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[RP] La rue de Traverse.

---fromFRLunitza
[Toujours dans la bâtisse abandonné]


Et voilà… ça semblait bien trop facile, elle aurait dû s’en douter qu’un truc lui tomberait sur le coin du nez…
Sans même avoir eu le temps d’avancer d’un pas, afin de déguerpir au plus vite, la Romni se retrouvait menacée d’une lame pointée sous sa fine gorge, avec un de ses bras bloqué dans son dos. Finalement ce soit disant « dormeur » n’avait pas mis longtemps à se réveiller, et à se jeter sur elle. Bon réflexe le bonhomme !
Un piège… c’était certain ! Mais la vision de cette chevalière aux ornements ostentatoires, avait fait disparaître toute perspicacité et vigilance chez elle. Elle était bien trop obnubilée par ce bijou, qu’elle voulait absolument dans ses poches. Il aurait été son plus gros coup de la journée, enfin même de la semaine. Bien que ça semblait bien trop aisé, Lunitza n’avait pu se résoudre à tourner les talons, il fallait bien qu’elle le tente !
Enfin…résultat… elle se retrouvait plaquée contre un inconnu, avec une dague sous le menton ! Bravo ! Dans quel guêpier s’était elle encore fourrée ce coup ci ?! Ah puis c’était de la faute à la pluie aussi ! Si il n’y avait pas eu cet orage, elle ne serait pas rentrée dans ce bâtiment de malheur pour s’abriter!
Puis comme si c’était le moment de pester et de ronchonner contre les aléas météorologiques ! C’était à sa vie qu’elle devait songer plutôt là, si elle voulait la garder un tant soit peu !

Bon… que fallait-il donc faire alors ? Bouger ? Essayer de se débattre ? Non impossible… Un mouvement et hop elle se retrouverait avec la gorge tranchée ! C’était pas une bonne idée ça.
Lui adresser un immense sourire enjôleur et captieux pour essayer de l’amadouer ? Impossible aussi, il ne pouvait pas voir son adorable petit minois, qui en faisait craquer plus d’un, dans cette position. Puis il ne fallait même pas songer à se retourner, si elle ne voulait pas se retrouver avec le cou entaillé !
Il lui restait alors l’alternative de frotter son petit popotin tout contre lui, à travers de petites ondulations suggestives, pour le faire lâcher prise, et en profiter pour se dégager. Ca marchait à tous les coups ça ! Après tout c’était un homme comme les autres celui là ! Et elle sentait bien dans le bas du dos, qu’il était normalement constitué ! Ils fonctionnaient tous pareils ces engins là ! Il suffisait de les titiller un peu…. Et hop, plus qu’à activer le levier de mise en marche !

M’enfin… tout ça pour rien, puisque de toute façon, pas le temps de tenter quoi que ce soit, qu’après avoir entendu que la porte sur laquelle on tambourinait comme des forcenés, avait cédé, le fourbe vient lui murmurer des mots doux à l’oreille. Euh… enfin, pas vraiment des mots doux, manque de chance, mais plutôt des vraies menaces en bonne et due forme ! Il avait plutôt l’air coriace en plus ce bonhomme !


* Bon ne pas céder à la panique. Ne pas lui montrer que j’ai peur.
Souffler un bon coup. Montrer que j’en ai dans le ventre, et qu’il ne m’impressionne pas….
Ahhhh… mais il va arrêter d’appuyer sur cette fichue dague oui ?! Encore un peu et ma petite gorge va se vider de son sang !

Ne lui fais pas le plaisir de trembler ! T’es toute seule ma fille là… Tu ne peux compter sur personne. Alors craque pas…*

Bon… il voulait donc savoir qui elle était… Mais ceux qui venaient d’entrer… ça elle n’en savait fichetrement rien ! Elle n’en avait aucune idée ! Comme si elle connaissait tous les scélérats du coin ! Il était marrant, lui.

Les battements de son cœur s’accéléraient de plus en plus, malgré tous les efforts que la gitane déployait à les calmer.
Il attendait une réponse maintenant… il était peut-être temps de décoincer un mot de la bouche avant qu’elle ne finisse égorgée !


« Pas la peine de t’exciter comme ça !
Tu sais les manières douces sont aussi efficaces, et souvent bien plus plaisantes… Je connais bien meilleure manière pour se présenter et faire connaissance moi … »


Des bruits de pas dans la pièce d’à côté se faisait entendre. Avec un peu de chance, on viendrait la sauver ! Mais vite ! Il ne semblait pas très patient le bonhomme.

