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[RP]Attaque de l'Abbaye de Noirlac

Enosch
[Le Camps]


Arator de Nailon a écrit:
Un groupe de cavalier sous les couleurs d'un oriflamme d'azur et d'or arrivèrent au campement de la défense. Le seigneur de Menetou-Couture s'adressa à l'un de ses sergents:

Sergent, je vous met en charge de vous assurer que le campement soit bien monté. Je vous met 25 hommes sous votre commandement. Une fois le campement monté avec 20 hommes vous irez patrouiller à cheval autour de l'Abbaye, pendant que les 5 autres seront de garde au campement. Les autres suivez-moi, on entre dans le combat à pied.

Ils descendirent de selle, puis la garde seigneuriale s'exécuta.



Tik a écrit:
L'odeur du brulé, les cris, l'armée d'en face qui semblait completement désorganisée... Tout ceçi renvoya Tik 15 ans en arrière, le jour de son baptême du feu...
Il savait par éxpérience que si ils attaquaient maintenant de façon regroupée ces paysans qui couraient dans tout les sens, ils féstoyraient dans l'abbaye ce soir...
Mais d'ja l'Farfadet s'jettait dans la mélée !


-Erf... Faut qu'on reste groupés.. Bon.. C'est l'moment ! CHARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ !!!!!!!!!!!!!!

Pendant qu'il gueule, il en profite pour se mettre sur la mule, incroyablement indifférente a ce qui se produit aux alentours...
Il pique de sa longue épée l'arrière train de l'animal qui bondit en avant en produisant un drôle de bruit... Tik n'aurait jamais cru que ces béstioles pouvaient aller aussi vite... Il avait dépassé le Farfadet et fonçait a toute allure sur un groupe de soldat...


-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.... Faites moi déscendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!



Nain tolérant a écrit:
Voyant ses camarades charger le Nain tolérant brandit son épée et fonça vers le village puis il réfléchi et alla vers le puit la ou tout le monde allait pour éteindre le feu et voulant faire un véritable carnage il se cacha derrière un buisson

Il attendait patiemment qu'un des villageois passe pour le pousser dans ce foutu trou ou il ne risquerait pas de mourir de soif ...





Farfadet a écrit:
Farfa s'fait dépasé en trombe par une mulasse qui s'est emballée.

Mouarf y lui a mis un piment dans l'cul ou quoué ?!

Y voit un homme avec une drôle de moumoutte capillaire qu'arrive à chwal... Sûr'ment un de ces pourceaux d'juges. Farfa fonce droit sur lui, l'a la rage envers tout s'qui représente la soi-disant justice. Alors qu'il est plus qu'à quelques pieds y l'entends l'bougre parlé à une tente. L'a l'air complet'ment à la ramasse. L'a pas l'air de s'rendre compte que celle-ci est en feu et que ça brûle tout autour. Farfa s'arrête et regarde le fol qui parle tout seul. L'entends ordonner dans l'vent d'monter l'camp'ment. Y peut s'empêcher de s'ésclaffer et d'interpeller l'nobliaud.


HAHAHA ! Mais t'es con ma parole ou quoi ?! Comme si c'était le lieu ou l'moment d'monter un camp'ment alors qu'ça bruloie et qu'la bataille fait rage ! Viens plutôt t'battre sale fiente !
Enosch
[Campements et défense de l'abbaye]


kiwie09 a écrit:
Attention les Kro, Lervia ils chargent aussi faite gaf, on dirait qu'ils sont plus nombreux que nous !

Kiwi constata que Kro était blaissé, il avait reçu une fléche, elle s'arrêta un instant mais ne lachez pas son regard des brigands qui se rappochait de plus en plus vite

Tu veux que j'appelle Bridgess, où ça va aller ? Faut que tu me donne vite un réponse car ils seront vite là !



lervia a écrit:
Toujours caché derrière son bouclier, Lervia attendit que cesses les volées de flèches et regardant autour de lui, vit qu'il étaient quelque peu déborder de toutes parts

Restons goupés, nous aurons peut être des chances


Il se rapprochat de Kiwi, contant qu'elle ai dit son nom comme il fallait, en marchant courbé pour ne pas trop se faire voir alors que tous le monde le savait là, amis et brigands, et sortit enfin son épée, pret à défendre chèrement sa vie, et celle de ses amis...




bridgess1961 a écrit:
Bridg entendit la voix de Kiwi et son regard alla sur la plaie du soldat Kro

Elle accourt près de ce dernier, au passage ramasse des linges, une branche solide, et arrive à sa hauteur


-Mordez dans la branche Kro, je vous retire la pointe de cette fleche, puis je vous ferez un garot, nous verrons pour vous desinfectere tout ca plus tard.

Kro regarda Bridgess et acquissa de la tete.

*Le Garot en bas ou en haut.... pas de risque j"en met deux *

Kro, surpris ne dit rien pour ne pas la rendre encore plus nerveuse.
-ils faut nous regrouper mais que font les secours ?
Enosch
[La Bibliotheque]


crazypunk65 a écrit:
Ok,Kro ! Il faut imperativement que les moines et les retraitants qui sont ici restent dans leurs cellules car on pourraient se tromper de cible dans ce noir,d'ailleurs,le mieux est d'allumer les torches des couloirs ainsi,le moindre mouvement est visible ! Enfin c'est mon avis,mon ami !



clelala a écrit:
Ha attend Crazy, j'ai une boite de lucioles, c'est beaucoup plus discret, on peut voir sans être reperés, enfin pratiquement, il sortit la boite de lucioles de sa poche....L'ouvrit délicatement etla lumière (très pâle fut)...


Nous allons pouvoir débloqué l'accès de cet escalier tranquillement et sans danger....au travail.....et sans bruit si possible.....


Ils se mirent au travail à tour de rôle, l'un dégageant l'accès et l'autre surveillant les arrivées éventuelles....chacun aux aguets, prêt à saisir l'épée qui était suspendue à leur flanc.....


Ha on allait tout de même pas apprendre à un vieux singe à faire la grimace.......



[La Vigne]


Cicatrice a écrit:
Cicatrice se "curait" les ongles avec les clous de sa massue.
Lorsqu'il releva la tete, il vit que le soldat qui etait tellement dans ses pensées ne l'avait meme pas remarqué !!!

