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[RP] La rue de Traverse.

---fromFRMerodack
[Dans la chambre, la nuit]

Je suis en pleine furie. Plus la brune me griffe et pince la peau, plus je met de force pour rentrer en elle, sans crainte de lui faire mal.
La douleur est source de plaisir. Veux-tu vraiment que je m'arrête, ou réclames-tu encore plus de ma virilité ?
Nous donnons vie au matelas, il s'agite comme chat au soleil, exprimant de ses grincements le plaisir de nos ébats.
Et la catin n'oubliait pas d'être provocatrice



Mi-ange Mi-démon a écrit:


Alors coco on fatigue ?



Augmentation nette de la vitesse. Ce sprint final me sera fatal je le sais, et je m'en contrefiche.
Je sens toutes les parties du corps s'emballer, que ce soit, le coeur, les muscles ou l'esprit.
Même mes yeux, qui pourtant veulent la regarder aussi froidement qu'elle laisse paraitre son plaisir, partent en arrière.
L'explosion est proche. Cette partie de plaisir tourne à la lutte des champions : trois combattants, elle contre moi, moi contre moi-même.
Plus elle plante ses ongles dans ma chaire, plus j'explose.
Plus je retiens mon présent nuptial, plus mon sang brule tous mes organes.
Résister, donner, resister donner...maintenant ce n'est plus possible
Je dépose mon flots d'offrande dans le théâtre des rêves, reprend mon souffle et me retire.
Quelles professionnelles!

Je partis dans un grand éclat de rires

Puis remplissant trois godets de vin, je bus pour me désaltérer. La redescente sur terre se fit en douceur, le plaisir était encore présent.

Me servant à nouveau, je parle ainsi aux deux catins :


Vous n'avez jamais pensé à travailler sur Paris ? Vous auriez du succès...
---fromFRLunitza
[Quelque part dans la Rue...]


Ravie de son dernier coup sur un naïf gentilhomme, qui avait une fois de plus ensorcelé par sa son visage fin, innocent et enjôleur, la petite chapardeuse déambulait dans la rue de Travers, qui était désormais devenu son fief, depuis quelques mois maintenant. Un large sourire satisfait ornait sa bouille de femme enfant. Fière de la bourse qu’elle venait de dérober, Lunitza, la Romni, jouait avec ce petit sac en cuir dans les mains, tout en sifflotant, se réjouissant pleinement des tintements qui provenaient des écus lorsqu’ils s’entrechoquaient, au fil des sauts que leur faisait subir la tzigane.

La journée avait été bonne. Avec les gains qu’elle avait réussi à accumuler, par ses vols à la tire, la fringante jeune femme pourrait s’offrir une chambre de choix, le soir dans une auberge.

Par ses méthodes sournoises, elle délestait toutes les richesses qui se trouvaient sur son passage, en moins de temps qu’il en fallait pour le dire ! Lunitza avait acquis dextérité et talent au fur et à mesure de ses années d’errance et de vagabondage. Surnommé, la « Fille du vent », jamais elle ne restait à un endroit bien longtemps. Depuis sa jeune enfance, avec son clan, la Romni parcourait chemins et campagnes, divertissant les villageois, sur leur passage. Elle gardait de merveilleux souvenirs de ses premières années d’existence…

Fidèle aux principes de sa culture et à ce que ses parents lui avaient inculqué, même après leur tragique disparition, la tzigane refusait de vivre d’agriculture, et continuait à voyager, même si cette fois, elle gagnait sa vie en tant que vide poche d’exception, et non plus en tant que saltimbanque. Mais elle avait guère eu le choix pour survivre, s’étant retrouvée seule…après cette journée de cauchemar…

Cela faisait quelques temps qu’elle se trouvait au Puy, et même si elle savait pertinemment qu’un jour où l’autre son envie de reprendre la route apparaîtrait, pour le moment elle s’y sentait bien. Beaucoup de victimes à s’occuper. Les gens ici étaient étrangement naïfs, et de façon démesurée, à qui il était facile d’escroquer et de chiper. Bourgade idéale pour Lunitza, qui pouvait à outrance user de ses leurres et tromperies, sans risques d’être démasquée. Il est vrai que son jeune âge ainsi son apparence de fille lisse et pure, à qui on donnerait bien le bon dieu sans confession, lui facilitait la tâche…



