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[RP] La rue de Traverse.

---fromFR☼stingmat
De passage par Le Puy ☼Stingmat☼ se sentit attiré par cette rue sombre dont le lumière du jour filtrait à peine seul quelques vagabonds, fille de joie et âmes en peine y rodaient .

Couvert de poussières et crasseux depuis son départ de Tulle, il se mêla à ses pauvres ères se sentant comme chez lui parmi cette populace des bas fonds, en lui on ne distinguait rien seul ses yeux bleu azur brillaient de temps en temps sous un ray de soleil
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---fromFRKristen.
[A l'auberge, dans la chambre ]



Tous trois marchaient sur les pavés froids et ruisselants en direction de cette finalité si éxitante aux yeux de Kristen... mêler plaisirs et travail est chose rare... Kristen tenait de ses mains les rebords de la capuche de sa pellisse rouge sombre sur laquelle cette fines pluie nocturne venaient glisser le long. Une lumière au loin... l'auberge... à travers des fenêtres de laquelle brillaient quelques lueurs transparaissantes au delà du tissu des rideaux.

Le groupe pénétra dans les lieux. Kristen en dernière s'empara du lourd anneau de la porte et la referma rapidement derrière elle, interrompant l'entrée du souffle frais venant de l'extérieur. Tout en enlevant sa capuche, dévoilant la blondeur de ses cheveux sur lesquels jouait les reflets des torches accrochées au murs, elle sentit une très légère odeur de vinaigre, synonyme d'une ancienne chopine renversée, qui lui fit froncer les sourcils, espérant que les chambrées ne sentent point la vieille liqueur séminale...

Ne lançant qu'un regard à travers la salle, réservant ses "Bonsoirs" à ses clients... elle sursauta brièvement à la frappe du poing sur la surface de bois puis sourit malicieusement en pensant que son futur client devait se sentir languir d'une quelconque attente... déjà il invectivait copieusement le tenancier... cela promettait moults fougues...

Tout en déboutonnant sa pellisse, Kristen les suivie tous en dévorant des yeux le joli fessier de leur client, espérant que ses coups de reins vaillent le cout du déplacement, mais qu'importe finalement, les Ecus seraient là...
Tous trois escaladèrent l'escalier de bois, ponctuant chacun de ses pas du bruit de ses talons de bottines résonnant fermement sur la surface des marches.
Entrant dans la chambre, elle ouvrit largement les pans de sa cape et la fit sécher en la pendant au crochet mural du porte-mantel, puis lentement, se débarrassa de sa pelline qu'elle posa négligemment sur le dossier d'une chaise voisine. Pendant ce temps, leur fougueux client avait déjà "improvisé" l'espace orgiaque qui promettait de souffrir de tumultueux ébats...

entendant frapper à la porte, Kristen tourna vivement la tête et vit sur le seuil le tavernier apportant la corbeille de fruits et les bouteilles. Le client prit le tout et ferma prestement la porte au nez du tenancier... Kristen retint un petit gloussement de satisfaction devant tant d'ardeur déployée... ça promettait pour la suite...

...suite qui d'ailleurs commença sur le champs par la nudité dévoilée par Mi-ange, se délestant de sa cape humide et la faisant sensuellement glisser sur ses épaules, laissant les courbes de son corps en proie au regard gourmand de leur client... bel avant gout tout aussi bien pour lui que pour Kristen dont les formes féminines de Mi-ange attisait tout autant son penchant pour la luxure... Cette dernière plaça un grain de raisin entre ses dents, souligné de la pulpe de ses lèvres appelant à la gourmandise et s'installant sur le lit, assise, elle fit comprendre à Kristen de venir l'y chercher... chose que celle-ci fit en se dirigeant d'un pas lascif vers sa complice du moment, lui enjoignant un sourire coquin et s'assaillant en travers sur ses genoux, glissant ses doigts dans la soie des cheveux de Mi-ange et goutant ses lèvres sensuelles au possible, avalant ce "prétexte" de baiser et liant sa langue à la sienne, se cherchant, s'évitant, tournoyant dans un enivrant balai de mouvement humides...

Interrompant son baiser au bout d'un temps si court car si délicieux... Kristen se relevant et jeta un regard sans équivoque à son client lui dressant un large sourire, délassant patiemment le haut de son chemisier d'un blanc immaculé, faisant glisser les fins cordons de cuirs un a un, lentement, faisant croitre la douce tension au sein des braie de l'homme lui faisant face, puis l'ôtant d'un geste sensuel et délicat laissant apparaitre sa peau aussi blanche que les premières neiges de sa Germanie natale... abandonnant ses courbes au regard avide la parcourant, Kristen entreprit ensuite le délassage de sa juppe gris sombre, passant ses deux mains dans son dos, à la naissance de ses reins, et tout aussi méthodiquement, elle retira les liens retenant cette étoffe devenue superflue à présent...

