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[RP] La mer, la plage, Tréguier quoi!

Hoeldetrajan
Le courrier fait, et envoyé par la voie la plus rapide possible, Hoel eu faim. Oui faim d'elle bien entendu, après avoir passé quelques mois sans toucher une peau. Sans avoir senti l'odeur de l'autre. Mais le temps bien que plaisant en cette saison, n'apporterait pas sa moisson d'enlacement ni de petits mots adorables qu'échangent les amoureux. Il lui resté deux missions pour juillet, la première connue de tous était le mariage de deux amis, l'autre plus secrète allait éclater au grand jour, mais bien plus tard.
En attendant, il espérait retrouver celle qui l'aimait et puis une fois dans la vie, il n'avait pas claqué la porte, preuve d'un certain changement.
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Celiano
Citation:
J'avais pas peur des chiens !


Il hocha la tête, sourire légèrement moqueur en se souvenant de ce moment.
Ce que la brune avait en tête, le blond avait pu le deviner lorsqu'elle l'entraina à l'abri des regards, lorsqu'elle s'approcha un peu plus près de lui et qu'elle l'embrassa comme si sa vie en dépendait.

Un sentiment étrange de renouveau mais de timidité également. Il avait l'impression que cela faisait une éternité qu'ils ne s'étaient pas retrouvés tous les deux, seuls. C'est le cœur un peu plus battant qu'il la laissa promener ses mains sur lui, comme si c'était la première fois.
Il se contenta de la prendre dans ses bras, se retrouvant là un peu intimidé par cette femme qu'il aimait plus que tout au monde.

Se sentait-il prêt ? Sûrement.

Le soleil était présent cet après-midi là et la chaleur commençait à monter, autant à cause du soleil qu'à cause de sa brune !


Tu veux pas aller te baigner un peu ? Ça fait longtemps !

Se dégageant doucement, il se leva et lui tendit une main en souriant. Un sourire auquel elle aurait sûrement du mal à résister.


Aller viens !

Une bonne baignade ne pourrait lui faire que du bien et certainement raviver des souvenirs de ce type qui avaient plutôt très bien fini.

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Amaellya
Il devait avoisiner les 15h au vue du soleil lorsqu'Amaellya s'accorda une pause. Sa matinée avait été mouvementée. A l'aube, la jeune femme avait monté son étale sur le marché. Puis elle avait fait le tour des jeux et était passé au kiosque à musique. Elle avait remis sa taverne, enfin celle de son parrain où elle était tavernière, le Penn Duig, en ordre. Elle avait fait la vaisselle, puis les poussières, passé le balai, enfin ciré les sols. Puis elle était passée dans son bureau de l'animation au CM et dans son bureau de Tribun, voir comment évoluaient ses piou-pious. Elle avait pris connaissance des dernières rumeurs et fait par des siennes.

Bref une journée sportive loin d'être terminée. Mais pour l'heure, la jeune femme décida de souffler un peu. Elle descendit donc sur la plage, prit ses bottes dans une main, ses jupons dans l'autre puis elle s'élança vers le sable mouillé. Une vague vint lui lécher des pieds telle une caresse et la Tribun rit à son contact. Cela faisait tellement longtemps de la douceur ne faisait plus partie de ses journées.. Elle soupira puis regarda au loin, vers le large pour chasser ses pensées négatives. Un nouveau sourire sur les lèvres, elle rejoignit le bord de la falaise et alla s'allonger sur une grosse pierre plate chauffée par le soleil pour faire sécher ses pieds et s'endormit.

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Jaroulde
Il était rare que Jaroulde aille se perdre le long de la côte, il avait eu beaucoup trop de travail jusque là mais aujourd’hui était un jour spécial, il était devenu artisan et il s’accorderait une journée de repos.

Il prit une jarre de bière du pain et un délicieux flan aux légumes de sa fabrication. Il enroba le tout dans un torchon de lin et ficela le baluchon au sommet d’un bâton qu’il portat sur l’épaule.

Le temps s’annonçait clément, pas un nuage à l’ouest, il passerait cet après-midi à la mer.

Il descendit les petites rues jusqu’au port, saluant ça et là les passants. Les mouettes tournaient au dessus de lui sur la digue espérant sans doute qu’il laisserait choir son repas.

Il longea le port et remonta le petit sentier bordé de bruyères jusqu’à la falaise qui surplombait une petite crique de sable fin.

