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[RP] La mer, la plage, Tréguier quoi!

Amaellya
Tout juste rentrée à la maison, Amaellya prit le fils de son homme dans ses bras et l'emmena voir la mer. Sa mer à elle, son petit coin de paradis, la plage de Tréguier. Maeron ouvrait de grand yeux émerveillés en regardant les reflets du soleil dans les vagues.

La jeune femme ne resta bien longtemps au bord de l'eau. Elle ne voulait pas que le petit tombe malade. Aussi remonta-t'elle vers le port et prit la direction des tavernes. Tavernes qui avaient bien changées..

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Arzur.
Allongé en plein soleil sur le sable, les mains croisées derrière la tête, le prince de Bretagne savourait sa paix et sa tranquillité. Il se sentait libéré et apaisé. Il avait éloigné la créature maléfique qui salissait son honneur. À présent était venu le temps du soulagement. Les yeux fermés, le jeune homme profitait de la chaleur du soleil.
Opaline.
Apres un moment en taverne, elle file vers la plage, elle avait besoin de calme et de se defouler un peu. Elle retire bottes et bas qu'elle glisse dans sa besace puis traverse la plage de sable et se dirige vers un coin isolé et tranquille a quelques metres de l'ocean..

Elle planque sa besace dans une souche, se deshabille totalement, range les vetements, et se dirige en courant vers les vagues ne ralentissant que par la resistance que lui offre celles ci et plonge sous l'eau. Elle nage et ne ressort la tête que plusieurs metres plus loin pour reprendre son souffle. Puis s'amuse dans les vagues se laissant ramener sur la plage pour repartir de plus belle au large.

Quiconque serait là, ne verrait qu'une gamine de 16 ans qui s'amuse et s'ebat joyeusement dans les vagues indomptables de l'ocean....
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Imagine
Elle descend le chemin qui mène à la plage en courant. Elle rit toute seule de savoir ce qu'elle va faire... elle compte bien gagner son pari. Elle atteint le sable , fait sauter en l'air ses sabots, l'un après l'autre, et court se mettre au beau milieu de la plage, se retourne et regarde vers le haut de la petite falaise, là où ils habitent . Kia est à son poste , il est accoudé au muret qui limite leur jardin, du bord de la falaise. Elle saute sur place en faisant de grands gestes toute excitée. Il lui fait signe en riant également.

Elle regarde vite sur la plage. Personne. C'est le moment. Elle s'enlève rapidement sa robe par la tête et la jette en l'air. Elle ne porte rien dessous. Elle savait qu'elle gagnerait du temps ainsi. Comme prévu, elle se lance alors à faire , sur le sable mouillé, quelques pas d'une danse celte assez connue dans le coin. Une fois la danse exécutée , elle salue son public de mari et part en courant se jeter dans l'océan en rentrant au maximum son ventre et poussant de petits cris à cause de la température de l'eau. Elle plonge et ressort comme une bombe en reprenant encore quelques mouvements de bras comme si elle dansait. Elle éclate ensuite de rire et ressort tranquillement de l'eau. Tout en essorant ses cheveux , elle crie essoufflée vers son époux .

- Alors tu vois ? je suis cap et j'ai ga-gnééééééé !

Il lui fait des signes qu'elle ne comprend pas. Seule au monde, en tenue d'ève, ses mains sur les hanches, elle lui répond.

- Commeeeeeeent ?

Puis lui fait signes qu'elle n'entend pas ce qu'il lui dit. Il semble lui montrer quelque chose.

Elle se retourne voir et s'aperçoit que quelqu'un est dans l'eau. Elle ouvre d'énormes yeux , arrête sur le champ de rire bêtement , fonce comme une furie récupérer sa robe, se l'enroule grosso merdo autour d'elle et file se mettre à l'abri derrière les rochers sur le coté, tout en essayant de cacher des ses mains ses fesses. Elle met à tout allure sa robe qui colle à sa peau mouillée, lui compliquant la tache. Elle ressort de derrière les rochers , comme si de rien n'était, la robe ouverte dans le dos, les cheveux en vrac coiffés à la mode algues. Avec la sensation désagréable des tissus et grains de sable sur sa peau, elle fait mine de se promener se cachant le visage d'une main pour que la personne qui est dans l'eau ne la reconnaisse pas... puis pique un sprint pour disparaitre dans le chemin, laissant ses sabots sur place. Le tout sous les éclats de rire de kiarna.
Arzur.
Arzur quant à lui était plutôt bien placé, en haut de la plage, pour admirer les deux créatures féminines qui se prélassaient dans l'eau. Avec amusement, il profita du spectacle, qui fut trop bref à son goût.
Opaline.
Des paroles qui volent jusqu'a elle et elle se tourne vers la plage ou elle apercoit une jeune femme nue de dos. Amusée, Opale se laisse porter par les vagues jusqu'a la plage, cherchant du regard a qui elle cri ainsi. Elle voit un homme qui semble rire et la montrer du doigt, près d'un muret sur la falaise puis reporte son regard vers la jeune femme qui se tourne vers elle et s'enfuit paniquée. Eclatant de rire en comprenant sa géne, Opale replonge sous l'eau et nage un long moment a contre courant puis remonte a la surface et reprend son souffle.

