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[RP] La rue de Traverse.

---fromFRAnonymous
[ Combat à mort face à Shan et Ben ]

Le coup de masse d'arme fut lourdement porté mais cette arme n'est pas des plus véloces...


Shan fait gaffe ça risque de faire mal



Vaine prévention car l'arme retombant avec force, elle manqua de peu le crane du jeune opposant qui n'eût à peine le temps de l'esquiver et percutant durement son épaule et la rudesse fit basculer le jouvenceau au sol, son épée volant dans les airs, mais avant même que Godfroy ne puisse réassémer un autre coup décisif, son jeune opposant eût le temps de fuir tout en extirpant sa dague de la jambe endolorie, lui arrachant un cri rauque tandis que la masse s'abattai lourdement sur le pavé et libérant une minuscule gerbe d'étincelles incandescentes. Mais au moins celui-ci était hors combat, restait le plus aguérrit des deux: Bentich...

Le maire lui lança:


Tu ne me laisses pas le choix, tu vas mourir, mais pas ici pas directement, je vais te faire souffrir et tu t'éteindras à petit feu dans un coin du village ou de la foret comme un déchet vomitif que tu es




Il était clair dans l'esprit de Godfroy que ce combat ne se solderait que par la mort de ses deux adversaires ou de lui même, car il se devait de ne pas laisser de témoin et puis il aurait une large récompense de ses efforts en faisant payer le prix à "Jess, sa petite chose"... mais ce combat se montrait âpre et il était déjà fortement essoufflé par toutes ces passes d'armes enchainées si rapidement et le maire semblait quand à lui tenir le coup, au grand désarroi de Godfroy qui l'aurait cru empatté par les taches administratives et ses éventuelles beuveries de taverne, mais il n'en était rien... il gérait très bien la situation et savait ne pas trop s'exposer tout en se montrant des plus combatifs, préservant au maximum son ardeur au combat et la dispensant avec force précision ce que la masse d'arme de Godfroy ne lui permettait pas.

Narguant le maire, le vieux brisquard lui dit narquoisement:

"T'va morfler, et j'vais m'en faire un régal...
T'va regretter dev'nir dans s'te rue, not'rue....
T'es pas chez toi là...
Après s'sera Jess qui prendra l'reste de ma rage..."




Se repositionnant dans l'espace en face du maire, tout en clopinant et restant en semi-garde, Godfroy le rivait du regard tout en étudiant au mieux les faiblesses que son adversaire avait, mais il ne pourrait que l'affronter d'un façon frontale, sans détour, car Bentich n'exposait rien de sa personne inutilement et même ses appuis au sol étaient des mieux ancrés ce qui limitait les chances de déséquilibre. La jambe di vieux brisquard le mettait en souffrance tant les élancements de douleurs de faisaient à chaque pulsations de son coeur, lui rappelant qu'il commençait à perdre du sang maintenant que la dague était retirée, il lui fallait faire vite.

Bondissant tant qu'il le put en avant, Godfroy abattait sur Bentich sa masse sans que cette dernière ne trouve d'angles non-protégés, percuttant la lame à chaque coups, puis de sa jambe valide, le brisquart asséma au maire un violent coup de pied dans l'estomac, tentant de le faire tomber en arrière mais il encaissait toujours, et d'un large et puissant mouvement, Godfroy abattit sa masse le plus durement possible...
---fromFRWölf
La fracture sanguinolente sur la patte du loup avait diminué sa volonté de domination. Il haletait, épuisé par cette lutte acharnée à chaque instant et fut prit de cours lorsqu'une fulgurante attaque du molosse broya l'épaule du loup et émit un craquement, de dernier empli la rue de piaillement d'atroce souffrance ressentit, déjà bien mal en point.

Et seconde attaque, rapide, lui arracha une de ses oreille, ce qui le fit d'autant plus réagir que la haine était à son paroxysme, d'un rapide coup de gueule il déchira une partie de la cuisse du chien.

Les deux canidés s'écartèrent quelques secondes et reprirent haleines, ce combat dantesque les avait épuisés, et ils continuèrent à se jauger, regard du loup plongé au sein de celui du chien. Leurs pelages trempé de sang et les morceaux de fourrures pendant démontrait cette volonté de vaincre habitant chacun d'eux, capable de subir le confins de la douleur pour dominer...