La jupe glissa tout le long de la peau satinée des cuisses de Kristen, dévoilant en totalité son corps... tel un met savoureux qu'une hôtelière présente à un client insatiable de délices... La belle Germanique se dirigea alors lentement vers la grappe de raisin et en prit un grain à son tour, le plaçant tout comme Mi-ange entre ses dents, elle fit face à son client, plaça ses points sur sa taille, et en un geste fripon, elle tendit son menton vers lui tout en laissant apparaitre un sourire espiègle sur ses lèvres...


---fromFR☼stingmat
Des heures durant ☼Stingmat☼ avait arpenter les rues de Tulle en quête de renseignements, mais les catins qu'ils avaient croisé était restée bouche cousue .

☼Stingmat☼ quitta cette rue et alla rechercher sa monture pour reprendre sa route, laissant place à une nouvelle nuit de débauche qui s'annonçait
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---fromFRTenebrella
Citation:

Pas de promesse belle de nuit, tu me chauffes … mais j’espère que tu sauras assurer, j’ai grand appétit !


T’inquiètes pas pour ça mon mignon, je suis aussi bonne à regarder qu’a posséder, ton appétit sera sans doute de trop, tu sera repu avant d’en avoir fini !

Il se jeta alors sur ses lèvres, il l’embrassa à pleine bouche, sans douceur, comme elle aimait, la force et le désir, pas de tendresse ni de douces caresses. Que du sexe, du plaisir, du désir et encore du sexe ! Elle lui rendit un baiser tout aussi désirable que le que le sien. Elle passa une main dans ses cheveux, recoiffant sa tignasse qui commençait à gonfler par l’humidité de la pluie. Ses bouches charnues et sensuelles en demandaient plus mais il s’arrêta pour commencer une nouvelle phrase :

Citation:
J’connais point le bled, alors trouves nous un endroit ou entre deux portes, je m’assouvirai


Je connais bien un endroit, une auberge où c’est plutôt le repère des femmes comme moi !
Si tu veux aller ailleurs, entre deux portes comme tu dis y’a pas d’problème, mais j’pense pas que les Ponots veulent nous entendre en pleine nuit !

Elle le regarda, attendant une réponse en remontant son corsage qui lui fit gonfler sa poitrine déjà très généreuse et attirante. Elle souleva la fente de sa robe un peu plus pour se caresser la cuisse. Elle passa sa langue sur sa lèvre inférieure comme avec une envie de lui. Elle tourna sa tête voyant qu’ils n’étaient plus que tous deux. Les autres catins avaient du partir durant leurs paroles échanger. Elle se dit qu’elles avaient du partir à la fameuse auberge avec leur client.

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---fromFRMerodack
Le tavernier était à peine parti que la Brune commençait à dévoiler sa nudité. Elle saisit une grappe et...Oh! Que j'aimerais être un grain de raisin! Mes deux compagnes s'échangèrent le fruit lors d'un baiser long et langoureux qui ne me laissait pas sans effet. Je ne sais quelle mante religieuse l'a finalement dévoré.

La blonde avait un très fort appétit apparemment. Elle prit le temps de se déshabiller devant moi, retirant gracieusement son chemisier puis sa jupe, tout en m'aguichant du regard. Elle offrit à ma vue bienheureuse (rupture nette de l'iris) sa nudité qui rendrait assurémment jalouse une Vénus que peindra plus tard Tiziano Vecellio. Elle coinça entre ses dents un autre grain de raisin - oh! que j'aimerais être un grain de raisin - et m'invita à aller le chercher.

Je me penchais sur elle pour lui offrir un baiser qu'aucun villain de son bled ne lui avait jamais donner : je glissais ma langue au plus profond de sa bouche, tout en dévorant ses lèvres rougies de plaisir, faisant durer le moment jusqu'à l'asphyxie, puis ressortit le grain pour le dévorer avec délice, douce métaphore des plaisirs à avenir.

Je me dégageais ensuite de cette étreinte pour me désaper. Ma chemise une fois retiré dévoilait un torse abimé par des années de délinquance. La marque rouge au niveau de mes côtes droites était encore vive.

