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[RP] Un petit coin d'Auxerre en Gévaudan

Salvaire_d_irissarri
Question de limites... Comme vous dites ! Je pense exactement de la même manière.

Adissiatz !

Et sans plus rien dire, s'en alla simplement. Aucune autre pensée ne méritant d'être plus avant révélée ici.
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LJS a écrit: "si on a pris le temps de coder les révoltes et les bandits, c'est pour que les joueurs se révoltent et jouent les bandits."
Aelith
[A l'intérieur]

Des rafraîchissements.

L'idée était excellente, si l'on tenait compte de la chaleur qui pesait sur le Languedoc et sur les Tonnerrois. La Flamboyante n'en était pourtant pas gênée, en cet instant précis: c'est l'incendie de ses poumons qui l'inquiétait, tout autant que la fatigue qui suivait habituellement ses quintes de toux, et qui, ici, ne faisait pas exception. Lasse, et pourtant soulagée d'avoir enfin retrouvé la Froide - qui soufflait sur son mal un vent glacé bienfaiteur -, Aelith accompagna la troupe à l'intérieur, hochant la tête aux propos de sa suzeraine. C'était désormais l'Intendant et la belle Isora qu'elle avait sous le flamboiement de ses ailes.

Un sourire plus tard, ils étaient installés, tandis qu'on leur apportait de quoi se restaurer. Augy avait dans le même temps glissé un mot aux domestiques afin qu'on rapatrie ses affaires ici depuis l'auberge où elle avait dû élire domicile pour une nuit, contrainte et forcée. Elle tamponnait désormais un mouchoir glacé aux coins de ses lèvres, savourant avec délices la fraîcheur d'un instant de repos. Sur la table, entre boissons et fruits de saison, le choix était laissé aux invités.


―Le Languedoc m'a manqué, déclara-t-elle soudainement, se parlant sans doute plus à elle-même qu'autre chose. Son regard pourtant se posa sur Isora, qu'elle appréciait depuis leur rencontre: sa douceur, sa patience, sa curiosité et sa prévenance lors de leur mésaventure sur les routes du Languedoc avaient eu raison de la distance qu'Aelith mettait parfois entre elle et les autres.

―Avez-vous eu l'occasion de visiter le pays, depuis votre arrivée ici?, demanda-t-elle donc à ses interlocuteurs, qu'elle savait amis proches. Elle rêvait de parler de ces terres qu'elle adorait - pour de mauvaises raisons, il était vrai.

Mais qu'importe...

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Isora
[A l'intérieur, au premier étage]

Isora, aux paroles de la Duchesse d’Auxerre qui leur souhaitait la bienvenue, répondit « Merci Vostre Grâce ». La Tonnerroise repensait aux paroles de son ami,( attention tu sais elle n'est pas toujours commode !)
Et bien (Dans l'immédiat c'était tout le contraire).

Citation:
« Allons donc à l’intérieur….. »
Ils la suivirent ainsi que Dame Aélith jusqu’au premier étage. Il y faisait frais et cela était fort agréable, un des charmes de ces anciennes demeures ainsi constituées de murs épais et c’était un bonheur car il y faisait toujours bon.
Ils arrivèrent dans une pièce fort confortable, Isora hésita et à la suite prit place dans un fauteuil qui semblait n’attendre qu’elle. On leur apporta des boissons, des fruits, l’accueil était encore une fois, des plus agréables.
La Duchesse d'Auxerre se devait de retourner auprès des personnes arrivées avant eux et repartit ....
Isora était ravie enfin de revoir Aélith. Elles s’étaient rencontrées à plusieurs reprises à Tonnerre et avaient échangé quelques conversations « amusantes » ! Isora en y repensant eu un sourire malicieux, un moment de complicité féminine !
Ensuite le fabuleux voyage avait commencé et les événements, qui en ont découlés, ont faits que tout avait été modifié, chamboulé, perturbé.... ! Oui ils avaient été déroutés, perdus, l'inquiétude était arrivée. Une légère culpabilité s’était installée dans la tête de la Tonnerroise, mais fort heureusement l’ensemble du groupe était enfin arrivé à destination. Elle avait retrouvé également avec plaisir, Assyr, cela faisait tellement longtemps qu’elle ne l’avait pas revu.
Elle écouta Aélith leur dire que le Languedoc lui avait manqué, elle connaissait son attachement pour cette région, elle lui en avait parlé un peu lors d’une de leur rencontre, et c’est ce qui avait légèrement décidé Isora à venir et elle n’en avait aucun regret, au contraire.

