Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11   >   >>

[RP] La rue de Traverse.

---fromFRMr_Jourdain
Un jeu avait commencé, jeux de séduction ou simple attrait des écus qu’elle supposait qu’il portait, la donzelle ne serait pas déçue car jamais il ne payait, mais toujours pourtant obtenait ce qu’il voulait.

Elle mettait en avant ses attraits, lui commençait à en sourire, c’est vrai que la gueuze n’était pas vilaine, même plus jolie, des formes agréables et voluptueuses. Il ne savait que penser, la regardant écoutant le bruit de la rue, les autres catins qui avaient l’air d’en découdre pour quelques pas de ruelle.


Bé tu es belle, et la nuit est là, Non ? Alors tu seras, belle de nuit

Finissant sa phrase, il frappa son bâton au sol, comme pour entériner une transaction, un accord passé entre eux, laisser son filet se refermer sur elle, et en disposer à sa guise.

Il ne fallait pas oublier le pourquoi il était là …

_________________
PNJ
---fromFRTenebrella
Tenebrella attendant une réponse du pèlerin qui apparemment n’avait pas tout l’air si sage que cela. Elle le regardait de ses yeux verts perçant avec un regard quelque peu méfiant. Restant souriante, elle essayait de voir ce qui se cacher sous sa cape.

Citation:
Bé tu es belle, et la nuit est là, Non ? Alors tu seras, belle de nuit


Humm, belle sûrement, je suis aux goûts des hommes que l’ont me dit. Hé oui il fait bien nuit. Je vous invite à festoyer cette nuit si particulière à la chaleur de mon corps.

Elle regarda sa proie frapper son vulgaire bâton de pèlerin au sol. Assez contente de n’avoir point perdu son flaire d’homme à croquer. L’accord était alors passer. Un sourire coquin se dessina alors sur son visage, le regard brillant d’avoir enfin un client. Sa main se perdit à son fessier, tâtant ce derrière. Son visage s’illumina et dit tout bas : Hummm juste à point comme je les aiment !
_________________
---fromFRMr_Jourdain
Regards échangés, ainsi que quelques sourires, puis il sent son regard l’étudier, il pressent que l’hameçon s’est accroché, que la dame est prête à être cueillie, puis sa main s’avance, léger sursaut elle lui tâte le fessier, étrange habituellement, ce n’est pas cette partie de son anatomie qui intéressait les dames, mais bon autre village, autres mœurs …

J’te conviens la belle de nuit ?

Lui dit il d’un ton ironique, attrapant son poignet et le serrant légèrement, regard noir dans le sien, augmentant la pression, s’approchant de son oreille, et après l’avoir léché, ajoute

Ou veux tu festoyer la belle, dans la rue entre deux portes, ou tu m’proposes un endroit plus douillet

Laissant glisser les lèvres dans son cou, ajouta

Pas sur que la chaleur de ton corps suffise … à me réchauffer l’âme pour sur … mais si tu arrives à m'apporter du plaisir ce s'ra déjà pas mal !

Il ne cilla pas des yeux, regardant le vert des siens
_________________
PNJ
---fromFRMerodack
Mi-ange Mi-démon a écrit:


Elle lui fît un sourire charmeur après qu'il l'ait réclamé. Mi-Ange lâcha l'étreinte de son amie, dégageant une grande sensualité débordante, s'approcha de l'homme d'une démarche gracieuse et féline, plongea son regard dans le sien une fois devant lui, tout en faisant glisser sa main dans son entre jambe lui rétorqua.[/i]

Alors mon grand ! on a besoin de se soulager ?
Mon amie peut se joindre à nous, si tu as gros appétit. Mais avant toute chose, paye moi en soulageant ta bourse coco.


Lui dit elle en tendant sa main.



Je sentis la paume de cette princesse de la rue caresser doucement mes parties vives, comme un amuse-gueule qui annonce la béatitude. Cette magnifique courtisane mériterait d'être de sang royal! Et certainement que je vais en payer le prix, même si cet argent était normalement réservé à la paroisse des Aristotéliciens du Puy.
Pas grave...je ne suis pas à un péché près! Goutant déjà au plaisir, je lui rétorqua :


Eh bien , fille de joie, annonce moi le tarif, mais je te veux pour la nuit.


