Jules.
Mauvaise idée, Jules. A trop lui donner le choix, la position de décision, il avait obtenu un regard de moins en moins voilé de désir, de plus en plus pensif, inquiet, perturbé. Voilà qu'elle se redressait, prenait ses mains à lui pour les éloigner de son corps.
Je suis désolée Je ne peux pas. Je vais partir. Je naurais pas du venir Pardon.
Tout d'abord ce fut la frustation physique qui parla. Une fraction de seconde, il pensa uniquement à son envie, qui ne serait pas assouvie. Mais bien vite, la raison reprit le dessus. Il y en aurait une autre, dans l'heure qui suivait, ou le lendemain, peut importait vraiment. Ce qui importait en revanche... C'etait qu'une cliente ne parte pas insatisfaite. Et dans le cas d'Adalsende, sur un sentiment d'échec et de pêché.
Se redressant, il se saisit des mains de la jeune femme, vif comme l'éclair. Trouver les mots, et vite... Transformer la mauvaise idée en bonne idée..
Ne vous excusez pas, ma dame...
Le regard sérieux, il pressa doucement les mains qu'il tenait, et tout, dans son attitude, son regard, ses gestes, était redevenu respectueux et calme, comme avant qu'il ne la porte sur le lit.
Vous êtes venue découvrir si vous étiez morte à l'intérieur, et vous avez votre réponse. Alors, de grâce, ne dites pas que vous n'auriez pas du venir.
Lentement, il porta les blanches mains à ses lèvres, prenant soin d'y apporter le décorum de la politesse, comme si cela pouvait effacer le fait que ces mains qu'il baisait respectueusement tentaient, il y a encore une seconde, de le libérer de ses braies.
C'est tout à votre honneur de partir aussitôt votre réponse obtenue...
Il tenta un sourire rassurant. Au delà de la réputation du Boudoir, au delà de la fierté professionnelle qui le poussait à ne pas voir une cliente partir décontenancée ou bouleversée, il ne pouvait s'empêcher de souhaiter qu'elle tirerait quelque chose de bénéfique de leur courte entrevue. Les yeux noirs scrutèrent le visage perturbé, à la recherche du moindre signe que ses mots étaient parvenus à l'apaiser un peu.
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Retrouvez Jules au Boudoir des Sens.
Je suis désolée Je ne peux pas. Je vais partir. Je naurais pas du venir Pardon.
Tout d'abord ce fut la frustation physique qui parla. Une fraction de seconde, il pensa uniquement à son envie, qui ne serait pas assouvie. Mais bien vite, la raison reprit le dessus. Il y en aurait une autre, dans l'heure qui suivait, ou le lendemain, peut importait vraiment. Ce qui importait en revanche... C'etait qu'une cliente ne parte pas insatisfaite. Et dans le cas d'Adalsende, sur un sentiment d'échec et de pêché.
Se redressant, il se saisit des mains de la jeune femme, vif comme l'éclair. Trouver les mots, et vite... Transformer la mauvaise idée en bonne idée..
Ne vous excusez pas, ma dame...
Le regard sérieux, il pressa doucement les mains qu'il tenait, et tout, dans son attitude, son regard, ses gestes, était redevenu respectueux et calme, comme avant qu'il ne la porte sur le lit.
Vous êtes venue découvrir si vous étiez morte à l'intérieur, et vous avez votre réponse. Alors, de grâce, ne dites pas que vous n'auriez pas du venir.
Lentement, il porta les blanches mains à ses lèvres, prenant soin d'y apporter le décorum de la politesse, comme si cela pouvait effacer le fait que ces mains qu'il baisait respectueusement tentaient, il y a encore une seconde, de le libérer de ses braies.
C'est tout à votre honneur de partir aussitôt votre réponse obtenue...
Il tenta un sourire rassurant. Au delà de la réputation du Boudoir, au delà de la fierté professionnelle qui le poussait à ne pas voir une cliente partir décontenancée ou bouleversée, il ne pouvait s'empêcher de souhaiter qu'elle tirerait quelque chose de bénéfique de leur courte entrevue. Les yeux noirs scrutèrent le visage perturbé, à la recherche du moindre signe que ses mots étaient parvenus à l'apaiser un peu.
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