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[RP] La rue de Traverse.

---fromFRAnonymous
Fermement campée face à lui, la jeune impertinente qui aurait pû etre sa fille le narguait du regard avec insistance, comme cherchant querelle, chose à éviter avec Godfroy s'il en était...

Et la voilà déjà d'un ton presque moralisateur lui lançant des propos des plus éloquents:


P'tet ne sais-je seulement pas où mener ma quête ! J'me fiche de vos ptites fioles ! Allez donc droguer aut' manant ! J'suis sure qu'y'en a ici qui d'mand'rons pas mieux que vos ptits morceaux de soleil en fiole dans leur existence minable !

Mais s'vous voulez vraiment m'aider, dites moi donc si z'avez vu passer une jolie blonde dans l'coin ! Un d'vos compagnons de rues a frappé l'homme qui aime cette d'moiselle au poignard... mais j'imagine que vous ne sauriez me dire qui c'la peut être !




Il lui répondit dans la foulée d'un ton des plus autoritaires:


"Oulala mais si ça part sur s'te voie ma pov'Dame ça risque d'mal se mettre... enfin surtout pour vous...
Moi j'ne fais qu'apporté un peu d'réconfort par l'artifice illusoire d'ce genre d'substance...
D'ot' pourrait tout aussi bien s'divertir autrement... vec'vous par exemple... et l'est fort à parier q'vous seriez d'plus amusante dans vot'genre... un p'tit casse-croute pour la route...

Et sachez q'des "jolies blondes" on en voit passer un d'ces paquet, et oui j'en ai vu une partir avec quelqu'un ya peu... j'la connait même très bien en effet... et ell'était aussi accompagné d'une ot'connaissance..."




Puis prise d'émotion un court instant, la jeune Dame ferma les yeux, suffisament pour que Godfroy, d'un vif pas en avant se retrouve à portée pour l'étreindre vivement par la taille d'un geste puissant, l'empêchant ainsi de dégainer sa lame... puis il replongea son regard au plus profond des yeux d'un vert appétissant le fixant avec une stupeur mêlée de crainte la bougresse se débattant telle une diablesse et il la décolla presque du sol pour mieux la maintenir, ses bottes frappant le sol par intermittance dans sa tentative d'évasion... il lui répliqua alors:

"Mentez pas voyons... s'n'est point en s'te rue q'l'on trouve quiconque d'sensé... par contre si la honte vous fait bouder vot'plaisir ce'rait fort dommage pour vous... j'peux vous trouver une femme si c'était cela q'vous recherchiez... quand aux hommes disponible... ya guère q'moi, j'pense..."




Puis écartant de son bras de libre le pan de son long mantel, Godfroy en extirpa un fiole qu'il débouchonna d'un rapide geste de son pouce et la vidant d'une traite, il la bu en deux petites gorgées l'extreme amertume lui fit plisser les yeux. Il regarda de nouveau la petite farouche tandis que l'alkaloïde s'inscinuai au sein de son âme...
Jess_la_tueuse_folle
*Sa voix plaisait de moins en moins à la jeune femme, trop chevrotante par rapport à l'assurance qu'elle voulait dégager sans succès.
Elle se sentait trop petite par rapport à l'homme qui aurait pu, sans doute trop facilement, la soulever au-dessus de lui comme un vulgaire sac de farine.

Elle avait apparement énervé cet homme... mauvaise idée sans nul doute vu le ton autoritaire auquel elle faisait face à présent, arborant un air aussi indifférent que possible mais tremblant de l'intérieur.*


~T'fai pas l'poids cont' ce gros machin ma cocotte ... Pourquoi faut toujours qu'tu t'attires des emmerdes ?~



*Elle continuait de serrer toujours plus son arme, comme si elle était devenue un prolongement de son bras.*



Comment osez-vous m'parler ainsi ? Z'avez pas l'droit d'traiter les gens comme vous faites ! J'vous ai dit que j'me fichais d'vos substances ! Allez donc les vendre à vos pecnauds plutot qu'de m'tenir l'crachoir ainsi ! C'est qu'j'ai pas qu'ça à faire !
Et j'me baladerais pas dans vot' coin paumé si j'en avais pas b'soin !



*Elle se mit d'un coup à frémir en s'entendant traiter de casse-croute, commençant à s'inquiéter pour son sort quand l'homme la prit par la taille en plongeant son regard dans le sien. Elle tentait de se débattre, mais que faire face à cet homme de deux têtes de plus qu'elle qui faisait au bas mot deux à trois fois sa largeur.

Elle perdit tout d'un coup le reste de sa belle assurance ...

