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[RP] Allégeances à Arthur Cano – la cérémonie

Cebyss
La Comtesse se releva, et sans relever la tête répondit d’une voix claire à la question du Comte.

Oui, je le veux

Réponse qui coulait de source pour la brunette dont le Languedoc coulait dans les veines, mais il fallait la donner. Elle releva finalement la tête et attendit la suite du cérémonial.

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Arthurcano
La tête était restée basse le temps du Oui, puis s'était relevée ensuite... Un peu d'Azur, léger... Il lui esquissa un sourire et ...

Il invita Ceb à se relever d'une main posée sur son bras, puis non deux pas sur le côté mais d'un pas en arrière, puis de deux en avants, il lui déposa sur ses lèvres le chaste baiser...

Des yeux qui se ferment, quelques pensées, puis les réouvrir et refaire deux pas en arrières, attendant son allégeance...



(Edite une fois pour bon suivi de la cérémonie ^^ Mici Jd Ceb)
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Cebyss
Le pacte scellé, la Comtesse d’une voix claire déclara ce serment d’allégeance qui pour elle était une évidence.

Nous, Cebyss l’Acier, vous reconnaissons, Arthur Cano de Genolhac, comme Comte du Languedoc et notre suzerain légitime. Nous vous jurons ce jour fidélité, aide et conseil pour les terres de Minerve et Saissac.

Son devoir accomplit la Comtesse se tut attendant le retour du Coms.

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Malkav
Malk se sentait tout de suite plus lui. Entouré de personnes chères il pouvait librement profiter de l'instant présent et oublié son périple pour arriver à temps à cette cérémonie.

Il colla un gros bécot à sa Fredouille.


Ma beauté le plaisir est partagé! Et voui pas de soucis, on a quelques chopines à rattraper!

Voyant sa discrétion il dit en présentant sa chemise du bout des doigts le sourire aux lèvres.

Didon la noblesse t'a bien assagit.


C'est avec beaucoup de joie que Malk vit tous ses vassaux renouveler leur serment l'un envers l'autre. Il se dit que le bedonnant avait le don pour trouver des perles rares. Sa blondivassale était le genre de femme en qui le vicomte avait de l'estime. Bentich suivit tandis que Malk en profitait pour raconter sa vie. Vint alors l'entrée très rapide et solennelle de la plus belle brune du Languedoc. Une fois le serment prêté il lui fit signe pour qu'elle rejoigne la troupe de cancre au fond de la salle. Un mois qu'il avait pas eu de bisou de la sulfureuse... une honte!
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Arthurcano
La voix était claire, le Languedoc elle avait dans la peau... Le temps était venu pour lui rendre la pareille, Il fit signe au servant de lui apporter les présents et avant cela repris parole...

Dona Cebyss, J'accepte votre allégeance et en retour je vous promets ainsi protection, justice et subsistance pour les terres de Minerves et de Saissac.

Il fit quart de tour pour faire face au servant puis il pris une broche au couleur de l'Azur de Saissac qui servirai l'hiver prochain pour accrocher un col ou un châle, et un bouquet de Perces-neige symbole de l'espoir de jours moins sombre entre eux qu'ils ne le sont ce jour...

Voici pour vous Dona Cebyss, une broche aux couleurs de votre fief à Saissac et ces fleurs dont vous connaissez sans doute la signification.

Arthur recula d'un pas... Les yeux baissés, le coeur las et priant le Très Haut qu'Aristote veille sur elle... La suite de la cérémonie allez ensuite continuer...
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Cebyss
La Comtesse posa son regard sur le Comte alors qu’il lui remettait le présent qu’il avait prévu pour elle.

Merci Votre Grandeur…

Elle s’inclina de nouveau et se retira pour rejoindre le fond de la salle et suivre la fin de la cérémonie.

Son regard fut attiré par une chevelure rousse qu’elle aurait reconnue entre mille… mais… était-ce possible… oui c’était bien Fredouille de retour au bercaille… Elle s’approcha pour aller l’embrasser.

