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[RP] La mer, la plage, Tréguier quoi!

Emericbr
Emeric exécutait à la lettre les consignes de Stat. L'assoir en tailleur, se mettre à genou derrière elle, coller son dos à sa poitrine, passer les bras et appuyer fort, relêcher et recommencer. Lui était convaincu qu'Amaellya s'en sortira. Et même si le Très-Haut décidait de la reprendre, il aurait été bien décidé à aller la chercher.
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Amaellya
La nuit.. Les étoiles.. La mer.. Geoff.. Rejoindre maman.. L'eau.. Le noir.. Tout lui revenait en mémoire alors qu'Emeric lui compressait le ventre, lui arrachant de violentes quintes de toux. Elle grimaça, gémit et chercha à reprendre son souffle soudainement paniquée.

La jeune femme se recroquevilla sur elle même, ne se rendant pas compte des personnes l'entourant. Elle porta sa main droite sur le bandage frai et se mit à sangloter. La tête lui tournait, et Amaellya tomba sur le côté, à bout de force. Les yeux clos, elle se mit en boule autant que possible car sa robe trempée entravait ses mouvements, laissant de grosses larmes rouler sur son visage.

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Talon_st_iane
Geo retira son mantel et le mit autour de sa belle puis il la prit dans ses bras pour la réchauffer.
il regarda Em et lui dit:

on devrait peut être l'enmener à la maison, qu'en pense tu?
Emericbr
Emeric s'arrêta net lorsqu'Ama se réveilla brutalement. Il lui tapota amicalement le dos, et se recula afin de laisser Geoff s'occuper d'elle.

Laissons là souffler un instant, il faut qu'elle reprenne un bon rythme de respiration. Après, je pense que nous pourrons l'emmener. N'est-ce pas, Stat ?

Voir son amie dans untel état le bouleversait. Il ne savait plus trop quoi faire, à présent.

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Statere
Statere sourit...
Allez Amae !!!!!!!!... Force toi à vomir...et respire....
Elle était sauvée c'est sur !!!!!
Oui il faut l'emmener prestement..
Regardant Emeric et Geoff qui l'a portait.. hummm c'est bien au 5 quartier de la mairie que vous habitez... alors pas de temps à perdre, il faut qu'elle se réchauffe et que je puisse la recoudre...
Allez Zou.......

Statere reprit sa besace puis posa la main sur l'épaule d'Emeric pendant qu'il s'arnachait comme il le pouvait et que Geoff portait dans ses bras Amae en direction du quartier de la mairie..
Il murmura
,sa vie n'est plus en danger mais l'enfant qu'elle porte ..statere soupire l'avenir nous le diras !!!
Le 5 du quartier était en vue....................
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--Lababette


La Babette était partie faire sa promenade quotidienne. Elle n'allait jamais au même endroit précisément, c'était selon son humeur du jour. Et aujourd'hui, c'est sur la plage qu'elle s'en était allée.
Elle avait bien noté un attroupement et des cris mais ça ne l'avait pas perturbé plus que ça, et c'est plus avant qu'elle s'était enfoncé dans le sable.
Son merveilleux couple de maitre s'était envolé en direction de Rennes et elle avait accepté de rester dans les lieux.
Oui autre ce fameux Ancêtre qui veillait sur la fraterie du maître, la Babette avait elle aussi décidé de veiller sur le domaine du jeune homme qui avait pris possession du coeur et de la vie entière de sa maîtresse. Et oui c'est que la Babette avait jamais vu sa blondinette aussi heureuse. Comme quoi savait y faire ce bout d'homme là !

Ma qu'c'est t'y qu'ça encore ?

L'avait pilé net sur une forme allongée. Un truc d'roux. Un p'tit machin rouquinet qu'on dirait bien qu'ça r'semblait à une dame qu'elle dormait sur le sable.

Ma qu'c'est y po possible qu'y a deux p'tiots dans l'panier qui piaillent ? Et qu'elle s'réveille pas la rouquine ?

Secouement de bras, d'épaules et tiraillage de robe.

M'dame ? M'daaaaame ? Mais qu'réveillez-vous qu'je crois bien qu'vos freluquettes z'ont l'stomach vide à piailler comme les poules !

