[RP - Beuverie] La tournée de la serveuse !

Elle était plongée jusqu'au cou dans son tonneau plein de bulles en provenance de Reims, se prélassant et méditant sur les bienfaits et le vertus de ce breuvage pour la peau en compagnie de Kamazone lorsque le seigneur Serralonga était entré.
Salutations.
Présentations.
Aimable discussion.
Batons rompus.
Interrogation :" Avez-vous un tavernier à la grotte ?" Et là, alléluia ! Le seul maître à bord aprés Dieu et je ne sais plus qui lui propose un bout d'essai et de faire ses preuves comme serveuse ! Par St Pétard ! Quelle joie ! Tope-là ! qu'elle répond la teigneuse.

Quelques heures plus tard, la voilà à la taverne, un tablier un peu froissé dégoté au fond d'une malle passé par dessus ses braies.
L'a fait une demi-douzaine d'allers-retours entre sa charrette et la taverne, roulant, tirant, poussant, soulevant des fûts, portant à bras le corps des pichets, des carafons.
Elle a fouiné un peu partout dans la taverne et a fini par exhumer une trentaine de gobelets bosselés, dépareillés mais bien hermétiques, des pièces de vaisselle, des nappes défraîchies, habitées par des colonies variées de bestioles sur pattes ou à ailes.
Les nappes sur des tréteaux.
Les assiettes sur les nappes.
Les gobelets propres et prêts à être servis.
Les brigands ont leur propre coutelas pour découper la viande. Parfait !
Manquent des cuillères, mais pas grave, on mangera avec les mains. Pas de chichis ici !

Tout est prêt ! La serveuse peut payer sa tournée !

Maintenant, il faut aller chercher Kamazone et son chaudron de boeuf bourguignon ( avec des champignons ! ).

Ah oui ! Et la Teigne repart au pas de course vers sa charrette, fouille dans une malle et en ressort quelques dernières pièces de vaisselle Provençale, filet d'or fin de bordure et de creux, motif lavande peint à la main, deux soupières, une aiguière, une dizaine d'assiettes creuses, quatre bols dont un ébréché ( Charles VI "le Fol" y aurait trempé ses lèvres, a prétendu sa mère ! ) vestiges d'une splendeur familiale et d'un passé révolus. C'est un cadeau qu'elle a promis de faire.
S'il vient, elle le lui remettra en petites pompes.


Et maintenant, faisons venir toute la bande !
Elle ouvre grandes les portes de la taverne ...




HOLAAAAAA !
HARDIS COMPAGNONS !
LA SERVEUSE PAIE SA TOURNEE ... AMENEZ VOS CULS ET VOS GOSIERS !
C'EST MOI QUI REGALE !

Zarathoustra flânait, quand un son lointain parvint à ses oreilles. C'EST MOI QUI REGALE. Bigre, il n'attendit pas et le temps d'un soupir se retrouvait déjà derrière le comptoir. La taverne sentait encore un peu le renfermé, un peu de vie ne lui ferait pas de mal.

Il salua l'une et l'autre bien courtoisement

Dites, les amies, ça va pas faire mes affaires si vous tancez mes recrues et si vous éffarcouchez ma clientèle. Le moine est parti en courant et j'ai pas réussi à remettre la main sur ma beauté.

Zarathoustra bougonnait un peu

Croyez-moi, la libération de la femme, c'est pas pour demain, et tant pis pour l'hygiène de vie des brigands. Je crois que je fais un mauvais coche en épanouissement personnel. J'aurais essayé.

Kheldar venait de finir sa bouteille de whisky, et il ne lui en restait plus en stock. Agacé, il soupesa sa bourse et se dit qu'il avait bien quelques écus à dépenser en taverne.

Il alla à la taverne tout en dégustant une délicieuse pomme. Arrivé là-bas, il pris place à coté de Ulquio qui était déjà là et dit d'une voix forte :

'Jour!

Dites, vous servez du whisky dans c'te taverne là? pac'que j'en ai plus une goutte.

Sinon c'pas grave, j'prendrai une bière!
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Prince Kheldar, Goupineur de Poivriers.

Kamazone arriva portant son lourd chaudron : un fumet à nul autre pareil s'en échappait et l'estomac de la Teigne émit des gargouillis très significatifs.

Et juste aprés, comme guidés par le boeuf-bourguignon-y-champignons, déboulèrent Zarathoustra, Ulquio, Prince Kheldar, de toute évidence bien décidés à vider quelques chopines ...

Entrez ! Entrez ! Vous arrivez juste à point ! Les choses sérieuses commencent ...

