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[RP] La rue de Traverse.

---fromFRMordric
[Devant l'hôtel de ville, toujours l'après midi]

Mordric attendait toujours une quelconque réaction du maire.
Il apercevait celui ci a travers les fenêtres de la mairie. Il semblait hésiter, ne sachant pas s'il devait sortir ou non...
Mordric souriait, le soleil commençait à le gêner et l'attente était longue mais le plaisir de voir la couardise du maire le rendait heureux.
Il attendit encore quelques minutes ainsi, ne prêtant pas attention a la puanteur que dégageait le tas de poisson pourrit devant lui puis il éclata d'un rire sonore.
Il se retourna ensuite vers les personnes qui s'étaient rassemblés sur la place.
Les visages exprimaient incompréhension, amusement. Les gens chuchotaient entre eux, se demandant qui était cet homme qui apostrophait le maire ainsi, se demandant a quoi rimait ce spectacle.

Mordric afficha alors son sourire le plus enjôleur. Il attendit que les regards se posent sur lui et prit la parole:


Chers citoyens du Puy, voyez comme votre maire est courageux.
Il préfère se cacher derrière son bureau que de venir me répondre!
Lui qui voulait me bouter hors de ce village!
Ses miliciens sont peut-être partit surveiller ses champs ou son échoppe!
Messire Bentich a peur de faire front seul?
Quel dommage pour vous...

Si jamais vous avez besoin d'un service, d'une quelconque aide, d'une protection que votre Maire aurait peur de vous apporter, n'hésitez pas à venir a la rue de Traverse et demandez Mordric...

Mais ça ne sera pas gratuit, préparez votre bourse à être allégée...


Sur ces derniers mots il fit une légère révérence et traversa la foule, souriant et saluant les ponots qui affichaient des mines où se lisaient parfois la surprise, parfois l'amusement, d'autres fois la colère.
Il jubilait, il ne s'attendait pas à avoir la partie aussi facile. Bentich n'avait pas daigné répondre et bien tant pis pour lui autant qu'il se couvre de ridicule.
Il sentait encore les regards posés sur lui quand il remarqua un pauvre bougre, couché sur le sol, mendiant sa pitance. Il marqua un temps d'arrêt devant lui, plongeant sa main dans la bourse gonflée suspendue à sa ceinture et en sortit quelques pièces.
Il les laissa tomber dans la timbale du mendiant s'assurant qu'elles tinteraient assez fort pour que les gens voient en son geste une grâce aristotélicienne.
Cela ne nuirait pas à son image que cette bande de culs bénits voit en lui un homme enclin à la pitié et à la bonté.
Il laisserait son vrai caractère se développer devant cette bande de malfrats qu'il comptait réunir.

L'homme le remerciait déjà, ses yeux mêlant gratitude et méfiance. On aurait pu croire qu'il allait pleurer, cela ne devait pas arriver souvent ici que l'on fasse l'aumône. On préférait donner au curé qui envoyait l'argent pour nourrir ces oies grasses de Papes...
Il se pencha vers lui et lui murmura:


Tu veux gagner ta croûte malhonnêtement? Te venger de ces faux culs qui vont à la messe pour pardonner leurs péchés? Viens ce soir rue de Traverse...

Il se redressa, dominant le miséreux et lui sourit, sourire qui reflétait ces vrais pensées. Mêlant sadisme et mépris.
Il reprit ensuite son chemin, il retournait à sa demeure, toute cette lumière et ce soleil commençait a l'agacer sérieusement.

_________________
PNJ
---fromFRMerodack
"Kristen" me répond-elle, dans un doux accent d'un exotisme que je ne connaissais pas. Fille d'Alaman ? Peu importe.

Elle plonge son profond regard dans le mien, provocateur, aguichant.
Elle n'en pouvait plus d'attendre, et moi non plus. Mais je la laisse faire : elle était plus qu'entreprenante.

Je sens ses mains et ses lèvres parcourir ma peau, descendant de plus en plus bas, tandis que la température monte de plus en plus haut.
Je ferme les yeux, n'écoute plus rien que nos souffles, ne respire plus rien que son parfum. Je concentre mon sens du toucher sur ma virilité qu'elle prenait plaisir à déguster.