« Puis, pour ce qui est de l’autre qui vient de rentrer… bah j’en sais rien. Je ne suis pas devin ! Et je ne lis pas dans les boules de cristal !
* sourire narquois *
Va directement lui demander ! Si tu veux vraiment savoir qui c’est ! »

A vrai dire, Lunitza espérait bien que cet « intrus » les trouve au plus vite ! Cette situation commençait plus qu’à l’incommoder… On ne pouvait pas dire que la sensation d’une lame froide sur sa peau était vraiment très agréable… Puis se sentir prisonnière aux mains d’on ne sait quelle brute… encore moins !
Laurine.
La porte, qui d’un premier regard semblait consciencieusement vermoulue, ne céda pas si facilement. Laurine dut y aller de plusieurs coups d’épaule qui finirent de réveiller sa douleur au bras. L’humidité ambiante, avant-courreuse de l’orage qui venait d’éclater, avait rappelé à la Garçonne sa blessure carcassonnaise même si celle si avait été habilement réduite par le bel Argenté.

Elle pénétra sans plus attendre dans la bâtisse abandonnée, premièrement pour y trouver refuge, mais curieuse comme une pie et toujours encline à mettre son petit nez retroussé dans le premier sac d’embrouille venu, elle voulait retrouver la petite gitane aux jambes agitées.

Au lieu de rester sagement près de la porte fracassée et attendre la fin de l’averse qui diminuait pourtant déjà, Laurine explora du regard la pièce sombre dans la quelle elle se trouvait. Si ce n’était une poussière grasse et humide qui recouvrait le plancher, des reliquats épars de quelques repas délaissés par de quelconques rongeurs, la pièce ne révélait aucune particularité, pas même un meuble qui aurait pu en dire un peu plus sur les anciens occupants de l’endroit. Fuite soudaine, pillage en bonne et due forme ou déménagement soigneusement préparé, rien ne subsistait de la vie qui avait put être menée en ces lieux.
L’endroit était sombre et la Garçonne se dit que la prudence était de mise. Elle savait pertinemment bien ne pas être seule dans la maison et la petite ne lui avait pas semblé de mœurs particulièrement aristocéliennes ou si justement mais digne des plus hauts dignitaires, délesteurs des masses endormies.

C’est donc avec une prudence toute féline qu’elle s’approcha d’un petit couloir qui semblait mener aux autres pièces du bâtiment. Sur la droite se trouvait un escalier tellement délabré que s’y aventurer équivaudrait à jouer sa vie à la loterie comtale la plus trafiquée des Royaumes. Même si elle était svelte et légère, la jeune gitane n’avait pas pu se réfugier à l’étage ou en tout cas pas en empruntant ces marches hasardeuses. Trois autres portes débouchaient sur ce corridor poussiéreux, mais une seule n’était pas fermée complètement. La gamine avait là commis sa première imprudence.

Laurine s’approcha à pas de loup de la dite porte et porta sa main à sa fine dague ciselée qui ne la quittait quasi jamais, même au plus fort de ses ébats au grand dam de ses partenaires. Un seul avait eu le privilège de la voir entièrement désarmée.

Par la fine fente de la porte entrebaillée, Laurine glissa un regard indiscret, d’autant plus indiscret qu’elle venait de percevoir quelques chuchotis qui ne manquaient jamais de lui hérisser le peu de pilosité que présentaient ses avant bras. La gamine n’était pas seule. Comparse ou victime, galant ou otage, elle le saurait bien assez vite.

Un homme, au fessard bien moulé dans ses braies, tenait la petite en respect. Bien que le mot respect soit bien mal approprié à la manière dont l’homme tenait la gitane, prêt à la gratifier d’un second sourire, tout à fait définitif celui là. De dos le couple enlacé dans une danse macabre aurait été facile à surprendre si l’endroit avait été moins humide.

L’odeur rance du moisi qui embaumait l’espace, envahit désagréablement le nez fin de la belle garçonne. Peu à peu le chatouillement devint intolérable et elle ne put réprimer un éternuement sonore…
---fromFRKarina della Puerte
*Les bruits de combat s'étaient tus mais le pervers face à elle semblait bien éveillé lui au contraire.
Au mots haineux de la catin, il s'était levé comme mû par un ressort et tentait de montrer son autorité machiste.