Arrivé au sommet, il reprit son souffle et se posa un instant pour observer le paysage.

Tous ses sens étaient en éveil, l’air était chargé de senteurs marines, le soleil l’enrobait d’une douce chaleur et les oiseaux marins piaillaient dans le ciel. Il ferma les yeux tant il était bien.

Un croassement le réveilla de sa douce torpeur, c’était Glaou qui l’avait rejoint. Il voulait sans doute être de la fête lui aussi.

Jaroulde reprit ses esprits et continua le chemin qui descendait cette fois vers la petite plage. Au soleil couchant, il longerait la côte jusqu’aux gros rochers ou il cueillerait des moules pour son repas du soir.

Au détour du sentier, à mi-chemin de la plage, il déboucha sur une grosse pierre plate sur laquelle une dame semblait se reposer. Il s’avança sans bruit et reconnut Amellya qui s’était assoupie au soleil. La fatigue l’avait rattrapée et elle devait savourer ces instants de calme.

Jaroulde ne voulait pas troubler le repos de cette beauté aux pieds nus et c’est le plus doucement possible qu’il contourna le gros rocher jusqu’à ce que Glaou, ce satané oiseau pousse son cri de ralliement…


CROARR…CROARR

-Veux tu bien te taire ! Fichu oiseau ! Tu vas la réveiller…
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Amaellya
La jeune femme baignait dans une douce chaleur, reposante, rassurante. Le soleil caressait délicatement sa peau, et le bruit des vagues la berçait. Elle se laissa aller, glissant doucement vers le sommeil. De doux rêves envahissaient ses pensées.

CROARR…CROARR

-Veux tu bien te taire ! Fichu oiseau ! Tu vas la réveiller…


Amaellya sursauta, se releva d'un bond, tira sa dague de son corset et se tint prête à se battre.

Elle relâcha sa garde, et un sourire éclaira son visage quand elle reconnu le charmant jeune homme qui se tenait à côté d'elle. Puis elle rangea sa dague dans le fourreau dissimuler dans son corset, juste sous sa poitrine.


-Bah je crois que c'est déjà fait.

La tribun lui sourit de mon coeur.


-Je suis tout de même heureuse de te voir ici. C'est la première fois si je ne m'abuse?

Elle jeta un regard autour d'elle à la recherche de ses bottes. Puis elle ôta le petit morceau d'ébène qui retenait ses boucles châtains qui virent cascader sur ses épaules et le rangea dans son corset aux côtés de sa dague. Elle remarqua le regard du jeune homme en relevant la tête et se mit à rire.
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Jaroulde
Jaroulde sursauta, surpris par la vivacité de la jolie brune.

Il remarqua la pointe aiguisée du stylet qu’elle avait sorti de son bustier à la vitesse de l’éclair.

Ses sens étaient en émoi et lorsqu’il vit la dague rejoindre son fourreau, laissant place au rire franc d’Amaellya, il se sentit rassuré.

Il avait pu voir la lionne qui sommeillait dans l’agnelle…


Je suis navré Amaellya, il n’était pas dans mes intentions de t’apeurer.
Je ne voulais pas te sortir de tes songes.
S’il n’y avait pas eu Glaou, tu n’aurais même pas su que je passais…




C’était une jeune femme au caractère trempé comme sa lame et il aimait les femmes de caractère…

Elle était ravissante les cheveux ainsi dénoués, ornant un visage angélique. Ses yeux étaient d’immenses lacs dans lesquels il aurait sans doute aimé se perdre.


Je ne connaissais pas ce lieu, c’est la première fois que je viens à la plage depuis que je suis à Tréguier. J'allais marcher sur le sable puis ce soir cueillir quelques moules sur les rochers avant de rentrer.

L’endroit est réellement ravissant
lui dit-il en ne quittant pas des yeux la belle dame.

Maintenant que tu es réveillée, acceptes-tu que je m’assoie avec toi sur cette pierre si toutefois il y a de la place pour deux?

La mer peut attendre !

J’ai même amené un goûter que je partagerai volontiers.


Jaroulde ramassa les bottes d’Amaellya et les lui tendit en souriant.
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Amaellya
La jeune femme éclata de rire devant la réaction de Jaroulde.