Je détachais ensuite de ma ceinture le hachoir qui servait à trancher la justice d'Aristote. Un mince filet de sang avait séché sur la lame. Je devrais apprendre à être plus propre. Je déposais mon arme sur la table, saisit la bouteille de vin et versa le liquide violacé dans trois coupes, que je servis ensuite aux deux catins ainsi que pour moi-même. Ce sera notre "bonne-volonté". Je levais mon verre pour célébrer notre "nuit folle". Et je déposais à chacune des filles un baiser aussi fougueux que le premier.
Ceci me permit de vérifier la température : on est au Purgatoire, il n'y a plus qu'à ouvrir la porte...
---fromFRMi-ange Mi-démon
[A l'auberge, dans la chambre ]

Nous nous jaugions silencieusement du regard pendant quelques secondes, les yeux dans les yeux, sans sourciller. Ce rapport de force de quelques secondes lui suffirent à cerner leur client. Elle le voyait soit: violent dangereux ou miséreux sexuel. L’ homme était venu consommer des plaisirs tarifés. Aguichant, allumant, excitant gentiment la belle, elle avança ses lèvres pour que Kristen puisse saisir le raisin mûr dans sa bouche, qu'elle prit entre ses lèvres et l'aspira lentement. Les mains de la belle, dans sa chevelure, la fît frissonner, puis s'embrassèrent dans un baiser voluptueux, avant que Kristen, ne décide de s'occuper de leur client.

La belle commença un strip tease langoureux, avant de se retourner vers la coupe de fruits et glisser entre ses lèvres pulpeuses comme un fruit mur, la promesse de l'amour, un grain de raisin, invitant son client, à venir le récupérer. Puis il se dévêtit à son tour. Mi-Ange le voyant faire, ne put s'empêcher de dire:

Quel mauvais strip tease, cher Messire.
Tu manques sans conteste de cette sensualité torride qui fait émoustiller les femmes, mais ta maladresse me plaît finalement…
Tu es bel homme tu sais. A croquer….

Lui dit elle souriante, un brin moqueuse. Son visage se ferma en voyant le client déposer un hachoir sur la table, souillé d'un mince filet de sang qui avait séché sur la lame. Elle regarda sa cape sur le lit, et la ramena près d'elle, de façon à avoir la poche contenant son stylet, à portée de main. Celui ci une fois dénudé, fît le service, remplissant trois coupes de vin, trinquant "A leur nuit folle". Celui voulut embrasser Mi-Ange après avoir biser Kristen, mais celle-ci le repousse lui annonçant:

Une prostituée n’embrasse pas. Tu peux faire tout ce que tu veux avec moi! Mais... tu ne m’embrasses pas petit mec ! les baisers sont réservés. Propriété privée défense de pénétrer.
Dit elle avant de s' allonger sur le lit à plat ventre, agitant ses pieds en l’air comme pour battre la mesure et donner le tempo.
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---fromFRKristen.
[A l'auberge, dans la chambre ]

L'homme se dirigea vers Kristen pour venir gouter la saveur de ce grain de raisin et ses lèvres... l'étreignant par la taille il lui administra un langoureux baiser tandis que Kristen lui passa les bras dans le dos afin de l'étreindre par les épaules, rajoutant d'elle même de la fougue à ce torride baiser et plaquant sa poitrine contre son torse, sentant à travers le tissu sa respiration et la chaleur de son corps l'envahissant peu à peu... et le Messire semblait gourmand, ne lui laissant même pas le loisir de déguster le grain de raisin...
Le client s'extrait de ses bras et se déshabillant, il dévoila un buste couvert des traces d'une vie semble-t-il pleine de vicissitudes renforçant cette aspect viril que ça musculature dégageait ne laissant pas indifférente Kristen, mais quand celle-ci vit luire l'acier de la lame de la "feuille de boucher" qu'il déposa sur la table, elle se sentit frémir tout à coup mais point d'excitation... Charmante attention qu'un tel équipement en présence de Dames...

Mais Mi-ange réagit alors avec moquerie...


Quel mauvais strip tease, cher Messire.
Tu manques sans conteste de cette sensualité torride qui fait émoustiller les femmes, mais ta maladresse me plaît finalement…
Tu es bel homme tu sais. A croquer….


Puis il saisit la bouteille de vin pour verser ce doux nectar sombre dans trois coupes, et prit une dans chaque mains pour les tendre à Mi-ange et elle. Conjointement à eux, Kristen leva sa coupe trinquant "A leur nuit folle" et en but une gorgée, laissant rouler sur sa langue le fluide sucré emprunt d'arômes de tanins, désaltérant des mieux venus à cet heure et prompt à enivrer les sens...
Le Sire entreprit alors d'embrasser Kristen tout aussi goulument que la première fois ce qui lui fit oublier quelque peu le hachoir posé à proximité mais lorsque ce dernier voulut gratifier Mi-ange du même traitement il s'en vu prestement repoussé ce qui fit pousser un gloussement de surprise et afficher un demi sourire tout à fait dans le ton de la situation, Kristen porta de nouveau sa coupe à ses lèvres pour le masquer...