Elle s'éloigna encore un peu plus lorsqu'il la repoussa, la dague serrée plus fermement que jamais dans son poings vengeur.*



Mon ... maitre ?


*Elle éclata d'un rire sadique et sortit le collier d'ongles de sous sa cape.*


Voilà ce que je leur fais à ceux que vous dites maitre !
Je ne respecterai surement pas les bougres de pervers de votre genre ! Vous n'êtes que des sales types méprisants qui voulez faire des femmes vos esclaves.

Pleure chien d'homme ! Ici, c'est toi l'esclave ! C'est toi qui paie des femmes parce que sans elle tu n'es rien. C'est toi qui te retrouve entre leurs seins, tout ça parce que celle que tu voulais t'a repoussé !



*Elle cracha sur le sol en direction de l'encapuchonné avant de grimper dans l'arbre où elle avait élu plus tot domicile. Dans son esprit tout n'était pas clair. Il lui rappelait le Comte et la haine qu'elle nourissait envers lui se retournait vers l'Ermite.*


Trouve donc ailleurs tes catins !


*Déjà elle commençait à avoir bien envie de trifouiller les tripes de ce sale type et ses yeux se mettaient à briller avec autant d'intensité haineuse que ceux de son adversaire.*
Jack_daniel
L'encapuchonné voyait la femme rigoler, sa rage réaugmente. Soudain elle lui cracha une volée de mot.

Voilà ce que je leur fais à ceux que vous dites maître !
Je ne respecterai sûrement pas les bougres de pervers de votre genre ! Vous n'êtes que des sales types méprisants qui voulez faire des femmes vos esclaves.

Pleure chien d'homme ! Ici, c'est toi l'esclave ! C'est toi qui paie des femmes parce que sans elle tu n'es rien. C'est toi qui te retrouve entre leurs seins, tout ça parce que celle que tu voulais t'a repoussé !


Il se crut obliger de réplique, d'un ton calme. Sache femme, que je n'ai jamais payé aucune femme et que je ne payerais jamais. Si je voulais, je me servirais sur votre infâme carcasse en ce plaisir, mais il faudrait vraiment que je sois en manque... Il éclata lui-même d'un rire sadique. Soudain elle s'encourru pour remonter dans l'arbre ou elle se trouvait précédemment. Elle fuyait et pire que tout elle l'avait insulté de...Pleutre...Esclave...

C'en était trop, en quelques foulées il fut en dessous du dit arbre. Il s'accroupi et d'une très bonne détente sauta en l'air et réussi à saisir la cheville de l'impudente. Son poids aidant, il la fit chuter à ses pieds. Il lui appliqua une torgnole de la main portant sa grasse bague en émeraude.
Je parle, vous obéissez! Il lui en mit une autre, et puis une autre et puis encore une autre... Le sang coulait du visage de la femme. Voilà ce qui arrive aux impudentes dans votre genre, j'aurais pu vous tuer. Ceci fait, il recula, toujours face à la femme, au cas ou elle passerais à l'attaque.

Une fois à bonne distance, il regarda autour de lui s'assurant que personne ne l'avait vu effectuer le saut prodigieux qui n'irait assurément pas avec son apparence de vieillard incapable de bouger. Il tourna la dos à l'arbre, penché sur son bâton. ...TAC...TAC... La pluie avait cessé mais le ciel restait quand même couvert. Il faudrait qu'il se trouve d'autres femmes peut-être qu'en allant vers les plus petites ruelles encore il aurait plus de chances...

Tout en marchant, il repensait à la pouilleuse. *Hhhhhm, si elle avait été un homme, elle aurait pu me seconder...* Perdu dans ses pensées, il dirigea vers les maisons... Il aperçut du coin de l'oeil une femme en train de s'attaquer à coups d'épaule contre une porte. Il observa la scène, il vit que la femme avait réussi dans son entreprise et rentra dessuite dans la masure.

L'Encapuchonné avança et alla se poster à proximité de l'entrée mais sans vraiment donner l'impression de regarder mais plutôt d'attendre quelque chose... ou quelqu'un...

_________________
---fromFRKarina della Puerte
*Elle l'écoutait sans la moindre peur dans le regard malgré le ton froid et la violence des mots et des actes qui transcandait à travers lui.*


Mon infâme carcasse... voilà qui m'arrange venant de toi pauvre fou ! Tu n'en as rien vu !