Dans un sursaut de haine se loup s'élança de nouveau à l'attaque et se saisi de l'encolure du molosse dans sa probablement dernière tentative de sauver sa vie et de le vaincre...

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Bentich
Le combat entre Godfroy, Shan et Ben, touchait à sa fin, du moins pour Shan, il etait hors course, la masse lui avait eclaté l épaule, et il s'etait refugié conte le mur à l'abris des coups.

Ben regarda son adversaire avec la rage de vaincre. Dans ses yeux on pouvait voir qu'il ne lacherais rien et que sa determination etait au sommet.


Ecoute dejection nauséabonde de moineau, ca ne sert à rien de faire ton interessant, tu as leve le doigt sur Jess, et bien tu va en payer les consequences.

Les coups pleuvaient, mais ne destabilisaient pas Ben. Plus l'ordure tapait plus Ben avait la rage et voulait en finir au plus vite.

Un coup d'oeil plus perçant vers son adversaire, et Ben apperçut la masse qui allait s'abattre lourdement sur lui, mais heureusement, la jambe blessée de l'homme, lui faisait parfois perdre l'equilibre et Ben dans un mouvement, rapide, echappa à la masse, qui lui toucha quand meme la bras gauche, un cri de douleur echappa de la bouche de Ben.


Il regarda maintenant fixement son adversaire dans les yeux,


Ceci fut ton dernier geste saloperie.


Ben s'avança, vers l'homme et enfonça sans menagement son épée dans son l'estomac, la retira puis l'enfonça une nouvelle fois, et une fois encore , en evitant à chaque fois d'aller au même endroit pour bien blesse mortelement le raclure.

Godfroy, grimaça, et s'agenouilla devant Ben, il ne restait plus qu'a porter l'estocade,


Je ne sais pas si tu merites que je t'acheve, j'ai tres envie de te laisser crever comme une déjection que tu es !!!!

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Laurine.
L’oisiveté était, disait-on, la mère de tous les vices. Elle ne pouvait donc qu’être une des compagne de la Garçonne. Cependant, l’ennui gagnait peu à peu Laurine et déjà les routes semblaient vouloir la retrouver. Pourtant le temps n’était pas encore venu. Elle avait cru trouver rapidement au Puy ce qu’elle y cherchait mais la tâche semblait plus difficile que prévu. Ecumer les tavernes au fil des nuits avait certes occasionné d’agréables rencontres mais ce n’était pas là qu’elle trouverait réponse à ses questions.

L’un comme l’autre étaient passés en ville, ils y avaient tout deux séparément laissé traces de leur passage, ne fusse que dans les mémoires, mais impossible d’en savoir plus. Cette double enquête, mêlant sentiments et loyauté, avait fait d’une certaine manière basculer l’existence déjà chaotique de la jeune femme.

Elle quitta sa chambre, descendit les escaliers et traversa la grande salle de l’auberge ou elle avait trouvé refuge, seule, exceptionnellement. Son Prince débordait d’attention pour elle mais cette quête c’était seule qu’elle devait la mener à bien, il n’aurait pas compris, pire il aurait tenté de l’en dissuader. Après avoir salué la tavernière d’un petit coup de tête, Laurine se dirigea vers les bas fonds de la ville.

Elle n’était pas du genre à s’offusquer des mœurs parfois déviants de ses contemporains, loin de là. Ses penchants multiples auraient très bien pu la mener à passer sa vie dans ce genre d’endroit mais une part d’elle-même aimait trop le confort et le luxe que pour voir en ces lieux un quelconque terrain d’amusement. Après avoir tenté d’extorquer des renseignements dans les milieux aisés de la ville, sans résultats probants, elle du bien se résoudre à fréquenter la fange ponote.

Elle s’engagea donc dans une rue sordide où tout portait à croire que seul la débauche et le vice maintenaient les bâtiments debout. Un bruit de double galop pédestre, ponctué d’un cliquetis d’armes qui s’entrechoquent lui fit immédiatement prendre la tangente, juste le temps d’apercevoir Bentich, haletant , soufflant comme les marsouins qu’elle avait pu apercevoir en Bretagne accompagné d’un jeune homme qui avait toutefois peine à le suivre.

Laurine secoua la tête en les voyant ainsi se précipiter au secours de je ne sais quelle cause, plus que probablement enjuponnée. Elle retint son cinglant commentaire pour lui reservir à une prochaine occasion.