Zarathoustra avait un air sombre s'expliquant sans doute par l'échec ( apparent ! ) de ses projets "d'épanouissement personnel" pour les hommes et les femmes de la Grotte ... Elle s'approcha de lui et lui dit en confidence : Ne te décourage pas ! Persiste ! Tu as entendu Kamazone ? On va te réserver un "cabinet de travail" ici même à la taverne, quitte à exploser quelques parois. Et puis, je vais t'dire un truc ... Mes parents avaient un ... euh ... une sorte de "conseiller", on va dire. Cet homme, aux étranges pouvoirs, entrevoyait parfois l'avenir et je sais qu'un jour il y vit que ta théorie de "l'épanouissement personnel" allait prendre des proportions inimaginables dans les temps futurs ... Il m'a dit que ça portait plusieurs noms ... y'en a un ... attends voir ... Ah oui ! un truc comme "maïnaïjeumente participatif" ... enfin je crois ... Mais bref, Kama et moi t'aiderons !

La teigne lui fit un clin d'oeil et tournant les talons s'empressa de servir Ulquio et le Prince.

Elle réfléchissait en même temps aux propositions de Kamazone : des troubadours ... Chouette idée ! Il faudrait en kidnapper un ou deux ... Et puis des tentures ... En parler à Dieu himself ... Et puis ...

C'est pile poil à ce moment-là que le Lion de Juda se plante devant elle. Regard perçant sous des sourcils broussailleux. Joues émaciées de l'ascète ( entendons-nous bien, juste ce qui convient ! faut pas exagérer non plus ! Le vin et la viande de mouton juteuse c'est pas fait pour les Cathares... ). Epaules carrées. Peau tannée.
Il tient un paquet.


Un ami commun m'a cédé ça pour en faire des serviettes pour la Cêne. Il me dit que tu t'en ferais un jupon ?

Je règle toujours mes comptes.

L'estime de la Teigne pour le vieux est au beau fixe.

Merci bien, messire ! elle répond. Un jupon, oui, peut-être ... Avec la dentelle qui dépasse. et qui balaie le sol. Il paraît que ça plaît aux garçons Et toi, hein ? Toi qui as soudoyé le Raoul pour qu'il te cède mon butin, tu en voulais faire quoi de ces dentelles ? Un caleçon ?

Alors que Zarathoustra se morfondait, la Teigne venait lui remettre un peu le moral, mais lui n'y croyait pas vraiment. Alors qu'il renonçait déjà à sa philanthropie, la providence lui envoya in signe. Une femme qui arrive et qui parle déjà -les bruits vont si vite- du bocard à venir. Il se lève et se fait très accueillant.

Bonjour, dame. Tout à fait, mais venez, nous allons nous installer un peu à l'écart. Je suis Zarathoustra, et je traîne par ici.

Il la pousse, une main sur son épaule, vers une table isolée. Puis, de vive voix:

La Teigne, il ne te reste pas un peu de Champagne? Ce serait une bonne occasion, de grands projets sont en route.

Et d'une voix plus douce, vers la femme

Alors, que venez-vous chercher, l'argent ou l'épanouissement personnel?

Il espérait qu'elle ne cherche pas l'argent. Ce petit bonus lui permettrait enfin de se mettre au travail, ses commanditaires le harcelaient.

Kamazone avait demandé à l'adolescent bagarreur de venir dans la nouvelle taverne. Chaos ne s'était pas fait prier, il avait bien besoin de faire le plein d'alcool avant d'aller brigander sur son nœud habituel.
Il portait sa tenue habituelle : son masque métallique sur le visage, ses bottes en cuir noirs qui font du bruit à chaque pas, ses braies et sa chemise noires camouflées par une cape neuve, elle aussi noire.
Il poussa la porte en chêne de la taverne d'où provenait des rires, des bruits de chopes qui claquent et des discutions.
Il y avait apparament du monde. Certains étaient dans leur coin, d'autres en groupes. Le jeune brigand connaissait tout le monde, sauf cette demoiselle avec le scribe. Elle n'attiera pas tellement son attention.
Le gamin s'accouda au comptoir en saluant ses amies Kama et la Teigne.

Parait qu'il y a des tournées ? Je suis venu me rincé le gosier jusqu'à ce qu'il soit noyer !

Il ricana et se tourna, calant son dos contre le bout de bois, ses coudes le soutenaient, et il surveillait rentrée, au cas où un moine entre...

Juste le temps de répondre à la teigne.

"Toi qui as soudoyé le Raoul pour qu'il te cède mon butin, tu en voulais faire quoi de ces dentelles ? Un caleçon ? " qu'elle disait... Il souriait.

Non, il n'avait jamais soudoyé personne. Jamais un thaler dans une poche malhonnête. Pas croyable ce qu'on trouvait comme personnes malhonnêtes dans les mairies et les duchés. Combien d'ignobles fonctionnaires hypocrites qui acceptaient la petite pièce, ça et là. Qui se barrait avec la caisse. Non, vraiment, ces gens là salissaient la réputation des honnêtes trublions des chemins.