Une prostituée n’embrasse pas. Tu peux faire tout ce que tu veux avec moi! Mais... tu ne m’embrasses pas petit mec ! les baisers sont réservés. Propriété privée défense de pénétrer.


Elle regarda Mi-ange s' allonger sur le lit à plat ventre et agiter ses pieds en l’air dans de gracieux croisement de molets. Kristen rajouta alors...

"Pour ma part il peut bien m'embrasser tant qu'il le veut, il aura seulement mon corps et jamais mon coeur, autant lui donner un avant gout de mes saveurs...
A quoi bon l'amour de coeur quand l'amour de corps procure plaisirs et Ecus... et il payé d'avance donc je lui fait don d'une part de moi-même... momentanément...
Mais je respecte ton opinion Mi-ange... a la base nous ne louons que notre âtre..."


Mais tout en prononçant ses paroles Kristen s'approchait de lui dans des gestes lents et félins, et lui tournant le dos, elle se plaqua contre son torse, puis dégageant sa chevelure de sa main gauche et penchant la tête de coté, elle glissa la main droite derrière la nuque l'invitant à dispenser l'ardeur de ses baisers au creux de son cou diaphane. Tout en ondulant du bassin, elle le sentait peu à peu "s'éveiller" derrière elle...
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---fromFRMr_Jourdain
Dans la rue


La gueuze n’avait pas froid aux yeux, ce qui n’était pas pour lui déplaire, il imaginait déjà sa main courir sur son corps, la parcourir, la posséder. Elle lui dévoilait lentement ces atouts, relevant doucement sa robe, découvrant ainsi des cuisses appétissantes, sourire en coin, tête de coté, appréciant la marchandise qu’il voyait devant lui, yeux devenant brillants, corps se chauffant doucement, cette main dans ses cheveux, tourner la tête, embrasser son avant bras, lui mordre doucement.

J’connais pas les ponots, alors j’m’en moque, leur sommeil ! Pas mon problème, et pour mon appétit, je suis un ogre et tu va déguster….

Puis approchant le visage de son cou si gracile, léchant sa peau si fruitée ajouta

Me fais pas trop languir la belle, je pourrai en trouver une autre ….

Sa main glissa doucement le long de son corps, découvrant ses formes après les avoir regarder, elle avait du charme, des formes, ses hanches larges, puis trouva sa main

Te caresses pas seule...

Il glissa alors sa main, entre la sienne et sa peau, commençant à la caresser doucement, tout en relevant le visage, et la regardant dans les yeux

Emmènes moi maintenant !

En attendant qu’elle lui montre ou pouvoir tels des animaux s’assouvirent.
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PNJ
---fromFRMordric
[Hrp: Je me permets de faire une petite parenthèse temporelle dans le rp pour projeter Mordric un peu plus tard dans la journée et ne pas couper le rp de ces jolis gens en pleine communion des corps!]

[La Demeure de Mordric le lendemain.]

Le soleil perçait a travers les planches qui condamnaient les fenêtres.
La journée était bien avancé et l'on pouvait entendre dehors la clameurs des Ponots qui quittaient le travail des champs pour prendre leur repas du midi.
La bouteille d'hydromel avait quitté la main d'un Mordric endormit et avait roulé au milieu de la pièce, laissant la marque de son passage dans la poussière.

L'homme dormait encore, les rayons du soleil commençaient a baigner son visage de lumière, réchauffant sa peu lentement. Elle était blanche, aussi pâle que celle d'un homme qui préférait l'éclat de la lune à celui de l'astre du jour. Ses longs cheveux noirs retombaient sur ses joues, encadrant son visage d'un carcan sombre et hypnotisant.

Lentement il commença à ouvrir les yeux, légèrement aveuglé par la lumière, il tourna la tête, la penchant pour ne plus être atteint par le soleil.
Il se demandait où il était, voilà trop longtemps qu'il parcourait les villes, il n'avait pas encore l'habitude du Puy. Il parcourût la pièce du regard.
Poussière, bouteilles vides, moisissures sur les murs.
Ah oui, la masure du Puy...
Il étira ses membres, comme un chat l'aurait fait, dénouant tout ses muscles lentement.
Sa bouche était sèche, le nectar liquoreux qu'il avait bu avant de s'endormir devait en être la raison.
Il aimait profiter de ces instants de calme, ces instants où il s'éveillait avant ses démons. Où il pouvait profiter d'un moment de paix.
Se levant lentement il jeta un œil dans la rue a travers les planches qui le rendait invisible aux yeux des autres.