*mais ... mais ... l'est c** lui ! je reve !*

Alors il remonta la pente escarpé suivant le chemin que le moine meyssonier avait emprunté. Il trouva une porte derobé, enfin Cicatrice etait de retour dans l'Abbaye.
*ça va ch*** les enfants hahaha*


[Abbatiale Saint-Bernard]


Cicatrice a écrit:
Cicatrice qui avait suivit le moine meyssonier depuis les vignes se retrouva dans l'Abbatiale Saint Bernard, au loin il entendit des voix...
Le tronc d'église avait été reparé, il le secoua, rien !
*arfff, le vieux moine à la peau blanche a du partir au bordel avec les sous*


Puis il partit dans le couloir, remonta les escalier en direction du long couloir car les voix se faisaient plus fortes




Meyssonnier a écrit:
Tout était allé très vite pour Meyssonnier : à peine le temps de digérer le raisin dans un bon sommeil qu'il se fait jarter des vignes par un gaillard au crâne rasé comme un vulgaire gueux ! Puis dans sa fuite vers l'abbaye, il entend derrière lui une cloche :
/SPAN>
Citation:
Dring Dring ring ring ring riinnnnnnng

Préférant ne pas se retourner, Meyssonnier entre dans l'abbatiale pour se diriger vers le cloître, puis change d'avis en passant juste devant le tronc d'église, ayant toujours la présence d'esprit pécunière : * vite sauvons ce qu'il peut encore être sauvé *
Il se rend alors dans le cloitre, noir à cette heure, afin de décider où aller lorsqu' il entends hurler :
Citation:
DEUS MANUM DUCIT!!

*Dieu, Aristote et Christos soient loués !*
Et aussitot il se dirige vers le cri, c'est à dire le long couloir, pensant y trouver protection...





Enosch
[Le long long couloir]



kiwie09 a écrit:
L'alarme de la cloche du camp sonné car kiwi l'avait enclanché, elle avertit tout les personnes présentent de l'abbaye qu'on était attaqué.

Dring Dring ring ring ring riinnnnnnng




Auguste a écrit:
Le blondinet poussait presque ses gardiens quand une voix se fit entendre derrière eux.
Le jeune brigand se retourna et tomba presque sur les fesses en voyant que c'était son fils qui les pointait avec un arc.

Nom de Dieu... Murmura il pour lui même

Voilà qu'il commençait à menacer les deux soldats. Il était fou ? Ils étaient armés et lui croyait leur faire peur avec son jouet ? C'était bien son fils...

Chaos commença à faire son chef en ordonnant à son père de désarmer les Teutoniques, tout en le traitant d'ivrogne.
La comédie devait continuer... La femme n'avait pas l'air commode et la boule de métal à pointes qui tournoyait lentement ne laissait rien pressentir de bon.


Mais je ne suis pas un ivrogne !

Puis il s'adressa à Oxar et Makcimus


Vous devriez faire ce qu'il dit, ça ne sert à rien de se battre pour rien ! Regardez le, ce n'est qu'un enfant, il va pleurer dès que son arc sera à terre.

Et voilà que la guerrière s'approchait du masqué pour lui trancher le bras ou on ne sait quoi. Fallait agir... Lâcher le tonnelet et mettre sa dague sous la gorge du teutonique qui était encore là ? Peut être...

L'avenir nous le dira... En attendant, une alerte était donnée. Les brigands attaquaient les OSTeux. Le blondinet ne put s'empêcher de sourire en imaginant la scène



Chaos a écrit:
Chaos continuait à pointer sa flèche vers cette femme qui lui tenait tête. Son regard était froid et son sourire amusé. La tuait ne serait pas un problème, c'est son compagnon d'arme qui le serait.

L'adolescent réfléchissait en silence. L'homme avait une arme qui demandait d'être assez près de son adversaire alors que le soldat de Genève avait une arme de longue portait.
Cette femme avait une lourde armure qui la protégeait presque entièrement, sauf son tibia.
Le blondinet avait deux tonnelets sous les bras et était presque collé à l'homme au fléau d'arme.
Le scénario le plus amusant qui serait est que Chaos tire une flèche sous le genou de cette femme, qu'elle tombe et ne puisse pas se relever avec le poids de son amure.
Pendant ce temps, Auguste lâcherait un de ses petits tonneaux et tuerait cet homme, rapidement, quand il regardera son amie souffrir.

Oxar avait du répondant. Elle ne suait même pas alors qu'une flèche était pointée vers elle, prête à la tuer au moindre faux pas.
Sa réplique fit rire le rebelle qui lui répondit en essayant d'articuler correctement entre deux reprises de souffles dû au rire :


Ne vous méprenez pas sur le sens de mes paroles. Vous ne faîtes naître en moi aucun désir charnel.

Puis il la laissa parler. Cette discution était inutile à part peut être augmenter d'avantage la tension entre les deux individus.

La visière du casque de la guerrière se rabattit sur son visage. On aurait dit deux chevaliers dans un tournoi avec leurs visages ainsi camouflés.
Elle se mit en position pour attaquer tout en avançant fonçant sur Chaos.
Sans essayer de comprendre ce qu'il se passait, les doigts qui retenait la flèche se retirait. Le projectile fonça droit sur la jambe de Oxar et y pénétra comme un couteau dans du beurre.
Le sang coulait le long de ses mollets jusqu'à aller salir le sol de l'abbaye. Les cris de la femme étaient étouffés par une bruyante alarme provenant de dehors.

Instinctivement, Chaos se recula pour éviter des représailles de la blessée ou son ami. Ne perdant pas de vu la situation délicate dans laquelle se trouvait le genèvois, il continuait de fixer les deux teutoniques, rapidement l'un après l'autre, à l'affut du moindre geste. Sa mai glissait lentement jusqu'à son carquois, au cas où il faille saisir son bâton rapidement. Une nouvelle flèche était en main. L'archer la plaça dans son arc et re-banda en direction de Makcimus.

Le sang avait rapidement formait une flaque à terre. Chaos s'adressa à sa peut-être futur victime :


Vous avez le choix... Soit vous laissez votre prisonnier vous désarmé, soit vous recevez une flèche dans la gorge... Que choisissez vous ?

N'attendant même pas sa réponse, l'homme masqué fit signe de la tête à son père de prendre le fléau d'arme pour ensuite le mettre contre le mur, hors de porté du seul ennemi visible restant.





oxar a écrit:
"Ne vous méprenez pas sur le sens de mes paroles. Vous ne faîtes naître en moi aucun désir charnel."

Sourire méprisant. Pour qui se prenait il ce minus? Il n'avait de toute évidence pas encore compris sa position de faiblesse. Peut être était ce dû au jeune âge que son regard trahissait? Bref. Il fallait agir vite.