Kristen. a écrit:


Kristen rajouta à ceci dans un large sourire sans équivoque à l'encontre du galant:

"Et je me ferai un réel plaisir que de vous servir... Messire..."



Deux filles en même temps ? Soit ce sont des arnaqueuses, soit les demoiselles du Puy sont aussi talentueuses et entreprenantes que les Parisiennes....Mais cette petite me rappelle quelqu'un...
Je lui répondis en souriant aussi "chaleureusement" qu'elle :


Grand joie me fasse ! Mais vous ressemblez à ma petite soeur...

Oh après tout Mérodach, tu n'es vraiment pas à un péché près. Demain tu iras te confesser!

... ce qui rend cette situation vraiment intéressante! Je recquiers également vos vertus, plus on est de fous, plus on rit!
---fromFRTenebrella
Par cette nuit pourtant si fraîche, son corps devient de plus en plus chaud, sa main restant collée à ses fesses.

J’te conviens la belle de nuit ?

Hummmm, si tu m’conviens, j’te l’fais pas dire !

Elle sourit gracieusement, commençant un petit déhancher provocateur. Quant-il lui saisit le poignet en le serrant quelque peu.

Ou veux tu festoyer la belle, dans la rue entre deux portes, ou tu m’proposes un endroit plus douillet

Elle lui répondit :

Doucement messire, si vous voulez une poignée de main, pas de problème mais je préfère les baisers plus brûlants. Pour ce qui est de festoyez c’est où vous voulez, votre endroit sera le mien.

Tenebrella laissa effleurer sa cuisse, glissant ou plutôt dirigeant sa main vers la petite bosse du devant. Mesquine, l’air joviale et déjà comblée de sentir cette bosse. Le beau mal avait l’air bien bâti, il lui tardé de le découvrir pour voir si son torse était tout aussi alléchant que ses fesses. Un frémissement parcouru son échine en le sentant glisser ses lèvres à son cou.


Pas sur que la chaleur de ton corps suffise … à me réchauffer l’âme pour sur … mais si tu arrives à m'apporter du plaisir ce s'ra déjà pas mal !

Pour le plaisir, mon mignon tu en prendras tellement que tu te souviendras longtemps de mon corps et pour sur ! C’est rare qu’on oublie mes atouts si charmeurs.

Le regard envieux, elle restait dans le sien, ses yeux si sombres la faisaient craquer. Elle aimait le noir, les ténèbres, la nuit et l’obscurité. Un doux corbeau vola dans cette nuit glacée s’installant à une branche d’arbre comme pour les espionnés. Elle releva son capuchon par la pluie qui cesser de tomber et révéla son visage. Il était pale, livide. De fins sourcils mettaient en valeur ses yeux verts. Les pommettes rosées et le nez retrousser, elle huma l’odeur de la pluie. Ses lèvres étaient pulpeuses et de couleur rouge sang. Sa longue chevelure noire ébène se fit apparaître. Ainsi elle dévoila son visage au messire.
_________________
---fromFRKristen.
Grand joie me fasse ! Mais vous ressemblez à ma petite soeur...
... ce qui rend cette situation vraiment intéressante! Je recquiers également vos vertus, plus on est de fous, plus on rit!


Bien que ce début de phrase aurai put la froisser, Kristen esquissa un demi sourire coquin sur la fin, car son "âme" d'enfant, il y avait déjà bien longtemps qu'elle l'avait perdue... et quand à ses vertues... elles sont multiples...
Elle aima particulièrement la prose employée, non dénuée d'un certain raffinement qui lui changerai des cagots et pochards du coin.