Elle s’apprêtait donc à rejoindre une auberge à l’autre bout de la rue de Traverse, quartier où elle logeait, le sourire radieux et ostensible aux lèvres, quand un grondement soudain la fit sursauter, suivi d’un véritable déluge, par cette pluie battante. Surprise par cette grosse et subite averse, plutôt que de finir trempée jusqu’aux os, Luni chercha du regard un abris dans lequel elle pourrait rapidement s’y abriter. Elle aperçut un bâtiment juste devant elle, qui semblait délabré et inhabité, par ses fenêtres et sa porte barricadée. Mais elle remarqua une lucarne, située à sa hauteur, qui paraissait entrouverte. Sans se poser plus de questions, et recevant à grosses gouttes cette ondée, elle accourut vers cette ouverture, afin de s’engouffrer dans la bâtisse, qui ferait office d’abris, le temps que l’orage se calme. Poussant du bout des doigts le chambranle en bois, avant de le traverser, non sans être obligée d’user d’un peu acrobatie, elle finit par s’insinuer dans le sombre et vétuste édifice. Aussitôt, la Romni vérifia qu’elle n’avait pas perdu sa bourse en route, ou plutôt son contenu… Soulagée d’y voir encore les nombreux écus, elle poussa un long soupire d’aise.
---fromFRAnonymous
L'esprit imbibé du doux poison que l'absinthe propageai, dans son sentiment de toute puissance il jubilait de voire sa contrainte prendre la forme sous ses yeux...
Il plongeait son regard dans les yeux de sa petite chose nouvellement acquise, emplit de terreur et ruisselantes de larmes, et qui lentement s'éxecutait pour le bon plaisir de Godfroy. Voyant se dévoiler progressivement le haut de la poitrine de sa chose, il lui passa une main ferme sur les coté, la main glissant sur le tissu devinait le corset à travers et remontant son geste vers un sein ce qui le fit sourire plus largement encore et "l'émoi" s'exprimant d'autant plus au sein de ses braies rien qu'à l'idée de la soumettre toujours plus à sa volonté...

Mais une voie au loin s'éleva, venant fâcheusement compromettre le petit jeu auquel Godfroy voulait se livrer et qui lança énergiquement:


"Dis donc espèce de brute épaisse, au lieu de t’attaquer a une jeune fille, peut être qu’un soldat de l’Ost ferait mieux l’affaire, et te permettrait au moins de prouver que tu n’es pas un lâche. Je te préviens de suite aux moindres gestes de ton loup, le gentil toutou que tu vois à mes cotés se fera un plaisir de lui faire goutter de sa mâchoire."



Tournant vivement la tête sur le coté, surpris de l'outrecuidance du ton de la voix qui l'interpelait. Il vit a travers la pluie deux silhouettes d'homme et celle d'un chien massif, et les deux hommes, épées en mains, se tenaient fermement non loin de là. Dans le flash d'un éclair, Godfroy reconnu le Maire Bentich, le pointant de sa lame tenue avec conviction, la pluie ne semblait aucunement l'incommoder et ruisselait sur lui telle sur une statue de marbre d'un guerrier grec. Il était accompagné d'un plus jeune homme faisant tournoyer son épée, se préparant lui aussi à ce qui allait inmanquablement advenir. Le Maire rajouta:

"Jess c’est moi Ben, calme toi et rejoins moi si tu sais encore bouger.

Quand à toi espèce de grosse brute, tu la laisses passer avec gentillesse et sans faire de vague, sinon je serai aux regrets de te montrer que le maire de la ville sait se battre."




Se redressant avec assurance d'au dessus de sa chose, il ne prêta même pas garde à l'ordre que le Maire donnait à son chien, Godfroy écarta d'un geste lent de sa main droit le long pan de son mantel et attrapa sa masse d'arme pendante au bout de sa lannière de cuir, à sa ceinture et pendant ce temps le jouvenceau l'invectiva d'une phrase qui n'allait certainement pas se réaliser:

"Je te tuerais, maudit! Quoi qu'il advienne je te tuerais!"



Godfroy éclata de rire face à tant d'impétuosité, lui l'ancien servant de trébuchet ayant subit des bris de sièges et maintes charges de cavalerie à son encontre ne voyait pas trop comment cela adviendrait, et pour montrer à l'avance le sérieux de ses propos qui allait suivre, il se pencha vivement vers sa chose et d'un revers de main il lui souffla le visage du dos de sa main tenant la masse ce qui projeta vivement la tête de la petite sur le mur, l'assommant sur le coup:

"Et bien Messires... va p'tete bin falloir se montrer plus persuasifs...
Parce que là... même pas peur...
Et la mam'zelle elle bouge pas de là..."