Elle le bourrait de coup de poings de rage, regrettant de n'avoir sorti plus tot son amie Pointue, en tentant de s'enfuir de l'étreinte.*



Lachez moiiiii ! Espèce de pervers pathétique ! Lachez moi donc ! Je cherche pas une d'vos catins et encore moins un revendeur à la noix ! Je veux juste trouver ma LYIIIiiiiaaaaaaa.

Lyyyyyyiiiiaaaahahahahaaaa



*Des larmes de rage s'écoulaient maintenant des yeux de la petite dame qui était bien heureuse tout d'un coup d'avoir laissé sa fille au moulin. Elle au moins serait protégée.

La peur s'insinuait dans son âme par chaque pore de sa peau et on pouvait la lire dans ses yeux comme en un livre ouvert.

Ses coups sur le mastodonte mûr se faisaient moins forts, moins précis alors qu'elle le voyait avaler une de ses petites fioles, toujours maintenue au-dessus du sol.

Sa voix était loin et son esprit déjà était sorti et revoyait le passé. Décidémment, cet homme lui faisait trop penser au brigand et elle revit l'enflure lui étreindre la taille et arracher ses vêtements alors qu'elle se débattait dans la grotte...

La jeune femme ferma de nouveau les yeux un instant, ni résignée, ni battante ... juste comme absente du monde un instant.*
---fromFRAnonymous
Malgrès sa jeunesse, sa fraicheur et sa petite carrure, elle lui semblait des plus farouches cette petite, et ne se rendait pas vraiment compte que sans la force, la discrétion était de mise dans cette endroit pareil et cette "donzelle" toujours aussi bruyante croyait dans cette endroit reculé et évité des passants, pouvoir attirer quiconque par ses simples hurlements. Ceci fit se dessiner un large sourire sur le faciès de Godfroy qui se faisait rosser d'une petite volée de coups dispensés avec ardeur par les frêles poings de cette jouvencelle le faisant s'esclaffer d'autant plus face à l'inertie de sa propre masse résistante à bien pire traitements. Cette petite hurlait tant qu'elle pouvait un prénom que l'homme n'écouta même pas. Déjà au sein de son esprit fusaient mille idées qui toutes se montraient aussi satisfaisante les unes que les autres...

Quelques gouttes de pluies commencèrent à former de petits cercles humides sur le pavé et déjà au loin un grondement de tonnerre fendait le ciel et parcourait la campagne, se perdant au loin.

Godfroy se dirigea vers le mur tout à coté et colla durement contre la froide surface de pierre de taille le corps de son otage provisoire, se servant de son propre poids afin de l'y maintenir. Abusant de sa force, il glissa sa main sur celle de tenant toujours fermement la garde de l'épée et l'ôta fermement pour enfin à son tour plaquer son bras contre le mur, l'y maintenant avec force. De sa main libre il retirera la lame de son fourreau et la jetant au loin elle rebondit au sol dans un sonore bruit d'acier Godfroy s'empara de ce petit corps par la taille et la portant sur son épaule tout en la maintenant fermement, il sentait toujours des coups rageurs lui marteler le dos tandis que lui, longeant le mur, l'emportant tel un vulgaire sa de viande, il retourna dans le profond renfoncement de la porte cochère depuis longtemps condamné et jeta négligemment à terre le petite impertinente qui aura vite fait d'apprendre ne serait-ce que les bases même du bon sens...

Au dehors la pluie commençait à tomber de plus en plus en faisant luire les rues ruisselante, peu à peu. Godfroy regarda le feune femme assise au sol, les bras la retenant de plus s'incliner en arrière et cette lueur de détresse dans le regard emplit de larmes rageuses ne le faisait que se sentir plus puissant...


"Et bin ma toute belle... t'veux toujours autant faire ta maline?
J'étais poli... fallait décliner calmement et passer son chemin...
Et v'la... un mot d'trop et c'est l'drame... j'ai bien une tite idée de comment te pourrais t'faire pardonner...
Mais j'crois bin qu'ça risque de t'sembler peu engageant..."


Il éclata spontanément d'un rire tonitruant et tout autant caverneux que confiant, car il voyait mal comment ce petit bout de femme allait bien pouvoir se défaire de le situation... il rajouta alors d'un timbre de voix sinistre:

"Mais j'crois qu'avant toutes choses j'vais devoir t'présenter à un ami..."