Alors qu'elle chargeait le mécréant, elle sentit quelquechose, un éclat, la douleur n'apparut pas immédiatement, juste une impression de froid qu'elle ne comprenait pas.. Son coup ainsi freiné, elle se figea face au brigand.
La douleur commençait à l'envahir, irradiant de sa jambe à tout son corps. Arg... apparemment elle était blessée. ça elle ne s'y attendait pas. Elle plissa les yeux et regarda son vis à vis. Pas un cri, pas un râle. Elle ne bougea pas et ne s'effondra pas. Elle serrait les dents. Elle savait qu'elle n'était pas un surhomme et qu'elle finirait par s'écrouler, mais elle avait pour habitude d'atteindre ses limites avant de s'écrouler inconsciente. Tout se bousculait dans sa tête. Il fallait agir vite, d'ici très peu de temps elle se laisserait totalement envahir par la douleur. Son sang coulait et ça n'allait pas s'arrêtait comme ça. Alors qu'elle regardait son assaillant, lui regardait son frère, il les pensait déjà vaincus, mais que croyait il? Avoir affaire à des bisounours?? Elle avait déjà mis au monde deux enfants, ça c'en était de la douleur! Elle pouvait bien faire encore un effort.
Il ne voyait visiblement pas qu'elle l'avait déjà atteint, son bras était légèrement entaillé puisque du sang en coulait aussi.. bien moins certes. Mais sûr de lui il n'avait pas vu que le coup qu'elle lui avait porté avait été simplement ralenti avant qu'elle ne s'immobilise.
Pas de paroles inutiles, elle se tut.
Elle rassembla alors dans son coeur toute la haine qu'elle avait des brigands, tout le chagrin qu'elle portait dans son coeur, toute la rage qu'elle avait de servir le Très Haut pour charger une ultime fois avant de s'écrouler. Elle avait gardé son épée à la main, et tandis que l'autre regardait derrière elle et parlait à Makcimus, elle remonta doucement son épée et fit un pas pour l'enfoncer dans le ventre du brigand, voulant profiter de l'effet de surprise. ALors que la lame entrait dans le corps de son ennemi, OXar s'affala dessus pour lui donner du poids et puis parce que de toutes façons, elle ne pourrait plus faire grand chose maintenant.




Makcimus. a écrit:
La messe a été dite... Voila que le blondinet recommence à parler et à geindre, l'homme au masque semble décidé et sûr de lui. Une inspiration lente, profonde alors que l'étreinte sur bras s'accentue encore davantage. Un petit moment de répit, certainement avant que les événements se bousculent. Le temps d'adresser une prière est révolu...Maintenant, il sent en ses tempes les battements de tambour que son coeur a decidé en un rythme effrénés.

C'est la Teutonique qui à son habitude veut garder maîtrise des événements et du temps, décide d'en finir avec une situation qui ne peut être réglée par la discussion. Elle a pourtant essayé, rien n'a faire. Rapide comme l'éclair, il a juste le temps d'entendre la lame sortir du fourreau. La garde de la fenêtre est prise et Makcimus sait que sa soeur va trancher. Une sonnerie venue de nulle part, forte et aiguë lui fait détourner les yeux un instant. Détectez, analysez, tous bougent autour de lui... Le tonnelet est en suspension dans le vide, une main qui prend la direction d'une poche. Plus grave, le bruit caractéristique d'un arc qui se détend.

Mouvement... Il ne maîtrise encore son art et la colère certainement a pris place en lui. Elle ne l'immobile, ne l'aveugle pas, mais lui donne en cet instant force supplémentaire et pourtant Dieu sait qu'il en a en lui le géant Lorrain. Changement d'appuis, le bras du blondinet et tiré avec force. Projeter, éjecter, éloigner loin en le couloir vers l'avant, le blondinet. Le proteger et ainsi l'eloigner du combat, s'il n'a rien à se reprocher... L'éloigner d'Oxar si ce qu'il avait l'intention de prendre en sa poche était une arme qu'il souhaitait utiliser contre eux. Bong!! Le tonnelet vient de toucher le sol. En cet instant, la grande carcasse n'est encore sûr de rien. Il semble que l'homme au masque fait un mouvement arriere. Es ce la Teutonique qui la touché? A l'habitude, elle etait redoutable de precision et vitesse. Une seule et unique chose compte pour lui c'est de couvrir sa soeur. La meilleure défense est l'attaque... Amen.

Le regard est noir, transfère d'appuis et le bond en-avant se fait violent, rapide, puissant. Coups de poignet tension de la chaîne... accélération de la boule de fer. Affamée, meurtrière elle cherche à casser, briser, déchirer en celui qui vient de toucher sa soeur, son sang, sa famille. Une voix rocailleuse tonne en le couloir... Il n'a vraiment eu le temps d'analyser ce qu'il voie, mais l'ennemi est parfaitement identifié...
DEUS MANUM DUCIT!!
takab the psycogoth
[Le Campement de l'armée, sur une mûle...]

-... AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...

L'épée tournoie au dessus de la tête de Tik et dés que la mûle est assez près du groupe de soldat, s'abat violement sur l'un d'eux...

*KLONG*

Apparement le coup avait été paré... Erf.. L'était pourtant sur d'avoir bien visé la tête du Levrier... Bon bah, pas grave, il va profiter de sa mûle pour les dispérser et leur foutre la frousse...

-Allez ma belle... D'mi tour ! Chargons ces couards ! Hé ! D'mi tour j'ai dit ! Hééééééééé ! NAN !! PAS DANS LA TENT... *AIE* ! Oula.. Mais ta quoi dans la tê... LA BRANCHE !!!! *OUCH* ! Gaaaaaaaaaaaaaa.... Ze zuis le p'tit zentil louuuup ! Lalalala.... 'TENTION LA RIVIERE ! Tu fonce Droit dans l'eau !! AAAAAAAAAAAAAAAA !! *SPLACH* ouille mes roubignoles... L'a marché sur un rocher... Nah mais ou tu va comme ça a toute vitesse ? Mais répond ! 'Perdu ta langue ? L'camp'ment est loin dérrière t'peut t'arreter.. Hooooo !! Pas si viiiiiiiiite !!

Au bout de plusieurs minutes -ou heures, y saura jamais-, Tik réussit enfin a rassembler son courage et a sauter de la mûle tarée, après avoir vecu la peur de sa vie... Il gerbe, regerbe, pis s'rend compte qu'il s'est mouillé les braies... De plus, bizzarement, l'entrée de la Grotte Des Joyeux Brigands N'était qu'a quelques miles plus loin...
_________________
Tik, de... Euh.. Bah, Tik tout simplement !

Ex Proc' du Languedoc..
Enosch
[Le Refectoire]


teia a écrit:
Teïa était penchée sur Chia qui était toujours à moitié inconsiente, elle était vraiment inquiète et aurait voulu avoir le connaissances de Claudi pour le soulager.

Chia, tu m'entends, as-tu besoin de quelque chose, à boire peut-être?

Chia esssayait d'ouvrir un oeil mais avait du mal, elle grimacait......
sûrement la douleur.

Puis, elle écouta sa soeur répondre au soldat Kronembourg. Elles allaient donc rester protéger le réfectoire mais Teïa continuait à penser que sa soeur Chia ei le pauvre moine seraient mieux sur un lit que sur ce sol de pierre. Surtout que les portes avaient volé en éclat à l'arrivée des brigands.

Ils nous faut barrer les portes avec des tables pour les freiner et protéger nos bléssés derrière les tables dit Teïa en rangeant son épée dans son foureau. Dépêchons-nous, car nous ne savons pas combien ce temps nous serons tranquille.

