de devenir vassale du Languedoc et que le comte l'avait favorablement reçue :
— C'est encore à vous. Il vous revient de prêter serment et d'assurer votre suzerain de votre fidélité, de votre aide et de votre conseil pour les terres de Lédenon.
Cette première fois, Ingeburge l'avait elle-même vécue. C'était un instant particulier, déroutant quand on n'y connaissait rien, ou si peu. D'où son assistance promise.

Son rappel effectué, le Roi d'Armes retourna à son pupitre mais ne se rassit pas. Il lui restait encore quelque chose à faire. Là, elle reçut le baron d'Apcher, qu'elle salua d'un bref bonjour à voix basse, afin de ne pas troubler l'échange en cours.

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Mounia
Mounia sourit à Arthur et , complètement désorientée, compris qu'elle devait dire quelque chose. Cependant, rien ne lui revenait.
Elle accueillit Montjeoie avec bonheur et écouta avec attention ses conseils, sans mot dire mais en hochant la tête. A ce moment, Mounia lui aurait donné père et mère tellement elle était reconnaissante de ce secours providentiel.


Je vous reconnais, Arthur Cano de Genolhac, comme Coms du Languedoc et mon suzerain légitime.
Je vous promets en ce jour fidélité, aide et conseil pour les terres de Lédenon.


Elle respira à nouveau. Le plus gros était passé et elle pourrait bientôt rejoindre l'assemblée.
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--Malkav


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[Oooooo mon batôôôôoooooo]

Doudiou! Mais hissez moi donc cette voile !!!

Trépignait d'impatience le vicomte. Il était attendu, attendu pour une cérémonie de la plus haute importance. Non seulement elle était sous la supervision de son vassuzerain Arthur Cano mais une amie chère à son coeur allait recevoir ce que depuis bien longtemps elle méritait. A ses interrogations il lui avait répondu ce qu'à lui même on lui avait dit lorsque le choix était venu à la fin de son règne. La noblesse languedocienne avait besoin de gens comme elle.

Il ne savait pas encore à l'heure actuelle si elle avait décidé d'officialiser le fait d'être sa voisine et plus particulièrement celle de ses vassaux de Domazan Kelak et Lise. Aussi curieux qu'il était il désirait connaitre le choix final.

Mais le navire n'avançait pas comme il le voulait.


Nous sommes trop lourd, que tous les tonneaux soient vidés!

Ordonna-t-il en prenant sa dague pour le planter dans une tonneau et y apposer sa bouche face au trou formé. Ils devaient avancer et tous les moyens étaient bon. Il montra l'exemple.

Quelques instants plu tard, hallucination ou non, le fier château de Rochefort d'Oc commençait enfin à se dessiner. L'on pouvait apercevoir la plus haute tour du Castel.

Malkavien il était, pris surement par la folie ou l'abus d'alcool il entreprit l'accostage du navire sur la rive. Ils ne pouvaient attendre d'accoster en Uzège. Ce fut périlleux mais en fier capitaine il y parvint retrouvant son équipage les fesses serrées plus que de la normale.

Ni une ni deux il sauta par dessus bord se plongeant dans le gard. Les pieds dans l'eau il gagna la rive puis s'élança vers le Castel. Alors que son bienveillant peuple célébrait son retour. Il s'écria.


Une monture! Qu'on m'apporte un cheval je vous prie!

Arnhild, capitaine de la garde Rochefortaise, toujours plus vive que jamais se hissa sur la selle de son cheval et attrapa en vol le vicomte. Elle ne pouvait laisser passer une telle occasion de faire pendant plusieurs jours corps à corps avec son maitre. Ce dernier fut surpris mais ravi. Il enlaça la belle suédoise ce qui lui procura la force d'avancer plus vite que jamais.

Fonces, Arnhild, fonces direction Montpellier!

Il n'eut point le temps de se changer, ni même de dire au revoir à son équipage ou encore de saluer son peuple. Le retard était trop important pour s'attacher aux convenances. Ils ne lui en voudraient pas sachant le pourquoi du comment.

[Montpellier]


Plusieurs jours de cheval les amenèrent à Montpellier au castèl. Le voyage depuis plus d'une semaine avait été éprouvant mais jamais Malkav n'aurait failli à une promesse. Ses valeurs lui donnant la force de poursuivre.

Il était déjà en retard lorsqu'il se présenta devant la salle de plaid. La cérémonie avait sans doute déjà commencé. Son allure était loin de celle que l'on pouvait attribuer à un noble. Il était sale et son odeur légèrement incommodante. Sa chemise était à moitié déchirée laissant dévoiler une grande partie de son torse. Ses braies de nature blanche arboraient un beau marron.