Retournant juste à la sortie du petit couloir de l'encadrure cochère, mais veillant tout de même à en bloquer le passage il jeta un regard moqueur par dessus son épaule à la Donzelle. Epiant a travers l'épais rideau de pluie de droite at à gauche l'éventuelle présence de quelqu'un, Godfroy une fois rassuré poussa un puissant cri afin d'appeler son ami:

"Wölf !!!
Wöölff !!!
Wöööfff !!! "

Se demandant où est-ce qu'il avait bien pû fourrer son nez avec un temps pareil, Godfroy tapa rageusement de sa botte au sol, tandis que la pluie battait son plein, dispersant ses ardeurs sur la ville en proie à ses caprices, le tonnerre faisait rage et des flashs lumineux illuminant les murs de la ville, dessinant un sinistre contre-jour de la silhouette de Godfroy ...
Jess_la_tueuse_folle
*Voilà que même le temps semblait se liguer avec cet homme moqueur à la carrure impressionnante, déversant torrents de colère et cordes de méchanceté sur la jeune femme qui venait d'être rudement plaquée au mur par cette brute épaisse dont la panse à cervoise la maintenait contre les pierres dont le froid glacé mordait déjà la peau de Jess au travers de la cape et du chemisier trop fin.

Le mélange de haine et de peur dans les yeux de la petite femme aurait pu faire pitié à n'importe quel homme de bon sens mais il était évident que son assaillant n'en était pas un.

Il lui prit la main et la plaqua elle aussi contre le mur, laissant la jeune femme sans défense et sans mouvements telle un vulgaire pantin inanimé dont le quadragénaire tirait les ficelles au gré de son envie.

Un sourire vicieux était apparu sur la face de pou hideuse de cet homme dont elle ignorait tout et la jeune folle se demandait bien à quelle sauce elle allait pouvoir être mangée. *


~Si seulement je pouvais sortir...~


*Elle n'eût même pas le temps de se perdre dans ses pensées que l'homme avait arraché son amie de son fourreau et l'avait lancée dans les rues pavées.

Un cri de désespoir sortit de la bouche de la jeune femme en voyant ainsi disparaitre son amie d'acier emplie de souvenirs.*



NOOOOONNNNNNN ! Pointue ...


*Comme si elle ne pesait pas plus lourd qu'une plume, il la prit sur son épaule comme un vulgaire paquet et l'entraina dans un coin sombre sous une porte cochère dont les débris et les détritus laissaient supposer qu'elle n'avait été usitée depuis maintenant fort longtemps.

Jess se rendit alors compte qu'elle pouvait très bien mourir dans cette ruelle maudite et commença à paniquer alors que le balourd la jetait sur le sol dans un bruit assourdissant, la faisant tomber lourdement sur l'épaule gauche.

Douloureusement et se tenant l'épaule elle se rassit et recula un maximum heurtant des débris et déchirant ses bras sur des échardes et des vieux clous rouillés dépassant de morceaux de bois en piteux état.*



Pourquoi ? Pourquoi vous m'faites ça ? Je vous voulais rien moi !
J'vous parlais pas, j'cherchais juste ma belle Fouetteuse !



*La jeune femme tentait encore de reculer alors que l'homme voulait qu'elle se fasse pardonner d'on ne sait quel vice qu'elle avait fait envers lui.
Il se mit soudain à crier un nom.

Jess regardait partout autour d'elle un moyen de s'échapper mais la seule voie était celle par où elle était entrée.

Se relevant courageusement, elle fonça sur l'homme en tentant de le renverser grâce à son élan sans parvenir à le faire bouger.

Elle tomba à genoux à ses pieds en sanglotant, regrettant son épée et se disant que Lokli était parti quand elle avait le plus besoin de lui.*



Qu'est-ce que j'vous ai fait ? J'ai cherché personne pourtant


*La pluie commençait à chasser, trempant l'homme massif de ses fines cordes et donnant au visage de la jeune femme un air encore plus désespéré et miteux. Ses cheveux foncés tombaient lamentablement le long de son visage et ses vêtements pendaient mollement le long de son corps.*
---fromFRKarina della Puerte
*Elle se laisserait bien glisser près du couple et voir elle aussi de plus près la fameuse marchandise du pauvre petit puceau.

Voire même y gouter pourquoi pas ?

Elle entend le bruit caractéristique du bâton de l'encapuchonné derrière elle alors que des cordes de pluie se mettent à brouiller et effacer le dessin de cet étranger.

D'un bond, comme si elle devenait chat sauvage, elle se relève et s'éloigne à distance prudente, ses yeux cachés par la frange de cheveux et la dague étincelante ne pouvant qu'être remarquée.

D'entre ses dents sort un étrange sifflement semblable à celui qu'aurait fait un serpent.

Elle regarde l'homme et ne voit pas d'avantage son visage que lui ne voit le sien et elle sent que cet homme est différent... dangereux !

Qu'ose-t-il lui dire de sa dague ? Elle sait s'en servir et n'a pas peur de la mort ou de la torture de toute façon. Elle est déjà tombée trop bas dans les vicissitudes et les bas-côtés de la vie pour s'en faire.*



Vous êtes doué avec votre charbon l'encapuchonné ! Et laissez donc ma dague où elle est ! Qu'est-ce que vous me voulez ?