Difficile de me contenir...Je fixe du regard la brune qui était restée allongée sur le lit, nous regardant avec délices.
Difficile de me contenir...je fais un clin d'oeil à la brune, lui indiquant que son tour viendra. Je caresse les cheveux blonds comme le sable de ma compagne et me met à réciter un poème issu d'un autre temps et d'un autre lieu. Je le murmure à Kristen, imaginant que ce sont ses propres paroles


"Qu'il me baise des baisers de sa bouche.
Tes amours sont plus délicieuses que le vin;
l'arôme de tes parfums est exquis;
ton nom est une huile qui s'épanche,
c'est pourquoi les jeunes filles t'aiment."

"Entraine-moi sur tes pas, courons !
Le roi m'a introduite en ses appartements;
tu seras notre joie et notre allégresse.
Nous célébrerons tes amours plus que le vin;
comme on a raison de t'aimer!"


Kristen cesse soudainement.Je souffle un grand coup, la regarde comme un fanatique. Elle m'attrape la main et me conduit vers le lit,
on patiente toujours la brune. Conservant toujours ce regard qui me rend fou, elle me dit


Kristen. a écrit:


"Je veux que vous puissiez vous aussi faire ce que vous voulez, alors allez-y...

...Laissez libre cours à votre imagination"



Je ne réponds mot à cela, préférant faire parler les gestes. Me baissant vers Kristen, je caresse ses jambes, ses cuisses, puis son intimité qui ne
demandait qu'à être cueilli comme un fruit mûr. J'approche mon visage, respirant profondément, et de ma langue goûte à l'offrande du Saint des Saints.
Son corps frémit, le mien était celui d'un taureau dans l'arène prêt à donner des coups de corne.
Poursuivant l'acte, je caresse son ventre et sa poitrine. Puis je me relève, "mordant" son sein blanc, tel un vieux cureton alcoolique (genre Jub) suce une bouteille de vin de messe pendant la confession.
Je la regarde droit dans les yeux, sérieusement et presque sauvagement, et la pénètre de tout mon poids, tout en saisissant son cou que je presse et caresse avec plus ou moins de force.
Tout en la besognant, je fixe la brune d'un regard interrogateur, lui demandant à quel point elle en voudrait.


edit : autocensure
---fromFRKarina della Puerte
*Bien installée à apprécier la vue des mamelles que la catin faisait pendre au dessus de la tête de l'homme, elle vit arriver un homme tout encapuchonné qui venait à son tour faire œuvre de voyeurisme.

Elle se mis à l'observer, appréciant la dextérité de la main faisant parcourir le sol au morceau de charbon pour dessiner la scène que ses yeux regardaient avec l'avidité de l'homme en manque qui cherche catin à son goût.

Elle avait vu si souvent ce regard de pervers la dévisager dans cette maison de joie de luxe où on l'avait fait prisonnière soignée aux jambes fort écartées.

Ca ne lui manquait pas, mais pourtant il l'attirait cet étranger dont la main avait à présent décidé de se laisser guider par la vue vers des lieux plus cachés qu'il aurait sans doute fait découvrir avec un plaisir partagé.

Discrètement, elle redescendit dans des branches plus basses, mais certes moins touffues, et commença à l'observer le voyageur au bâton, laissant glisser ses yeux de son regard pervers au léger mouvement qui faisait bouger le manteau, devenant elle-même la voyeuse du voyeur et oubliant la belle aux seins blancs qui lui faisait pourtant si envie quelques minutes auparavant.*
Jack_daniel
L'ancien ermite profitait à loisir de la vue, il savourait mais avait beau faire le mouvement censé lui amener le nirvana ultime, il ne ressentait rien. Pire que tout, sa virilité restait, dormante, tel un morceau de chair mort. Il stoppa son mouvement, comprenant en l'espace d'un instant la raison de ce fait. Son instinct de chasseur avait détecté une menace, des effluves de haine et une odeur de transpiration amère, sûrement causée par la peur. Avoir passé des années en compagnie d'animaux sauvages lui avait aiguisé les sens, il connaissait très bien la haine...

*GRRRR* D'un bond leste il fut debout scrutant les alentours, une main passée dans son manteau, serré sur sa dague sacrificielle ouvragée. Il voulait passer pour un homme quelconque donc réfréna les envies de meurtres dûs à la haine, émanant de quelqu'un d'autre, qu'il ressentait. Il passa la lame dans un replis de ses manches, il effectua ce mouvement tellement vite que elle ne fut sortie que un centième de seconde avant de disparaître à la vue des spectateurs, si il y en avait. Son instinct lui certifiait qu'il y en avait...

