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[RP] Le bout rimé..

Delfezzo
Fez, avant de partir pour la forêt, été passé par cet endroit où l'on aimait les mots. Il avait lu les poèmes des habitants de Labrit, et avait trouvé cela amusant. A ses heures perdues, il se faisait rimeur ; ainsi avait-il décidé d'abandonner ici quelques vers. Il regarda les mots proposés par son prédécesseur, et griffonna sur un parchemin :




Il est vrai qu'il me vient parfois un doux vertige,
A l'idée que le temps de moi fasse un vestige.
Mais on dit que la mort un beau jour paria
Que celui qui est Libre, sans arrêt renaîtra.



Il ne relut pas - il ne relisait jamais - et poursuivit son chemin, laissant les mots suivant au bas de son poème :


Voile - Route - Étoile - Doute.
Prangarde
Prangarde en revenant du bucheronnage, passa par ce lieu ou l'on jouait avec les mots et les rimes.
Il avait déjà lu à plusieurs reprises les quatrains laissés ici.
Cette fois-ci il décida de se lancer et regarda les mots laissez par le précédent auteur et écrivit :


Il était décidé, prêt à partir, ce soir il hisserait la Voile
Il ne supportait plus cette ville et reprendrait la Route
Il savait où il se rendait, pas besoin de suivre son Étoile
Il reviendra ici pour honorer sa parole sans aucun Doute.


Prangarde vérifia la syntaxe et les fautes et laissa 4 mots pour le prochain artiste en herbe.

Imbécile – Heureux – Facile - Peureux
_________________
Pensée philosophique : Ceux qui ne connaissent pas leur histoire s’exposent à ce qu’elle recommence.

Pensée profonde : Caleçon qui gratte, morpions qui squattent
Esteloren
Esteloren revenait de son petit séjour en la capitale .
La vie a Lo Moun avait retrouvée sa tranquillité légendaire .
Sur le chemin faisant un petit détour il s'arrêta a la grange aux mots .
Il y pénétra pour y déposer quelques passage d'une prière dites en l'église par une prêtresse de grande valeur .



A nous autre homme plein de sagesse de pardonner aux imbéciles .
N'ayez crainte la miséricorde vient a ceux qui y crois ne soyez point peureux .
Le chemin de la foi n'a jamais été simple et facile ...
Le Très haut dans sa bienveillance , vous rendra heureux ...
.


Puis il nota quatre mots et sorti pour se rendre au village .

singerie , jonglerie , majestueux , généreux .
Spagyricus
Le Père Spagyricus se baladait dans les rues de Gascogne, étudiant les étranges moeurs de cette étrange terre. On lui avait dit que les gens du Sud mangeait des poignées entières de lavande, sans sauce, mais il n'avait pas encore eu la chance d'assister à ce spectacle. En plus, il ne comprenait absolument rien à ce qu'ils disaient avec leur maudit accent. Aussi fut il content de trouver un lieu où il pouvait s'exprimer dans sa langue.



Arrivé en Gascogne, le Père et ses pairs furent accueillies par une singerie,
Et sans forcer le trait, l'épisode empruntait drôlerie et simagrées à la jonglerie.
Car la seule autorité ne saurait donner au gascon un air majestueux.
Mais le clerc, d'une âme si juste, pardonne, se montrant généreux.


Ceci fait, il lança à la ronde les premiers mots qui lui vinrent à l'esprit.

Aristote - Voyage - Hotte - Treillage
_________________
Elsie.
En rogne, heureuse, contrariée mais... joyeuse. Pêle mêle de sentiments qui animèrent la rousse dans la nouvelle ville étape. Le temps passait au fil de ses pas qui la firent errer dans les ruelles de Labrit jusqu'au moment où, au loin, elle aperçut le Père Spagyricus. Son Spagy qui sortait d'un établissement dont elle ignorait la nature. Quelques instants suffirent pour voir disparaître l'homme en robe au coin d'une rue, et la rousse curieuse, pressa le pas jusqu'à la maison dont elle poussa à son tour la porte. Une taverne, des filles de joie, un cercle de jeu clandestin, quoi d'autre ? Elle s'attendit à tout sauf à ces tables, à ces mots couchés sur des parchemins. Un regard sur l'inspiration Spagyricienne, et elle se saisit d'une plume, amusée de voir les mots, ou plutôt un des mots proposés...