Elle s'empressa d'attraper un côté d'une table en attendant Alandrisse ou Eloin pour la porter....




antoineleroy a écrit:
Il ne s'attendait pas à avoir une réponse rapide mais ce fut le cas...

' Bonjour messire Antoineleroy, je suis Teïa, Apprentie Dame Blanche et nous avons des blessés dont ma soeur Chia qui a malgré sa grossesse, reçu de nombreux coups dans le ventre et au visage, elle a aussi des morceaux de verre que je pense avoir enlevé et un moine qui a été maltraité lui aussi. Je veux bien que vous nous aidiez, nous allions les emmener dan le dortoir.

Voici ma soeur Alandrisse et Dame Eloin.
'

" Enchanté Dame Teïa! "

Il la salua puis déposa sa sacoche sur le sol près de Dame Chia

" Groumph, j'espère que le bébé va bien... Un moine maltraité dites-vous? Saleté de brigands! ils ne respectent rien ces fichus malotrus.
Les déplacer dans le dortoir, je ne..."

C'est alors qu'un homme déboula dans la pièce et se mit à parler longuement pour expliquer la situation

" Voila qui met fin à votre envie de les déplacer au dortoir, ce ne sera pas chose possible... "

Il regarda les blessés puis les femmes et le soldat

" Je sais que ce n'est pas galant mais je vais m'occuper des blessés pendant que vous bloquerez les portes... N'hésitez pas à bouger des meubles hauts histoire d'empêcher une escalade de la part des brigands si jamais ils reviennent! "

Puis il fouilla dans sa sacoche pour sortir une boîte pleine de plantes, des lignes propres, des fioles colorées et quelques outils

" Il me faudrait de l'eau chaude si vous avez! et un seau d'eau froide aussi! "

Pendant ce temps il enleva son mantel et le mit en boule avant de le mettre sous la tête de Dame Chia
Enosch
[Le Campements des soldats déchus]

kiwie09 a écrit:
kiwi vit un des brigands attaqué, elle avait contré se fut de peu car Lervia avait failli perdre sa tête puis le brigand s'enfuir avec sa mule, les quatre amis se regardèrent, ne comprenaient pas se qui se passé devant eux

On dirait bien que la mule veut pas suivre son maitre !

kiwi pensa que ce brigand était aussi bête que sa mule.

Puis les autre brigands arrivérent et le combat fut engagé

Bong, Glink, Bong, Glink,Bong, Glink, Bong, Glink


Voilà le bruit qu'on pouvait entendre dans le camp, le bruit du bouclier et de l'épée




lervia a écrit:
*KLONG*

Son bouclier se pressa fortement sur lui, ce qui le fit tomber en arrière. Il regarda, le regard perdu après un tel choc et se relava assez rapidement en se mettant en garde face à personne.

Il se retourna et vit un peu plus loin, un homme sur une mule lui donnant des ordres et se prépara à son retour pour être prêt pour la prochaine charge


attention il va revenir, tennez-vou....


Il le regarda s'éloigner de plus en plus loin, l'entendant hurler sur sa mule, se prenant entre autre une branche, de moins en moins fort au fur et a mesure qu'il partait dans le lointain, et se mit à rire pour évacuer son trop plein de peur en regardant ses amis

Bon, je ne pense pas qu'il reviendra avant un petit moment

Remit de sa peur, il alla aider ses amis et se jeta sans peur dans la mêlée et engageât le combat…



Nain tolérant a écrit:
Le Nain tolérant se jeta dans la bataille

*Bling* *blong* *Cling* *Clong*


sa petite taille lui permis d'attaquer par derriere kiwie qui le remarque mais donna un coup par dessus ca tete tandis que le nain atteignis sa jambe


"Wouhou c'était moins une et dire que mes copains se moquait de moi disant que je devait manger de la soupe *Fier*"




kiwie09 a écrit:
kiwi vit le petit bonhomme, on aurait dit un nain de jardin, il l'avait bléssé à une jambe, mais il lui restait l'autre

AIE, il vient de me blessé à la jambe, puis que c'est ça prends sa dans les fesses !
Voyant que le danger était présent, elle avait peur pour Bridgess qui était sans armes.

Bridgess met toi de suite à l'abri !

elle lui mit un gros coup de pied à ce petit qu'elle l'envoya valsé dans le foin de cheval, ce bonhomme était tout noir

elle continua à avancé puis elle affronta un autre adversaire tout en boitant sur sa jambe gauche, du sang coulé




Baron_Arwin a écrit:
Arwin et ses compagnons chevauchaient leur destriers depuis longtemps déjà. Ils étaient fatigués et las. Mais ils gardaient la tête haute et continuaient d'avancer. Bientôt ils arriverait et se lanceraient à l'attaque.
Voila qu'au loin se dessine l'abbaye, des flèches enflammées volent de partout, les arbres sont en flammes. Les gens crient les épées cognent. C'est la guerre.

Les étendards de l'ordre de Santiago apparaissent en haut de la colline. Les gonfanons flottent au vent les chevaux remuent la poussière et font trembler la terre. La masse orangée est bien visible maintenant lancée au galop.

Il est temps de déchainer les Enfers.


Ordre de Santiago !!!!!!!


Nain tolérant a écrit:
il resta dans le foin entendant les renforts des moines arriver...
Un nain est aussi dur a chercher qu'une aiguille dans une motte de foin... Il réfléchit au plan qu'il allait mettre en place...


bridgess1961 a écrit:
Bridgess entendit Kiwi lui dire de se mettre à l'abri.

/SPAN>
kiwie09 a écrit:
Voyant que le danger était présent, elle avait peur pour Bridgess qui était sans armes.

Bridgess met toi de suite à l'abri !



Pour sa protection .Il est vrai que sans arme, ni bouclier cela devenait à risque et que sans expérience dans les combats armés...
Elle regarda autour, elle avait fait de son mieux, maintenant, oui il fallait partir de ce camp de bataille.

Une ouverture ... Elle y court, sait on jamais, elle pourra peut être aider d'une autre façon!

-Oui Kiwi, tu as bien raison, je ne peux plus rien ici ... avec désolation, Bridgess partie du camp comme Kiwi lui demanda.






Enosch
[Le long long long, vachement long couloir]


Cicatrice a écrit:
Cicatrice arriva à point nommé. Il put assister a toute la scène depuis les escaliers, caché, et lorsqu'il vit le teuteu s'elançer il bondit pour s'interposer car sa haine des teutoniques prit le dessus.
/SPAN>
Makcimus. a écrit:
DEUS MANUM DUCIT!!