Il jeta un coup d'oeil sur la catin besognant toujours, son envie de plaisir avait été remplacé par le besoin pressant de rencontrer une travailleuse des rues. C'était le moyen le plus rapide d'arriver à ses ambition, il avait besoin de certaines choses que seuls les riches avaient la capacité de lui apporter. Une prostituée l'aiderait, de gré ou de force. Il esquissa une petit sourire sadique
... De force plutôt... Il avait parlé à voix haute, heureusement personne ne pouvait l'entendre, il lui faudrait se montrer plus prudent, en public.

Il se dit qu'il risquait moins à aller dans un endroit d'où il pouvait voir sans être vu, il se dirigea alors vers une porte cochère et disparu aux yeux de tous tout en pouvant attendre que la prostituée ait fini sa besogne. Il serait attentifs à toutes choses, cette fois. Il détailla le lieux, il vit une route de fuite en une échelle posée contre un toit, de toute évidence pour avoir été poser des ardoises... Il se retourna vers la scène pour en attendre ...

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---fromFRKristen.
Kristen après sa proposition promettant tant de luxure l'attirat vers le lit, à reculons, et au contact de ses mollets contre le matelas elle s'y laissa choir gracieusement tout à coté de Mi-ange lascivement installée. Tournant son visage vers celle-ci, elle lui adressa un sourire complice, puis son regard revenant sur le visage du Sieur dont les mains avide de sensualité lui cajolait déjà la surface lisse de ses cuisses, et qui se dirigeant vers son intimité surchauffé par l'attente et ce si délicieux sentiment de renouveau perpétuel des désirs que la musculature de cet homme lui évoquait.

Kristen le vit alors plonger lentement son visage entre ses jambes, afin de gouter sa saveur intime, et entama une douce chorégraphie de sa langue en de grisants mouvements précipitant la suave blonde dans une délectable ivresse dont l'issue serait des plus torride, et qui déjà la faisait frémir, le souffle émit d'entre ses fines lèvres se raccourcissait peu à peu, elle lui caressa le crane sans même sans rendre compte, les yeux fermés, sourcils se fronçant, et la tête se penchant en arrière sur l'étoffe des draps, prise par des vagues successives de plaisir croissant. Les mains de ce consciencieux client continuèrent leurs explorations "chaleureuses" de son ventre, remontant à la poitrine de Kristen sombrant à rythme croissant dans une douce extase, augmentant d'autant plus l'écart de sa cuisse afin de mieux recevoir les attentions prodiguées... puis l'homme partit en quête de son aréole pointante et la gratifia de délectables mordillements rajoutant de l'ampleur aux vagues successives de frissons parcourant le corps de Kristen qui déjà commençait à légèrement haleter, en proie à un désir qu'elle voulait sans limites...

A peine le temps de baisser le regard pour voir la raison de l'arrêt soudain de cette caresse buccale qu'elle vit la silhouette à contre-jour remontante et ce regard attentif plongeant dans le sien et de cette masse masculine la couvrant totalement, s'immiscant au sein de son intimité ruisselante et offerte...
Kristen, sourcils toujours froncés et la tête encadrée de sa chevelure d'or recouvrant négligeament le matelas, se crispa tout en parcourant de ses mains les flancs du mâle en elle, puis remontant par dessus ses épaule, les étreignant, elle sentit la main calleuse mais néanmoins câline qui se glissait au creux de son cou, chaque assaut de l'homme lui faisant croitre en elle un feu charnel des plus vif. Kristen, inconsciemment, releva ses cuisses au plus haut, enserrant le bassin du client, et croisant ses tibias dans son dos, elle l'accompagnait dans ses mouvements, rajoutant à leur délicieuse force, qui, progressivement, lui faisait échapper de petits gémissement ponctuant chaque "ardeurs" du mâle...

Les yeux fermés par le plaisir, le souffle court, Kristen resserrant son étreinte sur les épaules contenues dans ses mains, elle blôttit alors sa tête au sein de son cou, les gémissements se muant en légers cris emplissant désormais la pièce dans une frénésie de chairs en mouvements, leurs intensités synonymes des plaisirs dispensés et de l'extase grandissante...


