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[RP] Le bout rimé..

Tirlititi
Elle arrive en cette ville pour la deuxième fois , elle traine ces chausses vers ce même lieu quelle a déjà visité par le passé ....
Elle se souviens de personne aperçu en voyant les poèmes posés et d'autre inconnu.
A son tout décide de noircir la page suivante

J'ai pris cette décision avec grande tristesse
Mon amour je préfère retourner a ma solitude
Même si au fond de mon cœur , git une détresse
Car je décide de partir , avec amertume
Comment oublier les moments enflammé
Tes yeux qui me disaient m'aimer
Mais tes mots qui cherchaient a me blesser
Ceux la meme qui nous ont séparés
notre amour que nous détruisions
a fait que nous aussi nous mourrions
pourtant mon tendre amour sans toi
je me tue aussi surement qu'avec toi
Je te garderai au fond de mon coeur
car tu est helas le seul je pleure


Amour Detour toujours Glamour



_________________
Deodin
Une plume, un vélin, et quatre mots....La plume noircie par l'encre, arabesque dans l'air tant que monte l'inspiration, et le blond enfin se met à composer...



Quel sentiment mélodieux qu'est celui dict amour...
Que je découvre peu à peu sous ton verbe sans détour...
Languissant, amoureux je me fait tour à tour...
Brigand sous tes yeux,
Amoureux silencieux...

Mes brimades incessante, il est clair manque de glamour
Mais il est net et précis, je t'aimerais pour toujours...
Ma grenouille si parfaite mais pourtant si pipelette,
Sache que je ferait de toi la reine des rainette...

Car je t'aime plus que tout, bien plus que moi même..
Et quand on connait le personnage...Tu sait que c'est a marquer d'une croix sur la pierre...Pierre de notre amour, unions de toujours....


Notant les mots suivant: brulant, flagrant, appelant, grand...Le blond repose la plume et disparait sous le vent...
Mirandole
Florimond traînait toujours les pieds dans les ruelles de la ville. Ses pas étaient de plus en plus lourds, comme charger de sa détresse de ne plus pouvoir voir celle que son cœur aime. Quand il lu l’écrit de Déodin, sa rage monta en lui et il maudit l’homme qui lui avait arracher sa douce compagne.
Compagne ? en fait, elle ne lui avait jamais dit qu’elle l’aimait !

A ses pensées, les larmes montaient.

Elle ne m’aime pas et moi je…

Lorsqu’il vit les mots laisser par son rival il prie la plume et la laissa courir sur le papier



Citation:
Mon corps, jour et nuit, t’appelant,
De fièvre, en est tout brûlant.
Amour a sens unique, il est flagrant
Pour cela mon désarroi est grand
Oh ! ma mie mes sens a toi m’appelant
Je me consume d’un amour brûlant
Mais je finirait seul ma vie il est flagrant
Et mon envie de mourir est grand.



Il se sentit écroulé et laissa ses quelque mots


Gueux, souffrir, malheureux, Mourir,
Deodin
Nouveau passage au bout rimé, le blond s'amusait à poetisait, et ceu, de plus en plus...
Le voila qui lit maintenant le derniers brouillon de Florimont...Un sourire nait au 4 mots laissait...Le blond écrit...




Lit moi bien toi le simple gueux...
Amoureux transi de la grenouille bleu..
Amour desespérer qui te rend malheureux..
Un sentiment au font de la gorge.. Nauséeux...

Comment te dire mon cher florimont...
Que tu nous saoule de tes passions..
Pour une femme qui te fait souffrir
et pour laquelle tu serait prêt à mourir...

Alors je te le dit sans détours...
Reste loin de nous, a baver tel un vautour
Je m'en vais l'épouser, et celas sans toi..
Qui resteras loin d'elle, car je saurais l'aimer..Moi...


Il repose la plume avec les 4 mots suivant: envie, envier,la vie, levier
Mirandole
florimond retournant régulièrement en ses lieux vis le torchon de bille de Déodin et pu retenir sa main d'écrire:

Citation:

Toi l’homme qui croit qu’aimer suffit pour être aimé sache que point je t’envie
Ton amour est égoïste car de moi tu l’as s’équestre de peur qu’elle t’échappe
Serait-elle amoureuse de moi pour que d’amant, en geôlier tu dérapes ?
Sache que si elle t’a choisi ce n’est point par amour ou pour elle
Ta prétention t’aveugle et un soir d’égarement te donne des ailes
Sache que si elle t’a choisi c’est pour celui a qui elle donnera la vie
Ce n’est pas en enfermant la colombe que tu auras la paix, personne ne peut d’envier
Car tu es un faible qui se donne des air de gentilhomme mais tout t’échappe
Capable d’aimer tu n’est point, ton orgueil te voile les yeux et ton infortune te rattrape
Sache que ma mort tu ne verra point de si tôt, car je vivrait ne serait-ce que pour elle
Je ferais tout en mon pouvoir pour qu’elle soit heureuse et cela me donne des ailes
Si avec toi elle l’était alors je le serait mais tel n’est le cas et là est mon levier.


puis il sorti content de lui en laissant ces mots: brigant, fringant, vaniteux, crapuleux
Deodin
Nouveau poéme, amusant en soit...le blond prend la plume...