Une jeune fille, au teint mat et vêtue comme seuls les gens du voyage en ont l’art, passa devant Laurine, la bousculant presque, tout occupée à sa gaité de jouer avec une bourse bien pleine dans ses mains. Le visage de la jeune gitane était radieux. Bien que la Garçonne ne soit pas du genre à écouter et encore moins colporter les préjugés divers, elle ne put s’empêcher de penser que ladite bourse était le fruit d’une rapine furtive, ce qui la fit sourire. Quand on avait du bien, il convenait d’en prendre soin sinon d’autres moins chanceux en bénéficieraient sans détours. Tel était la loi de la vie. Prendre ou être pris. Laurine regarda la jeune fille s’éloigner non sans la détailler avidement. Les courbes voluptueuses de la gitane étaient savamment dissimulées par l’étoffe qu’elle portait à merveille. L’imagination de Laurine s’emballa instantanément. De manière toute naturelle elle emboîta le pas à l’inconnue

Le ciel s’obscurcit progressivement et une fine pluie rafraîchissante commença à tomber avant de se transformer en réel déluge. Il était temps de trouver abri au plus vite plutôt que de courser la jeunette, qu’elle avait d’ailleurs perdue de vue au détour d’une ruelle.

Grande fut sa surprise de se retrouver nez à nez avec une paire de jambes graciles qui s’agitèrent devant elle avant de disparaître au travers d’une lucarne d’un bâtiment manifestement abandonné. Voilà l’abri qu’elle cherchait. Mais les accès étaient barrés de planches et la lucarne ne laisserait pas passer les hanches de la Garçonne qui malgré son surnom n’en était pas moins femme.

Laurine fit le tour de la bâtisse branlante mais n’y trouva point d’entrée. Optant pour une certaine discrétion elle avisa une porte à l’arrière de la maison. Bandant les muscles de ses bras, elle donna un violent coup d’épaule contre la porte espérant qu’elle céderait rapidement.

La pluie ruisselait sur son visage tandis qu’elle renouvelait son effort.



HRP n'ayant pas don d'ubiquité, ce rp se passe bien après celui actuellement en cours à Carcassonne /HRP
---fromFRMaxlechien
La derniere passe arrivait, le loup s'elança avec un dernier sursaut d'energie sur le chien, et l'attrappa a l'encolure. Les yeux injecte de sang le rottweiller, se debattit avec puissance, pour faire lacher prise a son adversaire. Ce qui devait arriver arriva, le loup lacha prise mais avec quelques morceaux de chair .

Le chien ressentit une douleur intense, mais se relança et attrappa le loup par la gorge, la puissante machoire du molosse se referma pour ne plus s'ouvrir, les crocs de l'animal entamerent la chair tres fine à cette endroit.

Le chien sentit la respiration du loup passer dans sa gorge, ainsi que le sang qui s'ecoulait. Au fur et a mesure, le chien poussa sa tete pour faire plier le loup.

La seule chose qui pourrais faire lacher prise a Max serait que le loup se mette sur le dos en signe de soumission. Mais le temps comptait pour le loup, plus il attendrait plus il aurait de chance de mourir sous la morsure du chien


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Chien fidele de Ben
---fromFRLunitza
[ Dans la bâtisse abandonnée]


Une fois sa bourse soigneusement cachée au fond de l’une de ses poches intérieures de son court veston, Lunitza balaya du regard l’endroit sordide dans lequel elle se trouvait. Des débris de meubles ainsi qu’amas de poussières et de planches en bois faisaient guise de décoration dans cette demeure abandonnée. L’aspect glauque et crasseux de cet intérieur la fit grimacer quelque peu. Où est-ce qu’elle était encore tombée ?! Manquait plus que ces affreuses bestioles de rats viennent lui tenir compagnie ! Jetant un coup d’œil à l’extérieur, et constatant les trombes d’eau qui s’abattaient sur la bourgade, la Romni n’avait d’autre choix que de prendre son mal en patience et faire avec cet « abri » de fortune.