Kristen lui enjoignant un signe de tête satisfait ainsi qu'un sourire enjôleur lui répondant:


"Huummm de la folie... que de promesses alléchantes... et sachez qu'avec moi c'est satisfait ou rembourser... quoi qu'on ne pourra "rembourser" qu'une des deux formes de liquides.... "

Kristen éclata d'un rire spontané puis rajouta:

"De plus je rajouterais sans prétentions que je serais encline à plus de choses que votre soeur, quoi que je ne la connait pas... Je n'ai encore jamais déçue et de plus je laisserais Mi-ange ouvrir la danse en temps que "Maitresse de cérémonie" et saurai le moment venu "apporter mon soutien"... selon vos désirs il en va de soi..."

Les désirs des hommes, elle les connaissaient au mieux et savais les assouvir...

Puis se rapprochant de Mi-ange, toujours son sourire aux lèvres, elle la regarda tout en se disant qu'elle avait finalement eue raison de détourner ses pas et de ne point rentrer si tôt... cette nuit semblait prometteuse de nombreux délices...


---fromFRMi-ange Mi-démon
Kristen éclata d'un petit rire cristallin en secouant la tête suite à ce qu'elle venait de dire. Suite à la réplique avec son futur client, invitant son amie à partager avec elle le plaisir de la chair. Mi-Ange respectait les filles qui exerçaient son métier. aucune ne s’aventurait à dérober le client d’une autre. Elles pouvaient parfois poireauter la moitié de la nuit sans ramener grand-chose. Pour cela qu'elle voulait faire participer Kristen, pour qu'elle se fasse un peu d'écus. Les hommes étaient fascinés de tout temps par les filles de joie.

Un homme à la cape rouge, identique à celle de la belle brunette ténébreuse, venait louer ses services. Mi-Ange vit le geste de ce pèlerin attrapant son poignet et le serrant . Cela ne lui plu guère, mais bon elle se tut, sachant très bien les risques du métier. Elle espérait qu'une chose, c'est que la mignonnette soit armée comme elle. On ne savait jamais sur qui on allait tomber. Elle fût revenu au présent, lorsque son futur client demanda le tarif et parla à Kristen.


Hummmm! tu veux mon amie et moi pour la nuit qui plus est, tu as l'air d'avoir les bourses bien remplies à tout point de vu, dis toi bien aussi, que le tarif semble cher, mais que la prestation sera à la hauteur, donc tu me donnes 50 écus et tu payes la chambre.
Je suppose mon grand, que ta partenaire te refuse certains ébats pour venir nous voir et satisfaire ton besoin en nous payant.


Lui dit-elle en souriant malicieusement, en ouvrant lentement sa cape, la descendant doucement, découvrant une épaule, puis l'autre, d'un professionnalisme étonnant, tournant le dos, laissant glisser le vêtement, avant de pivoter vers lui en gonflant ses seins et en tortillant les hanches, lui demanda:

"Alors chéri suis-je à ton gout ?"
_________________
---fromFRMr_Jourdain
Il vit alors le regard vert de la donzelle changé, lire la peur, l’anxiété dans son regard, cela lui réchauffait le corps, il sentait le désir monter en lui, il savait qu’il allait la posséder à sa manière, lui laisser à jamais, un souvenir de sa rencontre, mais pour l’heure il se devait de faire bonne figure, le filet se refermait doucement, tout doucement. Telle une araignée qui tisse sa toile, bientôt elle serait emprisonnée.

Puis il sent sa main, glisser sur son intimité, réaction de son corps, durcissement, sourire sur le visage, léger relâchement de son poignet, baissant le visage


Pas de promesse belle de nuit, tu me chauffes … mais j’espère que tu sauras assurer, j’ai grand appétit !

Jetant sa bouche sur ses lèvres, l’embrassant à pleine bouche, point de douceur dans cela, juste du désir, se satisfaire avant tout …

J’connais point le bled, alors trouves nous un endroit ou entre deux portes, je m’assouvirai

