Enosch
[Cellule de Bushiro]
Dame Eloin a écrit:
En état de choc, le moine, mais il avait encore une assez grande conscience de l'Etat actuel des choses. C'était bon signe, d'après le peu de choses qu'elle savait en médecine...
Les renforts sont arrivés, en effet, mon frère.dit-elle en luy proposant son aide pour se relever.
Les frères hospitaliers et les Dames Blanches sont en partie dans le Réfectoire, à soigner les cisterciens blessés ou choqués par l'attaque, les autres courrent après les brigands à travers l'Abbaye.
Une explosion a eu lieu avant que je ne quitte le réfectoire, mais je ne sais ni d'ou elle venait, ni si elle a fait des dégâts. Et le novice Enosh a disparu, tout comme d'autres frères, d'après monseigneur Roger...
Les renforts sont arrivés, en effet, mon frère.dit-elle en luy proposant son aide pour se relever.
Les frères hospitaliers et les Dames Blanches sont en partie dans le Réfectoire, à soigner les cisterciens blessés ou choqués par l'attaque, les autres courrent après les brigands à travers l'Abbaye.
Une explosion a eu lieu avant que je ne quitte le réfectoire, mais je ne sais ni d'ou elle venait, ni si elle a fait des dégâts. Et le novice Enosh a disparu, tout comme d'autres frères, d'après monseigneur Roger...
Le long couloir
Chaos a écrit:
Chaos tenait ferment l'arc pointait vers les soldats. Ses yeux fixaient le moindre détail, le moindre mouvement. L'adolescent avait une folle envie de tirer mais c'était risqué. Et puis, lui n'était pas un lâche, il n'attaquait pas de dos.
La femme fût la première à parler. Elle commença à présenter son appartenance et sa mission. Croyait elle que l'archer était un allié qui ne savait pas encore qui était ses amis ? Elle allait être déçue...
Vous me semblez parler français et pourtant, vous n'avez apparament pas compris ce que veut dire "plus un un mot".
Je suis celui qui vous menace d'une flèche. Un nom ne vous servirait à rien.
Teutonique ?... Un ordre militaro-religieux qui aurait participer au siège de Genève ?
Et je n'ai rien à me reprocher à part que vous soyez encore en vie.
Il y eut un instant de silence. Le sergent fixait cette femme qui avait l'air sûr d'elle... Peut être trop même. Une trop grande confiance réserve des surprises. Puis il reprit d'une voix froide :
Vos conseils, vous vous les mettez dans le postérieur. N'allez pas vous plaindre, rien d'autre n'y rentrera...
Et voilà qu'elle commençait à le regarder à travers les fentes de son masque. Les yeux de Chaos ne laissait refléter que l'envie d'en découdre avec qui que se soit. Il n'éprouvait aucune pitié à ce moment précis.
Mais les yeux presque gris de cette guerrière étaient pleins de détermination. Détruire un esprit fort était plus divertissant que de faire plier un esprit faible.
Le vent souffla à nouveau. Un vent comme celui qui avait guidé les pas du très jeune homme jusqu'ici. Sauf que là, c'était une affiche qui avait été amenée. Le parchemin tomba aux pieds de Chaos mais n'y prêta aucune attention.
Pendant que Chaos et Oxar parlaient, l'autre teutonique évaluait la situation. Peut être que le genèvois devrait faire de même au lieu de foncer tête baissée comme il le faisait encore.
Le fléau d'arme était parait à faire couler le sang, broyer les os et ôter la vie. L'arc était bandé, la flèche en place, prête à transpercer sa cible. Le fourreau de l'épée était couverte par une main sans peur et sans reproche. La dague était camouflée dans une poche.
Chaos souriait derrière son masque de fer froid qui camouflait sa cicatrice à la joue gauche, et ses bleus à la bouche. Cette situation était si tendue, si difficile à s'en sortir qu'elle le divertissait au plus haut point.
Toi l'ivrogne, tu prends les armes et armures de tes amis puis tu les ranges contre le mur, ainsi que tes tonnelets.
C'était le moment fatidique. Soit les teutoniques se laissaient faire et ils se faisaient tuer comme des cochons, soit ils résistaient et il allait falloir les abattre avant que le vent ne change de sens...
La femme fût la première à parler. Elle commença à présenter son appartenance et sa mission. Croyait elle que l'archer était un allié qui ne savait pas encore qui était ses amis ? Elle allait être déçue...
Vous me semblez parler français et pourtant, vous n'avez apparament pas compris ce que veut dire "plus un un mot".
Je suis celui qui vous menace d'une flèche. Un nom ne vous servirait à rien.
Teutonique ?... Un ordre militaro-religieux qui aurait participer au siège de Genève ?
Et je n'ai rien à me reprocher à part que vous soyez encore en vie.
Il y eut un instant de silence. Le sergent fixait cette femme qui avait l'air sûr d'elle... Peut être trop même. Une trop grande confiance réserve des surprises. Puis il reprit d'une voix froide :
Vos conseils, vous vous les mettez dans le postérieur. N'allez pas vous plaindre, rien d'autre n'y rentrera...
