Luc
Le blondinet allait tranquillement boire un coup en taverne lorsqu'il tombe sur son amie, la belle rousse, couverte de sueur et le visage laissant transparaître une souffrance immense.
Ni une, ni deux il se précipite à ses côtés, comprenant immédiatement la situation.
Légèrement dépassé, et ne sachant aucunement ce qu'il doit faire, il glisse sa main dans celle de la rousse, cherchant des yeux une quelconque aide que les passants pourraient apporter.
Hey, y'a pas un médicastre dans l'coin? s'époumone-t-il inutilement.
Il reporte donc son attention sur la rousse, après cette vaine tentative.
Hmm, je crois qu'on va devoir se débrouiller... Allonges-toi, c'est un bon début !
Preciodekerroch
Une brune au comptoir les yeux perdus dans le vague. Qu'est ce qu'elle fiche dans cette taverne si loin de ses côtes bretonnes. Une envie de s'évader au loin, de briser quelques carcans qui lui pèsent.
Maître-herboriste, chirurgien de son état, la vicomtesse voyage incognito. Pas besoin d'afficher les armoieries au risque d'attirer l'oeil sur sa personne et ses gens. Une voix qui la sort de sa torpeur.
Hey, y'a pas un médicastre dans l'coin?Elle regarde l'homme, sourcils froncés. Un médicastre pour une femme qui va accoucher ? Quelle drôle d'idée quand on sait que la plupart sont des charlatans. Autant prendre medecin ou chirurgien.
Et quand le devoir appelle. Elle ne transige pas avec le serment qu'elle a fait.
La Violine s'approche de l'homme et de la femme qui semble en souffrance.
Je suis maître-herboriste, chirurgien. Je peux peut-être aider ?
Medea7
Medea qui avait de gros soucis avec la croyance dans le très haut depuis quelques mois, ce mit à bénir ce jour. Elle vit Luc arriver. Elle tenta de lui sourire lorsqu'il glissa sa main dans la sienne. Mais une violente contraction la prit à ce moment là. Elle la laissa passer et soupira. L'entendant appeler à l'aide. Oh oui un médecin ce serait une bonne idée. Elle allait obeir à Luc qui lui disait de s'allonger lorsqu'un ravissante Dame arriva à leur hauteur. Quand elle annonça sa qualité, la jeune Medea n'en cru pas ses oreilles et se promit d'aller très vite quand elle le pourrait à l'église. Elle allait être entre de bonne main. Serrant la main de Luc pour lui montrer qu'elle était heureuse qu'il soit là, elle tenta de répondre à la Dame.
Je vous serai reconaissante à vie si vous pouviez m'aider...
Morte de trouille la Dame de Villers-La-Combe. Elle était perdu complétement, ne savait plus quoi dire ni quoi faire. Et Louna... où était sa soeur. Elle avait promis d'être là... comme Med avait été là.
Medea respira un grand coup, une énième contraction la prit. Une fois celle-ci estomper.
Que devons nous faire?
Luc
Le blondinet ne peut s'empêcher de soupirer de soulagement en voyant la brune s'approcher, et l'entendre dire qu'elle est maître-herboriste.
Oh.. Merci pour votre aide ! Je... je peux faire quelque chose pour vous aider? s'adressant à la brune, la remerciant du regard
Luc se sent rassuré d'avoir quelqu'un de compétent à ses côtés, prêt à aider la belle rousse dans ce moment difficile.
Il s'empresse de lui souffler: Je suis là, Medea, ça va bien se passer !
Kamellia
Du haut de son banc public, elle observe les passants, cherchant désespérément un groupe de voyageur, qui lemmènerait vers dautres aventures.
Elle aperçoit la rousse entrer dans lauberge se tenant le ventre,elle semblait souffrir, était-ce le moment ?
Étaient-elles amies, ennemies, elle ne le savait pas encore .
Elle hésite, aller voir ou rester là, quand Luc entra a son tour suivie dune femme.
Elle sauta de son banc et entra a son tour, peut-être quils auraient besoin delle
Du coup dil, elle observe la scène et compris que la rousse allait mettre bas .
Kam sortie de sa botte une dague, quelle essuya avec un bout de sa chemise et la planta sur la table regardant la rousse
-Bon si je peut-être utile, je sais vider les entrailles dun lièvre, ça pourra aider au cas où.*sourire en coin *
-Me regarde pas comme ça, je plaisante
- Mais ce mioche est entrer, va falloir quil sorte maintenant .
Alors prête ma belle ?
Un regard vers le blond puis vers la médicastre
- heu..............faudrait faire chauffer de l'eau et trouver des linges propres,non?