La donzelle avait du charme, il rêvait déjà de son stylet se promenant sur elle, guidé par sa main experte, tracer quelques sillons sur sa chair, tout en la caressant de l’autre main
_________________
PNJ
---fromFRMordric
Ignorant ce qu'il se passait a quelques mètres de sa maison, Mordric attendait.
Assis dans l'ombre offerte par une ruelle du quartier des pêcheurs, il pensait a cette voix chaude et sensuelle qu'il avait entendu un peu plus tôt.
Voila bientot deux semaines qu'il n'avait pas honoré une femme, ses braies s'affolaient à la simple vue d'une donzelle à peine affriolante.
La nuit suivante, il la chercherait et l'entrainerait dans sa demeure. Une fille de son espèce ne se choquerais pas de son état insalubre.
Peut-être même en ferait-il sa régulière.
Il avait tout a recommencer ici, trouver des filles, quelques hommes de main et il lui faudrait un bras droit aussi. Un homme de confiance qui puisse se salir les pattes à sa place.
Il n'avait qu'une hâte, être au lendemain soir et s'adresser à ces mécréants comme il le souhaitait.

Il attendit ainsi, caché par les ténèbres de cette rue pendant quelques heures.
Le soleil était loin de se lever encore quand il vit les premiers poissonniers installer leur étales. Il quitta son ombre adoré, d'un pas silencieux. Sa capuche lui couvrait le visage, laissant apparaitre seulement ses lèvres.
Il s'approcha d'un des commerçants qui lui tournait le dos, plus discret qu'un chat et lui tapota doucement sur l'épaule.


Bonjour a vous messer... dit-il dans un sourire amusé par le volte face rapide de l'homme.
J'aurais besoin d'une commande assez spéciale... Mais j'ai de quoi vous payer et plus que bien...
Il sortit une main par l'entrebâillement de sa cape et lui montra une bourse gonflée par les écus.
Bien sur je ne ferais pas que vous acheter de la marchandise, j'ai grand besoin de discrétion aussi.

Il lui sourit, tentant de se montrer aussi enjôleur que possible pour le rassurer. Il se rapprocha de lui ensuite, assez près pour rendre le pauvre pêcheur mal à l'aise et lui murmura ce que pourquoi il était venu.
Une fois que son interlocuteur ait réussit à lui confirmer qu'il avait bien compris ses désirs, il se recula, souriant de plus belle et lui tendit la bourse.


Voilà pour toi. Mais ne t'amuses pas à me rouler... D'autres avant toi s'en sont mordus les doigts et ce n'est pas une figure de style.
Je repasserai te voir cet après-midi.


Il se retourna ensuite, drapé dans sa cape et reprit le chemin de sa maison, longeant les murs, recherchant l'obscurité, ce cocon dont il avait du mal à se séparer.
Arrivé sur la Grande Place du village, il s'approcha de deux corps couchés a terre. Deux pauvres hères apparemment sans logis et n'ayant pas vu un baquet depuis longtemps à en juger par l'odeur.
Hésitant presque à les toucher de peur qu'ils ne s'agissent de cadavres, il les réveillât en les secouant d'un coup de botte sur l'épaule.


Mes amis! leur souffla-t-il.
Réveillez vous, j'ai du travail pour vous.
Il sortit deux pièces d'un écu de sa cape, les faisant briller sous la lueur de la lune devant leurs yeux.
Dix autres pour chacun si vous me rendre un service.
Il prit le temps de les regarder, miteux, l'air presque cadavérique et leur sourit. Il était rare qu'il éprouve de l'affection pour des êtres humains, sauf pour ces miséreux, prêt a trancher des gorges pour une miche de pain.
Cette engeance là lui plaisait.

Parcourrez les rues sombres, les tavernes douteuses et autres recoins où se trouvent les vermines de notre genre. Je les veux tous, catins, assassins, voleurs... Toutes les crapules du Puy. Dites leur de venir la nuit prochaine à la rue de Traverse. Dites leur que Mordric à des choses à dire...

Il leur posa ensuite les pièces dans leurs mains, souriant en pensant que leur regarde ne les avait pas quitté un seul instant. Ces angelots ponots se voulaient parfaits, mais cela devait faire longtemps qu'aucun d'eux n'avait donner a ces miséreux.
Tant pis pour eux, bientot ces miséreux là prendront directement dans leurs bourses.
Il se retourna, ne prêtant déjà plus attention aux deux pauvres bougres qui ne savaient toujours pas s'ils rêvaient où non et s'engagea dans une ruelle sombre, regagnant sa maison pour dormir quelques heures...