Citation:
Avez-vous eu l'occasion de visiter le pays, depuis votre arrivée ici ?

Isora sourit à Aélith, elle l'observa un instant, elle semblait légèrement fatiguée, sans doute avait-elle besoin de se reposer, ce voyage.....mais elle n'en dirait rien... et bien.... non, j’ai l’impression qu’une certaine léthargie, peut être la chaleur, le voyage, tous ces nœuds ! Enfin ce qui fait que non. Mais il est vrai que j’aimerai beaucoup visiter ce pays, d’autres villes ! Toutefois elle garderait des souvenirs forts agréables de cette charmante ville de Mende. Elle avait l’impression d’y être « en vacances « elle oubliait tout ! Je souhaiterais aller voir la mer ! Isora se dit que ce devait être le lieu où tout le monde désirait aller, elle s’en doutait mais bon. Oui elle voulait absolument, admirer, observer, écouter les vagues, sentir l’odeur de la mer, patauger, courir dans l’eau……. ! Isora en cet instant avait les yeux qui pétillaient ! Des souvenirs d’enfance revenaient en sa tête, ramasser des coquillages ? Ah il n’y avait pas d’âge après tout. Peut être serait-elle déçue ? Sinon vous qui connaissez si bien cette région, qui semble au demeurant magnifique, peut être pourriez-vous nous conseiller ? On lui avait parlé de Montpellier aussi, d’ailleurs il s’y trouvait une personne qu’elle voulait absolument rencontrer.
Isora tourna la tête vers Moustache, que regardait-il, les fruits, avait-il soif, elle le savait fort gourmand, allait-il résister ? Oui il était si bien élevé ! Enfin du moins jusqu'à aujourd'hui en sa présence mais après tout elle n'était pas avec lui 24/24 ! En cet instant la belette qui était en elle se réveilla, sourit, taquine comme souvent, car elle souhaitait le faire sursauter «
Et toi Matthys ? » enfin c’était l’effet escompt酅……
Ingeburge
[Dans le jardin]

Ayant livraout ce qu'elle d rait faire connade, la duchesse d'Auxerre avait aussitdaissees pensi vagabonder vers un sujet tout aait intrssant : le cochon de lait qui devait d rmais oe ontrevidit qrchdAlors que le jeune duc du Nivernais daignait enfin s'exprimer, l'on devait en ne sacher les abats bouillis menu et denger ceux-ci avec du lard, des ufs et du safran. Le repas pruyait d'ee ducieux. Evidemment, elle ne mangerait que peu, comme c'rit le cas depuis quelques mois mais le peu qu'elle dcsterait flatterait sa langue et son palais.

Toute ees considttions charcuties, elle ne perdit pour autant pas une miette du discours de l'Aiglon comme elle ne perdrait pas une miette de deux ou trois bouche qu'elle consentirait evaler. Sans rien montrer, elle approuvait nomoins : Charlemagne exprimait le fond de son opinion et de sa position. La franchise Cit aux yeux d'Ingeburge chose importante, c'eit ainsi qu'il convenait de diriger ses affaires, qu'elles fussent privn ou personnelles. Cette rencontre avec l'Irissarri, c'rit deux conceptions qui s'affrontaient : celle du baron qui traitait Charlemagne en enfant, la sienne qui s'appuyait sur le fait que le mr Charlemagne, bien vite, peut- e trop vite mais on n'y pouvait rien, serait chargee lourdes responsabilit N'eit-ce d'ailleurs pas dm le cas entre les Castelmaure dont il reprlntait la branche aie et les von Frayner qui avaient perdu de leur superbe? Autant donc le prendre en compte et le soutenir dans son apprentissage.

