Jules.
Il la laissa passer devant lui avant de refermer la porte sur eux. La laissant découvrir la pièce aussi chaudement décorée que le salon, Jules ignora superbement le grand lit qui trônait en face et qui eut pu impressionner la damoiselle, préférant s'asseoir dans un des deux fauteuils près de l'âtre flambant. Pourvu qu'elle parle facilement, pria-t-il. Malgré ses récents progrès il n'était toujours pas doué pour les phrases longues et bien faites. D'un geste il l'invita à prendre place, d'un autre il lui tendit son vin.
Racontez-moi...
Bon, d'accord, il ne s'était toujours pas débarrassé de cette sale manie qu'il tenait de l'armée : parler sous forme d'ordres laconiques. Mais au moins à présent la voix était elle plus douce, le regard plus posé. Au moins maintenant, reconnaissait-il le besoin d'apprivoiser par les mots et non que par les gestes. Car elle avait forcément quelque chose à lui raconter, à lui expliquer, sinon elle n'eut jamais demandé à parler... si ? Bon. Alors. Voyez bien qu'il se débrouille pas trop mal !
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Retrouvez Jules au Boudoir des Sens.
Racontez-moi...
Bon, d'accord, il ne s'était toujours pas débarrassé de cette sale manie qu'il tenait de l'armée : parler sous forme d'ordres laconiques. Mais au moins à présent la voix était elle plus douce, le regard plus posé. Au moins maintenant, reconnaissait-il le besoin d'apprivoiser par les mots et non que par les gestes. Car elle avait forcément quelque chose à lui raconter, à lui expliquer, sinon elle n'eut jamais demandé à parler... si ? Bon. Alors. Voyez bien qu'il se débrouille pas trop mal !
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