C’est accompagnée du plus irrésistible et imprévisible disciple d’Aristote
Qu’elle avait entrepris un doux, un atypique, un formidable voyage,
De sincères sentiments, de divers souhaits, elle en avait de quoi remplir une hotte,
Chaque jour faisant la jeune femme s’épanouissait, tel du lierre sur un treillage

Et de griffonner quatre mots pour le prochain visiteur.

Tortue, feuille, venue, seuil.
_________________
Esteloren
Esteloren poursuivant sa promenade quotidienne avec son fidèle chien Flocon .
Ils arrivèrent devant la grange aux mots ...
Il entra pour y déposé quelques vers rien de très poétique mais bon si ça rime ça suffit .
Il lu les mots laissés
et fit glisser sa plume sur le papier .



Lors de son voyage le miséreux et souvent le mal venu .
Seul l'homme de foi l'accueil sur son seuil
Sinon il erre avec son baluchons comme une tortue.
Sans but il vole poussé par le vent comme une feuille ....

.


Il laissa les quatre mots pour le suivant .
Vantard , grognard , volontaire , chaire....

Puis s'en alla retrouver sa douce au chaud dans leur chaumière ....
Sarah.de.la.duranxie


Sarah déambulait toute seule dans la ville après avoir trompé la vigilance de ses parents.
Elle arriva dans un drôle d'endroit, emplit de mot, aussi vu qu'elle sait déjà lire et écrire, la gamine entreprit de laisser elle aussi sa griffe, histoire de pouvoir jouer un peu...


Citation:
Quand mon papa est un peuVantard
Et qu'il se fait passer pour un Grognard
Maman dit qu'il estVolontaire
Et qu'elle lui donnerait volontier saChaire...


Après avoir poser son petit parchemin, elle fila vite ailleurs...
Bilbao1
Bilbao faisait une ronde dans les environ de Labrit lorsqu'il passa devant la grange aux mots .
Il hésita puis entra il pourrait prendre excuse de vérifier pour la sureté du village si on le surprenait .
Il lu les derniers vers laissés , Puis réfléchit aux siens....
Le dernier poète n'ayant laisser de mots il repris les précédents...





Autant qu'il puisse être homme volontaire
Nul ne sera, dans l'effort, jamais plus Grognard..
Qu'il soit gougeât , volage ou vantard...
C'est en elles qu'il savoure le mieux leurs chairs...



Puis il nota quatre mots a son tour et retourna vite a sa ronde...

Purifier , sanctuaire , pardonner , statuaire
_________________

Qui ne tente rien , n'a rien .
Esteloren
Sur la route le ramenant a Labrit Este passa devant la grange aux mots , il ne peut réfréner l'envie d'y entrer pour y laisser flirter sa plume avec le papier ...
Il stopa le chariot sourit a sa douce qui somnolait a ses cotés , il lui déposa un baiser a descendit.
Il poussa les portes et entra dans la pénombre de la grange .
Se dirigeant vers les feuillets agités par un léger courant d'air , il huma l'odeur de foin qui planait en ce lieu ...
Il feuilleta les vers laisser par les poètes précédant puis s'inspirant des mots laissées il fit glissé sa plume sur le parchemin ...



Purifier , sanctuaire , pardonner , statuaire



Après des nuits de débauches a construire a leur volupté un sanctuaire ...
Après avoir chaque soir de désir et de plaisir érigé le statuaire ...
Rien ne pourrait , mais le veulent t'ils seulement , les purifiés .
seul le Très Haut en sa miséricorde , le moment venu saura les pardonner ...


Puis sans se relire , il compléta avec les quatre mot pour le prochain ..

dessin , peinture , monture , festin ...
Tamara17690
Tamara suivait un jeune homme de loin pour essayer de trouver la route qui la conduirait au village .

Il avait dans son chariot un jeune femme assoupie , il stoppa et descendit ,se dirigea vers une grange .

Intriguée Tam le suivit ,quelle ne fut sa surprise quand elle découvrit une table emplit de parchemin laissés par des poètes amateurs ou non .

Elle les parcourut rapidement avec curiosité et décida d'écrire elle aussi.

Elle prit les mots laissés au libre choix du prochain "poète" et elle écrivit de sa plume la plus légère .



Lorsque sur la peinture
j'ai peint dans une esquisse d'un dessin
notre plus beau festin
j'avais encore l'emprunte de nos étreintes ,
nos corps arqués de plaisir , quand dans un soupir ,
tu as de ta monture embrassé nos corps enchevêtrés.