Medea7
Rêves, rêves d'amour... de bras, la rendant comme elle avait si souvent été... forte et solide. Reves d'une famille unie. Reve de voir Emma et Tia qui font leur premier pas, sous le regard fier de leur maman qui serre la main d'un autre homme. Un presque pére. Le visage est flou, la silhouette aussi. Mais le sourire sur le visage de la rousse montre que tout va bien.
Medea, rêvant, sent enfin son corps s'alurdir, se reposer, lâcher prise. Elle dort. Puis Tia et Emma viennent tirés la robe de leur mère, faim mamm faim. C'est en fait une servante qui tente de réveiller la très jeune mère. Paupières qui s'ouvrent brusquement. De suite, le sons des pleurs des puce lui parvient à l'oreille. Elle se précipite sur le berceau, les larmes naissantes dans les yeux. Elle n'avait encore jamais fait ce coup là. Elle n'avait encore jamais failli à sa tache de mére. Culpabilités. Un linge propre posé sur la tête des enfants, afin de cacher les seins nourricier. Medea lève les yeux sur la dame qui l'a réveillée. Perdue. Fatiguée. Culpabilisée.


Trugarez Madame.


Son qui se fait murmure. La jeune Medea soupire.

Je suis Medea. une voyageuse... éreintée je crois.
--Lababette


Et qu'd'rester muette comme une carpe, bouche grand ouverte. Mais qu'rassurez-vous qu'ça a pas duré longtemps. L'temps de réfléchissement de la guillerette qui r'garde la dame qui semble être complètement perdue.

Je suis Medea. une voyageuse... éreintée je crois.

Oulalaaaa !! ma qu'je soyons po une dame mais j'suis Babette ! Et qu'je travaillons pour mon maître et ma maîtresse mais qu'ils sont po là. Vous allions v'nir au domaine , qu'je vais po vous laisser pauvrette qu'vous êtes toute seule avec les piaillardes sur c'te plage ! Pis que la fraterie du maître qu'ils s'ront content d'voir des bébés.
Qu'ma maîtresse l'en a un de p'tiot mais qu'il les a suivi sur Roazhon. Mi qu'quand même qu'je va écrire pour les prévenir qu'nous avions d'la visite.

Pis d'te façon, le nouveau maître qu'il m'dit jamais non. C'estions po la même chose avec la maitresse mais elle c'est au maitre qu'elle disions jamais non. 'fin presque !

Et large sourire, alors que les mains sur les hanches elle regarde le tableau qui s'offre à elle.

Qu'c'est y mignon tout ça quand même ! Et quoi qu'vous faites ici toute seule 'vec vos piaillardes m'dame sur c'te plage ? Parierais rien qu'à vous zyeuter qu'vous êtes même po du coin vous et qu'z'êtes t'y po bretonne non plus ! Quand qu'vous avez fini d'nourrir vot' marmaille qu'je vous emmène à l'Arvoriad. Z'allez voir c'est tranquille tout plein pis c'bien joli aussi.

Medea7
Medea finissait de nourrir les petites tout en écoutant Babette. Ne comprenant parfois pas un mot. Une expression. Faut dire que la Medea était toute seule depuis un moment. Isolée et sans personne avec qui parler. Alors en plus une paysanne. Ou presque. Le retour dans la vraie vie est âpre. Elle sourit à la jeune femme.

Mais Mada... Babette, je ne voudrais point déranger.
Je suis Dame, et je ne sais pas si j'apprécierais, que l'un de mes gens ramène une dame inconnue au domaine!
Vous êtes sur que vous n'allez pas vous attirer des ennuis? vous savez je n'amène jamais rien de bon.


Refermant sa robe, la jeune maman veille que les rots se fassent et dialogue avec Babette. Le visage toujours fatigué. Elle accroche un sourire à sa face.
--Lababette




Bah qu'vous êtes qu'une dame en plus ! Parce qu'la dame qu'vous êtes elle laiss'rai une aut'dam tout'seule sur la plage 'vec des piaillards ?
Qu'je peux vous dire qu'Mimzelle Roxanne et M'sieur Caled qu'sont po du genre à baragouiner pour si peu et qu'me gronderont po !

Pis v'z'avez po bien l'air mauvaise. Et d'toute manière s'ront là dans pas bien long l'maitre et la maitresse et z'y confirm'ront si vous pouviez y rester dans l'domaine. En attendant qu'vous prenez vos braillardes et qu'on va s'mettre queq'chose sous la dent, j'sais pas vous mais moi qu'mon stomach il gronde !