*Elle reste à prudente distance, ne comprenant pas vraiment les allusions de papillons que l'homme tente de lui faire mais sentant toujours une colère haineuse chez ce sadique ... Il lui semble trop proche d'elle quelque part...*


~Toi mon coco, je te tiens à l'œil !~
Bentich
Sur la place du village

En cette après d'avril, Ben avait décidé de se promener sur la place du marché, pour discuter avec tous les marchands, et leurs poser les questions qui le tracassaient au sujet des prix du pain et du blé. Il en avait profite pour emmener Max, son rottweiller. Le temps était propice aux négociations, il se dirigea vers les étals des boulangers et après de bonne discussions Ben était parvenu a conclure des accords intéressants, non seulement pour les boulangers mais également pour les ponots.

Il se rendit ensuite dans les différentes échoppes et discuta de tout et de rien avec les artisans.

L'ambiance festive sur le marché était magnifique, Max complètement remis de ses blessures lors des attaques des brigands. On voyait sa magnifique musculature bouger sur son poitrail a chaque pas. L'œil toujours vif et toujours attentif aux moindres gestes de son maitre.


Ben s'assit a une terrasse et discuta avec l'un des clients

Alors l'ami comment cela va t il aujourd'hui

Ho pas trop mal msieur le maire, dur dur de trouver du pain en ce moment!!

Et oui je sais, mais la j'ai conclu quelques accords avec des boulangers et notre CAC également donc d'ici demain a mon avis cela va allez beaucoup mieux.

Il offrit un verre au ponot, trinqua avec lui et après avoir bu sa choppe le salua, et reparti pour sa promenade, Max toujours derrière lui.

Tout à coup, son regard fut attirer vers le bout de la place, d'où il se trouvait il reconnu la silhouette rousse de Lokli, qui filait droit dans la direction du moulin de Jess.


Tiens bizarre ça, en général il est toujours sur les épaules de Jess, et vu comment il se déplace, il a plutôt l'air effrayé.

Il vérifia en bon soldat de l'Ost qu'il était, qu'il avait bien tout son armement, épée, dague, et bouclier dans le dos, il regarda Max, qui de suite compris, et se dirigea dans la direction opposée à celle de l'écureuil, Max à ses cotés
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Shankabangbang
Shan était dans une rue adjacente, occuper à marchander un prix avec un alchimiste sur une potion qui selon ces dires exterminerais sainement les charanssons qui lui posait des problèmes dans ses champs de blé.
La discution durait depuis bientôt une demi-heure. Mais quelque chose vint interrompre ce marchandage.
Un cri étouffé par la facade des maisons... Cela venait de la rue adjacente.
L'alchimiste ambulant dit avec un sourire sadique :


" M'est avis qu't'en a un qui passe un mauvais quart d'heure!"

Shan regarda d'un œil noir le marchand qui effaça immédiatement son sourire. Ce n'était pas vraiment le cri qui l'avais perturbé, car après tout ce genre de situation était monnaie courante au chemin de traverse, mais plutôt la personne qui l'avait poussé. Il avait cru reconnaitre une voix.
Il eut un bref moment d'hésitation... Car il savait que cette rue n'était pas sur même lorsqu'on était armé.
Mais le doute le rongeait, il fallait qu'il en soit sure...
Le problème, c'était qu'il n'y avait que deux passage pour cette rue et il devrait revenir jusqu'à la place pour y parvenir.
Il courut aussi vite qu'il le pouvait, pris à droite, à gauche la place était en vue... Il savait que sur la droite il y avait une petite ruelle qui lui ferait gagner quelques bonnes dizaines de mètres.
Il s'y engouffra.
Encore quelques mètres et il serait devant l'entrée du chemin de traverse.
Mais alors qu'il sortait de la ruelle, il heurta de plein fouet quelqu'un.
Il s'agissait de Ben accompagner de Max.
Shan se releva, sa tempe était prête à exploser.


"Je...hhhh... j'ai... crier...hhhh... cru que... Jess... courut... hhhh.. problème!..."
---fromFRMi-ange Mi-démon
[Dans la chambre]

Le client la regarde, il est prêt à l'explosion. Il se retire. Mi-Ange, en profite pour s'occuper encore un peu de son amie. Dormant à moitié sur le drap, elle caressa du bout des doigts l'épaule de la belle endormie. Le frôlement de ses doigts la réveille et sans ouvrir les yeux, un doux sourire aux lèvres apparait. Posant sa joue contre sa poitrine, elle soupira en la caressant du bout des doigts. Elle promenait ses doigts sur son ventre plat, sa poitrine généreuse, sa taille fine. Ses courbes étaient parfaites et sa beauté sans pareil. Sa main continuait son incessant ballet sur le corps de sa coéquipière. Ses gestes étaient doux, son plaisir était prêt à déferler en vagues, très vite, trop vite pour une professionnelle ...