La plage de nouveau silencieuse, elle se decide essoufflée et fatiguée à revenir sur la plage se faire bronzer un peu. Sans s'inquieter d'etre vu, la nudité étant pour elle naturelle, elle sort de l'eau, sourit amusée en voyant les sabots abandonnés sur le sable. Elle essore ses mêches blondes puis va s'allonger a coté de la souche, sur le sable qui colle a sa peau, la tete sur sa besace. Les yeux fermés, une mains sur son ventre, une jambe repliée, le corps abandonné, la blondinette laisse le soleil et le vent la secher et profite du calme de l'endroit.
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Lys_ope
Lysope sans demeure désormais, sans chambre même puisqu'elle est interdite de séjour au relai, dort désormais avec sa fille sur la plage.

La saison est propice à dormir ainsi dans sa barque, un cadeau qu'elle gardera.

La petite Clothilde ne comprend pas la situation mais Lys tente de la rassurer et de lui laisser penser qu'il s'agit d'un jeu.

Aussi ce matin, s'étant rendues au marché, elles reviennent sur la plage pour prendre leur petit déjeuner.

Tout est paisible ici et elles se sentent bien.

Il est tant d'aller pêcher, elles prennent le large pour prévoir leur repas du soir. La petite reste bien sage au fond de la barque et joue avec son petit cheval, cadeau de Paco.

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Chocolatine
Choco se premena tranquillement sur les baies de la plage, le vent souffla un peu, elle marcha rêveuse, inquiete aussi, regardant le large les bateaux, le soleil brillait, des mouettes s envoler, elle se mise a s asoie sur le sable pas loin des dunes, souriante se repliat sur elle même profitant de ce beau temps, soupirante pensent à l'homme qu'elle aime.....
Zakarine
Tréguier, en plus de sa belle plage, possédait un joli port de pêche. Cela faisait très longtemps que Zakarine n'avait pas jeté un hameçon dans l'eau pour y attraper des beaux poissons.
Avec le beau temps, la rousse avait eu l'envie de ressortir son matériel de pêche et de passer ses journée assise dans une belle barque toute neuve. Elle avait donc passé commande à Statere dans son atelier .

Le jour J était arrivé! Zakarine attendait impatiemment de recevoir son petit bateau à l'emplacement qu'elle avait réservé. Peu de temps après, un sourire éclaira son visage. On pouvait entendre un bruit sourd et des cris de personnes qui disaient de faire attention au chargement.

Ils étaient près d'elle quand elle s'adressa à l'artisan, tout en pointant, de son index, l'endroit du ponton où elle désirait attacher sa barque.


Oh, ça y est! Elle est là!!!! Trugarez Statere, elle est magnifique! Attache-là ici.

La Rousse était aussi excitée qu'une enfant, le lendemain de Noël après avoir trouvé son joujou préféré dans son chausson..
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Scavola
La mer, la mer. C'était donc ça. Immensité bleue sous le ciel bleu. Tiens non, un nuage. immensité grise sous le ciel gris.....bleu...gris ? Punaise il pleut. Ha non ça se remet au beau. Et la mer de changer ses teintes au gré du ciel, tout en mugissant. Spectacle fascinant pour un angevin, même si ceux ci préfèrent la dégustation du vin à la contemplation de l'eau.

Ce qui frappait surtout Scavola, c'était ces rochers de couleur rose qui tranchaient avec la couleur de la mer. Il se jucha sur l'un d'eux, mis sa main en visière pour scruter les embarcations au loin, espérant reconnaître la barque de sa Rousse. Un moment, il crut la voir , bondit et perdit l'équilibre.