Les gardes de la salle voyant un tel personnage s'avancer se braquèrent et lui défendirent d'entrer. Le vicomte du sortir de sa besace sa couronne vicomtale qui ne suffit pas. A deux doigts d'être jeter en geôle pour vol et usurpation ce fut Arnild qui leur trancha la gorge pour permettre à Malkav d'entrer. Du moins, c'est ce qui sera plus tard raconté..la vérité moins sanguinaire étant que Malk pu retrouver heureusement l'invitation à la cérémonie de Montjoie.

Les portes s'ouvrirent donc avec le fracas caractéristique de chaque entrée du vicomte. La salle était comme à chaque fois presque parfaitement décorée arborant des oriflammes plus beaux les uns que les autres. S'avançant dans l'allée centrale, Malk aperçut au loin sa vieille amie Mounia à genou. Il arrivait donc à temps! L'iceberg n'étant pas encore en mouvement, le serment ne devait pas être échangé. Il s'en serait voulu de rater l'anoblissement de Mounia et ainsi l'entrée d'une vraie noble dans l'assemblée nobiliaire du Languedoc. Assemblée qui commençait à reprendre fière allure.

Le vilain petit canard qu'il était ne se rendit pas plus en public, il alla trouver place. Il lança tout de même un salut bienveillant à ses vassaux y compris celui sur le trône comtal. Il était fier d'un tel spectacle.

Une fois confortablement installé il tenta tout de même d'arranger ses longs cheveux pour effacer ce look bad boy. De fraiches odeurs se véhiculaient en provenance de chaque noble présent. Le parfum charmeur de ses belles dames l'envoutèrent comme à chaque fois. Apaisé, il se promis de lutter pour ne point s'endormir... Arnild non loin y veillerait.
Arthurcano
Son serment d'allégeance effectué, après avoir écouté comme lui à sa première Montjoie lui prodiguer conseil, Mounia attendait la suite...

Arthur pris de nouveau parole en ayant pris soin préalable de prendre deux présents un représentant ses nouvelles terres l'autre car en tant qu'homme de coeur, à chacune des nobles il offritait une fleur...

Mounia, J'accepte votre allégeance et en retour je vous promets protection, justice et subsistance pour la seigneurie de Lédenon .

Recevez en symbole de ce serment, ce pied d'olivier qui symbolise une partie de vos nouvelles terres ainsi que ces quelques fleurs d'Hémérocalle bleue qui symbolisent la Persévérance.


Arthur fit quelques pas en arrière et laissa le soin à Montjoie de donner son titre à Dame Mounia.
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Boulga
Première sortie officielle comme mestresse.
Changer d'apparence avait été son premier soucis, car les gens se font naturellement une idée des autres d'après ce qu'ils en voient, et on pouvait ajouter à cela "dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es". En d'autres termes, puisque le senher Salvaire avait accepté de la mener à la cérémonie et qu'ils y paraitraient de façon à ne laisser aucun doute sur leur relation, elle s'était fait un devoir de lui faire honneur : pas d'ostentation, mais plus question de garder sa simple tenue bourgeoise. Ils avaient passé du temps à lui choisir robe seyante, qui la mette en valeur sans pour autant qu'elle la mette à égalité avec les vraies donas : de l'élégance et une jolie tournure, mais un minimum de sobriété. Car Boulga, si elle tenait à assumer au mieux ce nouveau rôle de mestresse officielle, tenait tout autant à rester à sa juste place : hors de question d'aller faire de l'ombre à des donaselas qui auraient pu épouser le double baron ni de se mêler à elles sans y avoir été invitée.

Fière, elle l'était, plan segur. Fière de l'affection et de la confiance que son senher lui portait, et c'est donc souriante et toute droite qu'elle entra dans la salle de plaid, à son bras.
Elle le lâcha cependant avant d'arriver jusqu'au Roy d'armes.
La présence du senher Bentich lui rappela la grave affaire à laquelle ils avaient pris part, mais elle se refusa à porter quelconque jugement, même en son âme et conscience : elle avait eu vent au castel, presque par hasard, d'un autre incident similaire, mais avec une autre armée languedocienne, seulement un ou deux jours après le premier. Elle en restait simplement à se demander pourquoi celui-ci n'était pas arrivé jusqu'en place publique.
Elle chassa ses tristes pensées et s'installa à côté de Marieline, qu'elle était bien contente de revoir après tous ces jorns de voyages.

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Ingeburge
D'un hochement léger et discret de la tête, Ingeburge marqua son assentiment : Mounia, pour une première fois, avait effectué un sans-faute. Et cela fut confirmé quand elle indiqua à haute voix :
— Dame Mounia, vous voici désormais dame de Lédenon et de ce fait, nouvelle vassale de la Couronne du Languedoc.

