Elisabeth_courden, incarné par Clotaire_ac
[hrp : Post publié à la demande de la JD Elisabeth]
Elle était proche, du grand départ. Ohh que oui, elle avait hâte de quitter cet endroit qui commençait à devenir étouffant, pour la blondinette ! Elle était à Dôle, depuis une journée, avec son Hubert chéri damour de Page-Escuyer, sa suivante-camériste et encore un ou deux domestiques quelle emmenait avec elle, pour son déménagement. Elle avait préparé une escorte, dailleurs, la rencontre avec la meneuse était
particulièrement étrange !! Tellement étrange quelle avait fini par sortir sa dague. Résultat : un cocard à son pauvre il droit ainsi quune mini-cicatrice qui sétait dessinée au coin de ce même il. Mais son adversaire ne sen était pas sortie indemne, loin de là !! Élisabeth lui avait laissé une belle cicatrice à son épaule, chose quelle pouvait cacher facilement, daprès les dires de ladversaire. Dailleurs, cette dernière sétait bien moquée, de lil de la blondinette.
Dun côté, la Belette Balafrée sétait dit : « Je laurai, cette garce !! » Comme on peut le constater, il nest jamais bon dénerver ou de mettre en colère la blondasse : vous pourriez y laisser vos plumes
vraiment ! Cest donc enfermée dans sa chambre dauberge quelle écrivit des lettres .. de nombreuses lettres, à vrai dire. Hubert entra dans la chambre sans frapper, ce qui provoqua chez la blondinette un froncement de sourcils et une mauvaise humeur assurée :
Fais comme chez toi, vas-y !! Cest vrai quici, on entre et on sort comme dans un moulin !
Nooon mais, dame Élisabeth
votre camériste de remplacement
et ben
elle sest cassée la cheville.
Rhaaa !!! Manquait plus que ça, tiens ! Comment cela est arrivé ?
Elle na pas voulu me le dire
son explication qui est totalement idiote, je vous laccorde- cest quelle essayait de ranger je ne sais quoi et je ne sais où, debout sur un tabouret qui nétait vraiment pas stable sur ses pieds. Il a cassé et CRAC .. BOUM !! Cheville cassée.
Ce nest pas une vraie raison, ça !
Cest ce que je vous dis, dame Élisabeth. En plus, je la soupçonne de vous voler et de vous trahir.
Cest ridicule !!
Pas si ridicule que cela quand on sait que cela fait plusieurs semaines que vous cherchez la bague de votre défunte mère
Il sortit de sa poche la fameuse bague. Devenant plus pâle que dhabitude, il venait de prouver quil avait raison. Garce ! Bâtarde ! Elle allait crever pour avoir fait cela !!
Hubert .. pends-la maintenant!!
Dame Élisabeth
nous avons un autre problème
QUOI ENCORE ?!
Euh
nous navons plus aucune corde
je suis absolument navré
RHHAA !!! Mais ce nest pas vrai !! Mais cest pas VRAII !!!
« Et bien si ! Malheureusement, cest vrai !! Il faut toujours tout faire soi-même pour être satisfait du résultat ! » Même si elle avait quelque doute sur cette phrase, elle se leva, attrapa une lourde bourse et entraîna Hubert avec elle, tout en prenant soin de fermer à clef la porte de sa chambre. Tous deux à lextérieur de lauberge, la chaleur se faisait étouffante, elle aussi. Ce qui valut un bougonnement venant de la balafrée. Bizarrement, ce jour-là, il y avait du monde ; voulaient-ils tous assister à la pendaison dune voleuse ? Bref, ne nous égarons plus !! Ils arrivèrent sur le marché ; trop de monde !! Il y avait trop de monde pour la blondinette. Dans dautre circonstance, cela ne laurait pas dérangé mais elle ne cessait de jonglée entre les bonnes et mauvaises nouvelles. Ce qui pimentait énormément son humeur.
Arrivés devant léchoppe où se trouvaient les cordes, les yeux de la blondinette atterrirent sur une échoppe dun boucher. Du pâté !! Il avait sans aucun doute du pâté en vente !! Cela fait pour elle ! une éternité quelle navait pas mangé cette bonne terrine de campagne. Rien de meilleur que cela ! Surtout que, depuis quelques semaines, la blondinette ne se nourrissait quavec lair du temps
Cest-à-dire, rien du tout ! Sortant de sa bourse une poignée décus, elle les donna à Hubert et lui dit avant de partir vers cette échoppe qui lui faisait de lil depuis son arrivée :
Achète des cordes avec cette somme et rejoins-moi après ! Je vais juste là !