Plouf.

L'eau était mi fraîche mi glacée. L'eau de la Bretagne du nord, quoi, si vivifiante...IL ressortit la tête de l'eau en soufflant et se mit à nager comme il le pouvait. Maudissant sa maladresse, il se dirigea vers les rochers. Puis en se hissant sur l'un d'eux, chauffé par le soleil , il éternua deux fois, s'ébroua comme un chien, le visage ruissselant d'eau salé. Il fallait maintenant se sécher et profiter du rayon de soleil qui s'annonçait. Il enleva ses habits, sauf ses braies, et les mit à sécher sur le rocher, puis se remit à contempler le rivage, encore tout dégoulinant.
Zakarine
Oulàlà... Zakarine arrivait sur la plage, chargée comme une mule. La besace contenant le casse-croûte sur l'épaule, le panier d'osier au creux de son bras droit et la canne à pêche dans sa main gauche.
D'un simple coup d'oeil, elle reconnut sa belle barque toute neuve et s'avança vers le ponton où elle était amarrée.

Tiens! Une goutte d'eau vint lui tomber sur le bout du nez. La Rousse n'en avait cure. Elle voulait pêcher et elle pêcherait, namého! Elle regarda néanmoins le ciel, elle était courageuse mais pas téméraire. Zak ne voulait tout de même pas affronter la colère de Zeus! Des nuages passaient bien au-dessus de sa tête, mais sans gravité. C'était les bouts de ciel bleu qui le lui disaient. Ah parce que vous ne le saviez pas? Et ben oui! En Bretagne, les nuages parlent!

La Rouquine se pencha délicatement vers la barque et y déposa son chargement. Elle descendit ensuite très doucement à l'intérieur, s'assit en prenant les avirons en main. Elle allait commencer à ramer quand une étincelle éclaira son esprit. Elle avait le pressentiment qu'elle avait oublié quelque chose.. oui mais quoi.... Elle fit la liste de tout ce qu'elle avait apporté avec elle, à haute voix: Alors, il y a la canne.. les hameçons, le fil, la gourde, le casse-croûte. Mince alors! Il manque quoi?

Zakarine regarda une nouvelle fois. Elle s'imagina faire le geste du lancer dans l'eau et remonter un gros poisson. Mais sous l'eau, pour attirer le poisson, il fallait un appât! Eurêka! J'ai trouvé ce qu'il me manque! Des vers!!!

Elle héla un bonhomme qui se trouvait là et lui demanda de surveiller sa barque, le temps d'aller chercher quelques appâts sur le rivage. Aussitôt dit, aussitôt fait! Avec l'aide du manant qui lui tendit la main, Zakarine remonta sur le ponton avec le panier sous le bras.


Trugarez, je n'en ai pas pour longtemps..

C'était presque en courant qu'elle se dirigea vers la plage, là où les algues avaient pris place. Algues rapportées sur le rivage par la houle et la marée.
A peine grimaçante, elle fouilla à l'intérieur afin d'y trouver le précieux trésor indispensable à sa pêche. Quand elle voulait, elle voulait! La Rousse remua, examina soigneusement les algues. Elle mettait tout son coeur à explorer chaque parcelle d'herbe marine, mais elle avait réussi à en trouver un bon petit tas. Pour ne pas qu'ils s'échappent, elle enferma les vers dans une bourse, fermée par un cordon bien serré.
Toute souriante, elle revint dans le petit port de pêche. Sa bourse pleine dans sa main levée, elle montra son butin à l'homme qui lui gardait sa barque.


Voilà! Je les ai! Trugarez, je vais enfin pouvoir y aller!

Zakarine descendit dans sa barque et put enfin prendre la mer. Elle fit un dernier signe de la main à l'homme qui la regardait partir et se mit à ramer allègrement.
Il y avait des pêcheurs qui lançaient leurs lignes proche du rivage, à pieds. Elle, l'ancienne Provençale, n'avait pas trop l'habitude de voir des gens agir de la sorte. Chez elle, on pêchait soit à partir d'un rocher, soit en bateau. Cette image était restée ancrée en elle et il était évident que le bateau était le meilleur moyen de s'adonner à un de ses loisirs préférés.