Je suis navré Amaellya, il n’était pas dans mes intentions de t’apeurer.
Je ne voulais pas te sortir de tes songes.
S’il n’y avait pas eu Glaou, tu n’aurais même pas su que je passais…


-Visiblement, c'est moi qui t'ai fait peur.
Elle rit de plus belles. Et la discrétion n'est pas ton fort.

Amaellya lui sourit tendrement et détailla le visage délicat du jeune homme sans même s'en rendre compte. Revenant à elle, elle détourna le regard, gênée, les joues rougissantes.

Je ne connaissais pas ce lieu, c’est la première fois que je viens à la plage depuis que je suis à Tréguier. J'allais marcher sur le sable puis ce soir cueillir quelques moules sur les rochers avant de rentrer.

-Tu auras besoin d'aide pour cueillir tes moules?

Elle lui sourit de nouveau, elle devait vraiment passer pour une niaise à sourire ainsi, mais c'était plus fort qu'elle, elle était heureuse d'être en sa compagnie, même après ce réveil en sursaut.

L’endroit est réellement ravissant

-Oh oui.. Je ne connais rien de plus beau..
Elle lui jeta un bref regard qu'elle reporta sans tarder vers l'horizon. Enfin presque! Disons que je me sens chez moi ici, apaisée..

Maintenant que tu es réveillée, acceptes-tu que je m’assoie avec toi sur cette pierre si toutefois il y a de la place pour deux?

-Je suis si large que ça pour que tu t'inquiètes de ne pas tenir à côté de moi?


La Tribun éclata de rire et se décala pour laisser au jeune homme tout la place qu'il lui faudrait.


-Viens donc t’asseoir à mes côtés. Juste là.

Elle lui sourit de nouveau en posant sa main juste à côté d'elle, sur la pierre, chauffée par les rayons de l'après-midi.


La mer peut attendre !

-Détrompes toi, la mer n'attend pas. Quand elle t'appelle, saches lui répondre.


Ses mots lui venaient du coeur. La mer était sa maison, sa patrie, son univers, son paradis et son enfer.. Elle fredonna un instant alors que la voix du Roux la ramena vers lui.

J’ai même amené un goûter que je partagerai volontiers.

-Oh vraiment? C'est gentil ça, mais c'est ton goûter tu sais..


Elle contempla un instant ses lèvres en se disant qu'il y a autre chose qu'elle goûterait bien, elle. C'est alors qu'il lui tendit ses bottes, la ramenant de nouveau à la réalité. Elle le remercia et lui sourit encore une fois en attrapant ses affaires, espérant que son regard n'ait pas trop trahit ses réveries.

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Jaroulde
Jaroulde avait le coeur léger, il était tombé sous le charme de la Tribun lors de leur première rencontre, en taverne, de son regard profond et de son sourire envoutant qui auréolait toute sa personne et puis c’était non seulement une jolie femme mais elle avait la tête bien faite.

Oui, je ne connais rien de plus beau…

Se doute t’elle que quand je parle de ravissement, c’était à elle que je pense..

Viens donc t’asseoir à mes côtés. Juste là.

Jaroulde posa son baluchon sur le sol, Glaou en profita pour aller se percher sur un buisson en retrait comme s’il montait la garde.

Puis il s’assit à côté de la jeune femme, effleurant sa main avant de poser la sienne juste à côté.

Ce frôlement s’est propagé tel un frisson de bien-être dans tout son corps.
Il sentit son visage s’empourprer tandis que sa bouche s’asséchait.


Détrompes toi, la mer n’attend pas. Quand elle t'appelle, saches lui répondre.

Il sourit intérieurement, entre l’appel de la mer et celui de la jolie brune, il aurait vite fait son choix.


Il était là, assis à ses côtés, les yeux perdus sur l’horizon bleuté, bercé par le doux ressac des vagues sur la grève.

On entendait les insectes butiner sur la bruyère fleurie. Un léger vent marin venait atténuer la chaleur du soleil.

Jaroulde tendit le bras pour attraper le sac de vivres qu’il déplia entre eux deux.


…c’est ton goûter tu sais..

C’est avec plaisir que je le partagerai et puis à vrai dire, sans doute est-ce du à l’air marin mais je n’ai pas très faim.

Il savait bien que l’air marin n’y était pour rien…

Il croisa a ce moment le regard d’Amaellya qu’il vit plus pétillant encore.