*Mais à peine ces mots prononcés, elle sentit un main aggriper sa cheville et tomba se son arbre aux pieds de l'encapuchonné comme une poupée de chiffons. Elle sentit sa joue éclater et sa lèvre se fissurer sous le contact d'un métal froid et transperçant.
Le sang coulait abondamment sur son visage, le long de ses tempes, de ses joues et jusqu'à son menton.
L'homme continuait de se prendre pour un maitre qu'il n'était pas*



Cessez de me prendre pour votre chose ! Vous n'êtes rien !


*L'homme se mit à marcher en direction d'une demeure plus imposante que les autres dans la rue et l'ex-catin serra sa dague dans sa main et se décida de le suivre discrètement. Cette haine émanant d'un vieux bonhomme l'intriguait au plus haut point ... et elle avait toujours envie de quelqu'un à se mettre sous la dent, ses jeux de poignard lui ayant donné fort envie ...*
---fromFRMi-ange Mi-démon
[ Dans la chambre de l'auberge]

Le désir montait de plus en plus chez Merodack. Amplifiant ses griffures Mi-Ange voulait que cela en finisse ! Lui, rougissait de plaisir. Des perles de sueurs apparaissaient sur le visage du client. La chaleur qui habitait la pièce était devenue insoutenable. Dans le silence de la chambre, on n'entendait plus que le claquement des ventres l'un contre l'autre. Ses vas et viens en Mi-Ange s'accéléraient, ses parois étaient mises à rude épreuve, il la labourait sans ménagement. Elle sentit l'extrémité de son vit, grossir et durcir puis une longue plainte accompagna le tressaillement du membre brûlant qui explosa en elle. La belle sentit chacun de ses longs jets laiteux venir tapisser la plus profonde intimité de sa grotte.

Ses ardeurs apaisées, il se releva, se mit à rire et sortit du lit pour servir trois chopes. Mi-ange, en profita pour se laver, continuant de montrer ses formes voluptueuses et ses courbes enchanteresses. Elle le savait, tout en elle était érotisme, nue ou peu vêtue, son corps, ses fesses en étaient un atout incontestable, et elle jouait de ses charmes. Mystérieuse autant que prédatrice, Mi-Ange affichait sa nudité avec fierté et naturel. Elle se rapprocha de son amie et du client, pour boire un coup et répliqua à celui-ci


Vous n'avez jamais pensé à travailler sur Paris ? Vous auriez du succès...

Mon cher, le Puy est satisfaisant ! Nous avons la bourgeoisie qui réclame nos services et nous suffisent amplement pour bien vivre ! De plus je suis attendue par un autre client alors je vous laisse avec Kristen.

Sur ses paroles elle enfila sa cape, regarda si son stylet était bien en poche, ainsi que ses écus, fît signe à kristen qu'elle allait partir, ouvrit la porte et disparue !

[ Dans la rue de traverse !]


Une fois dehors, elle resserra sa cape et arpenta la rue sans faire cas des personnes qu'elle croisait, jusqu'à celle du nom de traverse et s'adossa à l'angle d'une porte cochère, non loin de la maison abandonnée. Le calme était revenu, la belle glissa son stylet entre deux pierres et attendit le prochain client ...
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---fromFRAnonymous
Elliost est un célibataire vieillisant et un peu bedonnant, qui se retrouve dans la rue de traverse pour essayer d'échapper à sa vie trop parfaite et innintéressante. Il y va et ne sait pas ce qu'il va y trouver, ne sait pas ce qu'il vient y chercher.
C'est alors qu'au coin de la rue, il aperçoit une créature magnifique. Une longue crinière noire qui court le long d'un visage angélique jusqu'à des rondeures qui le font rougir presque instantanément.
Etait ce celà qu'il était venu chercher? Il en était persuadé à présent.

Il s'avança un peu hésitant vers cette sublime créature.


Bonsoir m'dame, c'est combien?

Lança t-il maladroitement à mi-ange, n'osant même pas la regarder dans les yeux.
---fromFRAlberick
Alberick est un homme mystérieux à l'esprit tourmenté.
Il ère de villes en villes dans tout le royaume de France depuis l'assassinat de sa bien aimée par de misérable brigands qu'il s'est efforcé de tué un par un lentement, très lentement de ses propres mains.
Aujourd'hui vagabond sans objectif il attend la mort, qu'il n'a pas su se donné lui même, en défiant qui conque ose l'importuner. Malheureusement pour lui, il s'est toujours montré plus vaillant que ses adversaires et il est devenu, au fil du temps, de plus en plus redoutable.