L'histoir d'un manant qui jouait le grand devant un brigand...
Bravant ses bravade devant quelques poême fringant..
Amouraché d'une femme, il la crois tout à lui ce vaniteux..
Et ne daigne la lachée, la laissé vivre agissant comme un crapuleux..

Comment lui explique qu'il est aisé de le toiser..
Lui le simple gueux qui au coeur emprisonner
Amoureux transi d'une femme qui pourtant lui a dit..
De la laisser tranquille et de faire sa vie...

Sache mon bon ami, que je ne suis point ton rival..
Mais simplement de son coeur un simple vassal..
Je l'aime et elle m'aime, je puis te l'assurer...
Et je m'en vais l'épouser, avec ou sans ce bébé..

Va donc cacher ta peine ailleurs que sur des vers...
N'a tu point d'honneur, épier les gens tel un pervers..
Tu devrait avoir honte de te comporter ainsi...
Toi si furibond et aussi transi...

Je ne te répondrais plus ici mon petit..
Je t'ai déjà accordé trop de mon temps..
que je m'occupe de ma femme et enfant..
Sous ton regard baveux emplis de jalousie...

Je signe de mon nom, Deodin le brigand...
Amoureux fou de sa grenouille qui attend son enfant..
Amoureux de cette brune qui lui offre son coeur..
Sa confiance, son amour et tout ses moeurs...

Alors je te le dit, adieux mou vieux



[i]Repose la plume et écrit les mots suivant; blabla, tralala, samba, mestra...
--Porhilar


L'était partout où fallait pas la mère Porhilar...
Bien sûr que les quelques vers ne la laissèrent pas indifférente...


-D'mon temps, on n's'battait pas à coups d'rime crédiouuuu! Les duels battaient leur plein! Les hommes étaient des hommes! C'est quoi donc que ces deux god'luraux qui s'écrivent des lettres envenimées pour une poulette qui a mis la charreux avant l'boeuf hein?
Qu'ils tirent leur épée d'leur fourreau en lieu et place d'un autre qui sert plus à enfanter qu'à s'battre!!!


La vieille parti d'un rire édenté, prit la plume à son tour et...

C'est quoi tout s'tralala
A quoi rime tout c'blabla
Pour une gigue qu'est pas une samba
Et qui faut pas pour ça être mestra.


Pas peu fière de sa trouvaille, la mère Porhilar cracha sur la plume et aligna les quelques mots suivants.

Impartialité, ponctualité, chargé, entier.
Mirandole
Ce matin Florimond était joyeux, en sautillant il traversait les rues. Il paraissait apaisé et chantonnait même.
Il arriva au local préféré et ce mit a rire quand il lu le dernier mot laisser par une passante.
Elle as pas tord la bougresse mais les vers desfois on plus de tranchant qu’une lame.

Puis amuser il prit la plume et écrivit.



Citation:
Il est vrai que lorsque l’on aime on perd son Impartialité,
Mais pour sa belle certaine qualité paraissent comme la ponctualité,
Mais d’une mission, ma douce et belle amie, m’as chargé,
Et pour elle je m’y consacrerais jours et nuits, tout entier.



Il ne relut pas et parti en sifflotant après avoir laisser les mots suivants


Amour, douceur, retour, coeur
Attala
Le Bout rimé....
Bizarrement, la brunette n'y a jamais mis les pieds.
Pas par manque de curiosité, au contraire, mais parce qu'elle n'a pas le talent demandé.
Oh... elle se doute que ce Bout là doit ressembler au Bout de Narbonne qu'un jeune fredin répondant au nom de Melar a inauguré un jour, il y a longtemps.
Mais pas le talent, ni le temps...
Pourtant, ce jour là, elle y entre.
Pas pour s'essayer à la rime.


Ah ça non!!!

Mais pour consulter les derniers poèmes car son promis (qui n'en rate pas une!) lui a glissé sous la porte de la chambre contre laquelle il s'échine depuis plusieurs nuits une missive légèrement péremptoire.
Un truc du genre:


Citation:
Va donc lire le le poème de Florimond au bout rimé...Faudra que tu m'expliques, eh bien, parce que je jure que tu ne m'épouseras pas tant que je n'aurai pas eu d'explication...