Kheira relue et mis quatre autres mots

violence ,volupté ,sourire ,descente
Bilbao1
Bilbao errait dans les rues de Labrit .
La vie était calme , le marché vivait au rythme de va et viens .
Les dures nuit de veille aux coté du maire étaient enfin finies .
L'armée avait quitter la ville.

Maintenant revenu le temps pour les Labritois de flanner a leur loisirs .

Il suivait le chemin et arriva devans la grange aux mots .
Charmé comme la première fois il entra ......




La guerre fait rage , pourquoi tantr de violence ...
Quant la mort arrive faut la recevoir avec un sourrire
Une dance plaisante , débute dans un nuage de volupté
Face aux enfers , pour le paradis ,on renonce a la descente



Il nota quatre mots pour le suivant ...


troubadour , balladin , musicien , tour...

_________________

Qui ne tente rien , n'a rien .
Savaric
Un jour, Savaric avait rédigé des poèmes. Bien qu'il ne fut point une élite dans le genre, il savait en ces temps manier la plume et le sentiment. Aujourd'hui, seul et questionneur, il se rendit lire les poésies que les gens de Labrit et ses visiteurs avaient rédigés.

Certains vers étaient fort bien tournés. L'homme en fut impressionné et décida de tenter sa chance à son tour.





J’attends ma délivrance afin que mon cœur, tel un troubadour
Chante ta beauté et ta grâce en poésie pareil à l’habile baladin
Et sur ton âme profonde, mes caresses me feront naître musicien
Afin d’oublier l’affliction qui me meurtrit; tel le plus mauvais tour.



Il relit les vers en souriant.

Eh ben...pas joyeux ce soir...

Il déposa ses vers ainsi qu'une suite de mots pour le prochain poète...



Obole, Caresse, Folle, Ainesse
Sophie_anne
Un retour aux sources , en cette chère Gascogne qu'elle avait fini par tant détester , plus solitaire que jamais , elle traîne ses chausses dans les ruelles poussiéreuses de Labrit , bien longtemps qu'elle n'y avait mis les pieds , mais rien ne semble avoir changé , la ville semble toujours aussi triste et dépourvue de toute animation , elle n'y a d'ailleurs pas rencontré âme qui vive .
Chemin faisant elle s'arrêta devant ce lieu de poésie , bien longtemps qu'elle n'avait laissé glisser la plume , quelque peu hésitante , elle finit par se décider et écrivit ....





Devrait elle faire valoir auprès d'eux son droit d'aînesse
Où même leur verser à tous une rente , une petite obole
Pour avoir droit à un zeste d' amour et quelques caresses
Inutile d'y songer,on la prendrait cette fois pour une folle


Sophie laissa quatre mots avant de poursuivre son chemin

Tourment Charmant Emoi Croix
Esteloren
Esteloren vint faire un tour a la grange aux mots ,Pour cela il avait longer les champs sur lesquels pointais les blé estival ainsi que les fleur de saison , coquelicots et autre pissenlits .
Le soleil tapait en ce jour du mois de mai , les saints de glaces étaient passé l'été allait prendre ses quartier ...
Il entra dans la grange , l'air y était frais , l'odeur du foin oublié depuis tant de temps planait encore .
Il s'approcha et vit que d'autre était passé pendant son absence , se qui le réjouit .
Il lut les dernier mots puis posa sa prose ...



Pour avoir aider a traverser tant de tourments ,
Pour n'avoir su aux yeux de tous paraitre "charmant"
Pour avoir causé a ses proches et apôtres tant d'émoi ,
Un jour il fini sur la croix ...


Esteloren se relu puis pensa que de tel vers plairait au diacre , il sourit puis griffonna quatre mots pour le suivant .



Navire , chavire , goéland , manant ..


Il repris le chemin pour se rendre au village , une petite choppe l'attendait surement en taverne...
Fridel
Fridel revenait de la carrière où il avait trouvé travail, quand un bout de parchemin voleta jusqu'à lui. Il l'attrapa d'une main et le déroula soigneusement pour lire le poème dessus. Un fort joli poème d'ailleurs, mais également assez triste comme pour faire écho à la ville. Les quatre mots ensuite lui parurent bien obscurs, mais il décida d'en faire un poème également:

"Vous partîtes gaiement, ma mie sur ce navire,
Me laissant sur la rive, moi pauvre manant,
Et dans la douce brise, là où mon coeur chavire,
Que ne voudrais-je point être un goéland!"


Il griffona ensuite quatre mots, comme le voulait surement la coutume, mais avec une tonalité plus positive, et laissa le parchemin reprendre sa route.

Beauté, volupté, caresse, tendresse.
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