Imas
Pendant ce temps la le long de la Garonne
Imas été assit le long de berge du fleuve, leau sécouler calmement vers locéan, une cane à pèche entre les mains, il tenter de titiller un poisson ou deux et faire bonne chaire par la suite. La pèche lui permet de réfléchir et bien sur ses pensés se dirige vers Médéa et lenfant quelle attend, son enfant
La grossesse devait arriver à terme maintenant, la dernière fois quil avait vu la rousse, elle était bien grosse, lenfant ne bougé plus beaucoup.
Imas ne savait pas ou était Médéa en ce moment, probablement avec « son homme ». Luc ! Cest comme ça quil sappelle, encore une drôle dhistoire
Si elle à un problème, il pourra laider, enfin Imas lespérer.
Il ira la voir, plus tard dans la journée
quand ces poissons vont enfin mordre !
Medea7
Jétais là, assise sur ma chaise. Luc à mes côtés
une dame brune médecin à mes côtés. Je mefforce de me dire tout vas bien je vais bien. Je vois Kamellia entrer. Surprise. Mais quest-ce quelle fait là. Cependant japprécie sa présence, mais je sens que cette salle de lauberge va finir comme une partie des halles, pleines. Mes yeux sortent de leurs orbites
une dague
Maiiiis Kamiii ça ne va pas la tête !!! Je ne suis pas une
.
Violente contraction.
Respiration quil saccélère, elle ne pourra pas terminer sa phrase.
Doucement
Medea, qui récupère de la contraction. Les regardes tous un à un. Elle hoche la tête.
Oui
je crois que des linges vont être nécessaire.
Très nouille la rousse, prend appui sur la table et tente de se lever.
Il faut que je prévienne
.
Elle na pas le temps de finir sa phrase quelle attrape la main de luc, une douleur dans le ventre
et voilà que ses braies marrons claires
sassombrissent.
Je suis trempéééée. Dame, quest ce qui se passe ??
Medea7
Et Medea, qui panique devant le silence des personnes présentent. Pourtant elle sait ce que c'est qu'un accouchement, mais là... vivant la chose, la jeune femme, panique...
c'est grave? Mais répondez non de non?
Et comme elle saffole forcément... une contraction la fait se plier en deux. Elle a mal... Elle sent que quelques choses se passent. Les contractions sont maintenant trés rapprochées.
Medea7
Medea qui commençait sérieusement à paniquer. Ouvrit de grand yeux quand une femme, un peu bourrue prit la parole. Elle mit tout le monde dehors. Enfin tout les hommes... donc Luc principalement. Medea ne put articuler un mot tellement cette femme avait de la poigne.
ben... allongé... ben... je sais pas.
Oui c'est mon premier.
Elle se releve avec courage. Légèrement inquiète par ce qui se passe. Ne connaissant pas la dame. Un oeil sur Precio qui semblait léthargique. Il allait falloir faire confiance à la femme présente qui semblait s'y connaître.
Oui... allez-y.
Faites ce que vous voulez mais sortez le moi de là !!
[Cheffe Aldraien
Retrait du HRP, il n'a pas sa place dans le RP. Si vous souhaitez transmettre un message aux participants de ce RP : Passez par les MP ou le topic de coordination HRP des Arpenteurs. Merci & bon jeu.]
Medea7
Totalement éberluée, Med laisse faire Jeanne. La laisse lui retirer ses braies. La voit tâter son ventre, sourciller... inquiétude de la future maman.
Euh... tout va bien?
Énième contraction... Medea fait quelques pas... et s'accroche à la table pour s'accroupir. Elle tente de suivre les conseils de la matronne... elle reste quelques secondes accroupie et elle choisit plutôt de se mettre à genoux.
Un brin affolée. Elle regarde la matronne demander du beurre.
Du beurre ? vous avez faim?
Medea7
Yeux qui sortent de leur orbites. Mais... elle a mit ses mains dans... oh... diantre...
C'est qu'elle est jeune Medea, jeune et il n'y a pas si longtemps elle était niaise comme pas deux. Elle ferme un instant ses yeux. Elle a pourtant vu un accouchement, aidé même activement, elle sait comment ça se passe.
Elle entendit vaguement ce que Jeanne lui a dit à propos de pas se retenir. Elle n'essaie donc pas. Puis elle l'entends lui dire qu'elle n'est pas seule.
Medea, qui est un brin observatrice regarde la matrone. Elle ne sait pas pourquoi mais elle sent qu'il se passe quelques choses. Des regards vers son ventre... la future mère commence à avoir un peu peur mine de rien.
Un regard aux femmes, Precio, Kachina... personne ne bouge personne ne réagit. Donc la rousse se concentre sur les paroles providentielles bien que séches de la femme à ses cotés. Elle n'est pas seule.
Une contraction la prends, une forte... Medea tente de pousser tiens... elle ne sait pas si c'est ce qu'elle doit faire... elle verra bien ce qu'on lui dit.
Peu de parole, une femme qui accouche a déjà bien du mal avec son souffle.