Mi-Ange aimait défier ceux qui la provoquaient et se montrait toujours prête à accepter le duel. Après avoir reprit le contrôle de ses sens, il voulut l'embrasser mais, se retint. Il commence ses préliminaires sur elle. Sa belle tige métronome bat la cadence de son désir, l'encourageant à continuer à prodiguer ses caresses. Ne tenant plus, l'homme se redresse alors dans un souffle, d'un fort coup de rein se plonge dans la chair et la pénètre sauvagement. Mi-Ange le fixe. Aucune expression ne se lit sur son visage. Elle sent son corps bouger sous ses coups et agrippe le matelas pour ne pas trop avancer vers le mur, mais continuait à le fixer froidement, attendant sa délivrance. Pour le faire activer, elle le prend par les hanches et rentre ses ongles dans sa chair et frénétiquement, puissamment elle le griffe ...


Alors coco on fatigue ?

Lui dit elle sur un ton moqueur espérant le voir achever sa chevauchée...
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---fromFRWölf
[ Proche de la rue de la Traverse ]

La pluie battante, drue et bruyante, parsemées de lumières effrayantes qui font tant de bruit. Wölf, les oreilles couchées, attend à l'abri plaqué contre un mut, l'inclinaison de la pluie ne le touchant pas, et il attend, sans but.

Une grosse voix se fit entendre au loin faisant se dresser les oreilles du loup, son maitre prononçant son nom sans ménagement, l'appelant à lui. Encore ce gros "deux-pattes" qui va l'invectiver s'il ne le rejoint pas au plus vite. Peut-être même qu'il aura quelque chose de bon à manger, avec un peu de chance...

Prenant son courage à plein croc, Wölf se lêve et d'une vive lancée il s'engouffre dans cette pluie épaisse, au petit troc, ses coussinets émettant de petits claquements humides sur les pavés. Arrivant rue de la traverse et dégoulinant de pluie, il se mit à longer le mur tandis qu'au loin se dessinait à travers le rideau de pluie la silhouette de son maitre.


[ A l'approche d'une profonde porte cochère ]

Baissant les oreilles à son approche, il remu tout de même un peu de la queue histoire de mimer la satisfaction de voir de gros "deux pattes" qui satisfait tout autant ses intérêt que l'inverse.

Mais quelque chose intrigue Wölf à l'approche de la porte cochère... l'odeur d'une jeune femelle "deux pattes", mais ce qui titillait surtout sa truffe était cette odeur de peur environnante et ce bruit ténu d'une respiration rapide émise pas la "deux pattes" qui semble en difficultés...

Wölf tout à coté du vieux "deux pattes" baisse la tête pour quémander caresse.

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---fromFRAnonymous
[Dans l'encadrure de la porte cochère, avec Jess]

En attendant son "ami", Godfroy commençait à ressentir les effets néfastes quoi qu'agréable de l'absinthe parcourir son esprit, saisissant sa raison toujours traversée par les pires idées auxquelles songeait l'homme quand au devenir de le petite sotte acculée dans son coin.

Des bruits de galopade canine se firent entendre dans le crépitement de la pluie et la forme d'un loup se devinait à travers l'orage, illuminé par les éclairs claquant par intermitence. S'approchant de lui, le loup se mis de lui même en soumission, tant par la crainte de la carrure de Godfroy que le souvenir de la volée à coups de fouet que Wölf avait subit lors de son "dressage"...

Lorsque se dernier arriva à portée de main, Godfroy s'accroupi et flatta l'encolure d'une caresse aussi ferme qu'attentive et il lui dit d'un ton paternel:


"Ba alors, garçon?
T'étais passé où?

P'tain! si Kristen t'voit trempé comme un rat, elle va m'mettre une d'ces chasse de t'avoir laisser vadrouiller.....

Tiens, bonhomme, regarde là... t'a une nouvelle copine..."




Le vieux brisquart termina sa phrase en faisant un large signe de menton envers l'impertinente blautit dans son coin. Elle n'avait peut-être pas encore bien saisi ce que Godfroy appelait un "Casse-croute" ni d'ailleurs le vice qu'ont les hommes de certains spectacles...

Il éclata d'un rire largement moqueur et se relevant, il se dirigea vers la donzelle. Le saisissant par le col en se penchant vers elle, il se mit presque nez à nez et plongea son regard dans celui de la belle dont la terreur grandissante et le désarroi pouvait se lire aisément:


"Ba tu vois, j'suis un vilain, alors...
C'est vrai q'j'ai même pas de réelle raison de t'faire du mal...
Juste ça va m'amuser...