Elle pagaya, rama jusqu'à ne plus voir le rivage que de très loin. Les gens semblaient tous petits, quasi des lilliputiens...
Elle regarda par-dessus bord et vit une grosse tâche argentée sous son embarcation. A vue de nez, le ban avait l'air d'être très profond dans la mer. Zakarine prépara sa canne, mit un très long fils et y accrocha les petites billes de fer pour ne pas qu'il flottât. A l'hameçon, elle fit glisser délicatement un gros vers de façon à ce qu'il pût continuer à bouger sous l'eau et lança comme une vraie pro.

Elle n'eut pas très longtemps à attendre. Elle sentait que le bout de sa canne bougeait à peine. C'était les poissons qui pitaient. Zakarine la déplaça légèrement pour ferrer sa proie.
Tout à coup, la canne en bois se plia en deux! La Rouquine se mit à crier de joie. Elle se mit à genoux dans la barque et serra la canne de ses deux mains.


J'en ai un, j'en ai un! Allez courage, Zakarine! Ne le lâche pas!

Le combat fut rude. Le duel dura des minutes qui semblèrent interminables, tant elle avait peur de perdre SON poisson! Elle tira, tira jusqu'à ce que le poisson se laissa entraîner jusque dans l'embarcation. Il bougeait encore sur le fond. Très fière, elle estima la grosseur de la bête. Elle apprendrait plus tard, de la part de Bretons pure souche, qu'il s'agissait d'un tacaud. Scavola serait étonné de voir ce qu'elle avait réussi à prendre, toute seule!

Sans demander son reste, elle décida de rentrer à Tréguier pour le lui montrer. Elle ramait, le sourire aux lèvres. Elle s'approchait rapidement du bord, mais pas trop. Il y avait des rochers et elle devait faire très attention de ne pas les accrocher afin de ne pas abîmer sa barque porte-bonheur.

Tout à ses pensées, elle aperçut une silhouette assise sur l'un d'eux. Zakarine ne reconnut pas tout de suite la personne qui était là. Plus elle approchait, plus les traits du naufragé se dessinaient. Mais ... c'était Scavola! Il était trempé comme une soupe, à demi-nu, les habits étalés sur la roche.
Ni de une, ni de deux, elle vira de bord et se dirigea en sa direction. Inquiète de le voir dans cet état, elle ne pensait plus à son gros poisson, mais juste à son amour qui grelottait là, alors qu'il était malade.


Sca! Sca! Mais que fais-tu comme ça?! Tu vas attraper la mort!

Les rides du lion de Zakarine étaient creusées au plus profond. Elle sauta de la barque, en ayant pensé à récupérer sa cape pour l'entourer avec et le frictionner.

Couvre-toi, mon coeur. Tu as froid, vois comme trembles...
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Scavola
Il se chauffait au bon soleil d'été tel le lézard, et la peau commençait même à lui cuire, quand il aperçut une Rousse, SA Rousse, échevelée, s'agitant sur son frêle esquif, en compagnie d'un poisson. Il bondit et lui fit de grands gestes. Elle s'approcha, belle comme une Sirène aux cheveux de feu, lui sourit puis prit une mine inquiète.

Citation:
Sca! Sca! Mais que fais-tu comme ça?! Tu vas attraper la mort!


Scavola la regardait un peu étonné. Ce qu'il allait attraper, s'il continuait à se vautrer sur la caillasse où il se séchait, c'était plutôt un coup de soleil. Mais il n'eut pas le temps de répondre que Zak débarquait agilement et l'entourait de sa cape

Citation:
Couvre-toi, mon coeur. Tu as froid, vois comme trembles...


Ha oui, il tremblait un peu, mais ça c'était l'émotion. Il ne pouvait pas s'empêcher quand il revoyait sa Zak après un certain temps, de trembler de joie comme un gamin qui attend son cadeau. C'était comme ça, hein.....mais son Amour en question semblait se méprendre sur l'origine de ce tremblotement.

Sca décida de profiter honteusement de la situation et se composa un visage de semi-mourant.


Ma Zaaaaak j'ai si froid, si tu savais.

C'était vrai en un sens. Sans elle son âme, son coeur se refroidissait, se gelait lentement et flottait à la dérive comme morceaux de glace sur la mer bretonne. Bref il ne mentait pas, il faisait dans la métaphore.


Je suis tombé dans l'eau ! C'est pas terrible, ça ?