Elle scruta les pans muraux, ornés d’impressionnantes fissures, qui commençaient à s’effondrer, regrettant la belle période où elle vivait dans sa confortable et splendide roulotte, avec sa famille. Il était maintenant bien loin ce temps, où ils sillonnaient les routes à travers les différents Comtés du Royaume, et étaient accueillis avec engouement et enthousiasme par les villageois, ravis de voir de l’animation dans leur bourgade, bouleversant ainsi un peu leur quotidien monotone.
Secouant sa tête afin de chasser ses souvenirs qui la faisaient plonger dans une amère nostalgie et profonde tristesse, la femme enfant au sang chaud refusait de se laisser abattre. D’un naturel enjoué et optimiste, elle se devait toute façon de garder sa joie de vivre, au nom de sa culture, et surtout de ses parents assassinés…

En attendant que cette averse torrentielle s’apaise, la tsigane aux apparences candides et angéliques, mais qui n’en demeurait pas moins espiègle et sournoise, décida d’aller explorer un peu cet édifice délabré, qui était finalement devenu son protecteur contre la pluie diluvienne qui faisait rage au dehors.
Elle n’avait que ça à faire de toute façon, en attendant… Enjambant les obstacles, constitués par les décombres juchés sur le sol, Lunitza se dirigea vers une porte au coin de la pièce, guidée par la curiosité de savoir ce qu’il s’y cachait derrière. Avec un peu de chances, elle y trouverait les vestiges d’une chambre, avec un lit, sur lequel se reposer un peu. Dans un grincement tonitruant, à en faire presque mal aux dents, l’huis s’ouvrit, offrant à la vue de la belle gitane, non pas une couche comme elle l’espérait, mais un homme aux cheveux de jais qui recouvraient son visage, assoupi sur dans un fauteuil, qui ne semblait pourtant guère confortable pour y faire une sieste.
Ebahie par ce qui se trouvait devant ses yeux, Luni en resta un instant presque statufiée. Qu’est-ce qu’il pouvait bien ficher ici celui là ?! Et le crissement épouvantable émis par l’ouverture de la porte ne l’avait même pas réveillé !
Il était peut-être plus qu’endormi finalement… Bien que rien ne portait à croire qu’il était mort ! Aucune blessure apparente, son corps n’était pas en train de se décomposer, et il n’était pas plus pâles que les autres bonhommes…

Par réflexe, la Romni, experte en vol à la tire, toisa l’individu des pieds à la tête, à la recherche d’objets ou d’une bourse accrochée à sa ceinture, qui seraient susceptibles de l’intéresser. Quand une sorte de reflet lumineux, situé à sa main, attira plus particulièrement son regard. Un sourire teinté de malice et de convoitise vint orner aussitôt le visage innocent de la jeune femme.
Une chevalière… décidément cette journée devenait de plus en plus généreuse… Cette bague aux parures parfaitement ouvragées intéressait la voleuse.

Toujours postée au niveau de la porte, discrètement, et d’un pas léger, elle traversa le seuil, puis se dirigea avec agilité, dextérité et délicatesse vers l’homme ensommeillé, tout en retenant au maximum sa respiration.
Au moment, où sa main s’apprêtait à attraper le bijou, des bruits sourds se mirent à résonner dans toute la bâtisse ! C’était bien le moment !


* Me disait bien aussi que c’était trop facile…*

Voilà que quelqu’un se mettait à tambouriner une porte maintenant ! Décidément cette ruine attirait bien plus de crapules qu’elle ne le pensait ! Ils s’étaient tous donner le mot ou quoi ?
Enfin pas le moment de penser à ça. Il fallait vite déguerpir avant que l’autre ne se réveille…
Jess_la_tueuse_folle
*Etat second ...

Cette lumière rouge qui l'entoure tout d'un coup ... cotonneuse ... brillante ... désagréable ...

Elle a l'impression de marcher dans des sables mouvants qui l'entrainent ailleurs.

Plus de bruit, comme une scène sourde et muette qui se déroule.

Elle revoit son père... Hanz le Teigneux ... Saloperie d'homme !

Elle revoit la longue lance et ressent presque la douleur quand elle s'enfonce dans la chair de son dos.