Tu le connais, mon petit ! Soudoyer Raoul ? Vraiment, ça c'est une bien curieuse idée.

Non, Raoul me devait un service, voila tout. Une longue histoire. Ce n'est pas que je sois amateurs de dentelles.

Il pensait à cette sale réputation qu'on lui collait sur le dos... Amateur de moinillons ! t'ain s'il attrapait le gars qui répandait de telles insanités sur sa sexualité, il allait le ficher dans les pattes du Pio. Et lui, question carnivore, y'avait pas pire. Les amourettes du corbeau, il a allait se les grignoter salées et poivrées.


Mais voila, il fut écrit que des fils noués au crochet amèneraient Madeleine jusqu'à moi. J'hésite encore sur la signification de ce rêve, mais en attendant, je collectionne les vieux boutons et les dentelles.

Il avait dit cela en murmurant à l'oreille de la Teigne.

Le petit genevois allait encore se foutre de sa gueule et répandre d'autres sales rumeurs jusque dans la taverne aux milles bisous de la cité du Léman. Poupette, celle là, il ne l'avait jamais vue ici, à la cour des miracles. Zarathoustra... Zarathoustra, c'était une autre histoire...
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Primus inter Pares

Continuant à susurrer à l'oreille de Poupette

Tu vois l'helvète moustachu, là-bas, qui a l'air un peu austère?

Il désignait Assad qui les regardait, il lui fit un petit coucou de la main

Si tu arrives à lui mettre le feu au lac, c'est moi qui paie.

Il se lève, on a parlé de boeuf Bourguignon

Bonsoir mademoiselle, vous habitez chez vos parents ?
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Primus inter Pares

Ko était accoudé au comptoir, écœuré du spectacle qui était devant lui : une demoiselle draguant le moustachu. Décidément, les adultes ne pensaient qu'à ça.

Alors que l'adolescent s'apprêtait à partir étant donné qu'il n'était pas à sa place, Kamazone lui servit une belle assiette de bœuf bourguignon. Il la remercia et regarda autour de lui : pas de couverts.

Et on mange avec nos doigts ? Parce que c'est chaud...

Il regardait son amie avec un sourire amusé derrière son masque. Amusé par cet oubli.

Farfa alors en train d'guerrir ses blessures, lui aussi estropié, lesté au fond du tonneau par plus d'dix mille écus en pièces et respirant avec une paille d'temps en temps, voit une énorme poulpe qu'essait d'l'attaquer. Boudiou ! On est jamais tranquille nulle part.. Y tente d'piquer l'immondice avec sa paille malgré son état cadavérique. L'dit immondice ne l'entends pas d'cette oreille, l'choppe par le bras et l'secoue à la vue d'tous. Y s'reconnaissent instantanément.

Aïe.
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Il fit passer discrêtement un petit bout de papier griffoné à la demoiselle.

C'est qu'il aurait bien, là maintenant, mais qu'il pouvait point. ovairebouqué, comme disait le gallois de service.

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Primus inter Pares

Le prosper sirotait un verre dans son coin, il surveillait mine de rien son affaire. Le Primus avait glissé quelque chose dans la gorge de la belle, lui pensait que c'était une bourse, histoire de se dégager honorablement de l'affaire. Elle sortit le billet et lui tendit, c'était un billet galant. Zarathoustra ne s'était trompé qu'à moitié. Il lut et mit le papier dans sa poche, ça pourrait resservir. Les quelques tentatives qu'il avait faites en poésie galante s'étaient révélé un fiasco. Ce poème avait l'avantage de pouvoir servir dans toutes les occcasions, il n'était pas personnalisé.

Il dit que tu es bien roulée, qu'il est malade et que tu pourrais le guérir. Il dit qu'il t'aime bien, qu'il aime bien tes pieds aussi mais qu'il est trop timide.

Il repoussa d'une main ferme celle de la gamine. Elle avait quelque chose de la cancoillotte, cette petite, c'était sûr. Il prit son grand air. Son air soporifique. Ça marchait à tous les coups, cet air là.

La Franche Comté, Jeune fille, est une terre prestigieuse et fière. Ses salaisons sont les dignes présents du Très Haut. S'Il daigna confier aux comtois la confection de la morteau, c'est pour le plus grand bonheur des croyants, je te l'assure !

Elle est énorme, douce et savoureuse. Longue, lustrée et délicieusement salée, elle réjouit les papilles les plus frileuses. A peine courbée, elle frémit avec ravissement dans les marmites les plus bouillantes.