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---fromFRKarina della Puerte
*Comme un animal traqué, il s'enfuit et se cache.
Aurait-il senti sa présence et son regard haineux posé sur son intimité voilée ?

Un instant un éclat étincellant l'aveugle et la main de la jeune femme se serre sur la dague encore rougie du sang du soldat.

Elle le voit s'évader, planqué sous ce long manteau et cette capuche austère en prononçant juste quelques mots.*



L'Ermite Bernard a écrit:
De force plutôt...


*La jeune femme fronce les yeux et serre son talisman répugnant dans la main avant de remettre les bouts d'humains contre sa poitrine pommée sous la tunique à capuche qui recouvre sa peau nue.*


~De force... encore un qui prépare un coup ... Vaudrait mieux pas se retrouver sur son chemin ... Il a les yeux qui crient aux viols et les mains d'un assassin !~


*Prudemment, la jeune femme se laisse glisser, arme en main, le long du tronc et se glisse vers l'oeuvre d'art dessiné rapidement au charbon.
Elle s'accroupit et laisse glisser son regard du dessin à la scène qui continue de s'écouler lentement au pied de l'arbre.*



L'est doué ce gars ...


*Elle passa sa main sur le dessins, commençant à avoir trop envie de gouter à la catin ou à un male quelconque à la voir ainsi dessinée avec talent.*
---fromFRMi-ange Mi-démon
[Dans la chambre]


Mi-Ange parlait à son client, pendant que celui-ci de déshabillait et celui-ci tiqua sur le mot strip-tease. Celle ci lui expliqua:

Oui Chéri, j'ai quelques notions de langues, j'ai un fidèle client anglois qui me demande de me dévêtir lentement dans sa langue. Voilà pourquoi je viens d'exprimer ce terme. Mais peu importe la langue , nous sommes là pour jouer avec notre langue, si tu vois ce que je veux dire, mon tout beau.

La belle blonde, divinement sensuelle, l'envoûta irrésistiblement, usant de ses charmes, mais aussi de son sourire, se retourna, lui présentant son dos, elle leva les bras vers l'arrière, lui prit la nuque et colla son corps au sien.Le client s'occupa de Kristen, préférant tout d'abord gouter à la peau de kristen, à ses délices de toutes ses caresses. S'emplissant de son parfum, dégageant sa nuque, il lui déposa des baisers fiévreux. Puis la retournant face à lui, il l'embrassa, puisqu'elle lui en donnait l'autorisation. Il la gouta, la savoura. Celui-ci semblait bien en appétit. Mi-ange n'en perdait pas une bouchée. Elle voit son amie tomber alors à genoux devant ce sucre d'orge, qui réclame l’apaisement à grands renforts de coup de langue.

Mi-Ange les regardait faire et ses reins commençait à la titiller. Elle n'en pouvait plus, de les voir ainsi. Un feu couvait entre ses reins, menaçant de l'emporter sur sa raison. Elle glissa une main vers son entrejambe et remua doucement du bassin tout en admirant le spectacle. Le client la voyant faire, lui fît un clin d'oeil des plus malicieux. La jolie blondinette cessa sa succion, se releva et entraina le client avec elle sur le lit, l'invitant à gouter le fruit juteux à souhait.Ce qu'il s'empressa de faire. Mi-Ange voyant Kristen en extase, elle remonta sa main de son entre cuisses, enveloppa les seins de sa partenaire de ses mains et commença à lui titiller. Puis saisissant alors le visage de son amie, elle colla sa généreuse poitrine brune contre celle de Kristen, lui planta sur les lèvres un long et langoureux baiser, leurs langues se caressaient mutuellement.

Elle se redressa légèrement, sentant le client remonter vers sa poitrine tel un nourrisson voulant téter, puis les ressorts commencèrent à couiner sous le poids conjugué de leurs deux corps qui se découvraient, peau contre peau. Merodack Fixait Mi-ange pendant son accouplement. Celle-ci ne lacha pas son regard, prête à bondir sur lui, s'il coupait la respiration de Kristen, qui à priori avait l'air d'apprécier.