Et voilà qu'elle commençait à le regarder à travers les fentes de son masque. Les yeux de Chaos ne laissait refléter que l'envie d'en découdre avec qui que se soit. Il n'éprouvait aucune pitié à ce moment précis.
Mais les yeux presque gris de cette guerrière étaient pleins de détermination. Détruire un esprit fort était plus divertissant que de faire plier un esprit faible.
Le vent souffla à nouveau. Un vent comme celui qui avait guidé les pas du très jeune homme jusqu'ici. Sauf que là, c'était une affiche qui avait été amenée. Le parchemin tomba aux pieds de Chaos mais n'y prêta aucune attention.
Pendant que Chaos et Oxar parlaient, l'autre teutonique évaluait la situation. Peut être que le genèvois devrait faire de même au lieu de foncer tête baissée comme il le faisait encore.
Le fléau d'arme était parait à faire couler le sang, broyer les os et ôter la vie. L'arc était bandé, la flèche en place, prête à transpercer sa cible. Le fourreau de l'épée était couverte par une main sans peur et sans reproche. La dague était camouflée dans une poche.
Chaos souriait derrière son masque de fer froid qui camouflait sa cicatrice à la joue gauche, et ses bleus à la bouche. Cette situation était si tendue, si difficile à s'en sortir qu'elle le divertissait au plus haut point.
Toi l'ivrogne, tu prends les armes et armures de tes amis puis tu les ranges contre le mur, ainsi que tes tonnelets.
C'était le moment fatidique. Soit les teutoniques se laissaient faire et ils se faisaient tuer comme des cochons, soit ils résistaient et il allait falloir les abattre avant que le vent ne change de sens...
[Campement et défense de l'abbaye]
kamazone a écrit:
Passant non loin du camp, mais à une distance fort raisonnable de façon à ne pas être vue, Kamazone jette une décoction de fortune fabriquée tantôt, répandant une odeur pestinentielle entre l'oeuf pourri et le cadavre en décomposition.
Et ce, en plein milieu du campement.
Elle est en route pour la grotte où se repliront les brigands, quand ils auront mis une grosses branlée aux fiottes soldateux de toutes catégories..
Entre ses mains (...) Enosh, l'otage qu'elle n'hésitera pas à mutiler si quelqu'un s'approche.
Et ce, en plein milieu du campement.
Elle est en route pour la grotte où se repliront les brigands, quand ils auront mis une grosses branlée aux fiottes soldateux de toutes catégories..
Entre ses mains (...) Enosh, l'otage qu'elle n'hésitera pas à mutiler si quelqu'un s'approche.
oz66 a écrit:
personne ete la a proximite du camp oz decida d allez un peu vers l exterieur du camp son attention fut attiree par une silouette qui semblee fuir le campement a toute hate
et si je la suivee
oz decida de la suivre et oh mais c est c est enosh oh
oz s approcha a pas de loup sans faire un bruit cache dans un fourree
et si je la suivee
oz decida de la suivre et oh mais c est c est enosh oh
oz s approcha a pas de loup sans faire un bruit cache dans un fourree
kiwie09 a écrit:
Message très important à l'attention de tout les soldats de l'OST
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Citation:
Bonjour à tous,
L'aide que j'ai demandé à l'abbaye auprès de l'OST de Blaye m'a été refusé pour raison diplomatique, donc tout les soldat de l'OST doivent intervenir en tant que civile et non soldat, il est obligatoire d'enlever notre armures afin d'éviter d'être trainé en justice.
Merci de votre coopération
L'aide que j'ai demandé à l'abbaye auprès de l'OST de Blaye m'a été refusé pour raison diplomatique, donc tout les soldat de l'OST doivent intervenir en tant que civile et non soldat, il est obligatoire d'enlever notre armures afin d'éviter d'être trainé en justice.
Merci de votre coopération
Enosch a écrit:
Enosch avait été drogué par la kama. Il marchait comme sur un nuage n'ayant pas vraiment conscience de ce qui se passait mais il se rapella lorsqu'il reconnu un visage connu dans un buisson qu'il avait ecrit sur un parchemin.
*ah mais que dois je faire deja, oui, le laisser tomber pour avertir les autres*
Enosch lacha discretement le parchemin avant de disparaitre avec la demoniaque qui le tenait en joug sous sa bure.
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*ah mais que dois je faire deja, oui, le laisser tomber pour avertir les autres*
Enosch lacha discretement le parchemin avant de disparaitre avec la demoniaque qui le tenait en joug sous sa bure.
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Citation:
Je suis un moine de l'abbaye saint arnvald de noirlac,
mes ravisseurs m'emmène dans un endroit appellé "La grotte des joyeux brigands" si vous trouvez ce message je vous en prie prevenez le Frere roger ainsi que les soldats postés à l'abbaye...
Frere Enosch
mes ravisseurs m'emmène dans un endroit appellé "La grotte des joyeux brigands" si vous trouvez ce message je vous en prie prevenez le Frere roger ainsi que les soldats postés à l'abbaye...
Frere Enosch