Et il restait, du côté hérauderie, une chose à faire savoir pour libérer l'anoblie :
Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir :

      Qu'en vertu des coutumes et lois héraldiques royales et après consultation et votation du Collège Héraldique de France, validons et contresignons la demande de Sa Grâce/Sa Grandeur Celtic_de_Vandimion, comte du Languedoc, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres du Languedoc à Mounia Land.

      Qu'après recherches héraldiques dûment étayées et validées, confirmons que le fief de Lédenon est bien fief mouvant du comté du Languedoc.

      Et qu'en conséquence de quoi, dame Mounia Land se voit octroyer le fief de mérite de Lédenon, érigé en seigneurie et portera, après prime allégeance en bonne et due forme, « d'azur, à trois pals d'or, au chef de gueules chargés de trois dragons d'or», soit après dessin :




      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le quatorzième jour de juin de l'an de grâce MCDLX.





Mounia pouvait désormais rejoindre sa place et Ingeburge se consacrer à ceux présents pour renouveler leur serment. Ayant eu quelques renseignements intéressants, elle bouscula quelque peu l'ordre de passage et appela :
— Que s'avance désormais Sa Grandeur Mélissa de Montbazon-Navailles, pour les terres de Pézenas, Cessenon et du Pouget.

Et cette fois, le Roi d'Armes de France s'assit pour de bon à son pupitre.
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Arthurcano
Surpris d'entendre Monjoie appeler Mélissa de Montbazon-Navailles, dicte l'Alouette et de comprendre que le programme était changé...

Fronçant légèrement les sourcils en retournant sur son trône, une fois assis, lui murmura... Je ne comprends guère Montjoie ce changement, pourriez vous me dire que quoi il retourne ?

D'un oeil circulaire, il fit le tour de l'assemblée mais rien ne lui laisser paraître le pourquoi du comment... Dubitatif il était ...

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Ingeburge
Et le Roi d'Armes, placide, de répliquer sans sourciller et à mi-voix qu'il sait que la comtesse de Pézenas devait rejoindre le flambant neuf vicomte de Beaumont-du-Roure et son armée. Ceci expliquait donc cela.
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Vanye
Et encore une ! Il ne les compte plus, tellement il a participé à des cérémonies de ce genre. Pendant longtemps, il n'y est apparu qu'en tant que garde d'argent, puis en tant que commandant de l'unité d'élite aujourd'hui dissoute, avant enfin de s'y présenter en tant que vassal pour prêter le fameux serment d'allégeance. Le rituel ne change jamais d'un iota. La question qui se pose, c'est s'il devra attendre son tour en fonction de son heure d'arrivée ou de son rang dans la noblesse languedocienne. Auquel cas il va encore devoir trouver un pilier confortable afin de se reposer des heures passées penchées sur des pièces de procédure et sur son siège à écouter les uns et les autres parler, les uns pour faire condamner, les autres pour essayer de sauver leur peau. Il y a bien ce pilier à droite, qui l'a accueilli si souvent dans ces moments de profonde solitude et d'attente éperdue.

Lorsqu'il fait son entrée dans la salle, habillé de gris et de noir, il tente de se faire discret. Plusieurs membres de la noblesse sont présents, mais il ne peut pas dire qu'il les connaît très bien pour la plupart. Il salue chaque personne d'un hochement de tête, plus appuyé pour certains qu'il connaît plus particulièrement ou qu'il côtoie fort souvent, comme Messire Actarius ou Messire Finubar. Il adresse une courbette polie à la nouvelle prime ambassadrice, dont le charme est bien supérieur à celui de son prédécesseur. Faisant quelques pas, il s'approche du Roy d'armes : "Bonjour, Madame. Je vois que vous officiez à nouveau pour cette cérémonie d'allégeance. Je vous souhaite bon courage pour cet office et vous prie de noter que le baron d'Anduze est présent afin de remplir son devoir de vassal".

Puis il jette un coup d'oeil rapide vers son pilier fétiche pour s'apercevoir qu'il n'est point occupé.
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Ingeburge
Si la duchesse d'Auxerre s'était risqué à un sarcasme avec le nouveau vicomte de Beaumont-du-Roure qui avait souligné qu'elle était encore en Languedoc et qui avait demandé si cela signifiait qu'elle comptait y rester à demeure, ce à quoi elle avait répondu que son installation ce serait comme la peste noire, elle ne s'enhardit pas à relever de la même manière le « encore » du baron d'Anduze. Le saluant courtoisement, elle indiqua simplement :
— Me voilà en effet à nouveau parmi vous. Et je note qu'il en va de même pour vous. Merci à vous, baron, tant pour votre présence que pour vos encouragements.

Le vélin sur lequel avait été recopié le nobiliaire languedocien fut amendé.
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