Avant que son tour narrive, une grande silhouette masculine se trouvait devant-elle. Attendre sagement son tour et patienter.. en attendant que le client se mette daccord sur son choix !
EDIT / { Hérisson} le vert est réservé à la censure.
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Alors que la blondinette pensait à la bonne odeur mais surtout, au bon goût que pouvait avoir la terrine de campagne, elle ne faisait pas attention à la personne devant elle
jusquà ce que cette personne lui écrabouille son pauvre pied. Souvent, il ne fallait pas grand-chose pour mettre la blonde en colère et malheureusement pour cette personne, Élisabeth allait sénerver .. un peu ! Mais la pauvre, elle nallait pouvoir se défouler sur son nouveau souffre-douleur que ce dernier lui adressa un sourire
charmeur, peut-être mais son visage lui rappelait quelqu'un
Veuillez mexcuser, je ne vous avais pas vu mais [
]
La suite nintéressait que trop peu Élisabeth qui chercha, au fond de sa mémoire, à qui cet homme pouvait bien ressembler. Elle ne devait pas être la seule à chercher puisquelle entendit une bribe de la deuxième phrase :
[
] On se connait?
« Cherche Médor, cherche !! » Oui non, tu nes pas un chien !! Mais pour chercher, cest plus facile à dire quà faire. Elle avait limpression de connaître cet imbécile depuis longtemps, comme si
Ses yeux ! Ses yeux étaient dun bleu
comme sa défunte mère, ce qui la troubla un peu. Ce visage et cette carrure
cela lui rappela légèrement son défunt père qui, lui, était blond aux yeux bleus-verts. Lémotion lenvahit. Et si cétait
Lui ? Non ! OUI !! Peut-être
raahh !! Mais comment pouvait-on se dire que cette personne était la personne que lon attendait depuis tellement longtemps alors que lon a que trop peu dindices
Elle posa son regard brillant dans celui de son interlocuteur et lui demanda, la voix légèrement ! - tremblante démotion :
Bou
boiter ! Est-ce que.. vous boitez ?
Nattendant pas quon lui réponde, elle vit le pot de pâté qui lui gâchait la vue. Elle arracha donc le pot des mains du jeune homme en face delle, le posa autoritairement enfin, presque !- sur le comptoir de léchoppe et chercha ce quelle voulait trouver sur SA main. Et elle le trouva ; la cicatrice ! Cette fameuse cicatrice qui a valut tous les hurlements du monde. Les larmes aux yeux, elle se souvint quand son frère avait hurlé : « PAPAAAA !! ÉLISA VEUT ME COUPER LA MAIN !! ». Ils étaient en pleine bataille avec une épée ; cétait plus un jeu quun entraînement. Or, la petite fille quelle était à cette époque ne voulait pas couper la main de ce grand frère qu'elle aimait tant. Ce qui avait provoqué lhilarité du père et de la fille
Elle posa à nouveau son regard vert dans celui du jeune homme. Est-ce vraiment lui ? Un peu violemment, elle tira le col de la chemise rouge du jeune brun, trouvant, à nouveau ce quelle cherchait : la médaille que leur père avait fait faire. Ses initiales étaient bien dessus. Toutes ses coïncidences devenaient de plus en plus étranges
Est-ce vraiment lui ? Lâchant la médaille qui pendait sur SON torse, elle souleva la chemise. Elle trouva une cicatrice sur le bas du côté gauche de son abdomen, une vilaine chute qui avait laissée des souvenirs
Elle releva la tête, lâchant la chemise. Peu importe les protestations quil pourrait faire, elle le regarda intensément, se mordant de rage sa lèvre inférieure. Et là, ce qui devait arriver arriva : de toutes ses forces, elle décolla une grosse gifle à son frère. Sa main lui brûlait, la piquait ; elle devenait rouge. La joue de son frère devait faire mal
Dun ton sec, elle lui dit :
Et là, Clotaire ? Tu me reconnais, moi, ta SUR, Élisabeth ?! Ou je dois te donner une autre gifle ?
