Stromboli
Stromb fit un pas en arrière lorsque ses complices inondèrent les chausses du fameux mélange. Un sourire de satisfaction éclaira alors son visage. Il observa la réaction de l'homme qui semblait pâlir attrocement. Il cracha un peu de la mixture et se tint au portail pour ne pas défaillir. Alors il eût un haut le coeur et vida son estomac sur le beau déguisement du rouergat. Stromb n'eût pas le temps de reculer qu'il était déjà décoré. Il grimaca à son tour, retenant des hauts le coeur. Alors il regarda l'homme et dit d'un air le moins dégouté qu'il pu..
- Ce comportement est indigne d'un homme respectable ! Vous me voyez dans l'obligation d'entamer la guerre contre vous. Allons ! Vous avez 5 minutes pour organiser une ligne de défense !
Le paysan, ébêté et la bouche encore pleine de vomi, s'éloigna rapidement au fond de sa cour. On l'entendit remuer du bazard dans quelques remises...
Stromb profita de ce moment pour pénétrer dans le jardin. Il fit signe à ses accolytes de le suivre. Se préparait à Vf une bataille qui resterait gravée dans les mémoires, que chacun raconterait à ses descendants, et on louerait la mémoires de ces héros prodigieux qui avaient vaincu le démon des nuits écourtées; ce coq qui chantait au petit jour sans gêne aucune !
Stromb secoua la tête pour sortir de ses pensées. Il se faufila dans un coin du jardin, à côté du poulailler et s'adressa aux autres d'un ton grave.
- Mes amis.. Il vous faudra être forts et téméraires ! Les villefranchois sont des carnes qui ne lachent rien ! Battons-nous pour notre honneur ! Ainsi que pour des levés moins brutaux !! Gloire aux sauveurs !!!
Il avait parlé d'un ton triomphant, de plus en plus emporté. Et tandis qu'il se levait pour appercevoir où en était le chanteur du dimanche, il siffla entre ses dents avec force.
Didier apparut presque aussitôt, faisant rouler le tonneau jusqu'à eux. Stromb réceptionna la marchandise et congédia l'homme à tout faire. Il restèrent en planque jusqu'à voir débarouler le paysan, de toute évidence trés déterminé à gagner cette bataille. Le brun ouvrit de grands yeux en le voyant arriver avec sa gueuse qui était plus grande que lui, armée de tartes à l'huitre et de grattin de brocolis. Elle tirait également un tonneau immense dans lequel semblait cuire au soleil de la fiente de volaille. L'homme quant à lui, s'était enroulé dans une ceinture de munitions trés particulières : des oeufs, des tomates, des épluchures... Arfff... Stromb grimaca en voyant arriver l'arcenal. Cette bataille se gagnerait dans la douleur, c'était certain !
Il se tourna vers ses accolytes. L'odeur du vomi sur son costume commencait à le mettre mal à l'aise. Alors il les étreint tous, gentiment, mais prenant bien soin de leur faire partager sa besogne dégoutante ^^
Aprés un ultime encouragement, il emplit son seau à ras bord et plongea les mains dedans. A côté, on entendait la volaille qui s'agitait. Une idée germa dans sa tête, et les bestioles pourraient devenir fort utiles durant la bataille. Mais en attendant, il s'était levé, regardant le paysan droit dans les yeux. Celui-ci s'était arrêté à quelques mètres d'eux et soutenait son regard. C'est alors que le brun cria d'une voix déterminée et vangeresse :
- A L'ATTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAQUE !!!!!
Et le chaos commenca...
- Ce comportement est indigne d'un homme respectable ! Vous me voyez dans l'obligation d'entamer la guerre contre vous. Allons ! Vous avez 5 minutes pour organiser une ligne de défense !
Le paysan, ébêté et la bouche encore pleine de vomi, s'éloigna rapidement au fond de sa cour. On l'entendit remuer du bazard dans quelques remises...
Stromb profita de ce moment pour pénétrer dans le jardin. Il fit signe à ses accolytes de le suivre. Se préparait à Vf une bataille qui resterait gravée dans les mémoires, que chacun raconterait à ses descendants, et on louerait la mémoires de ces héros prodigieux qui avaient vaincu le démon des nuits écourtées; ce coq qui chantait au petit jour sans gêne aucune !
Stromb secoua la tête pour sortir de ses pensées. Il se faufila dans un coin du jardin, à côté du poulailler et s'adressa aux autres d'un ton grave.
- Mes amis.. Il vous faudra être forts et téméraires ! Les villefranchois sont des carnes qui ne lachent rien ! Battons-nous pour notre honneur ! Ainsi que pour des levés moins brutaux !! Gloire aux sauveurs !!!
Il avait parlé d'un ton triomphant, de plus en plus emporté. Et tandis qu'il se levait pour appercevoir où en était le chanteur du dimanche, il siffla entre ses dents avec force.
Didier apparut presque aussitôt, faisant rouler le tonneau jusqu'à eux. Stromb réceptionna la marchandise et congédia l'homme à tout faire. Il restèrent en planque jusqu'à voir débarouler le paysan, de toute évidence trés déterminé à gagner cette bataille. Le brun ouvrit de grands yeux en le voyant arriver avec sa gueuse qui était plus grande que lui, armée de tartes à l'huitre et de grattin de brocolis. Elle tirait également un tonneau immense dans lequel semblait cuire au soleil de la fiente de volaille. L'homme quant à lui, s'était enroulé dans une ceinture de munitions trés particulières : des oeufs, des tomates, des épluchures... Arfff... Stromb grimaca en voyant arriver l'arcenal. Cette bataille se gagnerait dans la douleur, c'était certain !
Il se tourna vers ses accolytes. L'odeur du vomi sur son costume commencait à le mettre mal à l'aise. Alors il les étreint tous, gentiment, mais prenant bien soin de leur faire partager sa besogne dégoutante ^^
Aprés un ultime encouragement, il emplit son seau à ras bord et plongea les mains dedans. A côté, on entendait la volaille qui s'agitait. Une idée germa dans sa tête, et les bestioles pourraient devenir fort utiles durant la bataille. Mais en attendant, il s'était levé, regardant le paysan droit dans les yeux. Celui-ci s'était arrêté à quelques mètres d'eux et soutenait son regard. C'est alors que le brun cria d'une voix déterminée et vangeresse :
- A L'ATTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAQUE !!!!!
Et le chaos commenca...