Il brandit son bouclier en avant afin de recevoir la charge du type. Son fléau d'arme frappa sur le bouclier émettant un cliquetis métallique, et comme le teuteu était dans son élan son corps fit pression sur le bouclier de Cicatrice.
*oula mais c'est une force de la nature celui la* pensa Cicatrice subissant la pression incroyable du géant.
Cicatrice fit pivoter sous le poids de la charge le bouclier et le soldat alla s'écrouler quelques mètres plus loin au fond du couloir, Cicatrice fut projeté sur une porte. A l'autre extrémité du couloir le blondinet était affalé sur le sol, au milieu du couloir le type bizarre avec son masque et la teuteu estropié qui avait enfoncé son épée dans le bide du dernier, Cicatrice a quelques metres d’eux.


*pffiou me voila au milieu d'un beau merdier*










Chaos a écrit:
Chaos avait touché la guerrière de sa flèche. A ses yeux, elle ne représentait plus une menace malgré la courte distance qui les séparait.
C'est pourquoi il se permit de ne plus faire attention à elle et de fixer son compagnon d'arme encore debout. Une autre flèche était maintenant dans l'arc.

L'ultimatum était lancé. Le géant vivait et abandonné ou mourait. Oxar était hors du champ de vision de l'adolescent qui était certain qu'elle était en train de se tenir la jambe et de tourner de l'œil.

Dans la tête du soldat rebelle de Genève, seul le Teutonique et lui existait encore. Ni l'alarme, ni le blondinet ni la guerrière qui avait la main sur son épée et qui la sortait n'existait.

Le très jeune homme fit un pas de côté pour contourner sa victime touchée à la jambe et ainsi se rapprocher du porteur de la masse d'arme au cas où il faille lui plantait un projectile dans son crâne dépourvut de casque.

Alors qu'un des pieds de Chaos était en suspension et qu'il s'apprêtait à se poser pour constituer un pas, un bruit se fit entendre. Une douleur. Une étrange sensation encore jamais ressenti. Sa mâchoire se crispa devant une telle pression.

L'archer baissa les yeux, quittant du regard le Teutonique pour regarder son flanc où était planté une épée d'où ruisselé abondamment du sang. C'était Oxar qui avait utilisé le reste de ses forces pour le blessé gravement. Comme ci cela ne suffisait pas, elle appuya avec tout le poids de son corps mais surtout de son armure sur l'épée.

Un hurlement de douleur fit ouvrir grand la bouche du nouveau blessé pendant que ses yeux grands ouverts fixaient la plaie comme ci il ne croyait pas que cela pouvait arriver.

Sa vie était en danger. La rage montait en lui comme le magma dans une cheminée d'un volcan. Les sourcils du sergent se froncèrent comme jamais, ses yeux avaient une lueur meurtrière, ses poings se serrèrent sur son arc, un cri non pas de douleur mais de colère se fit entendre tel un grondement d'orage.

L'enragé laissa tomber sa main gauche. A chaque fois qu'il la bougeait, cela ravivait la douleur de son flanc. La flèche tomba à terre, seul la partie en bois de l'arme était tenue mais qu'importe, le sergent le brandit mais l'homme au fléau d'arme le chargeait en hurlant un cri de guerre en latin.

Chaos ne chercha même pas à comprendre ce qu'il allait arriver, il se retira subitement. La lame sortit de son corps, laissant le sang coulait encore plus vite et la douleur était encore plus intense.

Trop tard pour fuir. L'adolescent allait se prendre les pointes dans le thorax et surement se faire défoncer le torse. Il ferma les yeux sentant sa dernière heure arrivée.

Un bruit se fit entendre. Une porte juste à côté de lui claqua et laissa entrer une silhouette. Il y eut un son métallique et une voix.

Chaos était encore en vie. Il ne comprenait pas ce qui se passait et ouvrit donc les yeux, lentement. Il vu quelqu'un devant lui. Il ne reconnaissait pas cette personne qui était apparut au bon moment.

Le sang coulait abondamment du flanc du soldat genèvois. Il n'était plus en état de combattre. Il finit par s'écrouler à genoux, vulnérable à une attaque...




oxar a écrit:
Le jeune impertinent avait été touchée, OXar était fière d'elle. Un sentiment d'ivresse l'envahit alors que ses genoux pliaient et qu'elle cédait à la douleur. Au moins lui serait hors d'état de nuire.
L'entrée soudaine d'un autre comabattant la surprit. A genoux sur le sol, le sang coulant de sa jambe, elle dévisagea l'individu, incrédule. La description de son supérieur ne laissait aucun doute, il s'agissait de Cicatrice, un bandit reconnu. Elle rageait. Blessée, elle ne pourrait guère lui faire passer le goût de faire le mal.
Elle rampa jusqu'au mur pour se mettre à l'abri le temps de se reprendre, tandis que la charge de son frère Makcimus était stoppée par le vile mécréant. Elle était fort surprise que son ami puisse être si loin projeté. Elle regardait la scène comme au ralenti.
Puis la douleur la rappela à l'ordre. Il fallait retirer la flèche, qui s'était d'ailleurs brisée lorsque ses genoux avaient cédé. Elle prit une grande inspiration et serra la dent. Elle attrapa le bout de la flèche et tira d'un coup sec. Elle retint un formidable cri de douleur. Elle était soldate de Dieu, elle ne pouvait que faire bonne figure.
Haletante, la flèche ensanglantée dans la main, elle regarda alors la scène sous ses yeux, espérant pouvoir se remettre d'aplomb mais en doutant fort...




Makcimus. a écrit:
Élancé... Encore un pas et le bras armé du fléau part brusquement vers lavant. La boule de fer, lardée de pointes va s'abattre sur l'homme au masque qui semble avoir été touché par sa soeur. Un bouclier et une forme ne surgissent de nulle part...Enfin, de l'escalier. La chaîne se détend, signe que l'arme vient de toucher. Makcimus a juste le temps de donner un coup de poignet en la hampe afin d'éviter le retour mortel de son arme.

Pas le temps de réfléchir, sur son élan il pousse... Ha ça ! le Lorrain pour pousser, il sait faire. À l'instant où il était en train de se dire qu'il ne faudrait que l'ennemi efface son bouclier, il sentit le vide devant lui. Grognement en sa tête, si le maître d'armes le voyait se faire piéger de la sorte, il n’en aurait pas fini avec les corvées et les heures en salle d'armes. Bref, pour l'heure, le voilà glissant à même le sol. C'est que le surcote épais ne favorise pas l'arrêt et semble décidé a faire le ménage.

Quant enfin il se redresse en un grognement, il prend un instant pour analyser la situation. Tout a fond du couloir maintenant doit être le blondinet, le coeur semble marquer l'arrêt lorsqu'il aperçoit sa soeur au sol une flèche ensanglanté en les mains. Non loin d'Oxar, l'homme au masque de fer tombe à cet instant à genoux et semble mortellement blessé... Bon, visiblement celui la n'est plus un danger. À quelques pas, l'homme venu de nul part... Ho, mais il semblerait qu'il l'ai aperçu et il correspond au signalement que lui avait crié le Wärter Hobb.

