Le.Crieur, incarné par Jayzabelle
Les informations de un transcrites, de l'autre qui suivait bon train. Tout allait bien .... du moins jusqu'à ce que le gringallet musclé se présente ! Et voilà qu'à peine noté les coordonnés de l'ainé dict du Cougain, le crieur se faisait prendre à part... et pas qu'un peu ! Misère, il n'était pas payé assez cher pour ce genre de situation ! Qui plus est, il avait espéré que ses excuses suffirait mais apparemment non... loin de là !
La peur le tenaillait, s'il n'avait eu aucune dignité, il aurait peut-être même fait dans ses braies ! Bien quoi, j'voudrais vous y voir avec un costaud de la sorte qui vous tient par les coui... par la peau du cou... qui vous parlez en 4 d'yeux. D'ailleurs, il louchait pas un peu ? Hum... pas joli joli d'aussi proche hein... mais bon, il n'allait quand même pas le lui dire. Se faire petit était de mise... bien bien petit même. Acquiester et il en serait vite débarasser ! De toute manière, il avait pas trop le choix vu la posture dans laquelle il se trouvait.
Oui... oui... oui... tout ce que vous voudrez Messire mais ne me faites pas de mal....j'vais tout noté... comme un grand, promis et j'oublierais rien... promis... pardonnez-moi....
Il lui aurait promis n'importe quoi. Lui aurait même donné sa chemise s'il voulait. Le crieur souhaitait que retrouver sa bonne femme à lui en rentrant ce soir ! Pitié ! Faites qu'il se soulage.. de sa colère bien entendu, pas d'autres chose hein !
Le pauvre annonceur fut relaché, non sans soulagement plus qu'évident et nota aussitôt ce que lui avait dis le chevalier. Oui, plus question de se tromper avec l'Ost. La prochaine fois... il se la fermerait hein ! Il transcrivit aussitôt les informations donné par le malabar.
Nom : Goulare, Baron de Lavallière, Seigneur du Couesnon
Lieu : Mende
Profession : Chevalier de la modernité ( qu'est-ce que ça mange en hiver ça ? )
Âge : 38 printemps ( et loin d'être fané en muscle, je le jure ! C'est qu'il est fort comme un boeuf celui là ! )
Comme il venait de demander s'il y avait autrui, il fut surpris d'entendre un autre homme se nommer sans même le voir. Il baissa la tête en commençant par dire au gamin qu'il devait être mature pour concourir lorsqu'il s'arrêta en chemin. Il venait de s'appercevoir que c'était loin d'être un enfant mais un mini homme devant lui. Quelle bête étrange ! Il se garda bien de le juger cette fois, ne laissant même pas transparaitre sur son visage ses pensées qui le tourmentaient durement, ne voulant pas se faire surprendre une deuxième fois même si celui là semblait inoffensif à première vu. Il n'allait pas commettre deux fois la même erreur.
C'est bon, j'écris.
Nom : Lahire
Lieu : Maison de Randon ( j'sais pas où c'est du tout... enfin )
Profession : Adroit de main et de langue ( selon ses dires )
Âge : Inconnu ( mais on se fiera pas à sa grandeur )
Voilà, il avait tout retranscrit. Il ne savait pas grand chose sur le dernier venu mais il n'osait presque pas demandé. Premièrement, le petit homme l'intimidait. Si si... attendez ! Il n'en avait pas peur, c'était pas ça... mais il était pas '' normal '' et ça, il était pas à l'aise avec ça. Les femmes à Minerve, elles verraient bien à finir de compléter le formulaire elles-même hein ! Et deuxièment, il était assez échaudé comme ça, il voulait en finir au plus vite !
Une fois toute la foule pris en considération, il leur donna la suite des évènements comme sa Maitresse le lui avait demandé.
Messieurs, noble et moins noble, vous allez maintenant me suivre. Je vais vous conduire vers la Comtesse de Minerve et sa protégée Jayzabelle. Elles vous expliqueront elles-même ce qu'elles attendent de vous pour la suite. Des questions ?
Il attendit afin de répondre au question s'il y avait lieu et ensuite les conduisit dans une auberge de la ville. Là un petit salon privé les y attendaient. Plusieurs sièges avaient été alignés et prêts à recevoir leur hôte dans l'attente des deux Dames non présente encore mais qui ne devrait nullement tarder.
Asseyez-vous, je vais les chercher....