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---fromFRMerodack
[Dans la chambre]

Je continue de besogner la gueuse germanique avec de plus en plus de vivacité, me délectant de ses petits cris auxquels je tente de donner plus de volume.
Je presse son cou de plus en plus fort, veillant tout de même à ne pas l'étouffer : je ne suis pas un sauvage, et je veux l'entendre jouir, et non asphyxier. De toute façon, un petit peu de souffrance est souvent source de plaisir, et Kristen semblait vraiment apprécier.
Lui en donnant toujours plus, je mordille ses têtons rougis, et jette un coup d'oeil de temps à autre vers la brune, qui, alternativement distribue ses caresses pour Kristen ou pour elle-même. Elle semble n'attendre que ça. Tant mieux.
Je la fixe à nouveau, lui fait comprendre que son, tour, c'est pour quelques minutes.
J'entame le rush final avec Kristen, qui à l'air de partir dire bonjour aux Anges du Seigneur. Moi-même je vois de plus en plus blanc. Plus je suis en extase, plus il est douloureux pour moi de retenir ma semence.
Cela devient de plus en plus impossible. Je laisse échapper un râle bruyant, crispe mon visage à en souffrir, puis me retire de la cella de Kristen tout en empechant à mon cadeau-de-noces de s'échapper.

En attendant de reprendre le contrôle de mon corps et de mon âme, je m'essuie le visage qui est recouvert de sueur. Je regarde tour à tour Kristen, qui est partie loin depuis longtemps, et la Brune, qui m'attends.
Je laisse passer encore quelques paires de secondes, afin de me remettre les idées en place.
Puis je m'approche de la Brune, sans mot dire. Mes mains la caresse tout le long de son corps, et s'arrête un temps sur sa poitrine.
Je veux glisser ma langue dans sa bouche, mais me souvient à temps qu'elle refuse cela. Sans doute pour se donner de l'importance. Après tout, on trouve sa fierté où on veut.
Pas de baisers alors, je décide de sauter l'étape "préliminaire" et de l'attaquer sauvagement. J'avais déjà distribué toute la douceur possible à Kristen. Pas deux fois de suite.
Je la pénètre brusquement, prenant garde tout de même de ne pas la violenter, et entame une nouvelle calvacade sur un rythme galopant, en espérant que mon amante allait suivre la musique.
Jess_la_tueuse_folle
*Revenant tout droit des bains de Lyia et Jeïna, la jeune femme avait marché vite dans les rues de la petite ville et était arrivée dans les quartiers moins bien famés.

Etrangement, comme mue par une force venant du fond des tripes, sa main s'était accrochée sur la garde de l'épée et le regard inquiet vagabondait partout.

Elle n'osait même pas crier après la blonde fouetteuse dans ces rues mal famées où les catins ne se cachaient même pas pour leurs ébats et où chacun semblait sorti tout droit d'un cauchemar.

Jess se croyait retournée dans son passé et certains lui rappelaient des brigands qu'elle avait croisé alors qu'elle était encore dans sa famille.

Son coeur battait à toute allure et elle avançait lentement dans ces rues peu sûres. *


~C'est quoi c't'endroit dans not' ville ? N'a rien à y faire !~


*Elle avançait vers ce qui semblait être une petite place ou quelques arbres donnant ombre et abris s'élevaient au-dessus d'un couple se donnant plaisir devant le regard de tout passant

Elle ne se sentait pas à son aise ni à sa place icelieu mais continuait d'avancer...*
---fromFRAnonymous
Dans la pénombre d'une porte cochère Godfroy attendait. Ca faisait déjà un bout de temps d'ailleurs qu'il épiait les allés et venues de chacun, toujours en quête de plaisirs que le centre de la ville ne pouvait leurs offrir...

Prit de lassitude depuis déjà une bonne heure, Godfroy s'armait toujours de patience, il n'avait toujours pas vendu une seule fiole de fée verte à qui que ce soit et son riche client ne se décidant toujours pas à venir, il lui faudrait se résoudre à trouver un autre vendeur, quoi qu'a sa connaissance lui seul en vendait...

Abandonnant l'idée de cet interminable attente, il sortit de cette demi-obscurité et commença à fouler de ses bottes les pavés mal entretenus de cette rue laissé depuis trop longtemps en proie aux caprices du ciel, et commençant de part et d'autre à laisser apparaitre des défoncement de voirie.