Agir... Aucun doute, c'est bien un des hommes qui a attaqué l'abbaye, un de ceux qui ont maltraité les clercs de la très sainte Église qui est là devant lui. Sa soeur, à terre est visiblement touchée, maintenant le Teutonique ne réfléchit plus, il ne parlera plus, il n'expliquera plus, le temps d'essayer de faire revenir les êtres perdu sur le droit chemin est révolu. le rythme soutenu des battements de son coeur, cogne et résonne en son corps. L'expression de son visage, le regard des mauvais jours est maintenant encré en ses yeux. Le chant des anciens au rythme des tambours en sa tête vont donner la cadence. Puisque d'autre solution... Il s'élance, marquant la cadence... Les coups de poignet batte la mesure et le sifflement de la masse qui prend de la vitesse siffle en le long couloir.

Nulle échappatoire, le teutonique comme ses frères et soeurs au service de la très sainte Église, fera ce qu'il doit. L'amour qu'il porte en lui pour les hommes de foys, lui donnerons la force de vaincre.



L'petit Antoine a écrit:
Un autre adolescent, beaucoup plus corpulent, mais aussi discret que Chaos, se trouvait dans la batisse a ce moment la...
Il était entré par le même chemin que tout les autre brigands, et était resté isolé pendant tout ce temps la dans une cellule, a s'amuser avec une soeur au visage trop innocent a son gout...

Il aurait très bien pu aller a la recherche de richesses, mais son chef en avaient beacoup trop, donc cela ne l'intérressait point. A peine dix-sept ans, grand, blond, et musclé, il paracourait les couloirs a la recherches de la sortie.
Les cloches avaient sonnés plusieurs fois, mais ce n'est qu'en voyant l'armée par la fenetre qu'il avait compris qu'il ne fallait pas trop tarder.

C'est ainsi qu'il tombe sur la bataille qui se déroulait du coté du réféctoire... L'odeur du sang l'éxçitait de nouveau, mais il voyait bien que ce n'était pas un combat de gueux... Ses haillons et son gros couteau de boucher ne lui serait guère utile contre tout ce beau monde en armure... Il fallait ruser.
D'ou il était, il pouvait heureusement voire la bonne soeur Naeven cachée dans un coin... C'est sourire aux lèvres qu'il s'en aproche, la saisi par la chose qui couvrait ses cheuveux, et lui plaque son couteau déja ensanglanté sur la gorge...


- On s'calme les amis.. J'ai un argument d'taille...

Antoine était sur que les tétons allaient coopèrer... Blesser une femme de dieu... Muhahaha... Et puis, il connaissait le blondinet de réputation a la Grotte, et il savait que son chef l'apréciait. Antoine a toujour été quelqu'un de fidel...
Enosch
Cicatrice a écrit:
Lorsque le teutonique s’était relevé, un « glurp » significatif s’était fait entendre dans la gorge de Cicatrice. C’est qu’il ne l’avait pas vu si grand le bougre. Le gars a l’air vexé de s’être fait surprendre. Cicatrice recule machinalement voyant le teutonique s’avancer a pas lourds vers lui. Son regard est noir de haine. Une bonne chose, car il finira certainement par faire une erreur de jugement. Puis le premier coup vient, « bing », à nouveau la violence avec laquelle il frappe fait reculer Cicatrice qui roule dans les escaliers. Il se relève prestement mais bordel que ça fait mal !
*l’a failli me tuer c’con là*
Cicatrice se lèche les lèvres, du sang coule au coin de la bouche, mais déjà le gros commence à descendre les escaliers. Il est gêné par le lieu étroit mais il toujours aussi déterminé. Cicatrice recule attendant le moment opportun pour profiter d’une maladresse de sa part.
Au loin une petite voix s’élève, mais trop tard le combat fait rage, et à force de reculer, c’est dans l’abbatial Saint-bernard qu’ils continuent leur duel !
L'endroit a un bel echo, le tintement des armes résonne a tout va, Cicatrice est dopé par l'adrénaline.






Auguste a écrit:
Auguste regardait tout le combat. Chaos qui blessait Oxar et son geôlier qui tenait toujours fermement le bras du blondinet.

Il commençait à essayer de raisonner le géant quand il entendit un cri qui lui glaça le sang. C'était son fils qui venait de se faire entailler le flanc par la guerrière.

Quel idiot ! Il a baissé sa garde ! C'était trop tard, il perdait déjà du sang.

C'en était trop. Il fallait agir. Le brigand lâcha ses tonnelets, dirigeant sa main vers sa dague mais le le Teutonique le projeta au sol.

Le blondinet était maintenant à terre. Le Teutonique chargeait l'adolescent quand Cicatrice apparut. Ce brigand que le blondinet avait quitté car il donnait trop d'ordres.

Puis une voix se fit entendre derrière le dos d'Auguste. Celui ci se retourna et fut surpris de voir qu'un jeune homme, comme Chaos, menaçait une sœur avec un couteau sous la gorge.

La situation se compliquait. Chaos perdait son sang, très gravement blessé. Oxar se soignait comme elle pouvait en retirant la flèche de sa jambe. Le nouveau menaçait une bonne soeur avec un couteau de cuisine. Le blondinet réfléchissait trop, les confortablement installées à terre.

La principale chose à faire était de fuir. L'ennemi était en surnombre. Dehors, les cloches résonnaient, les brigands se faisaient surement repoussaient.


La fête est finit ! On dégage !

Tout en disant cela, le brigand se releva et courra vers Chaos, contournant les deux combattants qui s'enfonçaient dans les escaliers.

Une fois arrivé près du corps, le brigand se pencha au dessus du soldat genèvois :

T'es vivant ? Dis moi quelque chose ! Aller, on s'en va.

Il fallait agir vite. Le sang coulait rapidement. Auguste déchira un morceau de son pantalon pour arrêter l'hémorragie comme il put, puis souleva le corps en le mettant sur son épaule.

Un dernier regard dans ce long couloir, il restait ce petit blond qui menaçait la soeur.


Reste pas là !

Pour finir, il se retourna et s'enfuit avec son fils qui était blessé. Laissant Cicatrice combattre.



L'petit Antoine a écrit:
Cicatrices et le teuton ne semblent pas avoir entendus la menace d'Antoine... Qu'importe, de toute façon la balafre saurait se débrouiller.
Il pousse la soeur contre le mur et détale en compagnie d'Auguste.. C'était vraiment le moment ou jamais.


-B'soin d'aide pour l'porter ? J'passe d'vant, au cas ou...

Antoine accélère le pas, couteau brandit bien droit en avant....




Auguste a écrit:
Le blondinet était tellement pressé qu'aussitôt avoir adresser la parole à l'adolescent, il s'était retourné pour courir.

Son élan fit stopper quand celui ci se proposa pour l'aider. C'est vrai qu'avec cette carcasse sur les bras, se battre serait impossible.