_________________
PNJ
---fromFRMerodack
Kristen. a écrit:


"Huummm de la folie... que de promesses alléchantes... et sachez qu'avec moi c'est satisfait ou rembourser... quoi qu'on ne pourra "rembourser" qu'une des deux formes de liquides.... "


"De plus je rajouterais sans prétentions que je serais encline à plus de choses que votre soeur, quoi que je ne la connait pas... Je n'ai encore jamais déçue et de plus je laisserais Mi-ange ouvrir la danse en temps que "Maitresse de cérémonie" et saurai le moment venu "apporter mon soutien"... selon vos désirs il en va de soi..."



Ma soeur travaille dans le harem d'un sultan ottoman, me semble-t-il...mais là n'est pas là question ! Satisfait ou remboursé vous dites ? Je ne suis point un bougre qui exige qu'on lui rende la monnaie. Si vous souhaitez tant vous débarrasser de l'argent, donnez le à la paroisse. Un saint n'a-t-il pas dit "si tu peux t'offrir de la vaisselle d'argent, tu peux bâtir un hotel-dieu" ?

Je cessais ma diarhhée verbale pro-cléricale quand j'entendis l'autre fille de joie m'adresser la parole sur un ton extrêment sensuelle. je me tournai vers elle et constata qu'elle était déjà prête pour une longue cavalcade...


Mi-ange Mi-démon a écrit:
Hummmm! tu veux mon amie et moi pour la nuit qui plus est, tu as l'air d'avoir les bourses bien remplies à tout point de vu, dis toi bien aussi, que le tarif semble cher, mais que la prestation sera à la hauteur, donc tu me donnes 50 écus et tu payes la chambre.
Je suppose mon grand, que ta partenaire te refuse certains ébats pour venir nous voir et satisfaire ton besoin en nous payant.


"Alors chéri suis-je à ton gout ?"


50 écus dit-elle ??? Bénies soient les provinciales et les mères qui les ont mis au monde !!! Cette splendeur divine ne sait surement pas qu'à Paris, on paye des laidrons à ce tarif !!! Oh mon dieu! Merci d'avoir guider mes pas jusqu'ici!

50 écus...je suppose que c'est la même somme pour votre compagne...Un peu cher, mais ce serait péché que de vous refuser toutes deux !
Allez ! Allons nous mettre à l'abri ! Déjà que c'est humide ici, je commence vraiment à avoir chaud


Je repensais à la phrase de la merveilleuse brune : "Je suppose mon grand, que ta partenaire te refuse certains ébats pour venir nous voir et satisfaire ton besoin en nous payant". Elle n'était pas loin du mille ! C'est vrai que personne n'a pu retrouvé son corps....

AHAHAHAH! Montons, montons!

Ce soir je suis au service du diable.
---fromFRMi-ange Mi-démon
Avec sensualité, totalement libre dans sa nudité, elle jouait de son corps comme d'un instrument au service d'une partition endiablée, tout en écoutant cet homme qui répliquait à son amie Kristen. Une fois attentif aux paroles et à la vue de Mi-Ange, séductrice jusqu'au bout des ongles, jouant de son corps telle une prédatrice pour qui la séduction est un hymne à la beauté, ne pouvait laisser de marbre tout homme normalement constitué.


Ayant capturé Irrésistiblement son attention, appréciant de la voir se mouvoir pour mettre en valeur ses atouts, dévoilant ses jambes interminables aux cuisses longues, à la fois fines et musclées, la douceur de ses courbes allant de la rondeur de ses fesses au galbe de ses seins, pour vendre son corps au plaisir de cet homme, celui-ci rétorqua, au tarif annoncé de la belle:


50 écus...je suppose que c'est la même somme pour votre compagne...Un peu cher, mais ce serait péché que de vous refuser toutes deux !
Allez ! Allons nous mettre à l'abri ! Déjà que c'est humide ici, je commence vraiment à avoir chaud Wink


Oui 50 écus chacune, le prix vaut bien la qualité non ?


