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La gargote Helvétique : [RP] la Noblesse Noire

Nicolasdecues
Si je puis intervenir.

Je plains les Réformés, car je considère qu'ils sont dans l'erreur. Personnelement je ne les execre pas.
Et beaucoup d'Aristotéliciens partagent mon avis je l'epere. L'homme est imparfait, et parfois il se trompe. Moi même parfois je retourne au Livre des Vertu, afin de ne pas m'éloigner du droit chemin

Mais j'ai du mépris pour certains, oui, car je ne suis pas parfait, et que parfois certaines colères montent en moi.
Ceux là se nomment Lion de Juda. Voleurs, pilleurs, chancres de l'Helvétie.
Ceux là, qui reviennent avec le sourire de l'homme qui ne doute pas, je les execre.
Ceux là ont mis par deux fois déjà l'Helvétie à feu et à sang. Ils se sont taillé la "Part du Lion" dont vous vous souviendrez sans doute.
Ceux là, qui reviennennt les poches pleines, feintant la rédemption, alors que les Helvetes se saignent pout pouvoir remettre à flot leur économie.

A ceux là je ne souhaite que les flammes du bucher. Et si un bucher terrestre ne les emmene pas, alors c'est dans l'Enfer lunaire qu'ils connaitront les souffrances les pires.
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La seule direction que peut prendre un homme juste est celle qui mène à notre Seigneur. La foi nous guide et nous guidera toujours.
Aristote vous protège tous mes enfants...
Genor
Genor écoutait ces propos avec le scepticisme pratique que des années de fuite, de résistance et d'observation lui avaient entré dans la peau...
- Qu'ils sont beaux ces beaux messieurs qui paradent, pérorent, s'entre-dévorent pour assoir leur pouvoir sur les esprits !!!! Ils se préoccupent de pouvoir que d'éducation et d'intelligence.

Elle partit en soupirant que les temps étaient bien obscurs et les hommes bien hypocrites qui parlaient d'amour et de rédemption, les uns cherchant le pouvoir, les autres faisant semblant de rendre le cinquième de ce qu'ils avaient volé pour déguiser leur désir de pouvoir et les stratégies qu'ils déploient ...
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Genor
Asphodelle
Un cheveu s'était mis à embêter l'un de ses deux beaux yeux verts...elle passait sa main sur son visage, occupée à déloger la gêne, quand Sanctus l'interpella...prononçant son nom.

Elle relève la tête vers lui, cligne deux fois des yeux et fronce un peu le nez tout en même temps, en se replaçant la chevelure d'une main appliquée pour remettre en ordre le tout.

A présent concentrée sur Sanctus, elle l'avise à son tour...

Bien que sa tristesse était grande, un sourire doux se dessine sur son visage.

Il y avait beaucoup de questions dans l'entrée en matière de Sanctus...

Elle contemple un instant son regard perçant, à la fois tranquille et comme sans prise aux émotions, comme indifférent, pourtant bien impliqué dans les discours des uns et des autres, n'en perdant pas une miette dans les calculs de son esprit...intelligent et affuté du reste comme le rétrécissement de ses yeux lorsqu'il tire une bouffée de sa pipe.

Elle sourit avec charme :


Bonjour messire Sanctus...

Une hydre?
posant sur lui un regard interrogateur et mutin qui cherche confirmation : je crois que ce n'est pas beau une hydre, n'est-ce pas?...fronçant le nez dans la complicité de cette vanne et hochant la tête comme pour valider elle-même la réponse : non hein?
Elle ne s'arrête pourtant pas sur le caractère pas très sympathique de la comparaison, et n'en portant pas ombrage affiche seulement une frimousse amusée, souriante et douce...

Vos questions dépendent de beaucoup de points de vue, messire Sanctus...je ne saurai dire...ce n'est pas évident de se juger soi-même...mais je peux dire que j'ai changé en effet...^^

Elle s'arrête un instant, faisant planer les mesures du temps qui passe et laisse tant de richesses derrière...

Vous venez prêcher la Réforme? mais...mais vous avez changé de religion? je veux dire...vous avez embrassé la philosophie réformée?

Question sans arrières-pensées...son oeil dérive très légèrement parfois sur les entrelacs de la fumée de sa pipe : elle avait toujours aimé regardé les tourbillons que cela faisait lorsque la fumée monte vers le ciel...
Elle attend la réponse, sereine, et regarde ces yeux énigmatiques.