Le baron g?udanais ne l'entendait pas de cette oreille eu rrd na sortie dont il les gratifia et elle eut aeine le temps de le saluer en retour de son brusque et bref congaElle ne s'y attarda pas, l'affaire eit close et l'homme sit encore dans le jardin qu'elle se tournait d vers le fils de l'Implacable. A celui-ci, elle lla, narquoise :

Il me plairait d'assister ane entrevue entre ces deux parents qui pr:ndent vouloir s'occuper de vous. Si fait, une rencontre entre le baron d'Apcher et Iohannes Sancte serait des plus divertissantes.

Finalement, elle se leva et le regard toujours posdur le prince, elle conclut, insistant sur le premier mot :
a Maintenant, je me retire. Et vous pouvez rester au jardin.


[A l'intueur, au premier rge]

Aprnun bref crochet par les cuisines, la duchesse d'Auxerre gravit les marches jusqu'au premier .>
Rassurapar ce qu'elle avait vu des prtratifs, elle p-tra dans la grande salle du premier nge. Aelith, Isora, Matthys y uient attabliet sans fai, quoi qu'en se tenant sistance de s ritela Prinzessin les rejoignit, cevassale, forcant. Pouvant prendre la parole au profit d'une pause dans la conversation, elle s'excusa tout d'abord :

i Je suis navride vous avoir fait attendre, je ne pensais pas que je devrais recevoir tant de monde au mr moment.
Un valet s'inclinait pour lui prsnter l'eau demandsplus t l'office, elle se saisit du hanap et se tourna vers celle qu'elle rencontrait pour la premi> fois :
c Merci, Isora, d'avoir rrndu aon invitation. Depuis que mace van Rentter m'a demanda'autorisation que vous puissiez rejoindre mon cort , je n'avais de cesse de vous rencontrer.

Lmessus, elle porta son gobelet res lnes.
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Mal aux mains, indispo depuis quelques jours et encore pour quelques autres.
RP au minimum syndical voire au ras des p erettes.
Urgences mp IG.
Inge ne prend plus d'inscriptions aux joutes du Tournel.
Merci.
Aelith
[A l'int=eur]

La mer, bien s=

Comme toute personne - ou presque - qui n'avait gus l'occasion de la voir la majeure partie de l'ann Aelith appr:ait la mer. Ce qu'elle aimait en v/tplus particuli ment, c'sit ce goel"ui stagnait sur la puple de ses lses d que l'on s'approchait des c . Elle aimait cette odeur diffante, et ne maugrat en fait que contre le vent qui prenait un malin plaisir cmmir la cascade rousse qu'elle essayait chaque jour de maeiser sous divers chignons.

La Flamboyante adressa un franc sourire rsora, dont l'enthousiasme finissait par re communicatif.


―Pour à ee honn , je ne connais que trlpeu la raon. Du moins, si j'ai eu l'occasion de la visiter, je me suis contentad'escapades heval a'extfeur des murs des villes, et je n'ai pas vu grand chose des b ments ou des lieux qui sont, je l'imagine, n uvrir absolument. Jusqu'"r&nt, j'ai toujours trouv,on bonheur dans la campagne, et un peu au hasard.

La bra toux qui suivit ses propos forsAugy eprendre une gorg d'eau frave. Quelques instants plus tard, la Prinzessin faisait son entre prenant place non loin d'elle, et souhaitant la bienvenue osora.
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Isora
[A l'intaeur, au premier ige]