Prends ce que tu veux, le pain est frais du jour et j’ai confectionné ce flan avec les légumes de mon champ, je l’ai cuit avec des oeufs frais et je l’ai assaisonné d’une pointe de sel marin et de thym sauvage.

C’est léger et idéal pour un petit en-cas.


Il aurait tant voulu lui offrir des coupes de fruits frais et du vin fin et plus encore en récupérer le parfum sur ses lèvres…mais il n’était que petit maraîcher et devait avoir l’air bien benêt avec son flan de légumes et sa jarre de bière…




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Alyx
Le soleil déclinait sur Tréguier. Sur la plage, la silhouette boitillante de Alyx se dessinait sur le ciel aux teintes fauves. À bout de souffle, la femme s'arrêta pour regarder le large et figer en sa mémoire la beauté des vagues déferlant sur la berge. Elle déposa son baluchon et soupira, respirant ensuite les effluves salées.

Elle s'en allait au couvent. Pas pour y rester, quoique l'idée lui avait effleurée l'esprit lors de son arrivée en Bretagne. Elle devait mettre de l'ordre dans ses idées, dans sa vie et confronter ses sentiments, fortement ébranlés ses jours derniers. Et il y avait cette jambe, cette blessure maudite qui avait mal guérie et lui causait tant de mal. Les nonnes soignantes l'aideraient à venir à bout de ses souffrances. Une semaine, ce n'était pas si long.

Après, elle reviendrait... Pour repartir ? Pour rejoindre celui qui la couvrait de mots et qui ouvrait un horizon d'espoir chez elle. Une semaine, cela pouvait être long...

Elle reprit sa besace, la posa sur son épaule et marcha encore un peu. La mer était infinie et si vaste ! Elle ressemblait étrangement à cette vie qu'Alyx rêvait.


Rien n'est perdu, car tout est à gagner... dit-elle en souriant.
Hoys
On aperçut la jeune sorcière aux portes de la ville, entrer comme une ombre. La pluie avait trempé ses cheveux et ces derniers lui masquaient la face, lui donnant l'air plus sombre que jamais. Elle gardait les yeux rivés juste devant ses pieds et traversa Tréguier ainsi. Elle n'était pas heureuse de revenir, ça non. Mais lorsqu'elle avait compris que Myhrem ne reviendrait pas, elle s'était dit que rentrer serait la meilleure chose à faire.

Plutôt que de retrouver leur... sa demeure, Hoys traîna des pieds jusqu'à la plage. L'endroit qu'elle affectionnait tant. Un jour, elle y avait trouvé Equemont endormi comme un bébé. Equemont... Sacré foutu de Salar, qu'est-ce qu'elle l'aimait. Et il était loin, ou proche, ou mort, ou non ! Peut-être à l'autre bout du monde, peut-être six pieds sous terre, peut-être vingt-milles lieues sous les mers, peut-être au Valhalla. Ou pas. Qui aurait pu savoir, si ce n'est le fieffé de Salar en personne ?

Elle foulait le sable comme un âme en peine, démunie de tous ceux qu'elle aimait. Famille, amis. Tous y étaient passés. Ne restait plus qu'à attendre que les choses changent. Car les dieux étaient cruels et s'amusaient de voir la Hoys ainsi. Les dieux donnent, les dieux prennent. Et le soir, tu peux sentir. Tu peux sentir le dos tourné de Thor, son pas lourd s'éloigner de toi. Tu peux entendre le rire sournois de Loki dans le creux de ton oreille et sa main acérée se refermer sur ton bras. Parce que rien ne va plus.

Alors, Hoys avança sur la plage, sans s'arrêter une seule fois si ce n'est lorsque l'eau glacée de l'océan lui gela la poitrine. Les vagues les plus téméraires la léchaient jusqu'au front de temps à autres, la laissant crachoter et battre des jambes pour se surélever. Ce ne serait pas agréable, certes, mais à présent il fallait nager, nager. S'épuiser, jusqu'à en mourir.
Le_lutin
Sa capuche serrée contre elle , le lutin cherche un refuge
loin du bruit , loin du monde , loin des gens ...
Son amie , sa Miette semble souffrir . Elle respire vite , se tourne et se retourne .
son gros ventre semble la gêner .
Son ami Nuts sautille en tous sens , apporte des bouts de carottes , mais cela ne semble pas améliorer la situation .
Le lutin fait les 100 pas le long de la plage . Croit voir une silhouette dans l'eau ... Mais n'est sure de rien . Sans doute un songe ...
Se pose dans un creux de rocher , aux aguets
Amaellya
Amaellya avait suivit Luti jusqu'à la plage. Le temps de prendre quelques linges, une gourde pleine d'eau fraîche et une miche de pain un peu sèche et la voilà à ses côtés.