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En deuil de son oncle Caleb di Césarini
Joelismail
Joelismail avait du s'absenter, ses charges de Diacre et l'Amour du Très-Haut, il essayait de les transmettre en permanence.

Vous êtes Fransesco et Sanctus dans l'erreur.

Le concile de Nicée est une réalité.
Mais ce que vous démontrez c'est un catéchisme mal compris et un complexe du à la sécheresse de vos coeurs.

Pourquoi ?

Eh bien parce que le fait que l'Eglise ai à un moment donné décidé de fixer la fonction Sacerdotale ne signifie absolument pas que ce soit en opposition avec la volonté de Christos.

Vous faites un rapport de causalité qui est erroné !

Les conciles interviennent, quand ?
Eh bien, à chaque fois que la tradition et le mysticisme sont remis en cause par la Bête sans nom qui a la tache plus facile, à chaque année qui nous éloigne de la Prophétie de Christos.

Je m'explique.
Jusqu'au concile de Nicée personne n'avait encore jamais remis en cause l'organisation sacerdotale.
Mais,
La Bête sans nom peut prendre place partout, même dans les hommes qui servent l'Eglise.
Aussi, les Conciles deviennent une nécessité pour recadrer un Dogme qui n'est plus évident.

Mais, Heureusement, l'Eglise fortifiée par l'Esprit saint ne peut se tromper.

L'action du Clergé a été agrée par avance puisque le Très-Haut est omniscient et savait ce que l’Eglise Aristotélicienne allait devenir avant meme qu’elle n'éxiste.

La véritable démagogie ne vient pas de l'Eglise, car celle-ci se doit de réaffirmer un dogme qui est plus difficile à suivre que la simple Liberté criminelle que vous prechez.

Vous êtes complètement à côté.

Que vous soyez réformé passe, le Très-Haut est le Tout-Miséricordieux. Mais vostre acharnement à discuter de ce dont vous n'avez reçu ni science ni Bénédiction est un mensonge que vous forgez à l'encontre du Créateur.

Malheur à vous mécréants. L'Heure sera vostre Glas

[/b]
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Tribun & Diacre de Lausanne
Genor
euh
et vous, d'où vous viennent les capacités pour discuter ?
d'une infusion ?
Vous devriez demander à notre bonne dame Edwige, tribun de Fribourg et herboriste émérite si cela fait partie de ses connaissances ..
C'est votre intelligence qui vous permet de discuter, et l'intelligence, comme la bêtise d'ailleurs n'appartient pas à un seul parti politique.


Genor s'en alla, elle n'avait pu s'empêcher de répondre, mais elle savait ces discutailleries stériles... Hormis les visées de pouvoir qu'elles cachaient ... Très mal !!!
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Genor
Sanctus
Une femme venait de les interrompre. Il ne la connaissait pas et se demandait à qui s'adressait la remarque...
Se tournant vers le diacre.

Le diacre, vos paroles sonnent faux et fleurent la supercherie. Vous osez justifier la création d'un clergé en prêtant au Très Haut des paroles de votre invention ?!? Je dis : SACRILEGE !

Comme le résume très bien Sforza que je pourrai qualifier de frère lorsqu'il aura rendu les biens dérobés à la Confédération, nul homme n'a besoin d'un autre pour prier. Nous réclamons la destruction du clergé, non la mort des gens qui la composent (sauf les têtus, bien entendu). Il s'agit pour le Lion de ramener tout ce petit monde à une juste réalité, à un monde débarrassé des superstitions que sont le culte des saints et les sacrements. Nous revendiquons un retour à la foi primitive, lorsque le clergé n'existait pas et où le contact entre le Très Haut et les humains se faisait sans les légions en soutane.
A vous entendre, comme à entendre votre collègue qui crie au bûcher, je crois que vous êtes bon pour le pal en notre monde et au châtiment éternel dans l'autre. Et par pitié, ne dévoyez pas la Lune, astre bénéfique s'il en est, comme l'a si bien annoncé Averroes.

Regardant Asphodelle, tout en bourrant à nouveau sa pipe qui venait de s'éteindre.

Je ne sais pourquoi, mais il me semble que quelque chose a changé en vous, en effet. Vous m'auriez presque aussitôt écorché vif naguère (un vrai bonheur sans doute), mais là... ce calme, cette sérénité... que vous arrive-t-il ?
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Préfet du Prétoire du Lion de Juda (Pépé)
Asphodelle
Elle laisse Sanctus répondre à Joel Ismail...écoute, un oeil un peu ailleurs cependant...sursaute à son "SUPERCHERIE" un peu fort...