Dit elle en lui jetant un regard de braise prometteur. De ses lèvres pulpeuses, elle ajouta :

Les jeux de l'amour n'ont aucun secret pour nous, mais avant tout, envoie la monnaie et partons à l'auberge...
Tu vas obtenir un cocktail enivrant, nous sommes d' un tempérament de feu, nous te ferons un cocktail détonant à t'allumer et éteindre ta mèche ! Mon tout beau.
Nous sommes très joueuses, il te faudra gérer la situation
Nous allons t' accompagner aux portes du plaisir...


En attendant qu'il paye, elle s'approcha de la porte cochère, glissa sa main entre deux pierres et tira son stylet, qu'elle glissa dans la poche de sa cape ...
_________________
---fromFRKristen.
Ma soeur travaille dans le harem d'un sultan ottoman, me semble-t-il...mais là n'est pas là question ! Satisfait ou remboursé vous dites ? Je ne suis point un bougre qui exige qu'on lui rende la monnaie. Si vous souhaitez tant vous débarrasser de l'argent, donnez le à la paroisse. Un saint n'a-t-il pas dit "si tu peux t'offrir de la vaisselle d'argent, tu peux bâtir un hôtel-dieu" ?


Plus l'homme progressait dans son discourt et plus le visage de Kristen s'illuminait d'un sourire grivois, car il était sûr qu'elle n'aurai pas envie de ce délester d'une telle somme, et dans tous les cas le client en aurait pour son argent... c'était même plus que certain... Dix-huit printemps sur cette terre, qui la menèrent de la frontière Alsacienne du Saint Empire Germanique, que son petit accent gutturales trahissait parfois lorsqu'elle était nerveuse ou troublée, jusqu'aux confins du Languedoc ou longtemps elle erra jusqu'à s'installer ici, au Puy, vivant de ce qu'elle savait le mieux se servir.... elle lui rétorqua avec douceur:

"Je ne pense pas qu'il serai nécessaire de me débarrasser d'une telle somme, bien que je prenne du plaisir à mon métier.... bien qu'il subvienne à tous mes appétits, c'est avant tout lui qui me permet de me sustenter..."



Hummmm! tu veux mon amie et moi pour la nuit qui plus est, tu as l'air d'avoir les bourses bien remplies à tout point de vu, dis toi bien aussi, que le tarif semble cher, mais que la prestation sera à la hauteur, donc tu me donnes 50 écus et tu payes la chambre.
Je suppose mon grand, que ta partenaire te refuse certains ébats pour venir nous voir et satisfaire ton besoin en nous payant.


"Alors chéri suis-je à ton gout ?"



Pour Kristen c'était certain, déjà, car elle aurait bien aimée être aussi gatée par le Seigneur de lui avoir octroyée de tel "arguments"... et malgrès son déhanché lascif, son poids porté sur une jambe tandis que l'autre jouait de son talon au sol, la cuisse glissant de gauche à droite, lentement, sous l'étoffe de sa juppe, mais toute l'attention de ce belle homme était reportée sur Mi-ange...

50 écus...je suppose que c'est la même somme pour votre compagne...Un peu cher, mais ce serait péché que de vous refuser toutes deux !
Allez ! Allons nous mettre à l'abri ! Déjà que c'est humide ici, je commence vraiment à avoir chaud




Kristen pensa en elle:

*Un péché que de nous refuser toutes deux? Mais mon tout beau... je risque de t'en faire faire plein des pêchés... et avec délectation en plus...*

Puis, écartant les pans de sa cape et de sa pellisse toutes deux rouge bordeau, elle plaqua son poing sur sa hanche et scrutat le galant d'un regard laissant entrevoir ses motivations...



Oui 50 écus chacune, le prix vaut bien la qualité non ?

AHAHAHAH! Montons, montons!


Presque inconsciemment, Kristen se crispa légèrement à l'intonation de ce rire mais n'y prêtant pas plus attention que cela, elle continuait de jouer du bout des doigts avec son porte-bonheur dans sa poche de cape, sachant qu'il ne lui arriverai rien...