Alberick, arrivé aujourd'hui aux abords du Puy, à attendu que la nuit tombe avant d'entrer dans la ville car il n'aime guère croiser le regard des gens. Il se dirige aussitôt vers les rues les plus malfamées, celles qu'il connait le mieux, pour trouver un bouge dans lequel il pourra se repêtre d'un sale repas. C'est alors qu'il assiste de loin, suffisament loin pour qu'on ne puisse le voir, à une scène entre un vieille homme et une magnifique beauté brune:

" ce visage!......, non impossible....., elle est morte et enterrée depuis bientôt 4 ans" murmure t-il.
"et pourtant quelle ressemblance"
"une catin; une si belle femme"


Ses idées s'embrouille dans son esprit. Puis finalement sans bruit, se cachant légèrement dans une petite allée, il s'installe et regarde la scène.
Il sort de son long manteau usé par le temps et taché par le sang, un couteau et une pomme et commence à la manger.
---fromFRKristen.
[ Dans la chambre de l'auberge avec Mérodack et Mi-ange]

Souffle haletant retrouvant son rythme, épilogue des plaisirs assouvis avec tant de fougue, cheveux platine en bataille et largement répandu de leur longueur sur le matelas, regard perdu dans le néant, semblant fixer le plafont.

La belle germanique se remettait peu à peu des ardeurs du mâle en action qui oeuvrait sur Mi-ange à présent. Kristen n'en avait cure car elle était encore ivre de son extase qui malheureusement se dissipait peu à peu. Reprenant pied dans la réalité elle bascula sur le coté, roulant sur son flan et pliant son bras elle mit se tête sur sa main en regardant l'homme besogner sa complice de travail d'une ardeur qui jamais ne semblait décroitre. La chevelure de Kristen se balançait au rythme des remous du matelas et cela la fit même sourire... c'est qu'il est "gourmand" le coquin...

Après un long moment de délicieux rapprochements de bassins, le client libéra sa libation dans une exquise agonie étreignant son être en des soubresauts divin semblait-il...

Tout à sa fatigue il se releva et étancha une toute autre soif, servant trois récipients du gouteux breuvage but au début et que Kristen n'allait pas refuser, elle avait toujours été avide de tous les plaisirs, dans tous les domaines, mais il est vrai qu'à ses yeux l'ivresse éthylique se rapprochait de beaucoup de celle de l'extase. Pendant que Mi-ange procédait à ses ablutions, la germanique revêtait ses effets, parachevant avec soin le lissage de l'étoffe épousant ses courbes, elle était épuisée et se laverait avec soin en rentrant.


Vous n'avez jamais pensé à travailler sur Paris ? Vous auriez du succès...

Mon cher, le Puy est satisfaisant ! Nous avons la bourgeoisie qui réclame nos services et nous suffisent amplement pour bien vivre ! De plus je suis attendue par un autre client alors je vous laisse avec Kristen.




Conjointement à son client et Mi-ange, il levèrent leurs godets et trinquèrent au plaisirs reçus. Tout en buvant à lente gorgée, Kristen si dit qu'en effet plaisir fut reçu, ou... et pour elle aussi...

Elle vit ensuite Mi-ange s'éclipser tout en lui faisant un signe de la main et Kristen en retour la salua par la même et lui adressa un large sourire et de son timbre cristalin elle dit:

"A bientôt ma belle, j'arrive d'ici peu !"




La belle Germanique bu un peu avec son client qui lui resservit un godet de ce fin crû, riant avec lui de ses traits d'humour, conversant quelques instant, et peu à peu elle sentait la fatigue l'étreindre, dur vie que celle d'arpanter les pavés et de procurer des plaisirs...
Tout en saluant son client elle enfila sa capeline en ayant au préalable perçue ses "honoraires". Kristen referma la porte sur sa silhouette qui se dessinait à contre jour et d'un pas lent et sonore dispensé par ses talons de botines, elle descendit les escalier et sortit de cette auberge, s'engouffrant dans les ténèbres nocturnes...

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---fromFRMi-ange Mi-démon
[[ Dans la rue de traverse !]

Alors qu'elle venait à peine de reprendre sa place, elle vit un petit bonhomme ventru s'approcher d'elle.


Oh non pitié pas lui ! qu'il passe son chemin. Je sais bien que je dois prendre n'importe qui ! mais là ... Allez courage ma belle !