La question qu'il lui pose ensuite la désarçonne : elle n'y avait jamais réfléchi...mais la phrase l'amusait aussi : elle était si fougueuse autrefois...un vrai soldat tête brûlée...^^ si exaltée aussi...passionnée..

S'attachant alors sans voir aux détails du sol, elle fit une petite moue de réflexion, passant une main derrière sa tête dans un geste de concentration, essayant de trouver une réponse courte et à la fois la plus cohérente possible, à une question - étonnante d'ailleurs - qui requerrait un long entretien de six heures au moins...et qui n'intéressait pas forcément l'interlocuteur, dans la mesure où celui-ci devait bien se ficher "des circonvolutions personnelles d'Asphodelle"....

Elle sort de sa réflexion après un court instant, avise Sanctus, lève une seconde les sourcils lui signifiant la difficulté de la réponse et l'effort à en donner une...et finit par dire simplement, le regard plus sûr et se posant avec un demi-sourire :


Euh...pleins de choses...
elle hausse très légèrement les épaules osant une dernière explication : l'évolution personnelle est nécessaire, et doit se chercher toute sa vie...

C'était à peu près ce qui pouvait résumer quelques mois - des chapitres entiers et des aventures innombrables - de sa vie qui justifiât ce changement...

Elle se mit à lui demander, entreprenante et enthousiaste :


Vous ne croyez pas?

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En deuil de son oncle Caleb di Césarini
Joelismail
Joelismail pouffa à la remarque d'Asphodelle, persuadé que Scantius se remettrait en question le jour ou par sa démagogie et sa retape de liberté il aura séduit des âmes qui par la prédéstination générale étaient déjà destinées au Buché, et que celles-ci auront fait de lui le nouveau Gourou de sa pauvre secte.

Vous dites :

Citation:
nul homme n'a besoin d'un autre pour prier


C'est du bon sens voyons ! C'est pour celà que la Prière est le premier acte de Piété PERSONNEL.
Allons, cessez un peu de lancer vos ponsifs véreux qui ne déservent que vostre fragile doctrine tenant qui plus est sur qui ?

Sur Averroes ?

Ce Charlatan, qui a grandi bercé par l'Aristotélisme et qui n'y a vu qu'opportunité pour fonder une doctrine qui lui donnerait de l'importance.

Oui l'Eglise de par sa position de Seul et Unique intérmediaire du Très-Haut à un pouvoir coercitif sur les gens.
Il est heureux de constater que malgré son Pouvoir elle n'en use pas, car à l'image du Très-Haut, elle est infaillible sur les questions de Foi.

Vous voulez prier seul ? Priez, c'est tou à vostre honneur.

Mais comprennez vous seulement ce que signifie communion des âmes ?

Si le Très-Haut nous a constitué à l'inverse des anges de Boue et de Lumière. J'entends par la, la double nature de L'homme. Animale et sipirtuelle.

Est-il étonnant qu'il nous demande de faire des efforts sur nos deux aspects ? A travers la Prière Individuelle que vous semblez réaliser... mais fort mal à mon avis. et à travers le Rassemblement collectif, le fait de se lever tôt de luter contre la fatigue pour aller prier les Laudes, le fait de Jeuner.
Et ce afin d'unir ce que vous tentez de désunir.

L'Homme ne forme qu'un en Dieu. Le vrai crime en cherchant à confiner la religion dans la simple sphère intime, c'est d'isoler son sens.

Religare, signifie relier.
Relier les Hommes entre eux.
Relier ses aspects intérieurs entre eux.
Former une Union de corps et d'esprit.

Vous n'aimez pas la contrainte de la réverrance devant un prètre ?
parce que vous personnalisez Dieu !

Le Prêtre est l'intermédiaire, la face visible du Très-Haut.
Laissé comme une miséricorde par Dieu, pour guider une humanité souffrante.

Vôtre but c'est quoi de lire le livre des vertus Seul ?
De prier dans votre canapé ?
Quel effort pour Dieu, félicitation !


pouffa.

Pour vostre mère qui vous a donné la vie, vous donneriez un peu plus de temps ?
Est-il étonnant que le Seigneur qui est la CAUSE EFFICIENTE de l'Univers mérite aussi d'être loué dans la communion des âmes ?