Fredouille ma belle ! Si tu savais comme c’est bon de te revoir ici…

Elle alla embrasser la famille Akap qui s’arrondissait… et… Malk !... Avant même qu’il n’ait le temps d’en placer une la brune lui colla une énorme bise sur la joue.

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Ingeburge
Ingeburge n'eut pas besoin de faire glisser son index orné d'une émeraude le long du vélin reprenant l'ordre de passage, elle savait fort bien qui devait être appelé après la comtesse de Minerve qui venait d'être chargée d'un bouquet de fleurs et cette absence de vérification n'était pas dû à sa bonne mémoire, non, mais à bien autre chose. Depuis qu'il était entré, elle pensait, anxieuse, à cet instant où elle devrait l'appeler et où il s'approcherait du trône pour prêter serment, sans qu'elle eût la possibilité de l'interroger, de prendre des nouvelles et s'il lui pardonnait le tour de passe-passe auquel elle s'était, à son cœur défendant, livrée. Elle n'avait pas peur de se trahir, il y avait trop longtemps qu'elle opposait à tous et toutes circonstances un masque de froide hauteur. Ce qu'elle craignait, c'était cette absence de réponse puisqu'elle ne pourrait poser de question là où pourtant elle avait besoin de savoir.

Le doigt blanc glissa sur le parchemin néanmoins, même si elle pouvait et saurait se contrôler il fallait encore et toujours donner le change et de sa voix indifférente, elle dit :

— Que s'avance désormais Sa Seigneurie Actarius d'Euphor, pour les terres du Tournel et de Florac.

A l'intérieur, en revanche, c'était bien autre chose.
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Messager gévaudanais, incarné par Ingeburge
Un messager se présente, aussitôt renvoyé vers un couvent bourguignon où est retirée la comtesse. Dès qu'elle est prévenue, elle donne quelques ordres afin de trouver copie d'un ouvrage qu'elle emballe avec précaution et fait réponse diligente qui sera portée à qui de droit.

Citation:
De moi, Magalona Eufrasia d'Alanha, humble comtesse du Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Mireval et de Marmorières ;

A Vous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, dite
Montjoie, Pair et Roi d'Armes de France ;

Adissiatz !

Votre convocation me trouva retirée du monde pour quelques temps. Je ne puis donc faire le voyage vers le Languedoc pour me trouver présente en personne lors de la cérémonie d'allégeances qui aura lieu. Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour cette absence physique. Je les présente également à Sa Grandeur le Comte du Languedoc, accompagnée de mon respect.

Vous trouverez, jointe à la présente ma lettre d'allégeance envers Sa Grandeur Arthur Cano ainsi qu'un présent le concernant.

Je profite également de la présente pour vous renouveler ma demande concernant vos conclusions concernant ma demande d'échange du fief de Mireval pour celui de Saint Guilhem-le-Désert. En effet, je n'ai eu aucune réponse à ce jour sur ce sujet.

Dans l'attente de votre réponse, je prierai pour que le Très-Haut vous garde.

Écrit et scellé de ma main, à réception de votre missive de convocation, en Nevers, Duché de Bourgogne.


Citation:
De moi, Magalona Eufrasia d'Alanha, humble comtesse du Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Mireval et de Marmorières ;

A Vous, Arthur Cano, Comte du Languedoc ;

Adissiatz !

Par la présente, je renouvelle mon allégeance au Languedoc, comme Père et Mère le firent avant moi pour les terres de Gévaudan, Alaigne et Mireval.

Soyez assuré que je vous reconnais vous, Arthur Cano, comme le comte légitime du Languedoc, par la Grâce Divine et celle des urnes.

Je vous promets ainsi fidélité, conseil et soutien en toute circonstance.

Comme je l'avais annoncé à votre prédécesseur, afin de faire perdurer la coutume qu'avait instaurée feu Rekkared de Sìarr en son temps, puis feu Père, connu sous le nom de LeGueux d'Alanha, je joins à cette lettre un présent à votre intention. Il s'agit d'une copie du « Du bon gouvernement, un miroir des princes » qui, j'en suis certaine, sera pour vous, source d'inspiration inépuisable. J'y adjoins les paroles que prononça Père lorsqu'il l'offrit pour la première fois au comte du Languedoc à qui il prêta allégeance - paroles consignées alors par le héraut de l'époque et dont j'ai pu retrouver copie dans ses affaires :


« Permettez moi, messire Coms, de vous donner un premier conseil de vassal. Lisez attentivement cet ouvrage, il a été le livre de chevet de certains de vos prédécesseurs.