Quoi q'si t'a une idée amusante, tu peux toujours la proposer pour sauver ta couenne..."




Godfroy ne voulait pas obtenir par la force, moyen trop facile de "cueillir" cette fleur... non... il était beaucoup plus pervers que ça... il voulait qu'elle lui offre de son "gré" quelque chose, qu'importe quoi du moment que l'homme désoeuvré avait une souris qu'il tenait par la queue et qu'il regardait se débattre dans une lutte dont l'issue ne lui serait pas en sa faveur... Il aimait ce sentiment de puissance...

Se reculant quelque peu, il lui administra pour le plaisir une gifle cinglante, lui projetant la tête sur la coté, presque à en toucher le mur. Il laissait le loup faire les "présentations", 60 livres de viande, poils hérissés malgrès qu'ils soient trempés et des babines retroussées montrant des crocs bien visibles, approchant à pas feutrés, et comprenant d'instinct que ce "petit chaperon" serait une bonne encas...


"Tu veux jouer avec ton nouveau copain ou... a-tu une bonne idée?"




Godfroy plongea son regard de glace sur sa proie offerte au loup et un large sourire sadique se dessina sur ses lèvres...
Jack_daniel
La pluie frappait maintenant le manteau ciré qui remplisait l'atmosphère de petits "ploc". Les murs semblaient plus sombres, le pavé aussi. L'eau ruisselait devant se yeux ce qui le força à relever encore la tête. Sa bouche ne lame de couteau et ses lèvres presques inexistantes apparurent, on l'aurait dit taillée par un coup de de rasoir d'un barbier. Il détailla la femme qui venait de faire un saut digne des petits félins peuplants la région. Elle était particulière mais pas franchement mal formée...

Un sifflement s'échappa des lèvre de l'incconue, on aurait dit un chat. Le sourire de l'homme s'élargit, laissant apparaitre des dens pointues et acérées. Le sifflment se tut pour laisser place à des mots intelligible, cette fois.
Vous êtes doué avec votre charbon l'encapuchonné ! Et laissez donc ma dague où elle est ! Qu'est-ce que vous me voulez ?

Son sourire se changea en un sourire salace et il se mit à parler de sa voix coassante. Je suis tout simplement doué avec mes dix doigts, femme. Il redevint sérieux pour continuer son palabre, ingnorant d'un mouvement de la main la réponse insolente d'une femme envers un homme, son maitre. Ce que je veux, c'est simple, de l'aide. Il détailla la femme. Vous ne payez pas de mine, vous ne conviendriez surement pas. Je cherche des catins susceptibles de travailler avec moi. Je puis assurer protection et aide en tous genres pour toutes sorte de service. Si vous pouviez m'indiquer les personnes qui seraient intéressées, je pourrais vous proposer ceci. Il sortit de son manteau le corset ouvragé couteux qu'il avait ramassé plus tôt. Le troc n'était-il pas la meilleure monnaie...

Alors, femme...intéressée?

Pour apaiser les craintes du jeune animal, il s’assit en tailleur par terre, signe de faiblesse énorme. Si elle devait l’attaquer, elle le ferait mais il était convaincu qu’elle recherchait autre chose que de la sauvagerie pure. Il ne le dérangerait pas qu’elle l’attaque, il était prêt à riposter.
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Jess_la_tueuse_folle
[Dans l'encadrure de la porte cochère, avec la Brute et son loup]


*Chaque minute qui s'écoulait lui semblait plus longue, la rapprochant d'une issue trop incertaine à son goût.
La Brute la regardait avec des yeux de plus en plus pervers, ne lui répondant même pas pour mieux la lorgner d'en haut avec son air sadique.

Elle semblait plus petite encore à terre ainsi, trempée de pluie et de la sueur froide de sa peur.

Elle recula et se blottit dans un coin en voyant arriver le fameux copain qu'avait appelé le mastodonte.

Elle cherchait du regard, tentait de réfléchir à un plan de sortie mais ne voyait que ce loup et cet homme dont la perversion avait atteint un degré tellement élevé.
La tête de la jeune femme n'arrivait plus à fonctionner à la vue de l'effrayant couple.

Elle comprit soudain ...

C'était soit la Brute... soit l'estomac du quadrupède affamé.

L'homme la souleva de terre en la mettant quasi nez à nez avec lui, ses yeux plongés dans les yeux de sa proie. *



Godfroy a écrit:
"Ba tu vois, j'suis un vilain, alors...
C'est vrai q'j'ai même pas de réelle raison de t'faire du mal...
Juste ça va m'amuser...