Le loup commençait des démonstrations d'agressivité préventive envers son congénaire d'espèce et semblait sombrer lui aussi dans une transe de combat, tout poils hérissés. Godfroy nargua les deux hommes d'un sourire narquois. La pluie ne diminuait pas d'intensité, coulant abondamment sur les corps des trois guerriers tendu et prêt à l'affrontement qui promettait de se montrer dantesque, le ciel toujours fendu d'éclairs par intermittence rendait la scène d'autant plus sinistre. Godfroy ne prononça alors que deux mot...

"Wöööllfff !!!
Attaque !!!"




Et tout en regardant le loup le dépasser et se jeter sur le chien d'attaque, Godfroy se rua sur le maire tout en brandissant sa masse d'arme dans un cri guerrier...

(HRP: Pensez à cliquer sur le mot "Masse d'arme")
---fromFRWölf
Wölf était hors de lui, comme traversé d'une énergie haineuse sans limite, les crocs largement dévoilés et des longs grognements s'échappaient de sa gueule suitante de salive. Il était trempé jusqu'au os mais ce climat d'animosité l'éxaltait de plus en plus et il ne ressentait même plus la froideur de la pluie sur son pelage, amplifiant de façon croissante son aversion envers son congénaire qui lui aussi, campé fermement sur ses pattes, grognant et était toute gueule dehors...


Ses yeux profond ne quittent pas le "quatre pattes", il aurait du lui sauter à la gorge bien plus tot mais cherchait à le contraindre à la fuite de par son attitude. Wölf était le dominant, il le savait, du moins le croyait, il grogne, gronde, montre les crocs et se demande ce que fait ce gros congénaire qui ne réagit toujours pas à ses menaces et ne pliait toujours pas, exsudant toujours plus de rage lui aussi tandis que les "deux pattes" continuaient à ce grogner aussi les uns envers les autres. Sans lacher son opposant du regard, Wölf se lance dans un jeu de va et vient afin de mieux l'intimider mais rien ne semble y faire, l'affrontement est inévitable désormais...

Puis l'ordre vint:

"Wöööllfff !!!
Attaque !!!"


D’un mouvement rapide, le loup s'élança avec vivacité en avant, doublant dans sa course son "Maitre" qui lui aussi attaquait, ils leurs fallait donc défendre leur territoire, d'un bond en avant, sa gueule s’ouvrit entièrement, dévoilant la totalité de sa dentition, grognante avec méchanceté, alors qu’il se jetait sur "cousin quatre pattes" et avec violence elle se referma dans un claquement ferme sur la droite de l'encolure adverse. Une coulée de sang se répendit dans sa gueule, mais le gros congénaire encaissa le choc et tournant aussi la tête il se saisi à son tour de sa propre gorge. Deux têtes tournant avec vivacité sur elles même, tentant de déchirer au plus profond, s'entrechoquant sans relâche. Un combat tournoyant de viande, crocs et de poils gorgé de haine se déroulat dans des cris canins audibles malgrés les mâchoires serrées...

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Shankabangbang
L'attaque était lancée. Shan vit l'impressionnante massue de l'agresseur assommer Jess et donner son ordre d'attaque à son loup.
Il savait que le combat ne se jouerais pas sur la force car le colosse
mesurait une bonne tête de plus que lui et dépassait de loin sa largeur. Le combat ressemblait à celui de David et Goliath.

Il avait l'avantage du nombre mais deux personnes étaient-elles suffisantes pour terrasser c'est masse qui faisait tournoyer une large massue au-dessus de sa tête.
Oui, l'épreuve ne se jouerait pas sur la force mais sur la dextérité et la vitesse.
Et pour ce jeu, il était très bon.

L'homme avança sur lui et Ben, brandissant sa massue. Il fallait réagir vite.
Le poignard que Ben lui avait donné!
D'un rapide mouvement de poignet, il le lança droit sur l'homme et atteignit l'homme. La lame se planta à un endroit précis deux centimètres au-dessus de la rotule...
Maintenant tout allait se jouer. Ce qu'il fallait c'est que l'homme retire la dague car en faisant cela l'homme sectionnerais le tendon qui maintient le genou en place et se retrouverais handicapé d'une jambe.
Il n'y avait plus qu'a prier...

Il fallait réagir vite sur la position défensive à prendre.
Il pensa lever son épée bien haut au dessus de sa tête et prendre de ferme position sur le sol mais il se souvint...