Brulure de chair martyrisée

Et pendant ce temps, le sang continue de s'écouler le long de la nuque de Jess et glisse dans son dos doucement, suivant le chemin sinueux de la longue cicatrice qui parcourt son dos, trace infâme d'un passé détestable.*
---fromFRAnonymous
[ Dernières passes d'armes avec Bentich, Godfroy face à la mort ]

La pluie n'en arretait pas de choir et toujours autant d'éclair parcemaient le ciel. Godfroy perdait de plus en plus de sang et la tête venait à lui tourner, l'effet était affreusement amplifier par les effet de l'absinthe insinué au plus profond de son esprit. Une multitude de coup pleuvait des deux cotés des deux opposants restant mais aucun ne parvenait à passer la garde de l'autre mais il parvint par le biais d'un coup puissant à profiter d'une baisse de garde du Maire mais le coups de masse trop peu efficace suite au déséquilibre vint frapper le bras gauche du son adversaire lui arrachant un cri de douleur, lui déformant les traits de son visage en un rictus de carnassier que le vieux brisquart put voir dans le flash d'un éclair.

Godfroy recula aussi vivement qu'il put pour éviter la contre-attaque lorsque le maire le riva du regard et lui crachat une phrase emprunte de haine:


Ceci fut ton dernier geste saloperie.



Le vieux brisquard n'eût même pas le temps de parer le coup que déja il sentait la froideur de l'acier lui pénétrer les entrailles l'envahissant d'une indicible vague de souffrance, le coup fut encore répété deux fois libérant un flot de sang coulant abondamment sur son ventre et se melant à l'eau ruisselant sur le pavé. Godfroy comprit trop tard que déjà la fin était là et que bientôt la mort allait l'étreindre à jamais...

Il tomba bien malgrès lui à genoux et les yeux mi fermés par la souffrance il regarda son adversaire lui dire:


Je ne sais pas si tu mérites que je t'achève, j'ai très envie de te laisser crever comme une défection que tu es !!!!



Dans son ultime élan de fierté Godfroy, entre deux râles d'agonie lui rétorqua sans ménagement:

Et bien attend pas que je te le demande crevure jamais je n'ai supplié !!



Il savait l'issue qui l'attendait mais ne demanderais pas grâce car il n'était homme à demander pitié et ne s'abaisserait pas aussi bas...
---fromFRWölf
[ En combat avec un Rottweiler de 60 kilos ]

Le loup se saisissant avec force vigueur de l'encoleur de son cousin "quattre pattes" et tenta de déchirrer l'artère mais ce dernier moins épuisé trouva un élan de vivacité qui le fit lacher prise, lui laissant un bout de chair sanglante dans la gueule.

Le chien semblait en souffrance mais point maté par l'attaque, bien au contraire, il se jeta à nouveau sur lui et le loup sentit instinctivement que son opposant savait qu'il gagnerait, l'expérience primant, et le loup fermement attrapé par cette immense gueule fut saisi au mieux ce qui lui fit perdre tout espoir d'échapper à cette prise.

La force monstrueuse du chien se mit en branle, poussant énergiquement le loup au sol, le molosse ne décroissait pas d'intensité ce qui poussa alors le loup qui dérapa sur le pavé ruisselant, en position de dominé du fait de se faire coucher.

Le loup émit de longs piaillements de douleurs et n'avait plus que l'espoir que le molosse comprenne qu'il abandonnait la lutte, que ce territoire lui était sien, et qu'il serait le seul vainqueur sur le loup...

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---fromFRMaxlechien
Le combat entre les deux animaux touchait à sa fin, la gueule du rottweiller se refermait doucement mais sûrement sur la gorge du loup qui pliait sous le poids du chien, de légers cris, plutôt des plaintes étaient émis par le loup, Max compris que le loup reconnaissait qu'il avait perdu le combat, et que Max était toujours le maitre de son territoire.

Doucement, Max relâcha la prise, toujours aux aguets prêt a relancer un assaut si le loup réagissait autrement que par la fuite. Les babines retroussées, les dents qui étaient blanches au départ avaient une couleur rouge sang, preuve que le combat entre les deux canidés avait été intense.

Le loup toujours couché, regarda le chien et rampa plus loin avant de partir vers la vie. Max vit le loup tenté de courir mais ses blessures importantes l'en empêchaient. Après s'être assuré que le loup ne faisait plus courir aucun danger a son maître, Max se retourna vers le combat des deux humains, il se rendit compte que son maître avait le dessus, doucement en boitant,t légèrement, il se mit devant le corps de la jeune fille inanimée pour la protéger en attendant la fin du combat entre son maître, tout en jetant un oeil vers le compagnon de son maître au cas ou

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Chien fidele de Ben
Bentich
Le vieux brigand a genoux devant Ben, était dans un très mauvais état, mais dans son regard le soldat voyait que la haine était toujours présente, et d'ailleurs dans un élan de rage il lui avait hurle

Et bien attend pas que je te le demande crevure jamais je n'ai supplié !!

