---fromFRMerodack
[Dans la chambre, la nuit]
Je suis en pleine furie. Plus la brune me griffe et pince la peau, plus je met de force pour rentrer en elle, sans crainte de lui faire mal.
La douleur est source de plaisir. Veux-tu vraiment que je m'arrête, ou réclames-tu encore plus de ma virilité ?
Nous donnons vie au matelas, il s'agite comme chat au soleil, exprimant de ses grincements le plaisir de nos ébats.
Et la catin n'oubliait pas d'être provocatrice
Je suis en pleine furie. Plus la brune me griffe et pince la peau, plus je met de force pour rentrer en elle, sans crainte de lui faire mal.
La douleur est source de plaisir. Veux-tu vraiment que je m'arrête, ou réclames-tu encore plus de ma virilité ?
Nous donnons vie au matelas, il s'agite comme chat au soleil, exprimant de ses grincements le plaisir de nos ébats.
Et la catin n'oubliait pas d'être provocatrice
Mi-ange Mi-démon a écrit:
Alors coco on fatigue ?
Alors coco on fatigue ?
Augmentation nette de la vitesse. Ce sprint final me sera fatal je le sais, et je m'en contrefiche.
Je sens toutes les parties du corps s'emballer, que ce soit, le coeur, les muscles ou l'esprit.
Même mes yeux, qui pourtant veulent la regarder aussi froidement qu'elle laisse paraitre son plaisir, partent en arrière.
L'explosion est proche. Cette partie de plaisir tourne à la lutte des champions : trois combattants, elle contre moi, moi contre moi-même.
Plus elle plante ses ongles dans ma chaire, plus j'explose.
Plus je retiens mon présent nuptial, plus mon sang brule tous mes organes.
Résister, donner, resister donner...maintenant ce n'est plus possible
Je dépose mon flots d'offrande dans le théâtre des rêves, reprend mon souffle et me retire.
Quelles professionnelles!
Je partis dans un grand éclat de rires
Puis remplissant trois godets de vin, je bus pour me désaltérer. La redescente sur terre se fit en douceur, le plaisir était encore présent.
Me servant à nouveau, je parle ainsi aux deux catins :
Vous n'avez jamais pensé à travailler sur Paris ? Vous auriez du succès...