[Père : "Lorsque tu te retrouve en face d'un adversaire de la même stature que toi, tu te met dans cette position, l'épée bien au-dessus de la tête, légèrement inclinée vers l'arrière... C'est la position de la garde haute d'Oberhut... Mais ne l'utilise jamais lors d'un combat inégale et que tu as le désavantage de la puissance"]

Il se ressaisit rapidement.
"Rapidité et dextérité" pensa-t'il
Il se remémora ses souvenirs d'escrime.
"Pour obtenir une plus grande précision, il ne faut pas tenir son épée comme un simple marteau, mais passer l'index au delà de la garde et le replier."
Il comprit en un éclair se qu'il convenait de faire.
Il plaça sous index au-delà de la garde et le replia. Puis descendit légèrement sur sa position et se mis en garde arrière, la fameuse garde su serpent... Il était prêt à frapper.
Les paroles de son père lui revinrent, les mots sortirent de sa bouche avec un voix totalement différente de la sienne.
Une voix assuré, puissante et expérimenté, sans peur :


"Nul combat ne peut être gagné si l'on a pitié de l'adversaire! Non, je ne te crains pas, car la couardise est l'excuse des âmes sans volonté!!!


Il était prêt...
Jess_la_tueuse_folle
*Elle avait senti la main du balourd se poser sur le tissu du chemisier et grimper vers le sein.
Elle se mordit la lèvre déjà ensanglantée pour ne pas donner à la brute le plaisir de la voir pleurer d'avantage.
Elle savait qu'elle allait y passer et son esprit était devenu vide de toute pensée... sauf une !
Elle repensait au brigand quelle devait épouser et qui avait voulu la violer...

Son esprit n'était déjà plus vraiment là quand elle entendit une voix familière.

Pouvait-ce vraiment être lui ?

Oui !

Elle ne savait comment il avait pu la trouver mais s'en fichait bien. Le grand frère qu'elle aurait voulu avoir était là ainsi qu'un ami cher et ce brave Max qu'elle entendit grogner.

Mais ce n'était pas gagné pour autant.
Elle était toujours sans arme et le pervers sortit une impressionnante masse d'arme avant d'éclater de rire et de lui balancer une giffle, poing fermé sur la masse.

Elle sentit sa tête cogner le mur, du sang s'écouler le long de sa lèvre et dans sa nuque avant de...

NOIR

Sensation de bien-être ...
Quel est ce pays ?*
Bentich
Tout se précipita, la pluie comme pour honorer les combattants redoubla d'intensité. Shan tout d'abord, avait hurler envers le porc, toute sa haine de jeune homme fou mais quand même aguerit au maniement des armes.

Le buttor, assoma Jess d'un geste precis de la main, et montra une masse d'arme assez imposante, mais Ben en avait vu d'autre, n'avait il pas combhattu une In Tenebris pour Ana et Liam, il avait mene avec ses compagnons, les actuels lieutenant et sergent de la garnison, Arthos et Hugo, ainsi qu'avec la regrettée Niwel le clan de la maion noir pour proteger le village En fin stratege Ben compris, qu'il fallait utiliser la propre force de son adversaire contre lui même, et toujours avec un calme olympien, il se prepara à combattre.

Les deux animaux quand à eux avaient commence un combat titanesque, un louip de belle taille dans la force de l'âge et un Rottweiller de pres de 65 kilo de muscles entrainné aux combats, on pouvait entendre les machoires claqués, parfois dans le vide, mais des cris d'animaux en rage se faisait entendre, qui prouvaient que les dents des deux adversaires accrochaient les chairs


Shan la colère est ici une très mauvaise alliée, alors calme toi et concentre toi contre ce mossieur qui joue les durs contre de frêles demoiselles, mais qui à mon avis, n'est pas le dernier venu non plus, il doit savoir se servir de son arme.

Ben parla maintenant à l'homme devant lui,

Ecoute bonhomme, tu viens de commettre la plus grosse erreur de ta vie, t'attaquer a Jess, la mere de ma filleule, et ça c'est une erreur qui va se payer au prix le plus fort, et tu as beau faire tournoyer ta masse, tu ne m'impressionnes pas.

Ben avait dit cela avec quand meme une crainte, que cette lourde arme qui tournoyait ne vienne le toucher lui ou Shan. Ses yeux restaient fixe sur l'homme et sa monstrueuse tueuse de métal. Ce qui lui fit remarquier que l'homme fit une grimace de douleur, et Ben compris que la dague qu'il avait donné a Shan etait maintenant plantée dans la jambe de leur ennemi
En un eclair Ben en profita pour porter l'assaut l'épée en avant fermement tenue, le trajectoire de son arme prenait innevitablement la direction du front de l'homme mais qui on ne sait trop comment, mit sa masse d'arme en guise de bouclier, malgrès la douleur de la dague dans son genoux

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---fromFRMaxlechien
Cette fois Max avait affaire à un adversaire de taille, le loup devant lui devait etre un adulte,

Un ordre fut donne mais par l'homme qui menaçait son maitre, et en moins de temps qu'il faut pour le dire, le loup avait deja referme sa machoire sur la droite de l'encolure, mais avec la vivacite d'une sauterelle malgré sa staute, Max tourna la tete et referma sa machoire sur la gorge du loup.