L'heure de midi? On dirait que ces imbéciles rentrent des champs pour manger... Il va falloir que je me dépêche un peu...

Joignant le geste à la parole, Mordric se dirigea vers sa malle, défaisant déjà les lacets de sa chemise. Il entreprit de se dévêtir complètement, son corps était imberbe. Il se plaisait à le regarder longuement, mais là pas de miroir pour le faire ni de temps. Il remédierait à ça plus tard.
Il enfila les habits qu'il avait préparé la veille, bottes d'un rouge sang, braies de velours noires, maintenues par une ceinture bordeaux orné de quelques pierres brillantes, une chemise épaisse de velours sombre et le tout complété par une cape d'apparat d'un rouge éclatant.
Il aurait voulu pouvoir assouvir son côté narcissique, mais sans miroir...
Il se pencha et rouvrit sa malle, à la recherche d'une épée à passer sur ses hanches. Il porta son choix sur une épée dont la garde et le fourreau étaient recouverte d'un acier polît qui brillerait de mille feux sous le soleil.
Il noua rapidement ces cheveux en catogan avec un tissu trouvé au fond de la malle puis estimant qu'il avait là de quoi se faire remarquer uniquement par sa tenue il monta les marches le menant a l'étage et sortit de la maison comme il l'avait fait la veille au soir.

Le soleil lui fit sentir sa morsure au moment où il franchit le passage entre les maison pour arriver en pleine rue. Il venait de faire quelque pas et déjà les gens se retournaient sur lui. Il leur sourit, distribuant courbettes et signes de la main, le tout un grand sourire affiché aux lèvres.
Il se pavanait là tel un roi au milieu de sa cours, exagérant les gestes, les moulinets de la main. Il aimait la démesure, il savait qu'il renvoyait l'image d'un homme à la limite de la folie, mais ils comprendraient tous bientôt à quel point ils auraient besoin de lui!

Il arriva bientôt devant l'échoppe du poissonnier qu'il avait visité au petit matin. Celui ci blêmit en le voyant arriver. Il avait cru a un rêve, mais l'apparition de cet homme habillé comme un riche lui prouvait bien qu'il n'était pas sortit d'un songe.
Arrivé devant lui, Mordric lui sourit.

Hé bien bonjour poissonnier! Alors cette commande? Tu as bien pensé a moi j'espère!

Il le contempla un moment, hautain et sentant les regards des gens sur lui. Il écouta patiemment le babillage de l'homme qui lui expliqua que sa commande était prête et qu'il pouvait même lui fournir un homme pour la déposer où il le voudrait.

Bien bien... Alors dis à ton homme de me rejoindre de suite Place du Martouret. Devant la mairie...

Mordric déposa la bourse contenant la récompense de l'homme sur l'étal devant lui et tourna les talons dans un claquement de cape sonore.
Il prit la direction de l'hôtel de ville, entendant le poissonnier crier ses ordres à un jeune homme à l'air ahuri.

Quelques pas, courbettes et autres sourires plus tard, Mordric se trouvait devant la mairie. Bientôt rejoins par le commis du poissonnier il lui ordonna de répandre le contenu du tonneau devant le parvis de la bâtisse.
Il vit celui ci hésiter, émettre des commentaires sur le contenu du dit tonneau. Mordric l'écouta patiemment, lui souriant de plus en plus jusqu'à que ce ce sourire devienne un rictus de colère.
Le jeune homme paniqua au moment où la main du criminel se posa sur la garde de son épée, prêt a la sortir de son fourreau.
Laissant derrière lui hésitations et craintes le jeune homme renversa le tonneau, éclaboussant ainsi les marches menant a la mairie de têtes de poisson coupées, d'entrailles fraiches, écailles et autres déchets venant des bêtes péchées la veille. Une forte odeur nauséabonde envahit bientot la place. Les gens présents détournait la tête ou se bouchaient le nez pour éviter de renvoyer leur repas.
Mordric lui supportait cette odeur. Il avait un plan et ce n'était pas ça qui le contrarierait. Il emplis ses poumons de cet air vicié et s'écria:

Messire Bentich! Comme promis voila de quoi vous amuser! J'espère que vous vous en régalerez!
Je me contente aujourd'hui de poisson. En espérant ne jamais avoir à me servir de poison.
Avec les compliments de Mordric!