Vraiment, il ne comprenait pas qu'on pouvait s'en défier. Décidément, la Comté était vraiment accueillante.
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Primus inter Pares

A ta décharge, le morceau était ardu. Je voulais voir si tu avais des talents surnaturels, sait-on jamais. Mais on va bien trouver chaland, pour peu que tu promènes un peu ton séant de ci de là. Peu de brigands sont abstinents par voeu ou pères de famille, encore que ça peut faire une bonne clientèle.

Par contre, une rumeur m'inquiète, qui dit que nombre de maraudeurs sont des invertis, comme les marins. De longues semaines à se terrer sans voir de femmes, on s'occupe comme on peut. Il y a aussi la peur des confidences sur l'oreiller, qui sait? Mais je pense que ce n'est qu'une rumeur, compte tenu des démonstrations viriles qu'on voit parfois.

Zarathoustra sauce son auge bien bien, elle est toute propre. Pendant que la serveuse a le dos tourné, il se sert un coup de rouge, pour rester dans le ton. Il sert aussi Poupoune, y'a pas de raison. Il regarde à droite à gauche pour voir si quelqu'un veut un coup à boire.

Ah, et si tu vois la beauté du diable, une fille qui crie fort tu peux pas la louper, ce serait généreux de lui apprendre deux trois trucs pour amadouer le mâle, elle s'y prend très mal. Ca rendrait service à tout le monde. Je dis ça tu fais comme tu veux, hein...

Kamazone n'a pas eu le temps de répondre à Ko, il mange déjà avec ses doigts..Pas de chichis ici de toute façon.

Alors qu'elle commence à transbahuter les futs pour installer la salle de bain, elle voit le Farfa se faire happer et secouer en tout sens.

* Sacré nain, toujours fourré dans le fond de quelque chose.*



Elle lui parlera plus tard de son projet d'aggrandissement des locaux.

Son attention est captée par la scène entre Dame Turlutte et Assad. Tout en finesse, elle fait donc rouler le tonneau de façon à pouvoir écouter la conversation. Le sicaire repousse la nouvelle recrue de Zara ! Du coup, elle est inquiète..faudrait pas que les sicaires aient fait voeu de chasteté..faudra qu'elle se renseigne.

Un a un elle installe les futs prêts d'un feu de bois, histoire d'avoir chaud en rentrant et sortant du bain. Y'avait plus qu'à trouver de quoi préserver un minimum de pudeur...voilàààààààà l'idée. Elle choppe toutes les petites échelles inutiles que tout le monde se trimballe, les entasse et ça fait vite un muret plus haut que le plus grand des brigands. Le pare-vue idéal, les brigandes vont pouvoir se prendre des bains dermo- adoucissants tranquillement pendant que les brigands feront la queue devant Poupette.

Ravie de sa création, elle se rapproche vers le groupe de mangeurs: Poupette, Kro et Zara..attaque elle aussi goulument son assiette...se demandant si ces collègues de table sentent déjà les effets des champignons hallucinogènes.. seront surement bientôt murs pour trouver le nom de la taverne.

Quand à elle, ses premières dérives de l'esprit lui posent un sourire béat et rêveur. .
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Poupette elle est là, elle écoute, elle regarde et surtout elle comprend rien.

"Ah, et si tu vois la beauté du diable, une fille qui crie fort tu peux pas la louper, ce serait généreux de lui apprendre deux trois trucs pour amadouer le mâle, elle s'y prend très mal. Ca rendrait service à tout le monde. Je dis ça tu fais comme tu veux, hein... "


l'maquereau veut qu'elle forme d'la concurrence.

- Ch'tio y'a d'jà pas assez d'liquidités pour moi..


Puis elle entend le jeune en noir se plaindre de son noeud et d'une bougresse. Z'ont pas l'air de s'avoir comment qu'ça fonctionne leur outil dans le coin.


Poupette elle s'assoit et elle attend, sans manger du boeuf, mais en s'enfilant des chopines

Une vieille chouette percluse d'arthrose se posa sur le rebord d'une des fenêtres de la taverne. Attaché à une de ses pattes un message qui plus d'une fois avait fait piquer de l'aile à la chouette. La Teigne s'était dit que Kamazone ou quelqu'un d'autre finirait bien par mettre la main dessus.

Avant de sombrer dans un délire champino-narcotique, Kamazone a le temps de voir Ko faire croire qu'il n'est pas sous le coup des pov'hormones..comme si les brigands n'avaient pas tous eu 15 ans...Y'a le Zara qui semble mal en point et la poupette mal empointée.

Un message est déposé par un volatile..Zara lit le message à haute voix

Merdum..la Teigne en prison

*pov géoliers...vont en baver...*

Kama de plus en plus sensible aux effets des champignons, va gentiment se caler dans un coin, et un étrange rêve débute. Dans une langue inconnue, qu'elle comprend pourtant, elle parle à son Lion

quand même..des parole si osées..tsss heureusement que c'est sous le coup d'une ingestion de substances hallucinogènes
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