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Tribun & Diacre de Lausanne
Francesco_sforza
Francesco sourit, et rétorqua ciniquement


Mais la communion des âmes, c'est dans le Ciel, pas avant! Encore une de vos erreurs d'interprétation..
Joelismail
Non la communions des âmes c'est l'expérience mystique...

Un aspect exotérique de la Foi.

Elle se réalise durant la célébration de la messe, au moment ou les fidèles, nourrit d'amour et d'espoir, attendent de recevoir le sacrifice de toute l'Eglise et le partage.

Elle se réalise dans les chants de veillées.

Elle se réalise durant les pèlerinages, quand, dans le froid et la pluie, despetites anecdotes chuchotées donnent du pain au coeur.

Elle se réalise durant le mariage, quand deux âmes décident de n'en former plus qu'une pour redevenir ce qu'était à l'origine l'âme humaine.

Car si le sacrement du mariage éxiste, il éxiste pour Célébrer dans la plénitude de Dieu ce que lui seul peut rassembler, car l'homme & la femme procèdent d'un seul être !
Seul Dieu a pu les séparer en Deux. Mais Seul Dieu peut les rassembler.

Elle se réalise en permanence en attente de l'Heure.

Mais surtout Sforza !

Elle se réalise quand vous êtes chez vous entrain de dormir, ou pendant que vous êtes occupé avec vostre Frère Mittys à piquer la caisse de la confédération
Elle se réalise aussi quand vous faites vos propositions récentes au conseil confédéral.

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Tribun & Diacre de Lausanne
Tchantches
Citation:
Puisqu’il faut apprendre,
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi soit-il,
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence,
Que parfois même tout donner n’est pas forcément suffire,
puisque c’est ailleurs
Qu’ira mieux battre ton cœur,
Puisque l’ombre gagne,
Puisqu’il n’est pas de montagne,
Au-delà des vents, plus hautes que les marches de l’oubli,
Puisqu’il faut apprendre,
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi soit-il,
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence,
Que parfois même tout donner n’est pas forcément suffire,
puisque c’est ailleurs
Qu’ira mieux battre ton cœur,
Et puisque nous t’aimons trop pour te retenir,
Puisque tu pars,
Que les vents te mènent où d’autres âmes plus belles
Sauront t’aimer mieux que nous puisque l’on ne peut t’aimer plus,
Que la via t’apprenne,
Mais que tu restes le même,
Si tu te trahissais, nous t’aurions tout à fait perdu.
Garde cette chance,
Que nous t’envions en silence,
Cette force de penser que le plus beau reste à venir,
Et loin de nos villes,
Comme octobre l’est d’avril,
Sache qu’ici reste de toi comme une empreinte indélébile.
Sans drames, sans larmes,
pauvres et dérisoires armes,
Parce qu’il est des douleurs qui ne pleurent qu’à l’intérieur,
Puisque ta maison,
Aujourd’hui, c’est l’horizon,
Dans ton exil, essaie d’apprendre à revenir,
Mais pas trop tard.
Dans ton histoire,
Garde en mémoire,
Notre au revoir,
Puisque tu pars,
J’aurais pu fermer, oublier toutes ces portes,
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l’a pas fait,
J’aurais pu donner tant d’amour et tant de force,
Mais tout ce que je pouvais, ça n’était pas encore assez,
Pas assez, pas assez, pas assez…



Sans conviction Tchantchès dit :

Le duc pars, vive le Duc.
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Aranwae
Vive le Duc !

Que le Destin lui sourit...

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Elodiew
Sanctus
Le diacre, vous avez vos arguments stériles et volontairement obscurs pour le profane. J'ai les miens, limpides et concrets comme le miel qui coule dans les rivières du Jardin des Délices, nom du paradis solaire, tel que le nomme le sage Averroes.
Nous pourrions discourir sans fin. Je préfère laisser juges ceux qui nous écoutent, comme dame Asphodelle, qui semble avoir choisi de changer le cours de sa vie.

Il va falloir m'en dire plus la belle ou je ne serai pas satisfait. Nous suivons tous un chemin, parfois capricieux, dans l'espoir qu'il nous mène à la félicité. Le mien est semé d'embûches, mais c'est celui que j'ai choisi. Le vôtre vous mènera-t-il vers le bonheur ?
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Préfet du Prétoire du Lion de Juda (Pépé)
le_masqué, incarné par Lefier
Un homme au visage masqué qui traîné par là écoutait de loin cette discution. Curieux d'en savoir plus il s'approcha, s'assit, regarda certains visage qui lui disait quelque chose et écouta.
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