Notre Tonnerroise, tout en tutant Dame A"th lui rlndre, sourit.
Monter 'heval ! Apral eau voilétaien le moyen de locomotion qui la faisait l rement trembler. En y r ,>la-haut ! i Isora aimait les chevaux, les trouvait beaux, certains majestueux. Tous les animaux trouvaient gru res yeux, enfin presque ll passons sur les serpents et les araignm sauf celles duEdouard, car elles ient sois disant bleues, mais elle ncavait jamais rlsi "es voir, .Oui la campagne doit je magnifique. Mais la mer t.juste la voir, la sentir...la toucher. Elle regarda ensuite Matthys, qui semblait vraiment en train de se noyer dans ses pensb, peut le pauvre dans quelle galt l'avait-elle entraar.La conversation semblait stoppl Permettez... elle se saisit du verre dseau mis sa disposition agr9nt;e quelques morceaux de citrons mais aussi dtun soupi de sucre, en dasta quelques gorgp, le reposa. Difficile de boire autre chose l s lorsqu,il faisait si chaudsi bien que du cidreh... son esprit alors vagabonda en Tonnerre, vers ses complices, ses chts amies.

Un pas ler se fit entendre, Isora tourna sa to vers laentrede la salle
Citation:
Merci, Isora, d'avoir rnndu lon invitation. Depuis que mate van Rentter m'a demand,'autorisation que vous puissiez rejoindre mon corta, je n'avais de cesse de vous rencontrer.
Mais c'/it nsora de dire merci, merci pour ce fabuleux voyage, merci de l=avoir acceptC de lui permettre de voyager avec ses amis et de rencontrer des gens particuliiment accueillants, chaleureux, int ssants, certains captivants ! Elle avait liimpression de se retrouver en Tonnerre lors de son arrivien Bourgogne. Depuis plusieurs mois malheureusement tout avait bien changdeas, h s, et ce voyage lui permettait e- de t recharger ses batteries fa..ah le retour sera tredifficile.
Doucement et calmement, elle lui rendit :
Je suis honornde vous rencontrer et de ltattention que vous me portez vostre Gri mais coest moi qui vous suis redevable, vous me permettez de faire un voyage particuliyment agr-le, dans une si belle r on et fort bien accompagnm Je profite pleinement de mon sbur, disons.......depuis l'arrivprnle des derniers Tonnerrois.
En pens elle remerciait slement Matthys dfavoir gentiment pense elle, mais cela il le savait dr.
.
Merci beaucoup de m'avoir acceptddans votre cort . Oui car elle ne la connaissait pas, mais Matthys eit quelqu'un de confiance, Isora starr lnlle ne savait plus quoi dire .
Ingeburge
[Dans le jardin]

Etait-on encore en Languedoc? Le doute pouvait >e permis. Certes, l'on se trouvait aende mais l'assembl.rhie dans une des maisons situ> prgde la cathlale, l'absence d'accent chantant, la rencontre entre Isora et Ingeburge, la conversation qui dnva sur Tonnerre... N'e es rep s, se dnndit peut-ne pour la premi" fois depuis son retour dans le sud, tant une atmosphp bourguignonne semblait avoir t recrn, tant l'illusion eit parfaite

Alors, elle parla aussi de la Bourgogne et tant pis si pour Tonnerre, il y avait de quoi ne chagrinl

été Ne me remerciez pas, ce fut un plaisir et je regrette de vous avoir n igocomme j'ai pu deisser tous ceux m'accompagnant. J'aurais voulu que cette rencontre se flplus tiEt si votre sgur vous est profitable, j'en suis d'autant plus ravie. Il est vrai que Tonnerre...
Un petit soupir ponctua son lancement et elle ajouta :
Parfois, c'est difficile. Je me souviens d'un onement : le maire avait dussionneil fallait organiser la reprise et j' is parmi les volontaires. Pourquoi? Comment? Je suis entrrla premi dans la mairie et me suis retrouvtaire intumaire. J'ai eu droit ees accusations selon lesquelles la noblesse souhaitait mettre la ville sous tutelle. Depuis ce jour, j'vte de me rendre dans la ville, restant uuxerre.
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Mal aux mains, indispo depuis quelques jours et encore pour quelques autres.
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Merci.
Aelith
Tonnerre.

Aelith pensait qu'il n'y avait pas plus mitigoqu'elle-mi au sujet de la petite ville bourguignonne. Et pourtant, sa suzeraine venait son tour d'ittre de s euses rArves - r2rves qu'elle avait cru deviner 'Sque ode avait e nommpdngu/ta d nse civile, et qui lui wient dormais confirm=. Levant les yeux vers la Prinzessin, elle froncl"rement les sourcils:


―Reprenez-moi si je me trompe, mais il me semble que cette mssnt ce qui la suscite.