Puissiez vous être plus grand que celui que vous pensez le plus grand. Le secret réside je pense en ne pas chercher à l'être, les clés en sont dans ce livre. »*


Que le Très Haut vous garde.

Écrit et scellé de ma main, à réception de la missive de convocation, en Nevers, Duché de Bourgogne.

Citation:
**


Et de fait, dans le petit paquet recouvert soigneusement, se trouvait l'ouvrage mentionné dans la lettre.

"De la belle ouvrage qu'avaient fait les copistes de Galamus

Les parchemins étaient soigneusement écrits et enluminés, puis les copistes les avaient pliés et réunis en assemblages, cousus ensemble sur des lanières de cuir qui leur servaient de support.
Ensuite les extrémités des supports avaient été lacées le long de rainures creusées dans les feuilles de bois qui formaient la couverture et le dos de l'ouvrage.

La reliure était recouverte de cuir de première qualité, brun, parfaitement tanné.

Le tout avec la plus grande minutie et la plus grande attention que seule la quiétude des gorges permettait d'atteindre." *

Notes :
* © LeGueux
** Non, ceci n'est toujours pas une erreur, mais le document est scellé de cette façon.
N.B. : Il faut considérer la lettre destinée à Ingeburge comme étant un parchemin replié et scellé afin que le contenu n'en soit pas dévoilé. Le tout de telle façon que le parchemin contenant l'allégeance se trouve dans ce pli.
Actarius
Et le Vicomte, qui avait assisté souriant aux échanges précédents et plus particulièrement celui de la blonde Nîmoise, se leva et approcha du Comte. La voix glaciale qui l'avait appelée ne le perturba pas. Il était désormais habitué à ce vent du nord et, quand bien même son coeur fût demeuré indifférent, il ne s'en serait pas alarmé. Elle était ainsi, fidèle à elle-même, impénétrable et froide, ténébreuse et belle. Et ainsi il l'aimait. Son regard ne s'arrêta pas sur elle pourtant, mais vint se fixer sur le clerc devenu Comte. Le temps de renouveler l'allégeance était venu.
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Arthurcano
Le vicomte, son fidèle Pépé, le phoenix des phoenix, un homme appréciait par Arthur depuis leur rencontre récente. Un homme au labeur et donna la force de son être pour son comté, quelque part une forme qu'il connaissait bien...

Ses yeux posaient sur lui, et inversement, Arthur s'avança et lui pris le bras et dis à nouveau les mots coutumiers...


Senher Actarius, pour les terres du Tournel et de Florac, Voulez vous être tout à fait notre Homme ?
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Actarius
Oc, rétorqua un Mendois, toujours bien campé sur ses jambes et tout en lançant un regard farouche au Comte. Farouche car il disait "pas de baiser avec moi, une accolade juste une accolade". Le mystère de ses iris fut-il déchiffré ou non ? Peu importait au final, le Vicomte se prêta de bonne grâce à l'échange physique et ne tarda pas à reprendre la parole une fois celui-ci "consommé".

Moi, Actarius d'Euphor, vous prête serment d'allégeance pour ma Vicomté du Tournel et ma Baronnie de Florac. Je jure solennellement de demeurer fidèle à la Couronne Comtale que vous portez et incarnez ainsi que je l'ai toujours été, de vous apporter mes conseils et mon aide. Soyez assuré que vous trouverez en moi un vassal dévoué à ses terres et au Comté qui l'a vu naître.

Inutile d'en dire plus, le ton de sa voix et ses iris scintillant de conviction suffiraient à faire entendre toute l'importance que portait ce serment pour le Phénix.
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Arthurcano
Le Mendois cherchait il pas son iris si perçant à lui faire passer un message ? Sans nul doute la volonté de se voir remettre le pacte scellé de ses lèvres... Arthur lui sourit comment pourrait il en être autrement avec un fidèle conseiller comme lui...