Pensa t-elle en le regardant arriver vers elle l'air penaud. Lorsqu'il l'accosta, elle le sentit un peu idiot.

Alors mon chou ! on veut un câlin pour se consoler de ce que la maman n'a pas voulu faire ?
Mon prix chéri ! auras tu assez pour te soulager. Tu sais je suis très chère, je réclame 50 écus pour une minime gâterie à moins que tu ne sois riche et que tu veuilles la totale !


Lui dit elle avec une pointe d'insolence, tout en écartant les pans de sa cape, pour offrir à ce myope une vue rapprochée sur les moindres détails de sa nudité
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---fromFRMordric
« Pas la peine de t’exciter comme ça !
Tu sais les manières douces sont aussi efficaces, et souvent bien plus plaisantes… Je connais bien meilleure manière pour se présenter et faire connaissance moi … »


Mais c'est que tu n'es pas farouche ma belle, même avec une lame sous le cou tu veux faire connaissance...
Un peu jeune toute fois...


Reculant légèrement la lame du cou de la Romni pour ne pas la blesser, il tordit un peu plus son poignet. Le ramenant encore plus loin dans le dos de son otage. Esprérant que la douleur lui délierait la langue...


« Puis, pour ce qui est de l’autre qui vient de rentrer… bah j’en sais rien. Je ne suis pas devin ! Et je ne lis pas dans les boules de cristal !
Va directement lui demander ! Si tu veux vraiment savoir qui c’est ! »


Tu veux me faire croire que c'est un hasard?
Ne serait ce pas plutôt un complice? Prêt a passer au travers des portes pour sauver tes jolies petites fesses en cas de problème?


Mordric s'amusait maintenant de la situation le verve de la gitane lui plaisait, le poignet à deux doigt de se briser, une lame dirigée sous son cou gracile et elle trouvait encore le moyen de plaisanter.
Assurance déguisée il le sentait au léger fébrilement de sa voix, mais au moins elle ne pleurait pas.
Le contact de son dos contre lui n'était pas désagréable non plus, jeune, belle, voleuse, et menteuse. elle devenait de plus en plus intéressante.
Il y aurait peut-être moyen d'en faire quelque chose de celle là, enfin tout dépendait de ce qui se trouvait dans la pièce derrière eux...
Rapidement il n'analysait la situation, la gamine ne poserait pas de problèmes, elle était déjà maitrisé.
Reste a savoir ce qui allait passer la porte d'une seconde à l'autre, si elle mentait son défenseur ne foncerait pas tête baissé pour la sauver, au risque de la voir se faire égorger.
Si elle disait la vérité alors là il avait un soucis... Celui qui se trouvait dans l'autre pièce n'aurait rien a faire d'elle...

Un éternuement se fit entendre, dans la pièce d'à côté. Décidément de drôles d'agresseurs qu'on lui avait envoyés. Une voleuse a peine plus âgée qu'un enfant de chœur, et un mystérieux inconnu au nez sensible.


Besoin d'un mouchoir? lança t il avant d'éclater de rire. Rapidement il pivota en direction de la porte derrière laquelle se trouvait l'enrhumé mystère. La Rom n'eut guère le choix que de faire face à la porte également. Il tenait toujours son poignet serré, mais il avait baissé sa dague, prête à être lancée sur le nouvel arrivant.

Il se pencha ensuite légèrement en avant, portant sa bouche à l'oreille de la petite et lui murmura:

Si vraiment ce n'est pas un de tes amis, reste sur tes gardes...

Il se redressa ensuite lentement, souriant à la porte entrebâillée, impatient de voir qui allait l'ouvrir.
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PNJ
---fromFRAnonymous
[[ Dans la rue de traverse !]

Alors mon chou ! on veut un câlin pour se consoler de ce que la maman n'a pas voulu faire ?
Mon prix chéri ! auras tu assez pour te soulager. Tu sais je suis très chère, je réclame 50 écus pour une minime gâterie à moins que tu ne sois riche et que tu veuilles la totale !


Elliost n’était pas venu pour cela et se demanda s’il allait avoir assez d’argent sur lui. Il commença à fouiller dans sa poche lorsque la belle écarta les pans de sa cape. Cette sublime plastique sous ses yeux lui fit perdre ses moyens. La sueure commença à perler sur son front et il laissa échapper quelques pièces de ses mains.
Se mettant à genoux pour les ramasser, il se trouva alors à quelques centimètres du fruit de tous les fantasmes. Cette vision le paralysa un instant. Tout ne fût pas paralysé. En effet, la preuve de son désire commença à se voir à travers son pantalon. Il se releva finalement et tendit 50 écus à mi-ange.