Il resta là, attendant une quelconque réponses du maire. amusé de la situation...
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PNJ
---fromFRMerodack
[Dans la chambre]

Apparemment, le hachoir semblait effrayé un tantinet ces dames. J'aurais peut-être du le sortir plus discrètement.
Mais ça n'avait pas l'air de calmer leurs ardeurs, tant mieux!
Me déshabillant, la brune effrontée m'interpella :



Mi-ange Mi-démon a écrit:


Quel mauvais strip tease, cher Messire.
Tu manques sans conteste de cette sensualité torride qui fait émoustiller les femmes, mais ta maladresse me plaît finalement…
Tu es bel homme tu sais. A croquer….


Je vous retourne le compliment ma belle !Je ne suis pas le seul à être appétissant. Mais vous dites "strip-tease", c'est amusant, vous connaissez l'anglois. On survit comme on peut pendant une guerre n'est ce pas Cry me a river slut !

Puis, tentant de l'embrasser :


Mi-ange Mi-démon a écrit:



Une prostituée n’embrasse pas. Tu peux faire tout ce que tu veux avec moi! Mais... tu ne m’embrasses pas petit mec !
les baisers sont réservés. Propriété privée défense de pénétrer.


Ahah! Et les baisers sont réservés pour qui ?
Tant pis, je pénetrerai bien ailleurs...

Puis me tournant vers la blonde, moins farouche et lui adressant le baiser brutal qu'elle réclamait :


Kristen. a écrit:

"Pour ma part il peut bien m'embrasser tant qu'il le veut, il aura seulement mon corps et jamais mon coeur,
autant lui donner un avant gout de mes saveurs...
A quoi bon l'amour de coeur quand l'amour de corps procure plaisirs et Ecus...
et il payé d'avance donc je lui fait don d'une part de moi-même... momentanément...
Mais je respecte ton opinion Mi-ange... a la base nous ne louons que notre âtre..."



Oui mi-ange, écoutez ce que dit votre collègue, elle est pleine de sagesse! On est là pour s'amuser

Sur ces belles paroles, la blonde me saisit la nuque et commence à plaquer son dos contre moi, gesticulant du bas des reins avec grand professionalisme
au niveau de ma virilité. Je sens la chaleur monter et le reste se raidir. Je n'en peut plus. Elle écarte sa chevelure pour me faire découvrir sa nuque,
l'une des parties du corps les plus érotiques qui soit. Sans doute un poète écrira une ode à ce sujet. je ne pus m'empêcher d'embrasser la blonde dans le cou,
lui laissant un petit suçon.
Commençant à suffoquer, je lui soufflai à l'oreille

Shuya shahmuta, comment t'appeles-tu ? On ne s'est même pas présenté

Ne lui laissant le temps de répondre, je la retourne brusquement pour l'embrasser à la naissance de sa poitrine.La gueuse, elle a la peau si douce! Elle me rappelle ma pauvre mère!
---fromFRQuentin Durward
[Dans la rue]

Après plusieurs jours de chevauché a travers cette France, qui décevait de plus en plus Quentin, la vie pour lui n'avait plus aucun sens, le Prince Eveque de Liège l'avait envoyé en mission loin d'Isabelle et en plus il avait appris que le Sanglier des Ardennes, ce Guillaume de la Mark avait menacer la principauté. tant de fois il avait voulu faire demi tour pour aller proteger son tuteur. Mais à chaque fois, la petite voix interieur lui disait de continuer.

Il arrivait enfin en vue d'une ville, il passsa les portes sans encombre, ce qui l'etonna tres fort, lui habitue aux pires ennuis, effectivement à chaque fois les soucis lui tombaient dessus sans crier gare.

Howww my godness, je n'aime pas ça du tout, trop facile, too easy,

Il continua dans la ville, et il apperçut dans une rue de l'animation, il s'y engagea, tout en restant très attentif, car plus il avançait vers l'animation plus il se rendait compte que ce n'etait pas le bon choix.

Il arriva a hauteur de la porte de l'auberge, descendit de cheval et entra dans la batisse. l'ambiance y etait festive, mais en voyant les creatures de reves se promener en tenue légère et les hommes se comporter comme des etres mal famés, Quentin compris que les ennuis allaient encore lui tomber dessus.

Hello, je souhaiterais one room s'il vous plait, et un bon repas, because i'm tired, fatigué si vous préféré
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---fromFRTenebrella
{ Dans la rue ... }


Après lui avoir montré un avant goût de ses atouts, elle le regardait qui salivait déjà de son corps. Elle passa ses mains sur sa peau nue, se caressant légèrement. En plus de la fraîcheur de la nuit, elle frémit de sentir sa langue passer à son cou. La pluie commençait à cesser, cela la fit ravir. Sourire aux lèvres de l’entendre dire que la vie des Ponots il s’en foutait, elle lui répondit :

Bien, si vous vous moquez des Ponots alors...