Les quelques mots n'étant pas signés mais aucune erreur sur l'envoyeur.
Donc la brunette a filé hors du moulin dès que possible.
Un arrêt à la taverne où elle a pris du courage tout en fêtant l'arrivée d'un ami plus qu'attendu.
Et quelques tournées plus loin, la voici dans la place.
De page en page, au fil de sa lecture, Attala passe par toutes les couleurs.
Rose de honte, rouge de colère, blanche de rage, verte de peur...
Arrivée au bout, elle hésite.


Je m'en vas te déchirer tout ça moy!!!!
Comment y z'ont osé????!!!

Pendards!!!Espèces de coqs!!!
'tin... tant que vous y estiez... z'aviez qu'à escrire mon nom en toutes lettres au fronton du Bout!!!hein!
Et le "quand dira-t-on?" hein?

Arf... v'là que j'cause seule...
Chèvre!!! Y vont me faire dev'nir chèvre!!!
Pis v'là que mesme les radoteuses du coin s'en meslent...
Je m'en vas te lui donner une explication moy...


A l'entendre rager seule dans ce lieu, y'a pas à dire, la brunette souffre de voir sa vie intime et alambiquée étalée ainsi au grand jour.
Rien qu'à l'idée que tous les marmots du coin (sachant lire bien-entendu!) vont lire tout ça, sans parler des poivrots, des bourgois, des étrangers de passage, de sa maîtresse...
A cela se mêle un léger, très léger sentiment de culpabilité... la jeune femme n'a pas vraiment bonne conscience parce que tout ça est un peu (oh si peu..) sa faute.
Si un trou de souris se trouvait là, à l'instant même elle y entrerait pour n'en plus sortir.
Mais vu son ventre c'est quasi impossible donc...
Donc elle prend la plume en pestant, la mâchonne un bon moment avant de transpercer le velin de quelques lignes agitées:


Qui ose céans parler d'amour?
En prétendant gouverner mon coeur?
Apprenez donc avant le respect!
Sans jamais rien attendre en retour!


Et toc! Les mots sont notés, Attala se fiche royalement de leur teneur ou de leur qualité, elle y a mis sa colère.
Avant de partir en claquant la porte et en rasant les murs elle note comme le veut la règle:


balourd estoc froc sourd
Mirandole
florimond comme toute les fois qu'il passe par la halle jette un oeil au bout rimé. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant un texte en vers de sa douce amie. En colère certe et il le comprenait.Puis il se mis en colère, prit la plume et ecrivit:

Citation:
Il est vrai ma douce que mon cœur saigne et c’est pour cela que je suis balourd
Mais je ne veux gouverner ton cœur, d’ailleurs est-ce moi qui de l’autre te séquestre ?
Et même si cela me fait souffrir, je te respect jusque dans tes choix, pourtant j’en peste !
Mais comment puis-je, a tant de hargne de la part de ton promis, rester sourd

Il se croit tout permis parce qu’un jour il n’as pas su réfréner les ardeurs de son froc
Mais dit toi que pour lui, ce jour là, la première a fait l’affaire et j’en rage que ce fut toi
Je sais je suis un peu rustre mais mon sang boue dans mon cœur car tu ne sera pas a moi
Si se n’était pas de te faire de la peine il y as longtemps que je l’aurai tuer d’une estoc



Puis il regretta son écrit essaya de l'effacer, mais impossible de le faire disparaitre totalement. Calmer et regrettant son ecrit il repris sa plume

Citation:
Ma chère amie, je comprends ta rage, ta colère contre moi,mais je regrette d’avoir été balourd
Mais mon amour est si fort que lorsque que j’ai appris ton mariage ce fut pour moi une estoc
Estoc qui ma saigné l’âme, mon cœur saigne, et face a sa hargne jamais j’enlèverais mon froc
De femme je me priverai car c’est toi que j’attends, et au moindre de tes appels, je ne serait pas sourd.


il posa quatres mots comme demander et partit finir sa cabane.

poisson, poinçon, pinson, garçon
Feemelusine
Féemelusine nouvellement arrivée dans la bonne ville de Labrit se dit tiens donc; et si je faisais quatrains ? Eh bien non les habitants n'appelaient pas leur petits poèmes des quatrains mais des bouts rimés. Aussitôt, elle se dit que son mamour n'avait pas été voir plus loin que le bout de son nez car sinon il aurait du entrepercevoir cette rubrique et elle la parcourut.