Et d's'en conduire la dame en direction de l'Arvoriad.

Medea7
Et Medea, reconnaissante, d'abdiquer. Se relève, prend le couffin. Et suit la Babette. Un peu anxieuse. Mais contente d'avoir un toit, et de savoir qu'elle ne sera pas seule. Elle aura le temps de se requinquer dans cette belle ville.
Medea7
Elle reprenait des forces la jeune rousse. Elle aimait cette ville et pourtant, son coeur resté attacher à son Lycan. Elle si droite comme un i. Elle qui aimait la loi, la justice. Elle avait une flèche plantée bien profond pour un brigand. Et elle aimait la meute en plus. C'est portant l'éternel couffin et une lettre à la main que Medea, larme ruisselant sur le visage se rends sur la plage, une couverture protégeant les petites du sable soulevé par le vent.
Un murmure... elle réfléchit. Elle ne sait plus quoi faire. Elle crève d'envie de le rejoindre. Mais... qu'est ce qu'elle veut pour ses filles.
La douleur lui vrille le ventre, quand on aime... on le sait avec les tripes. Des mois qu'ils ne se sont pas vus...et l'amour est toujours là. La torturant.

Les yeux fixéz sur les vagues de la marée montante. Elle reverait de s'y plonger et d'y rester pour morte. Un regard sur le couffin. Et une énième crise de larme. Epuisée elle choit. Elle reste là, assise devant ses filles. Le regard perdus et larmoyant dans l'océan. Qu'il est dur d'avoir 18 ans et d'avoir vécu tant de drame.
Statere
Statere qui passait par la plage ce matin vit Medea7 !! Elle était là, assise devant ses filles. Le regard perdus et larmoyant dans l'océan....Il s'avançat lui sourit et s'assied a coté d'elle...

EH Bien, dis-moi, tu me sembles très désespérée !!! ton mal me parait incurable et même en tant que médecin je ne peux te soigner par mes actes, le traitement que je veux te parler ne peut être que Spirituel, confesse au Très-Haut ton humilité et ton désespoir face aux événements qui t’accablent et finalement, grâce à tes prières, tu comprendras que Dieu ne t’abandonne pas et qu’il t’aime toujours.
Devant un tel amour et la perspective du Paradis solaire, tu vas retrouver la force d’avancer et surement retrouver la guérison....

Tu es très jolie et beaucoup de jeunes hommes te prendraient volontiers pour femme,

Statere regarde les jumelles..
N'oublie pas !!!!! Tia et Emma, elles ont besoin de toi..
Allez viens au Relais, Méha a du apporter du bon lait, et les pains dorés nous attendent..Lys a du préparer les petits déjeuners.

Il se lève, prend le couffin, puis donne la main à Medea7, pour qu'elle se lève..
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Medea7
Medea écouta son médecin préféré. Elle ne pipa pas un mot. Elle avait besoin d'en parler, de s'épancher... mais ce n'était pas le moment, elle ne saurait articuler un mot là de toute façon sans refondre en larme. Elle hocha la tête.

Oui... Emma et Tia sont là... Et heureusement.

Où malheureusement... Elles seront le rempart.

Il est dur d'aimer tu sais... je voudrais ne plus avoir de coeur. Il s'entiche toujours de mauvaise personne... qui me font souffrir et qui ne sont pas sain pour mes filles.

Long soupir. Le deuil de la relation doit se faire, la rousse va devoir apprendre à redevenir la femme droite qu'elle était. Et l'oublier.
Elle attrape la main tendue.


J'irais à l'église... j'ai tellement de chose à confesser.

Le visage fatiguée, elle essuie d'un revers de main les larmes qui se sont misent à couler. Elle déteste être faible.
Statere
(2 semaines plus tard)


Les vagues venaient s'écraser sur la plage, laissant une écume blanche, et effaçant ses pas derrière lui, au loin des rires venaient éclater dans l'air pur et iodé
La plage....lieu magique où toutes les couleurs se fondent à l'horizon...un lieu...où on est bien...quand on est seul...pour chasser les idées noires..
mais là il en avait besoin...pour se ressourcer..
A peine arrivée, sa besace par terre ses braies enlevés, il se jette à l'eau le besoin de décompresser sans doute, calmé, après une bonne nage, il va s'asseoir sur un rocher et sort de sa besace quelques parchemins à étudier..
Ben oui on ne perds pas les bonnes habitudes...se dit-il !!

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