Godfroy l'aimait pourtant bien, ce petit coin...
Tranquilité relative propice aux affaires et faune en tous genre, des Ecus à foison pour qui savait en profiter. Catin et manants, Bourgeois en mal de sensations, personnalité extrèmes ou furtives... on trouvait de tout et surtout ce que l'on cherche...

Puis, du coin de l'oeil, il vit l'approche mal assurée d'une jeune femme semblant en quête de quelques plaisirs éphémères. N'ayant que peu de risques à proposer il se dirigea d'un pas lent et sonore que ses bottes sur le sol de pierres imbriquées amplifiait nettement. Faisant clairement montre d'aucune agressivité, il s'approcha et s'adressa à elle courtoisement de sa grosse voix:


"Bien l'bonjour brav'Dame, si j'puis m'permettre d'interrompre vot'trajectoire...

Vous savez l'coin n'est point sûr pour qui y passe sans savoir ce en quoi il a quête"


* il lui adressa un sourire chaleureux mais pleins de sous-entendus *

" Et justement, p't-etre j'puis palier à ce défaut... si v'z'ête en quête de Plaisirs Interdits..."

* Godfroy entre-baille son long mantel et lui dévoile tout un assortiment de petites fioles d'absinthe d'un vert opaque *

"J'ai p'tetre s'qu'il vous faut, savez..."

Toujours souriant il se doutait d'une probable déclinaison de son offre mais finalement... qu'avait-il à perdre?.....
Jess_la_tueuse_folle
*Les bruits lui semblaient à la fois étangers et familiers, ravivants nombres de souvenirs de longue date en sa mémoire.

Elle continuait d'avancer doucement, regardant à la fois à ses pieds pour éviter de trébucher sur ls pavés mal ajustés, et les alentours, ne voulant être surprise par quelque voleur que ce soit ou autre personnage peu digne de confiance.

Il lui semblait que l'air se faisait lourd et que chaque pas était plus difficile que le précédent, comme si l'on rajoutait du plomb à chaque pas qu'elle faisait.

Elle entendit arriver de côté quelqu'ujn dont les lourdes bottes faisaient résonner le pavé d'un bruit sourd qi crispa la jeune femme dont le coeur battait à tout rompre.*


~Calme toi .. tu risques rien voyons ... Quoique, T'as vu Insa ?~


*Ses pensées ne faisant que la rassurer encore moins, elle ferma les yeux un instant avant de se retourner sur un homme au long mantel et au sourire presque carnassier d'envie.

La jeune femme rougit et tenta sans succès d'esquisser le moindre sourire à celui qui semblait devenir prédateur de sa personne.

Elle eut un sursaut en le voyant ouvrir son vêteùent, de peur d'apercevoir choses qu'elle ne voulait. Elle fut mi-rassurée en voyant une succession de petites fioles.

Relevant ses yeux vers l'homme, la main toujours serrée sur son arme, elle plongea son regard du vert profond des océans dans celui de l'homme et lui parla d'une voix douce.*



Qu'est-ce qui vous fait croire que je recherche plaisir et que j'ignore de qui ou quoi je suis en quête ?


*Un petit écureuil sortit de l'intérieur de la cape de la jeune femme et se percha sur son épaule, l'air menaçant et sifflant entre ses dents en regardant le vendeur de ce marché noir qui n'avait lieu d'être.*


~Un vendeur à la sauvette de produits de contrebande j'imagine... C'aurait pu être pire... mais méfiance... Il n'est peut-être pas seul !~
---fromFRAnonymous
Godfroy la regardait de son regard d'azur, et tout en continuant à rester quasiment impassible, il se rendant bien compte que la Dame serrait la garde de son arme proportionnellement à son angoisse se qui le fit sourire d'autant plus. Elle en fermait même les yeux se laissant à sa merci pour un court instant...

C'est chose courante que d'est stressé quand l'on a pas l'habitude des bas-fonds, surtout sans anticiper ses dangers et ses vices. Godfroy connaissait son ascendant sur la situation et comptait bien s'en servir à son profit, comme il en avait l'habitude. Mais elle lui adressa finalement la parole:


Qu'est-ce qui vous fait croire que je recherche plaisir et que j'ignore de qui ou quoi je suis en quête ?