Sa colère laissa place à la tristesse : et si tout cela était encore un mauvais rêve ? « Ne pas craquer .. Ne pas craquer .. ne pas craquer
Oh et puis !! Pleure un bon coup !! Cela te soulagera ! » Le cur qui bat très rapidement, les lèvres tremblantes, cette fois-ci, elle narriva plus à se retenir et passa ses bras autour du cou de Clotaire, posant sa tête sur son torse et éclata en sanglots, pour de bon. Hubert, pris au dépourvu, regarda sa maîtresse pleurer
Cétait bien la première fois quil la voyait pleurer ainsi. Il déglutit et regarda Clotaire, genre : « On serait mieux ailleurs. » Il lui fit signe de le suivre ; il voulait emmener sa maîtresse dans la chambre de cette dernière
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Elisabeth_courden, incarné par Clotaire_ac
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Comment ça, pas en état de faire quoi que ce soit ? Et lémotion, hein ? Ca compte pour de la banane ? Hum
non, pardon, mauvais exemple ! Encore inconnu !! Alors : ça compte pour du beurre ? Bref ! Revenons à nos deux frangins. Clotaire emmena la Balafrée jusquà lauberge où elle habitait avant de partir. Partir en dehors de la Lotharingie. Elle avait tout préparé, absolument tout. Ses malles, ses domestiques, des lettres et des lettres je radote, je sais ! Quand ils arrivèrent devant la porte de la chambre, Élisabeth aperçut quoi que sa vue était encore un peu flou à cause des larmes - Hubert qui était, depuis le début, avec elle. La porte se referma, en quelques minutes, elle sétait retrouvée assise dans le fauteuil de la chambre. Pendant que Clotaire prit la carafe deau pour remplir un verre, la blondinette étouffa un bâillement puis, dun revers de la main, essuya les perles salées qui avaient coulées le long de ses joues.
Quand il revint auprès delle en lui tendant le verre, elle fut tenter de prendre le verre pour larroser mais machinalement, elle porta le verre à ses lèvres et but dun trait tout le liquide. Elle lui rendit le verre et regarda le vide. Elle sentit les mains de son frère prendre les siennes. Comment le repoussait ? Ou du moins, non, elle ne pouvait le repousser. Dun côté, elle était en colère contre lui. En colère parce quil navait tenu sa promesse ; en colère parce quil ne lavait pas reconnu avant quelle ne le gifle, en colère parce quil était de retour, quasiment neuf ans après la dure séparation. Toute sa famille le croyait mort ! Et elle, pauvre malheureuse, persévérait en disant aux membres de sa famille que Clotaire était toujours vivant, aux risques de passer pour une folle.
De lautre côté, elle était heureuse. Heureuse de le revoir enfin ; heureuse de le prendre à nouveau dans ses bras. Heureuse de le sentir auprès delle. Heureuse et en colère, tout simplement. Elle narrivait pas à séparer ces deux sentiments qui se faisaient de plus en plus fort. Tout doucement, la voix de Clotaire se fit entendre :
Lisa
pardonne-moi ma jolie Lisa. Si tu savais comme je men veux
Te sens-tu mieux?
Lisa
cela faisait tellement longtemps quelle navait entendu une personne lappelait ainsi. Quoi que
pas si longtemps que cela mais quand on lappelait ainsi, cela lui rappelait tant sa famille, son frère, son enfance et ses parents
Ses parents quon lui avait arrachés sauvagement. Elle posa son regard vert qui devenait légèrement gris signe quelle était de mauvaise humeur ou en colère - elle répondit, dun ton légèrement sec :
Si je vais mieux ? Je viens de retrouver mon idiot de frère qui ne tient pas ses promesses ! Et tu me demandes de te pardonner ? Je ne sais pas comment je vais te pardonner car tu mas
fait trop de mal !
Retirant ses mains des siennes, elle se leva et à quelques pas de la porte, elle se tourna pour dévisager son frère.
Je ne sais pas comment te pardonner
encore moins si jy arriverai !
Ca, cest fait
! Le silence sinstalla, étrangement. La blondinette essayait, combattait avec son envie de pleurer à nouveau, étouffa un sanglot, presque. La blondasse, qui se voulait bien plus forte, dhabitude, se laissait aller
Fort étonnant, dailleurs, quand on la connaissait suffisamment bien ! Sans aucun doute, Clotaire laurait remarqué, du moins, la Balafrée voulait quil remarque son mal-être. Se redressant, droite comme un I, elle darda ses prunelles vertes dans le regard azur de son frère. Elle reprit enfin la parole :
Tu es devenu muet, dun coup ? Cest étonnant, dis-donc. Parce que, daprès notre amie en commun : Maywenn, tu aurais une langue plutôt bien pendue !
Au fait, elle disait cela mais elle nétait pas sûre. Il fallait bien quelle dise quelque chose pour le secouer, limbécile !