Les grognements des deux animaux, sortaient du fond de leurs gorges, on pouvait voir dans leurs regards la haine et la determination.

Max poussa sur ses pattes de devant pour se soulever, et ainsi pouvoir tente de se degager des crocs du loup. le sang des deux animaux se melangeait avec la pluie qui redoublait d'intensit.

Max relacha la gorge de son adversaire et referma sa geuele avec le maximum de puissance sur la patte avant du loup, on entendit un craquement significatif, ce qui n'empecha pas le loup de continuer a combattre avec obstination. La loi de la nature, "à la vie à la mort"

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Chien fidele de Ben
---fromFRMordric
[Dans la bâtisse abandonnée.]

Il était rentré, satisfait de son intervention sur la place publique.
Le maire n'avait pas osé se montrer, tant pis pour lui, cela n'en avait été que plus facile.
Il avait rejoint l'obscurité que lui offrait sa demeure depuis un petit moment.
Une fois ces habits trop voyants enlevés, il n'avait pris la peine d'enfiler qu'une paire de braies noires. Il ne sortirait pas avant le soir, il voulait mettre au point ce petit laïus qu'il déclamerait le soir venu.
Il réfléchissait aux meilleurs thermes pour enflammer cette bande de miséreux. Il voulait s'imposer en chef comme il l'avait fait ailleurs avec succès.
au fil du temps il avait acquis l'art de la parole, l'art d'impressionner, d'intriguer par son allure.
Ce soir il voulait se faire rassurant, aimable, mais sans pitié, se poser en figure paternelle pour les catins, voleurs et autres bandits.
Leur offrir protection et asile tout en leur inspirant crainte et respect.

Il était assis dans son fauteuil, seul meuble quasiment de la maison, la tête reposant sur une main posée sur son front. Les idées fusaient à travers sa tête, lui arrachant parfois un sourire qui aurait fait glacer le sang de nombres de gentilshommes de cette ville.
Soudain il entendit un léger bruit dans la pièce d'à côté. Les pas d'un intrus qui avait dû s'engouffrer par la lucarne.
Il ne devait pas être bien épais pour passer par cette fenêtre ci.
Mais qui était ce? Homme de main du maire? Maraudeur en quête d'un butin? Gamin se lançant un défi? Quelqu'un l'avait il suivi? Pur hasard?
D'un réflexe sa main attrapa la dague posée a ses pieds et la ramena le long de sa cuisse. Invisible dans l'obscurité, cachée entre le tissu du fauteuil et sa jambe. Il ferma ensuite les yeux, feignant le sommeil, attendant un mouvement de la part du visiteur. Il le laisserait s'approcher avant de l'égorger. Il faisait face à la porte séparant les deux pièces.
Dehors la pluie battait fort sur les pavés, masquant les bruits les plus faibles que pouvait faire l'étranger, il lui fallait rester sur ses gardes...

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PNJ
---fromFRAnonymous
[ Combat face à Shan et Ben ]

L'esprit embrumé des vapeurs d'absinthe et la rage au plus profond de lui l'exaltant dans son élan meurtrier, Godfroy trop concentré envers celui qu'il considérait comme meilleur bretteur, le Maire, et il eut à peine le temps de comprendre que le large geste du jouvenceau était en fait le jet d'une dague qui vint se ficher dans sa jambe, lui arrachant une large grimace de douleur. le jeune guerrier lui lança avec véhémence:

"Nul combat ne peut être gagné si l'on a pitié de l'adversaire! Non, je ne te crains pas, car la couardise est l'excuse des âmes sans volonté!!!


Bentich dit à Shan: "Shan la colère est ici une très mauvaise alliée, alors calme toi et concentre toi contre ce mossieur qui joue les durs contre de frêles demoiselles, mais qui à mon avis, n'est pas le dernier venu non plus, il doit savoir se servir de son arme."


Puis tournant vivement un regard noir vers Godfroy, d'un ton emplit d'autorité il lui dit:

Ecoute bonhomme, tu viens de commettre la plus grosse erreur de ta vie, t'attaquer a Jess, la mere de ma filleule, et ça c'est une erreur qui va se payer au prix le plus fort, et tu as beau faire tournoyer ta masse, tu ne m'impressionnes pas.