Godfroy lâcha un rire sonore et caverneux et la regardant de nouveau il lui dit:


"Mais s't'une évidence ma p'tite Dame, vous ici, à s't'heure, dans l'pire endroit d'la ville pour si gracieuse libellule...

Vous sauriez ce que vous cherchiez, vous l'auriez déjà trouvé... Mais là, visiblement, vous n'y êtes pas encore...

Mais j'peux vous dégoter s'qui vous arrange, savez?"




Il était sûr que la Dame ne savait trop quoi chercher mais ce n'était pas ici qu'elle le trouverais, au mieux elle se ferais détrousser plus loin par un manant ou au pire on la retrouverait nue et éventrée sur un monticule d'ordure, le regard fixant le néant....

Tout en profitant de son regard des gracieuses courbes partiellement masquées par la cape laissant son imaginaire faire le reste, Godfroy jetait des regards amusés vers la bestiole lui crachant des insultes en "langage écureuil"... ce qui l'amusa d'autant plus...

Il rajouta enfin:


"Alors intéressée par un p'tite fiole ou pas?"


Mais au sein de son imaginaire filaient de folles pensées quand aux motivations de la belle, peut-être trouverait-elle ce qu'elle recherchait...
Jess_la_tueuse_folle
*Ses yeux d'un ciel d'été qui la fixaient et la déshabillaient d'un profond regard ne la laissait pas de marbre mais elle restait bien droite en tentant de ne pas montrer cette hantise du passé qui remontait le long de son ventre.

Cet homme ressemblait à celui que son père avait voulu la faire épouser avec ses yeux profonds et ses manières de brute.

Elle avança d'un pas, mesurant sa petite taille face à l'homme. il riait d'une voix d'ours mal léché comme il semblait être et le jointures des doigts de la jeune maman blanchissaient sur la garde de l'épée à force de la serrer comme si sa vie allait en dépendre.*



Godfroy. a écrit:
"Mais s't'une évidence ma p'tite Dame, vous ici, à s't'heure, dans l'pire endroit d'la ville pour si gracieuse libellule...

Vous sauriez ce que vous cherchiez, vous l'auriez déjà trouvé... Mais là, visiblement, vous n'y êtes pas encore...

Mais j'peux vous dégoter s'qui vous arrange, savez?"



*Elle s'avança encore d'un pas en plantant ses bottes dans le pavé en regardant l'inconnu. *



Ptet ne sais-je seulement pas où mener ma quête ! J'me fiche de vos ptites fioles ! Allez donc droguer aut' manant ! J'suis sure qu'y'en a ici qui d'mand'rons pas mieux que vos ptits morceaux de soleil en fiole dans leur existence minable !

Mais s'vous voulez vraiment m'aider, dites moi donc si z'avez vu passer une jolie blonde dans l'coin ! Un d'vos compagnons de rues a frappé l'homme qui aime cette d'moiselle au poignard... mais j'imagine que vous ne sauriez me dire qui c'la peut être !



*D'un air de défi, la petite dame regardait bien campée sur ses jambes musclées le bonhomme au sourire enjoleur qui la regardait d'en haut.

Il ne lui rappelait que trop le jour qui avait changé son existence... ça faisait un an ...

Emportée à nouveau dans ses souvenirs, elle ne put s'empêcher de fermer à nouveau les yeux une fraction de seconde en revoyant la lance s'enfoncer dans l'abdomen de ce barbare qu'on voulait lui faire épouser. Elle revit le sac de patate et à nouveau le noir.

Elle rouvrit les yeux ...*
---fromFRMr_Jourdain
{ Sous un arbre... }


Ses yeux parcouraient son corps, rêvant déjà au plaisir qu’il allait prendre, imaginant ses formes sur lesquelles son stylet s’amuserait, un sourire sur le visage, la gueuze ne pouvait se douter de ce qui allait lui arriver, elle s’offrait à lui, comme il aimait qu’elle fasse toute.

Il l’a suivit alors, un peu à l’écart des habitations, cela l’arrangeait nul ne pourrait entendre les cris, qui à n’en pas douter, allait se répandre bien loin.

Il glissa à son tour sous les branchages, la regardant défaire un à un ses vêtements, laissant sa peau apparaître progressivement, ses pensées ce bousculaient dans sa tête, son corps commençait à s’embraser. Il aurait aimé lui-même la dévêtir, la découvrir, mais la belle faisait tout, tel une danse, laissant glisser un à un ses habits.