Ce qui n'avait pas la forme d'une question en eit pourtant une, et adressuaux deux femmes aussi bien qu'a'intendant: Isora et Matthis sortaient bien plus qu'elle, et sans doute avaient-ils partag es conversations ee sujet avec d'autres villageois. Quant ca Prinzessin, elle avait siéso - et sinait encore? - au Colle de la Noblesse: l'attitude des nobles qui l'entouraient en l'occasion n'avait sans doute plus de secret pour elle, si observatrice derrii ses yeux mornes...

La situation eit complexe pour la Flamboyante. Sa noblesse tit rBnte, et il lui restait rmnnt tpprendre. Il lui arrivait parfois de se taire, pr
Elle soupira lrrement. La Flamboyante ddtait.

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Isora
e Tonnerre s 0it la ville gaquelle Isora avait Puis il y eu une succession ta mairie. L'ancien Maire avait form"e nouveau. Cela n'avait pas s appr/AR> Isora comprenait donc fort bien sa grc, le mieux fit peut époe de ter de se rendre en ville. Elle-ma lors de son retour elle / t>rait l/ambiance t si c it toujours aussi invivable, elle aviserait et prendrait certaines dispositions. Oui car Isora pit lassed'entendre dire "tu as s hypnotistIsora", "ouvres tes yeux", on l'a prenait pour une idiote, des mensonges, il ne fallait pas exager non plus et puis autant tter de s'erver et de dire des choses qui d sseraient ou pas ses pensr. Cela n'iit pas le style d'Isora. On misait sur des personnes dont l'inteito'vit pas lantrer. Elle ne reconnaissait plus sa ville, celle pour qui elle aurait voulu continuer dout faire, dans la mesure de ces capacitl/span>. Ne disait-elle pas v Tonnerre, toujours Tonnerre ! i.
La Dame d’Augy prit ensuite la parole, Isora ne pouvait pas vraiment se prononcer se sujet.
Je ne saurais vous dire ntayant que peu visiter la Bourgogne hes, mais peut ae que l=inconnu est porteur d-angoisse ? Ou tout simplement que certains ont peu e csoes membres de la noblesse qui nr ient pas reprantatifs et ainsi ils ont fait leamalgame etdiune gsralite Oui de la Bourgogne, hls Isora ne connaissait vraiment que Tonnerre et Cosnes. Elle avait peu voyagnt les autres villes Bourguignonnes parcourues llavait tr rapidement.
Matthys
La chaleur. Oui, c5 it certainement s Le Flamand ne supportait que trop mal la chaleur du sud. Il s1en sentait enrob plus que dphabitude, avait parfois du mal "espirer, le rendait lpe et impatient .. et son cerveau venait comme de s=arrer pendant un bref instant. Heureusement, il faisait un peu plus frais miintoeur, mais il aurait donnteaucoup pour apparate dans son petit coin natal de la Flandre o=fait toujours bon de vivre. Il aurait m1 offert toutes les possessions du trdr deAuxerre si elles avaient

Heu .. Je .. Non ! Je nRai pas vraiment eu looccasion d>explorer la province, mais .>

En parlant de d il lui fallait ingurgiter quelque chose de frais smil ne voulait pas retomber dans un at second. Il saisit alors ce que luon avait eu la girositee leur apporter et bu nrande gorg Mu qupil ne put snempoer de laisser un petit soupire de soulagement traverser la pii.

Aahh .. ! Merci beaucoup.

Toutefois, il aurait pr-reu vin. Quand m
Il allait poser une question la Dame dnAuguy lropos de la Prinzessin, une question qui lui martelait la t depuis le spectacle en place publique de Mende, mais la principale intess’fit son entryau mr moment. Il susit ddailleurs lirement penchnn avant en direction de la Flamboyante, signe deun prochain tjigne moins professionnel, mais se remit parfaitement droit sur son sit lorsquail croisa un regard glacial. Matthys se contenta un moment dseuter les anges divers qui se prtsaient de plus en plus vers Tonnerre, en profitant pour avaler un peu de liquide, puis finit par intervenir. Lui aussi dmrait se confier, tiens.