La lame était planté dans l'os que l'acier avec pénétré. Aguerri par le front et les années de guerre, Godroy savait que la lame ainsi planté bouchait le trou, limitant paradoxalement le saignement, et que l'enlever ne ferait qu'aggraver la blessure sans pour autant diminuer le mal, celui-ci étant déjà fait et Godfroy, coupé dans son élan se retrouvait en position moins dominante et vivement il se mit en parade, geste instinctif qui lui fut salvateur car déjà le maire contre-attaque, lui aussi aguerri par les nombreuses batailles. La masse d'arme intercepta le coup dans un bruit métallique. Le déluge tout autours d'eux ne décroissait pas et de violents éclairs continuaient toujours d'éclairer les murs de la ruelle projetant des ombres des combattants en mouvements. Le chien et le loup se livraient eux aussi à un duel acharné juste à coté mais les trois hommes en transe de combat semblaient ne même pas les entendre.

Les coups pleuvaient sur Godfroy sautillant comme il le pouvait et les parant dans des grimaces tant mêlées de douleur que de colère, et les cris de rages des trois combats emplissaient la rue ruisselante. Jeu d'attaque, de defense, d'estoc, d'esquive, se succédaient à un rythme frénétique les sons de métaux hurlant leurs vibrations et sous les impacts scintillaient d'infimes étincelles de l'acier hypereutectoïde de chaque coups parés. Puis entre deux attaques sur d'un puissant coup de droite à gauche visant le Maire aux cotes, Godfroy poussant un long cri, et manqua de peu son attaque, le maire ayant eu réflexe d'un rapide bond en arrière. La bataille semblait être moins prévisible que ce qu'escomptais Godfroy, et les taches administratives des deux hommes ne les avaient pas autant empatés que cela...

Godfroy eu entre deux tentatives d'assaut du jouvenceau, une attaque des plus véloces de la part de Bentich qu'il faillit lui fendre le crane d'un puissant coup, mais que la masse d'arme intercepta de justesse, les aciers entre croisés et les deux combattant poussant de toutes leurs force sur leurs armes a travers desquelles des regards noirs et déterminés se plongeait l'un dans l'autre dans un duel tant psychologique que physique. Shan étant sur le coté et ne pouvant risquer de blesser son ami dans une malheureuse passe d'arme, il se repositionnait mais d'un vif mouvement, Godfroy mis un vigoureux coup de tête en avant, passant au dessus des armes entrecroisées et terminant sa course dans celle du Maire dans un bruit sonore d'impact. C'était la seule option à Godfroy de débloquer la situation s'il ne voulait pas finir embroché par le jeune assaillant à ces cotés. Bentich semblait avoir la tête dur, ne reculant de que trois pas sans tomber mais qui laissa le temps au vieux brisquard boiteux de s'occuper de l'autre attaquant au plus vite, sautant en avant de sa jambe valide . Dans un large mouvement Godfroy abattit sa masse sur son adversaire...
---fromFRWölf
Les touffes de poils ensanglantées volant de toutes part, claquement féroce des machoires, dans le vide ou dans la viande, encolures des deux têtes à vifs, lambeaux de fourrures pendants, mais toujours cette rage et cette détermination, puis cette lutte sans plus lacher prise, tentant de renverser son adversaire ou de l'égorger d'une puissante torsion de tête afin de le tuer...

Mais le loup perdait l'avantage, quoi que dit plus noble, il n'en était pas plus lourd ou plus endurant que cette massive bête contre laquelle il se battait et qui était sélectionné par l'homme pour seul but de servir, protéger, et tuer...

Wölf fut soulevé du sol et dû lâcher prise sous l'emprise de la puissante douleur et son sang gicla abondamment dans la gueule de son adversaire dont la folie meurtrière se déchainait contre lui. Dans l'esprit du loup commençait à poindre l'idée de se laisser dominer, de se coucher mais son instinct lui dictait de ne pas le faire, cette lutte dépassait de loin la lutte de territoire, c'était tuer ou se faire tuer...

Puis un geste vif, et le molosse s'empara de la patte du loup qui se rompit net sous la pression de plusieurs quintaux engendré par cette mâchoire adverse, ce qui fit piailler le loup d'une indicible douleur. Wölf n'eut d'autre alternative qui de plonger sa gueule dans l'angle laissé libre et de se défendre en saisissant son cousin d'espèce au rein mais sous l'emprise du supplice infligé par son adversaire il rata sa prise et ses crocs se plantant dans la peau ne firent que la masser au sein de sa gueule en un paquet de fourrure d'où coulait du sang mais il manqua sa prise de peu sur l'organe restant intact.