Il lui donna des caresses de plus en plus provocante, elle se tut instantanément. Son instinct de chasseuse ne fit qu’un tour en elle.

Citation:
Emmènes moi maintenant !


Son sourire s’élargie encore plus à ces mots. Elle prit alors son bras, commençant à marcher. Elle connaissait un endroit des plus calme. A quelques pas des habitations, éloigné des veilleurs de nuit. Ils sortirent par la porte Nord. Elle le regarda dans la pénombre, ne pouvant apercevoir que la lueur de ses yeux. Sa main devenait de plus en plus chaleureuse, elle s’imaginait déjà à toutes ces choses dont-elle pourrait lui faire découvrir.

On y arrive enfin


{ Sous un arbre... }


Elle aperçut le grand sole pleureur, un sourire néfaste apparu alors sur son visage. Il pourrait enfin se vider de plaisir sur son corps. Elle lâcha son étreinte de son bras, en se glissant sous le branchage de l’arbre si majestueux. Ce branchage d’ailleurs si grand et si merveilleux faisait rideaux autour du tronc tel un lit à baldaquin.

Doucement, Tenebrella enleva sa cape, elle la mit à terre pour pouvoir allonger leur corps sans qu’ils ne se salissent sur l’herbe encore fraîchement mouillée par la pluie. Elle lui tourna donc le dos abandonnant son regard en s’accroupissant, et le laissa admirer son fessier. Elle se releva faisant tomber la bretelle de sa robe par comme dirait-on, mégarde. Son inadvertance la laissa peu refroidir, elle continua donc son déshabillé. Avec une lenteur des plus ardentes, elle dénuda ses épaules en finesse. Au même rythme, la ténébreuse dénoua les liens de son corset, ses cheveux si longs ne donnèrent pas encore vue à sa poitrine. Elle passa sa langue autour de ses lèvres, redessinant les contours de celles-ci, elle avait une faim plus qu’élevée. Subtilement, elle glissa le haut de sa robe jusqu'à sa taille où elle se déhancha. De l’autre main, elle remit en arrière sa chevelure. Elle dévoila enfin cette partie qui était dorénavant entièrement nue. Ses mains glissèrent sur cette partie ses seins, la douce humidité de la pluie qui retombait les firent se dressaient. De son corps de femme très voluptueux elle fit glisser sensuellement sa robe jusqu'à ses pieds.

Bouillante de désir et les yeux brillants, telle une affamée elle enlevait dans son esprit un à un les habits de son client. Le devinant nu, elle imaginait l’instrument qui pourrait lui ouvrir les portes du plaisir. Bien que celui-ci soit court où long, elle espérait que le faux pèlerin aux vêtements plus que douteux saurait s’en servir.

La ténébreuse s’avança peu à peu vers lui. Ses lèvres charnelles se collèrent à son oreille. Sa langue circula autour de cette pièce lui glissant ces mots :

Tu peux m’toucher c’est pas interdit !

Elle esquissa un sourire révélateur de son désir, laissant sa main s’évanouir sur la partie intime du sieur. Ses doigts jouèrent à le toucher, son regard d’éternelle vorace le regardait. Sa jambe droite vint s’enlacer à son corps, la faisant glisser le long de ses membres…
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---fromFRKristen.
[ Dans la chambre avec Mi-ange et Mérodack ]

Un délicieux suçon... puis quelques paroles susurrées.... un nom demandé.... et l'homme qui la retourne pour gouter son grain de peau...
Penchant la tête en arrière, elle frémissait de ce contact, de ces lèvres avides d'attentions, et elle lui glissa les doigts le crane sans même s'en rendre compte et elle lui dit sans l'interrompre:

"Et bien Messire... il est vrai que quand on prononce le prénom "Kristen"... je me retourne..."

Elle ne lui demanda même pas le sien car pour elle il ne serait que deux choses seulement... Plaisir... et Ecus...
Et c'est absolument tout ce qui lui importerait car Kristen ne se rappelle généralement que de ces deux choses uniquement.
Puis le regardant ce relever de ce brulant baiser, elle se blotit tout contre lui, en abandonnant une main exploratrice, enserrant ce membre érigé, glissant par intermittence sur toute sa longueur en de voluptueux mouvements, tout en goutant à son tour la peau de se beau Bacchus, glissant des lèvres attentives au creux de son cou. Kristen, inconsciemment, percevait leurs respirations s'accélérer conjointement et son petit coeur pulser de plus en plus fort.

Plus rien d'autre n'avait alors d'importance à ses yeux et elle en oubliait presque momentanément la présence de Mi-ange qui devait se repaitre de ce spectacle, faisant d'autant plus croitre son appétit... la gourmande...