T'as raison, ton aide me serrait utile.


Même pas le temps de parler qu'il était déjà passé devant, prêt à trancher. C'était pas un petit rigolo celui là. Il avait pas peur de menacer une bonne femme en la présence d'un soldat très fort.

Viens vite, on sort par la grande porte.
Enosch
[Conciergerie du Frère Portier]



Auguste a écrit:
Le blondinet courrait presque avec le corps ensanglantait de Chaos sur les épaules.

La discrétion n'était plus de mise, là, il fallait fuir. Une retraite stratégique. Ça plaisait pas au brigand de fuir ainsi mais là, il n'y avait pas le choix.

Pendant leur course vers la lumière, Auguste s'adressa à son escorteur :


Merci de ton aide. Je m'appelle Auguste, et toi ?

Le brigand se demandait qui était cet adolescent. Il ne lui semblait pas l'avoir du à la Grotte ni avec les autres quand ils sont entrés pour la première fois ici.
Enosch
L'petit Antoine a écrit:
Ils étaient arrivés sans encombre jusqu'a la sortie... Tant mieux. Ils n'auraient plus de mal a rentrer a la Grotte a présent, vu le bordel qui régnait du coté des soldats...
Antoine était un peu déçu tout de même... Il aurait bien voulu égorger plus qu'une simple Nonne...


-"Merci de ton aide. Je m'appelle Auguste, et toi ?
-Antoine. Mais d'puis que je suis enfant on m'appelle l'P'tit Antoine... M'demande bien pourquoi..."


Le plus jeune blond ésquisse un sourire. Le point d'intérrogation demeure cepandant dans les yeux d'Auguste... Un instant il songe a lui dire pour qui il travail, mais se ravise au dérnière instant, et se contente d'ajouter, mi-souriant :

-"J'suis un Grotteux discret... héhé... L'plus souvent j'transmet des messages. J'ai une monture rapide que j'ai laissé a une centaine de mètres dans cette diréction... p'tet qu'il vaudrait mieux transporter le bléssé dessus ? J'vait trouver un moyen d'me barrer de mon coté..."

Antoine se demandait pourquoi il était si gentil aujourd'hui... Peut etre qu'il a encore envie de truicider du soldat tout compte fait ?...




Auguste a écrit:
Les deux blondinets fuyaient, le plus vieux avec un corps qui ressemblait à un cadavre sur les bras.

Tout en marchant d'un pas rapide malgré l'endroit désert, ils discutaient.


L'adolescent dit enfin son nom. Antoine... Ça ne disait rien à Auguste.


Tu transmets pas des messages de poivrots du coin, tu as surement des employeurs, non ?
Un canasson ? Pas besoin, Chaos doit en avoir un qu'il a emprunté à l'armée. Quand il sera réveillé, je lui demanderais où il l'a mis.
Toi, vas t'en avec le tien, les renforts des curetons vont surement nous avoir si on se dépêche pas.


C'était pas le genre du brigand de se dépêcher ainsi. D'habitude, il essayait de garder son calme mais là, non.
Enosch
[Le camps des Soldats sans bannieres]



lervia a écrit:
Lervia se battait tant bien que mal, essayant de plus de ne rien avoir comme blessure plutôt que de blesser les brigands, dure de se battre quand on y connaît rien en maniement d'arme, mais ses improvisations déboussolèrent les assaillants assez pour donner quelques coups et les faire reculer un peu

Il veillait aussi a ce que ses amis combattants n'aient pas trop de problème, sa vie ne l'importai peu en ce moment, il voulait surtout que tout le monde s'en sorte pas trop marqué par les coups reçus.

Il vit un nain furtivement voler dans les airs et regarda d'où il pouvait venir et se mit à crier avant de réfléchir à ce qu'il allait dire


Attention.. ils jettent des nains maintenant... et se retourna un bref instant vers Kiwi et la vit encore dans son mouvement de pied et se dit, oups, j'aurais du rien dire... avant de remarque peu après s'être remis à ses assauts à la Lervia par de rapide coup d’œil a ses amis que Kiwi avait une blessure à la jambe droite, ou, gauche, non droite sûrement, enfin une des deux... lui et son incapacité de reconnaître sa droite de sa gauche... et vit Bridgess s'enfuir et aller se mettre à l'abri en se disant que pour elle c'était bon, elle serait sauf dans quelques instant




kiwie09 a écrit:
hum Lervia comme je sais, que tu sais jamais quel est la droite et la gauche, c'est ma jambe gauche qui est touché

kiwi se rappella que Lervia avait du mal à trouver sa tante au début, car il ne différencit pas la gauche de la droite

Un petit conseil tu te bat avec l'épée de ta main gauche donc l'autre c'est forcément ta droite !

kiwi vit qu'il avait maintenant comprit



Baron_Arwin a écrit:
Arwin stoppa sa monture au sommet de la colline et tira sur la bride de son cheval pour le faire pivoter.

Soldats, faisons le point. Que ceux qui sont avec nous répondent "présent". Que notre plus grand supérieur militaire s'avance pour prendre le commandement, je mets ma lance à son service !!!



kiwie09 a écrit:
kiwi vit que le petit bonhomme c'était caché dans le foin et elle metta des coups d'épée dans le foin jusqu'à ce qu'elle entend
AIE !

elle menaca le bonhomme de son épée qui était juste au dessous de sa gorge

Je vais te faire une fleur, pars et ne reviens jamais sinon c'est en enfer que tu iras !

Pensant à Kro qui aurait besoin de son aide, elle laissa le petit nain partir, il prit aussi vite la poudre d'escampête.
A ce moment là, un cavalier approcha

Le chef ici c'est Kronembourg soldat de l'ost comme moi, quand au allié ce sont quelque soldats teutoniques.
Et les gens à protéger sont des nones, moines et autres innocents se trouve un peu partout dans l'abbaye.
Suivez moi je vais vous conduire à lui c'est par ici, Lervia reste là, bloque empêche les entrées et les sorties.
Enosch
[La Vigne]



Kronembourg a écrit:
Kro n'avait entendu qu'une voix, une voix terrifiante surgie des profondeurs. Il avançait cahin-caha sans rien y voir lorsqu'il entendit :

-mais ... mais ... l'est con lui ! je reve !


Les hurlements étaient tellement nombreux dans l'abbaye qu'il n'était pas sûr d'avoir bien entendu. Alors il suivit une pente escarpée et continua son chemin jusqu'à une porte dérobée, pas bien sûr de poursuivre un ennemi ou un ami.




[Le long long long long long long long long couloir]


Kronembourg a écrit:
La porte dérobée menait donc à un long couloir.