Il laissa les hommes se questionner entre eux, tourner en rond ou prendre siège. Qu'est-ce qu'il en savait ? Rien et il s'en foutait, son travail à lui finissait. Il quitta la pièce chaleureuse, presque étouffante par cette saison et sans fenêtre. Pas de curieux... Les filles avaient possiblement penser qu'il vaudrait mieux que ce soit ainsi afin de préserver la discrétion de leurs convives.
La peur le tenaillait, s'il n'avait eu aucune dignité, il aurait peut-être même fait dans ses braies ! Bien quoi, j'voudrais vous y voir avec un costaud de la sorte qui vous tient par les coui... par la peau du cou... qui vous parlez en 4 d'yeux. D'ailleurs, il louchait pas un peu ? Hum... pas joli joli d'aussi proche hein... mais bon, il n'allait quand même pas le lui dire. Se faire petit était de mise... bien bien petit même. Acquiester et il en serait vite débarasser ! De toute manière, il avait pas trop le choix vu la posture dans laquelle il se trouvait.
Oui... oui... oui... tout ce que vous voudrez Messire mais ne me faites pas de mal....j'vais tout noté... comme un grand, promis et j'oublierais rien... promis... pardonnez-moi....
Il lui aurait promis n'importe quoi. Lui aurait même donné sa chemise s'il voulait. Le crieur souhaitait que retrouver sa bonne femme à lui en rentrant ce soir ! Pitié ! Faites qu'il se soulage.. de sa colère bien entendu, pas d'autres chose hein !
Le pauvre annonceur fut relaché, non sans soulagement plus qu'évident et nota aussitôt ce que lui avait dis le chevalier. Oui, plus question de se tromper avec l'Ost. La prochaine fois... il se la fermerait hein ! Il transcrivit aussitôt les informations donné par le malabar.
Nom : Goulare, Baron de Lavallière, Seigneur du Couesnon
Lieu : Mende
Profession : Chevalier de la modernité ( qu'est-ce que ça mange en hiver ça ? )
Âge : 38 printemps ( et loin d'être fané en muscle, je le jure ! C'est qu'il est fort comme un boeuf celui là ! )
Comme il venait de demander s'il y avait autrui, il fut surpris d'entendre un autre homme se nommer sans même le voir. Il baissa la tête en commençant par dire au gamin qu'il devait être mature pour concourir lorsqu'il s'arrêta en chemin. Il venait de s'appercevoir que c'était loin d'être un enfant mais un mini homme devant lui. Quelle bête étrange ! Il se garda bien de le juger cette fois, ne laissant même pas transparaitre sur son visage ses pensées qui le tourmentaient durement, ne voulant pas se faire surprendre une deuxième fois même si celui là semblait inoffensif à première vu. Il n'allait pas commettre deux fois la même erreur.
C'est bon, j'écris.
Nom : Lahire
Lieu : Maison de Randon ( j'sais pas où c'est du tout... enfin )
Profession : Adroit de main et de langue ( selon ses dires )
Âge : Inconnu ( mais on se fiera pas à sa grandeur )
Voilà, il avait tout retranscrit. Il ne savait pas grand chose sur le dernier venu mais il n'osait presque pas demandé. Premièrement, le petit homme l'intimidait. Si si... attendez ! Il n'en avait pas peur, c'était pas ça... mais il était pas '' normal '' et ça, il était pas à l'aise avec ça. Les femmes à Minerve, elles verraient bien à finir de compléter le formulaire elles-même hein ! Et deuxièment, il était assez échaudé comme ça, il voulait en finir au plus vite !
Une fois toute la foule pris en considération, il leur donna la suite des évènements comme sa Maitresse le lui avait demandé.
Messieurs, noble et moins noble, vous allez maintenant me suivre. Je vais vous conduire vers la Comtesse de Minerve et sa protégée Jayzabelle. Elles vous expliqueront elles-même ce qu'elles attendent de vous pour la suite. Des questions ?
Il attendit afin de répondre au question s'il y avait lieu et ensuite les conduisit dans une auberge de la ville. Là un petit salon privé les y attendaient. Plusieurs sièges avaient été alignés et prêts à recevoir leur hôte dans l'attente des deux Dames non présente encore mais qui ne devrait nullement tarder.
Asseyez-vous, je vais les chercher....
Il laissa les hommes se questionner entre eux, tourner en rond ou prendre siège. Qu'est-ce qu'il en savait ? Rien et il s'en foutait, son travail à lui finissait. Il quitta la pièce chaleureuse, presque étouffante par cette saison et sans fenêtre. Pas de curieux... Les filles avaient possiblement penser qu'il vaudrait mieux que ce soit ainsi afin de préserver la discrétion de leurs convives.