Les jeux de l'amour n'ont aucun secret pour nous, mais avant tout, envoie la monnaie et partons à l'auberge...
Tu vas obtenir un cocktail enivrant, nous sommes d' un tempérament de feu, nous te ferons un cocktail détonant à t'allumer et éteindre ta mèche ! Mon tout beau.
Nous sommes très joueuse, il te faudra gérer la situation
Nous allons t' accompagner aux portes du plaisir...


L'idée de "collaborer" avec sa complice de travail était déjà alléchante, mais rien qu'a l'idée se rallumer sa mêche éteinte pour la souffler de nouveau mettait l'eau à a bouche de Kristen.... elle allait s'en donner à coeur-joie cette nuit...

---fromFRMerodack
Les jeux de l'amour n'ont aucun secret pour nous, mais avant tout, envoie la monnaie et partons à l'auberge...
Tu vas obtenir un cocktail enivrant, nous sommes d' un tempérament de feu, nous te ferons un cocktail détonant à t'allumer et éteindre ta mèche ! Mon tout beau.
Nous sommes très joueuse, il te faudra gérer la situation
Nous allons t' accompagner aux portes du plaisir...



Cocktail enivrant...en effet la brune avait réussi à allumer, la mèche mais maintenant c'est la blonde qui m'envoit suffisamment de chaleur sensuelle pour mettre le feu à mes braies....

Je payais ces damoiselles : 50 écus l'une, 50 écus l'autre, et pourquoi pas un pourboire si leurs chevauchées fantastiques sont à la hauteur de leurs promesses exhibées.
J'entrai dans l'auberge, suivi des deux catins qui n'en demandaient pas tant. Le patron était endormi sur une table, deux autres ivrognes comataient.
Je frappai du poing sur le bois où reposait l'aubergiste.


Ola manant! Je veux ta meilleure chambre, ainsi que du vin, de la bière et une corbeille de fruits. Tu nous monteras tout ça.
Je vais être clair avec toi. Je vais faire jouir ces deux dames et tes clients vont entendre crier dans tout ton établissement. Je paye pour le dérangement. Mais s'il y en a un seul, ou même toi, qui vient nous déranger à cause du bruit qu'on va faire, c'est simple, je l'éclate. Compris le bouzeux ?


Je payais l'aubergiste, qui était dans le pâté mais semblait avoir compris le message, vu le teint translucide qu'il affichait. Il nous indiqua la piaule et s'empressa de nous chercher l'alcool et les fruits.

Va dans la paix d'Aristote, mon frère.

J'allais en oublier les fondamentaux de la foi...
J'ouvris la porte aux deux catins et les laissa s'installer dans la chambre...
---fromFRMordric
Il venait de rentrer dans sa masure, dehors le calme était revenu, il entendait bien encore quelques voix.
Des catins négociant leurs passes pensa-t-il.
Lentement, il se débarrassa de sa cape qu'il jeta négligemment sur le fauteuil. Cet après midi il agirait au grand jour, plus besoin de discrétion.
Il fit craquer les os de ses mains, puis de son dos en s'étirant. Il était calme, tranquille, il se sentait étrangement bien. La vie ici s'annonçait bien, peut être même y resterait-il.
Tout en prenant son temps, il traversa la pièce pour rejoindre la vieille malle qui contenait ses affaires.

Elle n'était pas très remplie.
Quelques bourses pleines d'écus, qui lui auraient permis de passer de longs mois dans un luxe non négligeable, s'il n'avait pas eu d'autre projets.
Quelques habits, plus ou moins sobres. Chacun ayant son utilité.
Quelques armes, de toutes sortes, dagues, épées même une arbalète.
Au fond sous les habits se trouvaient une pochette, contenant quelques instruments dont il aimait se servir. Il torturait peu, mais il n'avait rien contre de temps a autres. Il y prenait goût même...
Quelques fioles retenues dans une petite boite ouvragée contenaient du poison. Il aimait ces poisons, capables d'éliminer les obstacles le plus simplement possible.
Voilà les seuls biens qu'il avait. Les seules choses dont il avait besoin.