Jaimerai, quand même, savoir ce qui ta empêché de venir me chercher, dans le couvent auvergnat où jétais recluse car, oui, jespère que tu as une bonne excuse ! Tu as surtout intérêt à me raconter ce que tu as fait ces huit dernières années !
Sapprochant de son lit, elle toisa son frère, pour mieux observer sa métamorphose. Il avait un peu changé mais ressemblait beaucoup à leurs parents. La dernière fois quelle lavait vu, il avait un léger duvet. Elle se souvint quelle se moquait régulièrement de cela car, à cette époque, elle trouvait cela « hideux » cest toujours hideux, daprès elle mais allez chercher une personne qui adore les duvets, hein ? - Il se vexait à chaque fois et il suffisait dun tendre baiser sur la joue de son grand frère pour que ce dernier lui pardonne
encore !
Bien, commençons par moi car après tout, tu las toujours dit : « Honneur aux femmes » !
A lextérieur, elle en voulait énormément à son frère. Elle était folle de rage mais à lintérieur, elle commençait doucement à lui pardonner
Alors, commençons là où tu tes arrêté : jai vécu en Auvergne cinq ans de plus. Jaurai laaaaaargement préféré vivre chez nos Grands-Parents mais va savoir pourquoi, je nai pas pu. Régulièrement, jallais chez eux car sils mavaient laissé au couvent sans une visite, ou sans sortie, tu peux me croire, je ne serai plus de ce monde, aujourdhui ! Continuons ! Ensuite, je suis partie en Champagne. Cest la Mère-Supérieure qui me la conseillé et jai suivi son conseil. Je suis entrée au service de sa cousine. Une merveilleuse femme quon a tué trois ans après mon entrée. Ensuite, arrivée ici, en Lotharingie, jai failli mourir plusieurs fois ! Ohh, ne tinquiètes pas, je vais bien, vraiment très bien ! Ohh ! Et puis, jai fait la rencontre dune personne que nous connaissons tous les deux, il y a
pfffffiiiiou ! De nombreux mois, à présent ! Je devrai lappeler ici mais attendons encore un peu
Quas-tu fait pendant tout ce temps ?! Et puis, installe-toi ailleurs que devant ma table, jen ai besoin ! Oui là, tout de suite !! MAINTENANT !!
Fort heureusement, Clotaire se poussa in extremis pour éviter de se faire pousser par la turbulente blondeur. Elle prit un parchemin, trempa le bout de sa plume puis, avant de laisser la plume effleurait le parchemin, elle regarda son frère puis, lâcha avant décrire :
Je sais écouter et parler en même temps. Parle maintenant !!
Citation:
A Camille Courden,
Ma petite sur,
Camille !
Dans deux à trois jours, je dois partir de Dôle pour mon déménagement mais cela, tu le sais déjà. Je te laisse une journée et demie ou une journée tout court ! - pour rappliquer dare-dare à Dôle car il se trouve que jai retrouvé une chose ou plutôt, quelquun- qui mest extrêmement précieux, presque autant que toi, et je refuse de la perdre à nouveau. Je ne peux lemporter avec moi, dans lune de mes malles, jusquà Orléans ; il pourrirait, crèverai et baverai sur mes robes, en cours de route !
Je répète, je te laisse une journée pour faire quarante lieues parce que je suppose que tu te trouves à Épinal !
Et dépêche-toi car franchement, jai autre chose à faire quattendre que tu daignes me voir avant mon départ !
Avec tout mon amour, mon affection et ma tendresse,
DÉlisabeth Courden,
Ta grande sur,
Dame de Mesnay
Lettre pilée, cachetée et accrochée sur son hibou, Affreux, puis la Balafrée regarda son volatile prendre son envol
tout en écoutant son grand frère.
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Krysteline
[Epinal...]
Une journée qui commençait par les rayons de soleil était en principe une bonne journée. Réveillée depuis peu, la Camille se rendit a la fenêtre de son chez soi et les ouvrit. Heureuse de respirer le bon air d'Epinal.
Quand tout a coup, un hibou se posa sur le rebord de la fenêtre, la flamboyante prit tellement peur qu'elle en tomba a la renverse.
L'animal la regarda tout en penchant la tête sur le coté, comme pour se moquer d'elle.
C'est en se relevant furieuse qu'elle reconnue Affreux, oui, cétait bien lui.
L'Hibou de sa chère sur blonde.
Elle le connaissait assez bien pour l'avoir embarquer avec elle durant...piouuuu quelques semaines.