Le combat était alors très mal engagé pour lui mais il tentait toujours d'essayer de coucher se molosse...

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Bentich
Malgré sa lourde corpulence, le mécréant avait énormément d'agilité, et une résistance à la douleur importante.

Le choix de laisser la dague plantée dans la jambe, prouvait à Ben, que cet homme n'était pas un jeune loup assoiffé de sexe et de violence, mais bien un guerrier ayant roulé sa bosse un peu partout. Le combat entre le chien et le loups ne semblait pas le moins du monde tracasser Ben, il connaissait son chien, et savais malheureusement que des qu'il avait goutté au sang, ses instinct d'animal sauvage à la base revenaient, et le combat ne se finirait que par la mort d'un des deux ou la fuite du loup.

Le combat faisait rage, les trois hommes étaient trempés, la pluie tournait maintenant à averse, ce qui dans un sent arrangeait Ben, vu le temps, il avait dans peu de chance que quelqu'un n'intervienne.

Sans que personne ne s'y attend, le colosse contre lequel Ben et Shan se battait, donna un coup de tête en avant, qui vint rencontrer la tête de Ben. Celui ci recula de quelques pas, le nez assez douloureux, ressentant les battements de son coeur et sentant la chaleur du sang coule sur son visage, il prit quelques secondes pour récupérer, il vit l'attaque de Shan, mais la grosse masse d'arme se dirigeât dangereusement sur la tête de son ami.


Shan fait gaffe ça risque de faire mal

Ben passa sa langue sur le haut de sa lèvre et le goût du sang envahi sa bouche, ce qui redoubla la haine qu'il avait pour ce malade.

Son regard s'obscurcit et plus rien, d'autre n'était dans le champ de vison de Ben que cet homme. Shan, Max, le loup, Jesse, plus rien, seul cet homme était la devant lui, et c'était maintenant entre lui et Ben.

Malgré sa détermination Ben savait qu'il allait entamer un combat beaucoup plus sanguinaire et qui sait peut être meurtrier que ceux qu'il avait entrepris, effectivement, ses adversaires avaient lâchement fuit.
Quand serait il cette fois ci, nul ne le savait, la seule chose de sur, c'était que Ben récupérerait Jesse quelque soit le prix a payer.

Il regarda l'homme dans le fond des yeux, la pluie n'empêcha pas la brute de pouvoir interpréter la signification de ce regard. Ben se campa sur ses deux jambes, l'épée prête à frapper et à entamer les chairs de ce ramassis d'humanité qui se trouvait devant lui.


Tu ne me laisses pas le choix, tu vas mourir, mais pas ici pas directement, je vais te faire souffrir et tu t'éteindras à petit feu dans un coin du village ou de la foret comme un déchet vomitif que tu es
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---fromFRMaxlechien
Les deux animaux, redoublaient de violence dans leurs attaques. La morsure du chien sur la patte du loup avait diminué sa volonté de dominer. Mais pas assez pour qu'il n'attaque à nouveau Max, mais l'attaque ne fut pas assez précise pour blesser gravement le chien, juste quelques touffe de poils et un peu de chair.

Le goût du sang dans la gueule du chien, fit remonter à la surface les instincts d'animal sauvage de ces lointains ancêtres. Les yeux injectés de sang, le poil normalement luisant du chien était souillé d'un mélange de boue et de sang.

Max lança une si attaque foudroyante de rapidité que même un loup non fatigué par le combat ne pouvait évité, la mâchoire du puissant chien se referma avec une telle violence sur le flanc du loup que l'épaule de ce dernier se résista pas. On entendit un hurlement déchiré la rue, et couvrir le bruit de métal des armes.

Le chien relâcha immédiatement la prise, et d'un coup de gueule très rapide arracha une oreille du loup, mais celui, eu un sursaut de vigueur et déchira une partie de la chair de la cuisse du chien.

Les deux animaux se séparèrent quelques secondes pour reprendre leurs souffles, ce combat mythique les avait fatigués, le regard des deux animaux se croisa. Max était prêt a porter l'ultime attaque qui déciderait de la suite. Tuer le loup, le faire plier et fuir ou le blesser pour le mettre hors combats, rien d'autre ne comptait maintenant pour le chien, mener à bien ce pour quoi il était la, défendre son maître, au risque de perdre la vie, mais en l'état actuel des choses l'issu n'était pas la mort du chien bien au contraire

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Chien fidele de Ben
Shankabangbang
Shan et Ben combattaient le maraud depuis quelques minutes.
Les coups étaient violent mais même à deux contre un le combat ne tournait pas à l'avantage des deux valeureux sauveurs.
Le combat était intense, frénétique...
Le géant parait tout les coups et en donnait autant malgré la dague plantée dans la jambe.
Shan ne comprit pas se qui se passait mais il vit Ben reculer de quelques pas dans un bruit sourd, à ce moment, il craignait le pire...
Non, il ne s'agissait que d'un coup, Ben semblait toujours en état de combattre.