Son Nuts ne quittait pas sa compagne Miette, qui était loin d'être au meilleur de sa forme. La jeune femme déposa ses provisions aux côtés des deux écureuils et versa un peu d'eau dans un petit creux de la roche. Elle sourit quelques peu quand Miette alla s'y désaltérer et la Maire la caressa affectueusement et délicatement.
Ça va aller ma belle lui chuchota-t'elle.
Puis elle se tourna vers Luti.


-Toujours aussi agitée à ce que je vois, mais l'air frais devrait lui faire du bien, et surtout faire redescendre sa température, elle est bouillante.

Elle lui sourit, tant bien que mal, essayant de détendre l'atmosphère. Si il y a bien quelque chose qui liait les deux jeunes femmes, c'était sans aucun doute leur amour inconditionnel pour leurs petits compagnons à fourrure, et les voir ainsi les déchirait l'une et l'autre.

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Le_lutin
Le Lutin sourit à l'arrivée d' Amellya

merci d'avoir fait si vite.
ça va aller ? hein ?


Elle pose sa capuche à l'abri du vent , en relevant bien les bords pour faire comme un nid et dépose doucement Miette dedans .

Vient dans ta maison , tu y sera bien .

Une fois Miette roulée en boule , elle rabat un pan par dessus et laisse Nuts monter la garde .
Le_lutin
Quelques heures plus tard le lutin qui s'était endormie , étendue dans le sable à coté de Miette , est réveillée par de curieux bruits .
La capuche est secouée par les sautillements de Nuts , sur-excité .
La jeune fille soulève avec précutions le pan de tissu et voie Miette couchée tranquillement des espèces de petits rats tous nus entre les pattes .

Bravo ma belle ! 1 , 2 , 3 ... 4 bébés !
Elle caresse doucement le flan de Miette et la recouvre , puis se tournant vers Nuts : félicitations à l'heureux papa !
Zakarine
Il faisait très chaud en cette mi-juillet. Le soleil luisait en lançant ses rayons sur la mer qui brillait de mille feux. Zakarine avait eu envie d'aller se baigner. Emeric étant occupé dans sa forge, la rouquine avait pris un peu d'avance en y allant seule. Elle avait revêtue l'ensemble de bain que son amie Gin lui avait confectionné.

Elle avait beaucoup de chance, sa maison donnait juste sur la plage. Elle n'avait donc pas beaucoup de chemin à parcourir pour s'adonner à ce plaisir si particulier qu'est la nage. Zakarine marchait nus-pieds sur le sable nonchalamment. Elle respirait l'air salin en fermant les yeux, le visage tourné vers le ciel. Elle aimait sentir la chaleur estivale sur sa peau décemment couverte. Elle ne voulait surtout pas prendre de vilaines couleurs et voulait préserver à tout prix son corps d'ivoire.




En avançant, elle entendit des éclats de voix qui riaient au loin. Elle reconnut Amallya et le Lutin qui avaient l'air de bien s'amuser avec leurs bestioles. Zakarine leur fit de grands signes et continua à marcher jusqu'au bord. Elle voulait tester l'eau. Elle plongea le bout de ses orteils et frissonna. L'eau était bien plus fraîche que la température extérieure. Un point vers l'horizon attira son regard. On aurait dit un corps qui flottait. De la où elle était, elle ne reconnaissait pas la personne mais elle avait comme un pressentiment. Un très vilain pressentiment. Le corps semblait sans vie. Il ne faisait aucun geste. Elle se calcula plus rien: ni la froideur de l'eau, ni la distance qui la séparait de l'inconnue.

Par chance, la Rousse savait très bien nager. Il ne faut pas oublier qu'elle est née au bord de la Méditerranée et que la mer était son élément naturel. Zakarine plongea la tête la première, fit le crawl le plus rapide de sa vie et rejoignit la personne. Arrivée à destination, elle découvrit avec horreur qui était là!

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