Quoi q'si t'a une idée amusante, tu peux toujours la proposer pour sauver ta couenne..."



*Ca y est ... ils en étaient au fait et la jeune maman se trouvait au pied du mur ... L'homme ou le loup ... la vie ou la mort ...

Le gaillard semblait prendre un plaisir inouï à la voir ainsi à sa merci et effrayée.

Elle se reprit courageusement, ne voulant pas lui donner le plaisir de la voir tremblante et ne reçu en retour qu'une baffe imméritée et douloureuse.

Elle sentit un liquide chaud s'écouler doucement de sa lèvre. Voilà qui n'allait pas calmer le loup à n'en point douter.*



Godfroy a écrit:
"Tu veux jouer avec ton nouveau copain ou... a-tu une bonne idée?"



*Et le revoilà à lui reproposer la vie dans un regard glacé.
Elle plonge son regard émeraude dans le sien et s'accroche à ses bras qui la maintiennent toujours au dessus du sol*



Il n'y a pas assez de femmes ici ... C'est moi que vous voulez depuis le début n'est-ce pas ?


*Obligée d'abandonner sa fierté et de se laisser faire par ce goujat ...
Les mains tremblantes elle déboutonne les deux premiers bouton du chemisier sous lequel apparait un corset lacé et la naissance des seins laiteux de la jeune maman.

Elle le regarde dans les yeux, tremblante comme une feuille et n'osant plus dire un mot, poupée inanimée dans les mains d'une brute qui ne veut qu'abimer ...

Ses yeux se ferment une seconde à nouveau ... image du passé... Lui sur elle à tenter de déchirer ses vêtements ...

Ce n'est pas tellement différent aujourd'hui ... La violence est la même même si elle se cache !*
Bentich
La pluie ne cessait plus de tombé, et Ben accompagné de Max, parcourrait les rue du puy, a la recherche de Jess, le fait que Lokli avait fuit vers le moulin ne présageait rien de bon.

La main sur l’épée prête à la sortir, Ben avançait d’un pas rapide, il suivait la direction opposée de l’écureuil, mais ou allez exactement, les ruelles du Puy était nombreuses et le nombre de croisements dépassaient l’entendement.

Tout à coup, Shan arriva sur Ben presqu’en le renversant, ses paroles étaient hachées
Ben compris juste Jess, le reste il le devina, elle avait des ennuis.


Bon Shan calme toi reprends ta respiration et explique moi ce que tu sais

Après quelques minutes, Shan explique a Ben qu’il avait entendu, crier Jess dans la rue de travers, et qu’il en avait conclu qu’elle avait des ennuis.

Ok on va y aller, tu m’accompagnes, on ne sera pas trop de deux et avec Max, on a une sécurité en plus.

Ben tendit sa dague a Shan, et ils prirent la direction de la rue la plus mal famée du Puy.

Après quelques minutes, ils arrivèrent a l’entrée de la rue, et malgré la pluie qui tombait drue, Ben aperçut des filles de mœurs assez légère, et des hommes, qui à en juger par leur façon d’être, ne pouvaient avoir la confiance de Ben. Il calma Max, qui déjà, remontait les babines et laissait apparaitre une dentition parfaite.


Tout doux mon beau, garde tes forces pour la suite, car à mon avis, on est encore embarqué dans une histoire qui va laisser des séquelles.

Il fit signe a Shan, et les deux hommes et le chien pénétrèrent dans la rue. Ben avait son regard noir, et vu sa stature et sa détermination, personne ne sembla essayé de se mettre en travers de sa route, la présence de Max aidait surement. Quelques filles tentèrent de faire valoir leurs charmes, mais le maire les repoussa sans fioriture.

Dès qu’ils furent bien avancé dans la rue, Ben aperçut un objet au sol, et sans hésiter il reconnu l’épée de son amie.


J’arrive Jess t’inquiète ma belle, il ne sera pas dit que tant que je serai vivant, Angeline n’aura plus sa mère.

Il ramassa, l’épée, et la tendit a Shan

Voila au moins elle servira a quelque chose dans tes mains

Le soldat et le CAC du village reprirent leur avancée dans la rue, Ben avait dégaine son épée et était prêt à s’en servir si le besoin s’en faisait ressentir.