Elle était en admiration devant la si belle déclaration d'amour qu'elle avait lu et se dit que la femme qui faisait l'objet d'une telle déclaration devait être adulée par cet homme qui avait écrit si beau poème et elle prit connaissance des 4 mots laissés par ce dernier. Elle refléchit longuement longuement et se mit à répéter
Poisson, poinçon, pinson, garçon puis cela tournait dans ses neurones un peu endormis encore ce matin puis d'un coup elle écrivit


Pourquoi la belle a t'elle laissé de côté ce pauvre garçon
Elle lui laissait apparemment au coeur fort poinçon
Avait t'elle entendu le chant d'un autre pinson ?
Et se serait elle s'était défilée comme le font les poissons

Elle écrivit ensuite 4 mots pour son successeur : Comment, Pourquoi, décidement, narquois. Elle pensa aussi qu'elle ne lui faisait pas grand cadeau mais comme elle soupçonnait mamour de venir ici faire un tour un sourire narquois se dessina sur ses lèvres.

_________________
Alexandra_
Piper qui viens a Labrit pour affaire attendent de voir Monsieur le Maire elle se ballade tenant d'un bras sa petite Elodie née au soir du 15 Novembre 1458 ainsi que son autre petite fille Lisa qu'elle tenais par la main Piper s'ennuie a mourir elle décide de voir se que qu'étais le bout rimé en voyant ses quatre mots elle cherche un moment puis elle écris

tout les jours je me demande comment
je vivrais sans mon tendre amour mais aussi pourquoi ?
les gens veulent nous séparé décidément
je déteste leur sourire narquois

elle regarde se qu'elle a fais et grimace en se disant que c'étais pas terrible mais bon tout y étais puis elle donne quatre autres mots

nuit ennuie jour amour
Victoria7
Vic, qui se balladait au près du bout rimé, passa alors voir celui ci. De beaux messages y était écrit, de belles déclarations, certain révélait les pensées des autres... C'était interessant tout de même.
Elle pris la plume en réfléchissant, puis elle inscrivit à son tour les quelques mot... un peu dans les nuages.


Et je pense chaque nuit,
Aux heures que je m'ennuie,
Aux lendemain, au prochain jour,
Pour voir mon unique amour.


La petite blondinette regarda le résultat.. c'était simple... Elle glissa les quatres suivant, puis elle retourna voir sa fille qui devait l'attendre à la maison...

Jour Voyage Détour Visage
Fleur_de_coeur
Le soleil timide brillait faiblement sur la campagne Labritoise .
Un vent froid soufflait .
La neige était gelée sur les chemins .
Le paysage avait mit son manteau blanc .
Alors qu'elle avait passé la nuit de Noël au coin du feu ne sortant que pour se rendre dans la chapelle du château où le l'abbé donna un semblant de messe .
Fleur_de _Cœur ne tenait plus a resté enfermée .
Toutes les protestations de son père , elle fit sceller Melkior et bravant le froid elle galopa au travers de la campagne .
Elle savait très bien où elle voulais aller.
Son but était la petite grange perdue derrière le bouquet d'arbres .
Cette ruine qui attirait les âmes des poète disparus ou frustrés ...

Elle arriva enfin devants la porte de la battisse .
Elle se fraya un chemin vers l'intérieur .
Elle lu les vers laissées par des joueur de mots puis se mit a composer a son tour avec les mots laissés .



Comme le temps passe , les heures puis les jours .
Mais même seul sans toi près de moi pour ce dernier voyage
J'ai toujours l'espoir de voir a un carrefour ton visage .
Pour revenir en arrière t'aimer encore par les enfers je suis prête a faire détour .


Puis elle laissa sur le papier des mots ...
avenir , plaisir , espoir , soir ...

Elle ressorti et chevaucha , a disparaitre dans le soir tombant ...
Bilbao1
Bilbao se décida a retournetr faire un tour a la grange aux mots .
Il n'y était pas alletr depuis un long moment déjà.
Faut reconnaitre qu'avec le froid et la neige ça donne pas envie de sortir .
Surtout quant on est en convalessance ...
Il avencais sur les chemins cailloutux clopinant encore , sa jambe droite était encore douloureuse .
Le médicastre qui s'était occupé de lui avais fait du bon travail .
Mais la bléssure était profonde , il risquait de boiter toute le reste de sa vie .

Il entra dans la grange .
Lu les vers laissés par les prédécésseurs ainsi que les mots laissés.
Puis il pris une plume et nota selon son inspiration .




Tout autour de nous n'est que plaisir .
Pourtant il faudra bien qu'un soir.
Les hommes pensent un peu a l'avenir .
Même si tout semble perdu , y a encore de l'espoir ...



Il sorti de la grange non sans avoir déposé les quatre mots .
¨Puis regagna sa modeste demeur ....


vertige , vestige , paria , renaitra...
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