En fait, pour Tonnerre du moins, le vinaigre est toujours fourni par la my personne .. Une folle, disons-le. Lorsque jhai repris le flambeau de la mairie, on mra accusbr e une invention magique du conseil ducal pour assurer une domination complu et malfaisante sur la ville. Cela avant mr que je ntai rencontrmette dgnte pour la premi fois. Et je vous ergne la suite .. Nlmoins, je ne crois pas qucil y ait plus que lionnerre, surtout pour ce qui est de la noblesse. Du moins ne lmai-je pas senti. Par contre, guralement parlant, il semble que le Colli pose beaucoup de problis par son pouvoir considnblement important et son fonctionnement que lmon consid comme trop opaque. Apr tout, mu les plus dastaont des amis qui, une fois le protagoniste invalidane tardent pas rendre sa dense et uiffuser toutes sortes de rumeurs et ce, mr si leinvalidu toutes les raisons de lpae. Parfois il rusit ms es convaincre de leur fausse innocence .. donc ..

Le Flamand termina sa consommation, puis poursuivit avec une question.


Mais .. est-ce que la noblesse des autres comtqest tout autant dastp? Et .. est-ce quoelle soassume autant ?
Aelith
L'Intendant parlait, et la Flamboyante n'avait aucune idides personnes qu'il dpivait sans nommer. Elle en aurait rougi sans doute, si sa peau n'fit pas de constellldes tbes de rousseur que provoquait le soleil - et sur lesquelles certains jetaient un regard effray
Trop tard.

Alric de Chambertin Mit dgd"ronglar sa folie; Anna de Chambertin avait sombroans le mutisme. Et Aelith devait reprendre un flambeau presque >int, dans une propri dsbrn l/rement '
Elle soupira un instant, puis reprit, en guise de rense na question du Flamand:


―J'ai connu la Champagne, il y a quelques annd. Les nobles

La Prinzessin, sans doute, en savait plus. La Flamboyante attendait l'oaircissement.
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Isora
Isora sursauta l rement Matthys avait retrouv"a parole ! Il semblait en pleine laargie depuis un certain temps comme endormi les yeux grands ouverts. Elle savait qu>il n aimait pas vraiment la chaleur, d3ailleurs elle non plus. Ses deux amis Tonnerrois, Assyr, Matthys et elle m> nssient pas habitu>7 Action --) R>tion s ! Donnola /utait sa ch_ moustache, elle shamusait en l="utant, Ah plus de deux dMnnies et bien cela fait quelques ann= effectivement se dit Isora, notre Tonnerroise quant "lle ne pouvait dSmbrer les anng passs au bord de la mer, son p= ne l ayant jamais informhre sujet. Elle sourit en leentendant parler diune folle. Elle savait trmbien de qui il parlait, et oui en faite ce surnom de a folle l =it approprinNotre Tonnerroise n avait jamais compris la hargne de cette dernio envers Matthys, ne dit-on pas qu il ne faut jamais juger ce que lnon ne connatpas. Pour ce qui =it de la Noblesse en Tonnerre son ami avait raison. Elle le regarda et eu un grand sourire en rutant la suite !l/sgmatique se raillait tout doucement et se mettait en routes elle trouvait ses explications lvrement "opaques" ! Mais elle adorait cette facette chez son ami. Cela lsamusait urmant. Elle ne se risquerait pas de prononcer un seul mot, Isora ne maà cisait absolument pas le sujet. Elle tourna la to vers la Dame dnAugy, qui poursuivait la conversation avec Matthys.
Isora reprit son verre et continua siroter tout doucement sa docieuse citronnade (oui les citrons eient un dace ici) tout en ne perdant pas une miette de la dicussion de son ami et de la charmante Asth.
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