Il tenta de renifler d'un air triste en espérant que Zak mettrait sur le compte de la fièvre la lueur de malice qui s'allumait dans ses yeux. Puis il se serra contre sa belle en soupirant.
Alyxe_


L`air était doux, en cette fin de journée du mois d`aoùt, le soleil rejoignait lentement le chemin de l`horizon.
Quelques mouettes au loin, sans doute cherchaient-elles le repas du soir ? Elle rangea dans sa besace son chapeau de pirate démodé, laissant ses cheveux flirter avec le vent du large.
Elle retroussa ses braies foncées, enleva ses bas de fortune, puis ses bottes usées qu`elle chérissait tant, et ses pieds ne firent qu`un avec le sable mouvant.
Un sourire franc s`échappa de ses lèvres charnues, face à toute cette magnificance que lui offrait sa vue.
Elle se sentait insignifiante alors qu`elle n`avait encore rien vu, rien vécu, face à toute cette imensité.
Elle s`approcha du bord de mer, pour que les premières écumes des vagues viennent agréablement lui chatouiller les orteilles.
Puis elle marcha de longues minutes tout le long du rivage. Elle ne pensait plus à rien, qu`à cette nouvelle liberté ô combien enrichissante.
Zakarine
Ma Zaaaaak j'ai si froid, si tu savais. Je suis tombé dans l'eau ! C'est pas terrible, ça ?

Ça y était! Zakarine culpabilisait de l'avoir laissé seul, le matin.. Il était tout rouge, ses yeux brillaient et il reniflait. Ce devait être la fièvre!
Elle l'avait entouré de sa cape quand il la prit dans ses bras. Elle le frictionnait quand il commençait doucement à lui caresser le dos.


Mais .. comment se fait-il que tu te sois retrouvé dans l'eau? Tu allais mieux, ce matin?

Zakarine le regarda avec plus d'attention, cherchant un signe de fatigue. Mais il y avait quelque chose de bizarre dans son regard. Des ridules se formaient dans le coin de ses yeux, des rides du sourire qu'il retenait avec peine. Feignant l'énervement, elle se mit à lui taper sur l'épaule en riant.

Rhoooo! Quel menteur! Tu n'es même plus malade! Tu t'es moqué de moi!!!

Rassurée sur son état de santé, elle approcha son visage de celui de Scavola et posa ses lèvres sur les siennes. Comme elle aimait à le faire, elle fit glisser ses doigts dans ses cheveux en bataille pendant leur doux baiser. La Rousse chuchota à son amant des mots d'amour dans un élan de tendresse jusqu'au moment où, se souvenant de sa prise, elle le lâcha avec un grand sourire.

Tu as vu le poisson que j'ai réussi à pêcher? Tu as vu comme il est gros? Tu n'en a jamais vu des comme ça, hein?!

Elle riait, riait de son rire cristallin, aussi enjouée qu'une petite fille..
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Statere
Statere sortait du Relais laissant Aeroni, Gav et Dotty, l'envie était trop grande et la chaleur aidant .....rapidement il fut sur la plage, le soleil presque qu'à la hauteur de l'horizon. C'était un de ces moments où l'on a l'impression que le temps suspend sa course et où le ciel se pare de ses plus belle couleur.

Il marcha longuement sur le sable, regardant les mouettes et pensait fortement à Celle qui lui manquait vraiment. Statere finit tout de même par s’asseoir sur un de ces énormes rochers que l'on pouvait trouver de-ci, de-là. Il ramena ses genoux contre sa poitrine, enroula ses bras entour et y posa sa tête.

Ses yeux se perdirent dans le ciel. Les nuages, formaient de majestueuses taches qui se découpaient dans le rougeoiement du soleil. Il inspira longuement les embruns de la mer lui ravir le nez et l'esprit. Enfin son regard se posa doucement sur l'océan. il sorti de sa besace un vélin et à son habitude griffonna une ode à la mer...................


Fascinante de sa force et de sa beauté
À jamais en elle ses secrets sont enfouis
Gardienne des souvenirs pour l’éternité
Suaves caresses de ses légers embruns
Grandes claques de ses grosses colères
Douces lumières aux mille parfums
Superbe immensité au franc caractère.
Telle est la mer, cette pure merveille
Insondable richesse de l’humanité
Nécessaire à la vie tout comme le soleil
Par ses flots j’aimerai être à jamais bercé............


Il sourit, il avait enfin retrouvé sa sérénité, il posa le vélin puis se dévêtit et plongea dans cette mer si délicieuse..
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