"Shan fait gaffe ça risque de faire mal" lui dit Ben.


Moment d'inattention, erreur d'inexpérience.
Shan avait regardé Ben reculer en oubliant la masse et celui qui la tenait.
Du coin de l'oeil, il vit un éclair métallique sur sa gauche.
Il eut à peine le temps d'esquiver l'attaque.
Trop tard, même s'il avait réussit à éviter l'instrument de frapper le haut de son crane, il n'en était pas de même pour son épaule.
Un bruit sourd...
Le choc avait été violent, douloureux.
L'épée vola dans le airs et retomba hors du combat.
Le sol détremper, instable n'était pas un appui consistant lorsqu'on reçoit pareil coup.
Shan glissa à terre, il essaya de se rattraper à quelque chose...
Il glissait au pied du colosse. La chute lui paraissait durer une éternité.
Puis en tombant, sa main se referma sur quelque chose de dur, métallique et poisseux... Il comprit instinctivement ce qu'il convenait de faire.
Le géant avait déjà levé sa masse d'arme au-dessus de lui, il était prêt à assener à Shan un dernier coup... Un coup qui le mettrais hors du combat et de tout autres à l'avenir...
L'action se passa très vite. Shan extirpa de la jambe du guerrier la dague argenté rougeoyante de sang et se précipita à quatre patte hors de portée de l'arme.
La manœuvre était certes ridicule et cocasse mais au vu de la situation, c'était la seul et unique.
A présent, même si Ben et lui perdait le combat, l'homme ne vivrait pas non plus... Le sang commençait déjà à se répandre le long de sa jambe.
L'épaule de Shan le faisait souffrir, il rampait le long du mur, incapable de se relever...
Un curieuse sensation d'euphorie inappropriée dans un tel moment l'envahit... La douleur semblait prendre le dessus sur son esprit.
Il vit alors Ben foncer sur le géant, l'épée en avant.
---fromFRKarina della Puerte
*Elle regardait le bonhomme fermement campée sur ses jambes musclées au galbe dessiné finement cachées sous la tunique noire.
Il semblait attendre réellement cette aide dont il parlait mais le sourire particulièrement pervers qui était dessiné en permanence sur le visage de cet encapuchonné n'inspirait pas la confiance à la catin revencharde.*



-L'Ermite Bernard- a écrit:
Je suis tout simplement doué avec mes dix doigts, femme.



~C'est ça, vante toi donc foutu pervers ! tous pareil, de la gueule mais pathétique en action ! Pauvre petit hère !~


*Elle le vit alors redevenir sérieux et se mettre à parler avant de s'asseoir à même le sol, laissant l'avantage à la nerveuse si elle voulait l'attaquer.
le voyant dans cette position de faiblesse, elle abaissa légèrement sa dague en regardant l'homme*



-L'Ermite Bernard- a écrit:
Vous ne payez pas de mine, vous ne conviendriez surement pas. Je cherche des catins susceptibles de travailler avec moi. Je puis assurer protection et aide en tous genres pour toutes sorte de service. Si vous pouviez m'indiquer les personnes qui seraient intéressées, je pourrais vous proposer ceci.



*Elle regardait le corset magnifique que lui montrait le pervers en se mordillant la lèvre.
Dommage qu'elle ne connaisse que si peu le village.*



Je ne peux vous aider, je ne suis pas assez ancienne par ici.
Mais par curiosité, qu'est-ce que vous proposez et contre quoi ?
Et ne me jugez pas ainsi au travers de ce vêtement grossier !
Je ne vous laisserai pas faire ! J'imagine que vous voulez tester vous-même celles qui travaillerons pour vous... si du moins ce n'est aps une ruse pour vous les faire !

Je connais les bougres de pervers dans votre genre !



*Elle restait sur ses gardes en parlant à cet homme, essayant de pouvoir le découvrir mais elle sentait que cet homme avait une rage aussi forte que la sienne et qu'il se cachait.

Toute à ses tentatives de déduction, elle avait entendu non loin des bruits de combats, des lames qui s'entrchoquaient et des grognements animaux.

Elle hésitait à s'enfuir ou à tenter d'en savoir plus encore.*
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