"Je n’ai que ça, ce sont toutes mes économies !" Bredouilla-t-il.
---fromFRAlberick
[[ Dans la rue de traverse ! Bien caché ]


Alberick observait toujours la scène de loin, sans pouvoir être vu, tout en dégustant sa pomme tranquillement.
Il en profitait pour regarder les formes généreuses et harmonieuses de la jolie brune qu’il paierait peut être plus tard pour se délecter de son corps.
La maladresse du vieil homme, pourtant burlesque, ne l’amusait même pas car un grand vide avait prit la place de la haine dans son cœur et son esprit.
[/b]
Laurine.
[Dans la poussiéreuse bâtisse abandonnée]


Laurine maudit en silence cette sensibilité à la poussière qui n’avait pas du manquer de trahir sa présence. D’avoir manipulé au cours des dernières années tant de poudres et produits d’origine douteuse et variée l’avait rendue sensible à bien des égards. La poussière était du nombre.

Elle avait pensé pouvoir surprendre la jeune fille et en tirer quelques bénéfices, bien que la Garçonne n’était pas voleuse de nature. Elle avait bien des vices qu’elle était la première à reconnaître et même à exploiter éhontément, mais le vol n’en faisait pas partie. Sans doute un reliquat de tout ce qu’avait pu lui léguer son grand-père. Elle resta immobile tout sens en éveil, tentant de réprimer toute nouvelle velléité d’éternuement. Elle hésita à se saisir de sa dague, n’ayant nulle envie de blesser la petite gitane, mais un simple regard sur son avant bras lui rappela son imprudente intervention dans l’auberge de Carcassonne. Elle sortit donc la fine lame de son fourreau, attentive au moindre grincement de la vieille bâtisse.

L’homme qui s’était retourné tenant fermement la gamine, affichant ainsi la relation qui les unissait probablement temporairement au vu du regard sombre qu’il affichait. Elle était bel et bien son otage voire sa victime. Laurine fit disparaître instantanément sa dague derrière son poignet et le début de son avant bras. La situation était critique tant pour la jeune Rom que pour Laurine elle-même bien qu’elle disposât de plusieurs échappatoires, notamment la porte qu’elle venait de franchir. Mais il fallait avant tout ruser et pour une fois réfléchir.
Elle n’avait pas grand chose à faire de la gitane mais rien que pour le principe qu’elle soit ainsi maintenue par un mâle dominateur il fallait qu’elle intervienne d’une manière ou d’une autre.

Ce n’est ni par la brutalité, ni la force qu’elle devrait agir. Elle devait déstabiliser l’homme sachant pertinemment bien qu’user de ses charmes serait inopérant tant il avait l’air blasé de la vie. Elle avait trouvé une parade risquée mais elle n’avait guère d’autre choix.

D’un voix détachée elle s’adressa au sombre l’individu.


Oh pardon je voulais pas déranger, je cherche mon ami Dragan, on devait se retrouver dans cette maison mais il n’est pas là.

Elle hésita à pousser le bouchon du mensonge un peu plus loin, voulant déclarer avoir découvert le baluchon de cet ami imaginaire dans la maison mais elle préféra s’abstenir pour rester plausible, l'homme connaissait peut-être très bien les lieux.

Mais je vois qu’il n’est pas ici, je vous laisse…

Elle se dirigea à reculons sans les quitter des yeux, et se tint un court instant dans l’encadrement de la porte.
---fromFRLunitza
[ Dans la vieille bâtisse]


Et bien les choses n’allaient pas en s’arrangeant. Bien au contraire ! Voilà que l’autre rustre se mit à tordre plus brutalement encore son pauvre petit poignet gracile. Une grimace de douleur s’afficha sur la Romni, jurant dans sa langue maternelle en son intérieur. Elle était vraiment loin d’être sortie de l’auberge à cette allure.
Et voilà que celui qui la prenait en otage se mettait à parler de complice. Complètement barge et parano celui là encore !