Ses mots dans son oreille raisonnèrent, il plaqua alors les mains sur son fessier, l’attirant contre lui, qu’elle puisse sentir l’effet qui grandissait en lui. L’attirant alors contre le tronc de l’arbre, la plaqua dos à celui ci, il retira brusquement le lacet de ses braies.

L’embrassant alors dans le cou, lui mordillant la peau, ses doigts glissant sur sa peau, s’attardant dans ses zones sensorielles, la sentant réagir, mais prenant le temps, tout son temps, pour une raison qu’il ignorait, ce jour, il voulait se distraire, savourer ce moment, la belle était attirante. Il susurra à son oreille,


Alors, j’te plais, belle de nuit,

La regardant alors, sous le peu de rayon de lune qui transperçait l’épais feuillage

Ma marchandise te convient ?

Il sentit alors ses braies glisser le long de sa jambe
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PNJ
Jack_daniel
L'observateur attendait, à l'affut, l'attente était un peu longue mais il s'en accommoderait, quoi que... Le môssieur et la dâme étaient encore en action et le temps passait que pouvait-il faire? En plus, elle n'était certainement pas la seule prostituée de ce quartier trop tranquille, peut-être bien qu'elles étaient toutes occupées. Il n'empêchait qu'il perdait des chances et de son temps si précieux en restant faire le guet. Il était revenu à la civilisation, les proies étaient bien plus nombreuses que dans les forets, il pouvait se permettre d'en abandonner une pour en chercher une plus...rapide. Il sourit intérieurement à l'idée, chercher une proie plus rapide était une nouveauté pour lui. Il se décala de son mur et sortit du porche jetant un dernier coup d'œil au couple en plein ébat. Il regarda autour de lui, il aperçut une rue mais décida de ne pas aller dans cette direction et se tourna plutôt vers l'endroit de où il venait. Il avança en faisant claquer son bâton sur le sol ...TAC...TAC...TAC... Soudain, il aperçut une sorte de sauvageonne penchée sur son dessin.

Enfin de la vie, il était heureux, elle pourrait surement l'aider. Il y avait quand même une petite chose qui le dérangeait, c'était l'aura qu'il avait sentit tout à l’heure. Il hésita très peu, l'espace d'une seconde, et se remit en marche, la dague toujours placée dans sa manche. Il ne faisait pas attention à cacher sa présence, il saurait se défendre en cas d'attaque. Plus l'encapuchonné avançait plus la haine qu'il ressentait lui parut forte plus une force lui venait, lui venait aussi une envie de meurtre, de massacre sanglants de sacrifices rituels... Ses yeux étaient brillants et son sourire sadique réapparaissait, le faisant ressembler à un fou pour toute personne qui aurait aperçut sous son imposante capuche.

Une parole prononcée, non loin sous l'arbre lui fit agrandir son sourire mais d'amusement cette fois.
Alors, j’te plais, belle de nuit, Ma marchandise te convient ? . Il réfléchit et se murmura à lui même de sa voix coassante. Encore un jeune premier en mal de sensation qui a besoin de se sentir rassuré sur la taille de sa virilité par une prostituée dont c'est la tâche qu'il se sente important. Héhé, si j'étais elle je lui apprendrais... Enfin j'pourrais ptet quand j'en aurais fini avec c'te représentante de la gente féminine, là bas. Son attention quitta le dessous de l'arbre pour se concentrer sur sa future interlocutrice. Il se rapprochait de plus en plus...

À une distance de sécurité de la femme, il s'arrêta et regarda celle-ci.
Alors, femme, on aime les beautés éphémères et noires? Peut-être les papillons s'envoleront-ils ? Il eut un sursaut d'épaule, tout ce qui montra son rire. Vostre dague est fort belle, mais pourquoi ne la rangeriez-vous pas? Une personne comme vous ne ferait que se blesser face à une personne comme moi. Il baissa la tête avant de refaire son mouvement d'épaule signifiant sa franche hilaritée. Oui, peut-être s’envoleront-ils. Il s'arrêta, remonta un peu la tête, on ne pouvait toujours pas voir son visage, et attendit la réponse, appuyé sur son bâton et toujours prêt à saisir sa dague au moindre geste la rendant nécessaire...
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