Il examina les vêtements jetés en boule ici et là, il voulait se faire plus que remarquer. Il voulait qu'au moindre coup d'œil les gens se retournent.
Son excentricité et sa mégalomanie lui avaient valu parfois des situations coquaces. Défiler dans des rues habillé de velours ou dans d'autres étoffes plus brillantes n'étaient pas toujours courant!
Son choix fait il les referma la malle et les posa sur le couvercle.
Maintenant il lui fallait calmer cette excitation qui était a deux doigts de lui faire danser la gigue au milieu de la pièce. Il devait se reposer pour être au mieux de sa forme.
Il s'installa dans son fauteuil, toujours plongé dans cette obscurité qu'il chérissait et attrapa une bouteille d'hydromel qu'il avait acheté quelques jours plus tôt.
Il n'y restait que quelques gorgées qu'il s'empressa de boire. Le nectar coulait dans sa gorge, lui apportant un léger tournis grisant. Mordric se lécha les lèvres, récupérant ainsi quelques gouttes de nectar qui y perlaient.
Il ferma ensuite les yeux, laissant ses souvenirs errer a leur guise, se rappelant les catins qu'il avait connu, ses moments de richesses...
Petit à petit il se laissa entrainer dans un sommeil profond remplis de rêves de fortunes et de gloires...

_________________
PNJ
---fromFRMi-ange Mi-démon
[A l'auberge, dans la chambre ]

Mi-Ange, était une jeune femme bien attirante, mais qui n'avait jamais froid aux yeux... Jamais elle ne s'aventurait sans son stylet. Des malades elle en avait rencontré dans son métier. Chaque jour lui réservait son lot de surprise… Enfin son client se décidait à payer. Ils partirent donc tout les trois, direction l'auberge, laissant le groupe devant la maison abandonnée. Ils disparurent bientôt, au premier détour du chemin. Le trio aperçurent alors une lumière au loin et bientôt ils se trouvèrent devant l'auberge, entrèrent et se dirigèrent vers le tenancier qui c'était assoupi à une table, suite à l'épuisement d'une journée bien chargée, ou lui même chargé d'alcool. Celui ci avait un visage buriné, à la barbe abondante. Lorsqu'il fût réveillé par le coup de poing si fort sur la table et qu'il ouvrit la bouche, l’odeur de son haleine confirmait la seconde hypothèse.


- Qu’est-ce que vous désirez ?

Lança-t-il. Aussitôt Merodack répliqua:

Hola manant! Je veux ta meilleure chambre, ainsi que du vin, de la bière et une corbeille de fruits. Tu nous monteras tout ça.
Je vais être clair avec toi. Je vais faire jouir ces deux dames et tes clients vont entendre crier dans tout ton établissement. Je paye pour le dérangement. Mais s'il y en a un seul, ou même toi, qui vient nous déranger à cause du bruit qu'on va faire, c'est simple, je l'éclate. Compris le bouseux ?


Mi-Ange eut un petit sourire au coin des lèvres, un tantiné malicieux, en entendant celui ci se vanter de son endurance. Ils montèrent les escaliers se dirigèrent vers la porte de la chambre. Sans perdre de temps, ils entrèrent dans la chambre éclairée par la lune, celle-ci était plutôt petite, mais elle était surtout encombrée par deux grands lit et deux commodes. Des deux lits, l'homme n'en fît plus qu'un. Ils entendirent frapper à la porte, à coups redoublés. Sur le seuil se trouvait le tavernier avec dans la corbeille de fruits et les bouteilles. Il prit le tout et ferma la porte. Mi-Ange retira sa cape, d'où la pluie s'égouttait encore, tandis que ses cheveux descendaient nonchalamment jusque dans le bas de ses reins, laissa tout le loisir à cet homme, d'admirer sa nudité. Elle prit une grappe de raisins aux grains gonflés, à la peau tendue par le suc, plaça un raisin entre ses dents sensuellement et regarda son client d’un air provoquant tout en s'installant sur le lit, puis fît comprendre à Kristen, de venir chercher dans sa bouche le grain, histoire de mettre en appétit celui qui venait de les payer...

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)