Ben le regarda et le trouva pitoyable.

Pauvre raclure, tu crois peut être que je vais attendre que tu supplies, tu as levé la main sur une ponote respectable, en plus elle m'est très proche, tu ne mérites donc pas de rester sur cette terre.

Ben leva son épée, et avec une rage qu'on ne lui connaissait pas, il l'abaissa et la lame entra a hauteur e la nuque, pour ressortir assez vite devant. La tête du vieux brigand roula sur le sol, le corps sans vie de l'homme s'effondra aux pieds du soldat.

Voila saloperie, qui sème le vent récolte la tempête


Ben réalisa d'un coup que tout était fini, enfin du cote physique, il fallait maintenant faire vite, Shan, Jess, Max et lui même devaient vite se faire soigner. Ben alla vers Shan et l'aida a se relever.

Allez l'ami on va allez doucement vers le cabinet médical, essaye de marcher, je ferme la marche avec Jess, Max passera devant.

Ben se dirigea vers le corps inanimé de son amie, caressa la tête de son chien pour le féliciter

Bien joue mon garçon, allez va maintenant ouvre la marche on va aller se faire soigner.

Ben rangea son épée qu'il avait toujours en main, ramassa son amie la cala convenablement dans ses bras et doucement suivit Shan qui lui même suivait Max, qui malgré ses blessures, avançait devant, son aspect déjà impressionnant en temps normal, faisait reculer tout le monde, sa gueule ensanglantée, n'inspirait pas a vouloir embeter la petite troupe qui se dirigeait vers la place du village

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---fromFRWölf
Le loup perdait quasiment connaissance et sombrait peu à peu vers une grand voile de ténèbres mais le chien compris qu'il était dominant et dans une mansuétude toute canine il le relâcha et, toujours sur ses gardes, il attendit de voir si le loup allait ou pas réattaquer...

Sans même un regard pour son ancien Maitre étrangement délesté de la partie qui lui criait souvent après, le loup s'éloigna en sautillant sur trois pattes, et n'avait qu'une envie, c'était d'échapper à la mort. Il mettrait probablement très longtemps à s'en remettre et ne retrouverais jamais la même dominance suite à ce traumatisme subit au combat.

Il partit clopin clopant vers la porte sud qu'il franchit non sans mal, trempé comme un rat sous cette pluie glaciale mais dont les éclairs c'était arretés, il passa sans même les regarder à coté des gardiens de la porte le regardant d'un air médusé, et peu après il s'enfonça dans la végétation de petits arbuste et d'herbes haute pour s'y soigner et qui sais, reprendre sa vie sauvage...

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Shankabangbang
Le combat était fini... Shan étais adossé au mur, son épaule douloureuse.
Ben s'approcha.


Allez l'ami on va allez doucement vers le cabinet médical, essaye de marcher, je ferme la marche avec Jess, Max passera devant.


Shan se redressa avec l'aide Ben et attendit contre le mur qu'il arrive avec Jess.
Max passa devant lui.
Il le suivit... Quelques mètres plus loin, l'épée de Jess brillait dans une flaque d'eau. Il se baissa tant bien que mal et la ramassa...
Au moins elle lui servirait d'appui.
Ils étaient tous en route pour le cabinet médical.
Shan jetait de petits coups d'œil en arrière pour s'assurer que Ben le suivait bien, Jess sur son épaule.
La cadavre dut colosse gisait sous la pluie au milieu de la rue.
Ce n'était plus qu'un lointain mauvais souvenir.
Jack_daniel
Quand l'homme aperçût qu'elle baissait sa garde, il sut qu'il avait gagné. Il jubilait intérieurement mais ne laissait rien transparaître. Les mots qu'elle lui dit en se mordillant la lèvre ne fîmes pas du tout plaisir à l'encapuchonné.

Je ne peux vous aider, je ne suis pas assez ancienne par ici.
Mais par curiosité, qu'est-ce que vous proposez et contre quoi ?
Et ne me jugez pas ainsi au travers de ce vêtement grossier !
Je ne vous laisserai pas faire ! J'imagine que vous voulez tester vous-même celles qui travaillerons pour vous... si du moins ce n'est pas une ruse pour vous les faire !