Il y avait une chose certaine en particulier, c'est que ce client en aurait pour son or.

Puis éloignant son visage et lui carressant la joue, Kristen jeta un regard intense et plein de sous-entendus à l'homme, plongeant dans ses yeux dans les siens tout en esquissant un demi-sourire coquin.

Kristen se défait de son étreinte, elle commence à le froler de ses lèvres, sur le torse, descendant tout doucement vers son ventre, le sentant frissonner sous ses caresses, elle continue à descendre, lui caressant les flancs, les fesses, elle s'agenouille devant lui, tout en douceur, de ses doigts fins, elle commence à le caresser...

Puis, de sa langue, elle commence... en décrivant des cercles sur la circonférence... Petit à petit, elle accélère un peu le rythme de ses mains, son souffle chaud contre son membre se fait plus rapide, et son intimité s'humidifiant, Kristen aimait sentir quelques gouttes de son jus salé poindre dans sa bouche de temps en temps au gré de la stimulation, elle suça longuement, le sentant grossir encore et encore...

Puis s'interrompant brusquement, elle lui lança un regard plein de défiance, saisissant son client par la main et, allant vers le lit en reculant elle s'y allongea, tout à coté de Mi-ange.
Elle dit à l'homme tout en lui souriant avec malice...


"Je veux que vous puissiez vous aussi faire ce que vous voulez, alors allez-y...

...Laissez libre cours à votre imagination"

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---fromFRKarina della Puerte
[Dans la rue, en haut d'un arbre]

*Elle courait à perdre haleine, l'ongle fraichement arraché serré dans sa main et la dague laissant un chemin à suivre à l'image d'un petit poucet de sang

Elle s'engouffra dans une ruelle sombre et grimpa dans un arbre, planquée à son aise sur des branchages entremêlés avec pour vue un petit couple qui semblait bien enclin à se donner plaisir*


~J'devrais ptet me faire inviter tiens ... La dame est bien belle~


*Elle sortit le poignard sur lequel le sang commençait à sécher et commencer à nettoyer l'ongle de la chair accrochée en observant la femme dévoilant un corps bien dessiner.*


~J'savais bien que la vue avait du charme dans ce coin... ~


*L'ongle nettoyé, elle y perça un trou et le fit glisser sur la ficelle, ajoutant un trophée à son talisman avant de relever sa manche et d'un coup de dague, de faire un trait aux côtés de nombreux autres déjà tracés dans son bras.

Elle lécha la plaie qu'elle venait de faire et attendit que ça sèche en regardant la jolie dame montrer ainsi ses jolis seins aux yeux des passants.*
Jack_daniel
L'encapuchonné arrivait dans la rue de traverse, dont on lui avait vanté les mérite car c'était une ruelle comme il en existait dans chaque grande ville, où le plus grand homme pouvait passer pour un inconnu, où l'ont pouvait obtenir ce que l'on voulait. C'était exactement ce qu'il recherchait, l'anonymat.

Il marchait toujours courbé sur son antique bâton , à la façon d'un vieil homme, sa main portant sa bague serré sur le bout de bois. Soudain, tandis qu'il était en train de détailler les passants, son pied buta contre une chose molle. Il crût à un chiffon quelconque mais quel ne fut pas sa surprise d'apercevoir un corset rouge finement décoré avec de la belle dentelle. Il se pencha, saisi le vêtement et le huma. Et se parlant à lui même avec sa voix de corbeau, il le retournait entre ses doigts Aaaah, ça sent la catin à plein nez, c'est ce que je recherchait, je suis bien dans la rue de traverse. Bon maintenant tenter de la retrouver. Il prit une pleine respiration de la lingerie avant de la ranger dans les replis de son imposant manteau de voyage qui ne semblait pas avoir de limites de stockages...

Il continua sa route, espérant croiser une prostituée pour lui demander à qui appartenait le corset,une telle finesse ne pouvait que être très précieuse à une femme, elle sont toutes pareilles,la solitudes est parfois préférable. Hélas il n'en trouva aucune ou plutôt si, il en trouva une mais elle était quelque peu occupée à son "artisanat". Il s'assit donc à même la sol, en face de l'arbre où le couple se trouvait, posa son bâton à coté de lui et se saisi de son nécessaire de dessin dans le but de croquer les ébats du couple. De sa main puissante, il faisait courir le morceau de charbon représentant avec une réalité démoniaque la scène se déroulant.

Une fois que le dessin fut fini, il remit tout dans son insondable manteau et décida d'attendre que la fille de joie ait fini son oeuvre, il profiterais du spectacle en attendant, ses mains se perdirent sous les replis de son manteau, faute de mieux...
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