« Vous vous sentez tant persécuté que ça ? Pour voir partout des gens qui vous veulent vous attaquer !
Puis, vous êtes qui d’abord ? Vous ai encore jamais vu dans l’coin ! Un gadjo pareil ça se loupe pas ! »

Mais l’étreinte exercée autour de son bras se fit plus forte encore, presqu’à la limite de lui briser l’os. Lunitza ne faisait vraiment pas la fière malgré cette apparente attitude d’assurance qu’elle s’efforçait d’adopter devant son assaillant. Ca non… elle ne lui ferait pas le plaisir de la voir pleurnicher et implorer à genou qu’il la lâche.
Bon et qu’est-ce qu’il foutait cet intrus ? C’était le moment ou jamais de pointer le bout de son nez pour venir la sauver ! La gitane priait d’ailleurs intérieurement pour que ce soit un bon samaritain, vous savez, ceux qui se disent les grands défenseurs des veuves et des orphelins ! En fait elle se fichait pas mal de qui ça pouvait être, tout ce qu’elle voulait c’est qu’il vienne à sa rescousse !

Un éternuement derrière la porte se fit entendre, qui ne manqua pas bien évidemment d’attirer l’attention de l’autre zouave qui la maintenait toujours contre lui, avec cette foutue lame sous le menton. Et bien le héros devait repasser pour sa discrétion, en tout les cas ! Ca commençait mal déjà.

Voilà que brusquement, le duo insolite en pleine promiscuité scabreuse, pivota guidé par le pas de l’homme qui menait la danse. La femme enfant n’avait d’autre choix que de le suivre, et en un mouvement, ils se retrouvèrent face à cet huis, derrière lequel se cachait l’individu, fâché avec les poussières.
C’était le comble ! Le gougnafier qui la retenait prisonnière lui conseilla contre toute attente, en lui murmurant, de faire attention à la personne qui s’apprêtait à entrer ! Non mais il se fichait d’elle en plus ? C’était lui qui la menaçait avec son arme, mais c’était de l’intrus dont elle devait se méfier ! Il y avait vraiment de ces tarés !

Fixant l’entrebâillement de la porte de ses yeux qui imploraient le ciel… la chance… ou même le destin… enfin n’importe quelle entité susceptible de la faire sortir de ce guêpier faisait l’affaire… la petite gitane, toujours dans une mauvaise posture, attendait que son « sauveur » daigne enfin faire son apparition. Elle priait et espérait que la situation tourne en sa faveur cette fois.

* Pourvu que ce ne soit pas encore un dégonflé qui ne prenne ses jambes à son cou… *

Une silhouette se décida finalement à se dessiner devant eux, cachée d’abord par la pénombre, pour en sortir peu après, dévoilant une femme aux accoutrements étrangement masculins. La Romni fronça les sourcils, ce n’était pas vraiment ce à quoi elle s’attendait. Bizarrement, elle avait plutôt l’image d’un gros molosse en tête, avec des muscles surdéveloppés, et des armes accrochés partout sur sa tenue. Bien entendu, elle n’avait pas vraiment été réaliste pour le coup, et en avait espérer peut-être un peu trop, aveuglée par sa peur de finir en pièces par cette brute.
Bien il fallait de tout sens faire avec ! Il s’agissait donc d’une femme… soit… elles avaient elles aussi des talents cachés, et après tout au moins Luni pourrait compter sur la solidarité féminine. Elle ne doutait pas que, voyant une de ses homologues prise aux mains de ce sauvage, la nouvelle arrivante n’hésiterait pas à lui venir en aide.

Et bien non… pas encore cette fois que la chance tournerait… le garçon manqué s’apprêtait à quitter les lieux, sans rien tenter, prétextant être à la recherche de quelqu’un. C’était pourtant l’apanage des hommes ça, la couardise !

L’occasion de se libérer des griffes de son assaillant était en train de s’échapper sous ses yeux, après tous les espoirs qu’elle avait mis en cette intrusion, plus que bienvenue…

Celle qu’on surnommait la « Fille du vent » accrocha le regard de la femme qui s’éloignait à reculons, la suppliant par cet échange visuel de lui venir en aide, et de ne pas la laisser ainsi… De discrets signes de tête accompagnés de grimaces significatives et éloquentes lui intimaient, l’imploraient de ne pas partir. Elle ne pouvait malheureusement le faire de vive voix, au risque de finir égorgée par celui qui l’emprisonnait. Impossible non plus d’essayer de se débattre… n’importe quel mouvement aurait eu tôt fait d’aggraver son cas plutôt qu’autre chose, et son poignet était bien trop fermement maintenu derrière elle.
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