Affreux, tu peut pas faire attention quand tu te pose?!
Tu m'a fichue une peur bleue!
Une lettre attira le regard de Camille, une lettre accrochée a la patte d'Affreux.
Ah je comprends mieux ta venue, ma chère sur.
Il est bien temps de me donner des nouvelles.
Détachant la lettre et la lit tout en fronçant les sourcils au fur et a mesure de la lecture.
Non mais elle se prenait pour qui la blondeur même de sa sur?!
Une journée pour faire autant de lieux? Il lui aurai fallu un cheval volant pour faire cette distance.
Qu'avait elle trouver qui allait baver dans ses valises si elle le prenait?
C'etait quoi encore de cette histoire?
Portant son regard furieux sur Affreux, la rousse lui causa comme si il lui aurai répondue. Parfois la blondeur de sa sur prenait de l'ampleur sur elle.
Non mais elle se prend pour qui la blonde?!
Une journée?!
Elle va voir si je vais me daigner pour elle??!!!
ET toi tu bouge pas j'ai un courrier a la lui faire a la blonde!
Prenant un lettre et une plume bien taillée, tandis que Affreux se demander se qu'elle raconter, non mais je vous jure parfois.
Enfin bref, Camille s'installa sur le rebord du lit, lettre poser sur la table qu'elle rapprocha d'une main et se mise a écrire a sa chère sur.
Citation:A Elisabeth Courden
A ma blondasse de soeur
A ma grande sur
Ma belette!
Non mais t'es pas un peu folle dans ta tête de blonde?
Une journée pour arrivée a Dole!
Et oui, je suis a Épinal, tu le sais bien!
Tu veux que je me ramène dare-dare? Et bien tu attendra le temps que je fasse la route.
Hyzone ne vole pas je te signale.
Qu'a tu donc trouver qui est aussi important que moi? Un prétendant?
Le povre!
Bref, je prend la route et j'arriverai quand j'arriverai!
Avec tout mon amour et toute ma tendresse et un pied au fesses.
Ton petit chat
Ta petite sur chérie
Camille Courden
Lettre pliée et accrochée a la patte de l'Affreux et le fit prendre son envol vers la destination Dole.
Secouant la tête, cela nétonner pas Camille de la part de sa sur, Elisa, un sourire aux coin des lèvres de la rousse pensant a la tête de celle ci quand elle lira la lettre.
Bref, il était temps de prendre la route pour aller la rejoindre.
Vêtements de rechange, quelques denrées pour la route, le tout dans sa besace et une lettre a son aimé pour pas qu'il sinquiète.
Sortant de chez elle, enfin de chez eux, enfin de chez Liam et chez elle, enfin vous avez compris quoi de leur nid d'amour.
Donc sortant de chez eux, Camille prit la direction de lécurie, ou se trouver Hector, son page.
Hector, prépare moi Hyzone de suite.
Bah reste pas planter là DEPECHEE TOI!!!!
Une fois qu'Hector avait préparer Hyzone, pied dans létrier et la rousse en selle.
Hector, surtout dit bien a Liam que je suis partit a Dole pour ma blonde de soeur!.
Claquant ses talons sur les flancs de son étalon, la rousse partit au galop direction Dole.
[Sur la place de Dole]
Après un certain temps de galop, sur les chemins, Camille arriva avec son destrier qui était plus quépuisé d'avoir galoper tout le long de la route.
Une caresse sur l'encolure d'Hyzone pour le féliciter et lui dire qu'il allait pouvoir se reposer.
Un regard pour chercher sa sur.En plus elle jouer a cache cache.
Quand soudain, Camille mit pied a terre et aperçu au loin le page de sa soeur, Hubert.
Prenant les rennes par une main et fessant avancer Hyzone, Camille partit dans sa direction.
Il etait plutot pressé l'Hubert.
Hubert!
Oh Demoiselle Courden...
Oui, oui c'est bien moi, bon tu me dit ou est ma chère blonde de sur?!
Et vite je suis fatiguée et j'aimerai qu'elle m'explique ce déplacement!
Bien sur...elle se trouve ..dans l'auberge juste là.
A létage...deuxième porte a droite.
Regardant dans la direction que Hubert lui indiqua, Camille lui confie Hyzone.
Prend soin de lui, il a fait long route, sinon je tu aura a faire a moi.
M'attendant pas la réponse du page, Camille se rendit donc a l'endroit indiqué.
"TOCTOC TOC"_________________