Je connais les bougres de pervers dans votre genre !


D'un saut, il fut debout, son bâton à la main. Il perdait encore du temps, il allait devoir en trouver une autre. Insolente, tu m'as fais perdre mon temps! Et tu te permet d'être insolent avec l'homme, ton maître, je vais t'apprendre! Fini la gentillesse.

Il bouillait de rage, il s'élança d'un bond, avec une détente fabuleuse, sur la pouilleuse. Il saisi les mains qu'elle avait baissée en même temps que sa dague. Il se retrouva face à elle, même pas à une trentaine de centimètre, un peu en biais pour éviter tout coups malencontreux. Alors femme, on reconnais son maître ? Il lâcha une main, saisi le collier de la femme et la repoussa pour reprendre une distance de sécurité.

Quand il fut sur d'être à distance pour la voir si elle contre-attaquait. Il la toisa du regard
. Quand vous aurez des informations pour moi, nous pourrons faire du troc! Et vous aurez intérêt à me parler avec le respect qui m'est du!...Je ne suis pas un de vos client aveugle-sourd-muet et manchot Sa haine était un peu retombée. Il recouvrait ses moyen mais ses yeux continuaient à briller...
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---fromFRMordric
La porte s'ouvrit dans grincement de porte horrible. Gardant toujours les yeux fermés il se concentra sur les bruits que faisait son invité surprise.
Pas de bruits de pas, aucuns sons. Une personne venue pour le tuer se serait déjà jetée sur lui.
Mais le danger était toujours là. Qui était ce?
Il entrouvrit un œil, caché derrière le rideau de ses cheveux celui qui se tenait face à lui ne pouvait le voir.
Une gamine apparemment, et vu sa tête, assez surprise de le trouver là.

Son regard semblait s'être arrêté sur quelque chose. Quelque chose qui la satisfaisait. Il balaya vite fait son corps du regard. Jeune, presqu'encore enfant, habillée comme une Romni... Comme ceux qu'il avait déjà rencontré sur les routes ou au détour des coupes gorges qu'il avait arpentés.
L'intruse une fois remise de sa surprise s'avança lentement de lui. Mordric ferma alors une nouvelle fois les yeux, feignant le sommeil.
C'est à peine s'il entendit ses mouvements. Pourtant le plancher était vieux et grinçait, la damoiselle devait être une belle voleuse...

Elle se tenait tout près de lui, il sentait sa main a quelques centimètres à peine de la sienne. Sa chevalière, oui c'était ça qui avait accroché son regard. Elle voulait le dépouiller de ses bijoux.
Soudain un vacarme se fit entendre dans toute la maison. Le bruit du bois heurté avec violence. La porte arrière apparemment.
La Romni n'était pas venue seule?
Etrange elle semblait aussi surprise que lui.

D'un seul geste il se leva, profitant qu'elle avait la tête tournée pour la prendre par surprise. Sa main gauche attrapant le poignet voleur encore tendu vers lui. Sans que la Romni ait eu le temps de réagir elle se trouvait plaquée dos contre lui, la pointe de sa dague posée sur son cou. Il approcha sa bouche de l'oreille de la gamine et lui murmura:


Ne bouge pas. Dis moi vite qui tu es et qui tente de forcer la porte. Sinon tu es morte dans la seconde.

Il accentua la pression de son arme sur ses chairs, lui faisant comprendre qu'il ne plaisantait pas. De son autre main il tordait toujours le poignet de la fille dans son dos. Les coups semblait de plus en plus fort, jusqu'au moment où ils entendirent le bois céder.
Fichu bois pourrit... Il y avait maintenant quelqu'un d'autre dans la maison.
Deux intrus en si peu de temps, la coïncidence était dure à croire. Ils devaient être de mèche... Malheureusement il ne savait pas à quoi s'attendre. Sa dague était réservée à la Romni déjà, peut être devrait-il la tuer tout de suite... Face à trop d'agresseurs il ne pourrait pas se battre facilement.

L'adrénaline coulait à torrent en lui maintenant. Il réfléchissait à ce qu'il devait faire, attendant les réponses de la gamine, il tendait l'oreille, cherchant à savoir combien de personnes avaient pénétrer dans l'autre pièce.

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PNJ
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