Tout à coup, le regard de Ben fut attiré par un drôle de manège, un homme de forte stature se tenait sous un porche, et parlait à un loup. Ben s’avança et au fur et à mesure, il se rendit !t compte qu’une personne assez frêle se trouvait coincé par l’imposant quidam. C’était Jess, il en était sur

Max grogna assez méchamment, les muscles bandés à l’extrême prés à bondir sur le loup pour un combat homérique. Ben quand à lui interpella l’homme, l’épée tenue fermement en direction de la brute. Après avoir demandé a Shan de surveiller leurs arrières


Dis donc espèce de brute épaisse, au lieu de t’attaquer a une jeune fille, peut être qu’un soldat de l’Ost ferait mieux l’affaire, et te permettrait au moins de prouver que tu n’es pas un lâche. Je te préviens de suite aux moindres gestes de ton loup, le gentil toutou que tu vois à mes cotés se fera un plaisir de lui faire goutter de sa mâchoire.

Ben regarda dans la direction de Jess, qui était, on peut le dire, en état de panique avancée

Jess c’est moi Ben, calme toi et rejoins moi si tu sais encore bouger.

Quand à toi espèce de grosse brute, tu la laisses passer avec gentillesse et sans faire de vague, sinon je serai aux regrets de te montrer que le maire de la ville sait se battre

Max aux moindres mouvements de ton lointain cousin tu va t’amuser avec lui.


Ben attendit calmement que Jess le rejoigne, mais espérait que cet homme qu’il ne connaissait pas, essaye d’empêcher la jeune fille de passer, son regard noir plongea dans celui du quidam, ce regard qui voulait tout dire, sur les intentions et les réactions de Ben envers l’homme qui s’en était pris à la mère de sa filleule
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---fromFRMaxlechien
Comme à, son habitude, Max se promenait avec son maître, dans les rues de la ville, le temps ne se prêtait pas à de longues ballades, mais son rôle était avant tout la protection de Ben.

Il fouinait, partout, ressentait des odeurs alléchantes, mais avait quand même toujours l’œil aux aguets.

Après quelques minutes passées entre les échoppes, il remarqua que son maître fixa son regard vers la bout de la place, et à sa réaction il comprit qu'il se passait quelque chose de pas normal.

Il suivit son maitre dans les ruelles de la ville. Un homme que Max avait déjà aperçut se heurta presque qu’à eux, et semblait faire des gestes assez imprécis et des sons incomprehensible pour le chien sortaient de sa bouche

Mais les ordres furent clair, et le rottweiler suivit les deux humains, dès qu’ils furent devant un chemin rempli de monde, l’animal montra les dents, mais son maitre le calma et prêt a se lancer sur qui oserait s’approcher d’eux, les deux humains et le chien avancèrent dans la rue. Le maître de Max, ramassa un objet assez long et brillant puis le donna à l’autre homme. Ils continuèrent leurs avancées, à la recherche de quelques chose mais l’animal ne savait pas quoi.

Puis tout se précipita, le chien se mit à grogner et retroussa ses babines d’une manière assez agressive et menaçante, en effet devant eux se trouvait un troisième homme qui menaçait une personne plus petite que Max connaissait très bien, mais ce qui attira l’attention du chien ce fut l’autre animal, un loup. Le chien entendit les paroles de son maitre envers les humains, puis un ordre lui fut donné


Bouge …………. Attaque , avait dit son maître en désignant le loup

Max se campa sur ses quatre pattes, l’œil vif, les oreilles couchées, une crête de poil se dressant sur son échine, les babines retroussées, montrant une dentition parfaite, d’un animal de six ans en pleine possession de ses moyens et aguerrit aux combats contre des ours, de loups, des lynx et autres animaux sauvages. Il était prêt, ses muscles tendus à l’extrême, prêts à se détendre comme des ressort. Le combat entre les deux animaux était inévitable et commencerait aux moindres mouvements du loup.

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Chien fidele de Ben
Shankabangbang
Shan était arrivé à coté de Ben... Il avait brandit son arme.
Ce contact le renvoya dans un lointain souvenir.
[Son père était un épéiste de renom dans le duché de Bretagne et il lui avait appris les diverses techniques du maniement des lames...
Durant c'est premières années, il avait acquit une bonne dextérité en épée... Mais cela remontait déjà à quelques années et depuis ce temps il n'avait jamais repratiqué cet art]
Il sentait le sang bouillonner dans ses veines, il ne tenait plus...
Tout ce qu'il souhaitait, c'était trancher la tête de l'homme qui maintenait Jess captive.
Mais il se retenait...
Il n'attendait qu'un ordre de Ben pour asséner une estoc meurtrière à l'agresseur.
Il ne tint pu, les mots sortirent sans qu'il s'en rende compte de sa bouche :



"Je te tuerais, maudit! Quoi qu'il advienne je te tuerais!"


Ses yeux était rouge de colère, ses veines tapaient d'un rythme frénétique le long de son bras... Il faisait tournoyer son épée avec une bonne dextérité.
Il n'attendait qu'un geste de l'homme pour l'attaquer mais il avait peur pour Jess... Il attendait, bouillonnant.
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