Il s'avança et scella d'un effleurement de chairs charnues le pacte d'allégeance puis se reculant, il écouta ensuite le phoenix avant de lui répondre...


Senher Actarius, J'accepte votre allégeance et en retour je vous promets ainsi protection, justice et subsistance pour vos terres du Tournel et de Florac.

Il fit alors signe au servant de lui apporter le présent presque double, un livre sur l'histoire du Languedoc et une plume d'Oie afin que d'honorer ses talents d'écrivains...
Et puis pour signer un proche contrat une belle plume comme cela serait nécessaire accompagné d'un bon verre d'Armagnac à n'en pas douter...


Voici pour vous Senher Actarius, que cette plume puisse vous être utile au quotidien de vos lettres professionnelles ou personnelles.

Arthur lui remis son présent et d'un sourire laissa l'homme rejoindre les rangs de la noblesse présente.
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Ingeburge
Les messagers ont toujours le don d'arriver au moment le plus inopportun : quand vous vérifiez vos livres de comptes, quand vous vous apprêtez à déjeuner, quand vous allez prendre votre bain ou quand vous êtes sur le point de vous coucher. Et plus le moment est inopportun, plus ils semblent être disposés à débarquer sans crier gare. Pour une cérémonie d'allégeances, un messager ne tombait jamais – ou rarement – au mauvais moment, il devait venir, signe que celui qui l'envoyait et ne pouvait se présenter en personne, pensait à ses devoirs. Aussi celui qui venait sur les ordres de la comtesse du Gévaudan fut accueilli de manière fort civile et même davantage car il permettait à la duchesse d'Auxerre de ne pas rester comme une bécasse à boire les paroles du vicomte du Tournel. Certes, personne ne l'avait pris en pareille posture mais elle ne cessait de songer que Ça devait se voir comme le nez au milieu de la figure alors que Ça ne devait pas être remarqué. Un miroir aurait pu la renseigner, elle n'arborait pas un air benêt mais voilà, elle ne pouvait se mirer et s'imaginait le pire : l'arrivée du messager fut donc une bénédiction.

L'homme repartit, juste après que l'Euphor se fût détourné, décidément, le premier n'avait pas de problème pour faire ce qu'il faut quand il faut.

Enfin, c'était au suivant :

— Que s'avance maintenant le baron Finubar Anar, pour les terres de Pérignan.
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Finubar
Les dos droit, le manchot avait le regard quelque peu perdu. Il n'entendait rien, ne disait rien, ne regardait rien. Rien que son enveloppe charnelle restait là présente, son esprit lui ne l'était plus. Il était heureux sans l'être, il se sentait différent. Ses pensées vagabondèrent de son ancienne épouse, paix à son âme, au Castel de Pérignan, de la Mission Royale très au Nord, a la Mission en Toulouse. Bref, Finubar revoyait tout ce qu'il avait accompli. Il n'était certes pas seul pour effectuer toutes ses tâches. Ses vassaux, ils les avaient choisi pour leurs qualités à savoir prendre une initiative. Un coup de coude le ramena à la dure réalité.

Profonde inspiration, et voilà le Baron de Pérignan qui s'avance d'un pas régulier, vêtu d'une chemise blanche à col montant recouverte d'une veste rembourrée servant à la ferrailler. Lorsqu'il arriva à portée d'une pichenette de pierre *, il signala sa présence.


-Nous sommes là, Coms!
Son regard fixant droit devant lui le Coms Régnant.



*Allusion à un jet de pierre, mais une pichenette est donc encore plus court;
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Arthurcano
Le tour était celui du Baron Finubar peut bavard mais dévoué à son comté, sa présence en terre Toulousaine fut remarquée et appréciée de part l'action entreprise.

Les deux hommes ne se connaissaient que très peu mais parfois point besoin de mots pour comprendre chacun.

Le baron de ses yeux le fixait preuve d'une certaine assurance, et Arthur soutint le regard en preuve de respect mutuel.

Arthur d'une voix clair dit alors...


Baron Finubar, pour les terres de Pérignan, Voulez vous être tout à fait notre Homme ?
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