* Putain d'bordel, ça n'en finit jamais là-dedans ! *


Dans l'opacité Kronembourg n'entendait que des Glurp et des Bing résonner comme des bruits répugnants.
Il marchait à tâtons, tenant le mur d'une main et l'épée de l'autre.
Son bouclier, oublié depuis bien longtemps.
Et ça ne risquait pas d'être les bouffeurs de culs bénis qui allaient le lui rendre.
Il était creuvé et sa jambe blessée commençait à le lancer sec.
De plus, le manque de sommeil et la pluie de nains avaient achevé le fonctionnement de ses dernières neuronnes.

Au bout d'un long moment il prit appui sur ses deux jambes : d'autres bruits.


l’a failli me tuer c’con là



Kro fit son signe de croix.
Il comprit qu'un des brigands était en train de tabasser un moine qui jurait sans doute pour la première fois de sa vie.
Il pressa le pas et à travers le peu de lumière qu'il pouvait entrevoir, eh bien il voyait que dalle.

Il avançait sans voir, sans savoir, jusqu'à de nouveaux escaliers





Makcimus. a écrit:
Les coups en le bouclier s'enchaînent avec violence... C'est que la grande carcasse frappe tel un bûcheron. L'homme s'engouffre en l'escalier, pas facile de manipuler le fléau d'armes.
Une première chute sous la force des coups, voit l'homme se relever difficilement... Nouvelle charge, lourde puissante, le bouclier semble s'émietter sous les assauts de la boule de fer.

Des bruits en le grand couloir... Makcimus accentue la presse et l'homme chute à nouveau sur le dos... enchaînement de roulers boulet qui doivent certainement lui causer douleurs. Quant cicatrice disparue de sa vue, le teutonique hésita un instant. Oxar était blessée et plusieurs brigands rodaient encore.... En son esprit, la décision fut immédiate... C'est en une grimace qu'il remonta quatre à quatre les quelques marches qui le mènerais en le grand couloir.

Un beuglement en lui et a bout de souffle il aperçut sa soeur essayant de se remettre sur pied.... Regard circulaire, plus de danger le fléau fut rangé en la ceinture de cuir et il s'approcha.


Reiterin Oxar... Laissez moi vous aider...





oxar a écrit:
Assise contre le mur, la jeune teutonique avait tenté de se relever. Mais elle était lourdement retombée.
De son poste d'observation, elle avait vu un jeune homme sortir d'une cellule et menacer une nonne. Non mais vraiment, trop facile, savent même pas se battre tout seul ces brigands... Elle voulait reprendre part au combat et pestait intérieurement, le tout était de se remettre debout mais ça c'était pas gagné. Rapidement, elle arracha un morceau de sa blanche tunique et le noua tres serré autour de sa jambe blessée, ça ferait toujours un bandage en attendant.
Puis tout se passa très vite.
Makcimus chargeait. Elle fut un instant subjuguée par le rayonnement, la lumière qu'il dégageait. Sa Foy le transcendait, il était maginifique. Puis il disparut, luttant contre l'homme à la cicatrice, tandis que les brigands avaient pris la poudre d'escampette. Elle bouillonnait, c'en était trop.
Elle jeta un oeil à la religieuse qui visiblement avait eu plus de peur que de mal, puis prit appui sur le mur. Ce faisant, Makcimus revenait vers elle.


"Reiterin Oxar... Laissez moi vous aider..."

Elle pouvait lire dans ses yeux l'inquiétude qu'elle avait du lui causer et s'en voulait. Il aurait du poursuivre le combat au lieu de revenir vers elle, elle ne voulait pas être son point faible. Elle le regarda, un bref instant de ceux qui semblent durer une éternité. Son visage exprimait une mosaîque de sentiments presque contradictoires, dont le défi et la reconnaissance. Elle se saisit de sa main et tira dessus avec force, ses bras n'étaient pas blessés. Elle se hissa avec peine mais avec succès jusqu'à la station debout, face à son frère dans la Foy, assez proche de lui pour sentir son souffle chaud sur le visage. Ses yeux se durcirent en se plongeant dans ceux de son vis à vis, elle était déterminée.

Merci mon frère. Je vais bien ne vous en faites pas. Ce n'est pas une petite flèche de rien du tout qui va arrêter une femme de Foy. Venez, nous allons plutôt donner une bonne leçon à ses brigands, ils ne reviendront plus.

Elle désignait du menton le bout du couloir.

Ils sont partis par là.. Allons y...

Elle évita de regarder la mare de sang qu'elle laisserait derrière elle, mais avisa plutôt son épée qu'elle avait eu l'imprudence de laisser au milieu du couloir après l'avoir fait traverser le corps de Chaos. Il faudrait la ramasser avant de repartir au combat.



Naeven a écrit:
Naeven se releva encore un peu étourdie. Elle n'eut que le temps de voir détaler le brigand qui l'avait menacer de son couteau. Les deux soldats teutons se préparaient à les suivre. Naeven ramassa rapidement l'épée de la jeune femme qui se trouvait à ses pieds et la lui tendit.

- J'espère que vous gagnerez le combat. Bonne chance !
Enosch
[Abbatiale Saint-Bernard]



Cicatrice a écrit:
.

Cicatrice courbaturé, ensanglanté, depité, courut se cacher dans l'abbatiale. Le gros teuteu etait un coriace.

*bon je reprend mon souffle et je retourne le planter des que je peux celui-la*

à ce moment des bruits resonnerent dans l'eglise. Cicatrice se cacha derriere une colonne dans l'ombre...


Kronembourg a écrit:
.

Un souffle un peu chaud indiquait qu'un va-et-vien récent venait d'avoir lieu ici.
Kro avançait toujours dans le noir, l'épée pointée en avant, la jambe boiteuse, le bras tremblant, empreint d'une colère noire.

Il avait l'impression d'être dans cette *** d'Abbaye depuis un million d'années.
Les culs-bénis auraient intérêt à le faire baptiser illico sans passer par leurs conneries de pastorales à la mord-moi-le-noeud et tout ce qui est cellules à la con.

De toute façon il était là par hasard, dans cette débandade où il n'aurait pas dû se trouver, et tout le monde avait déserté les lieux sans se retourner sur lui. On lui devait bien un baptême vite-fait, même dans la dernière des églises pourries du village.
Enfin ça, c'était au cas où Kro se sortirait de cette impasse.

Un peu de lumière apparaissait, il était temps.

Kro se rendit compte qu'il n'y avait personne.
Il jura à n'en plus finir, s'apercevant qu'il n'avait plus qu'à revenir en arrière et se refarcir les centaines de couloirs de cette maudite abbaye.



Cicatrice a écrit:
.

-Tiens tiens mais qui voila qui me fait le plaisir de me rendre visite en cette magnifique Abbatiale à la con ! C’est dugland le soldat Kronembourg !

Cicatrice se tenait au niveau de l’autel, au bout de l’allée se tenait Kronembourg.Un léger vent glacé traversa la salle.

-On ne reconnait pas ses vieux amis comme ça ? hein ? Laisse-moi te rafraichir la mémoire…

Kronembourg certainement fatigué écoutait en silence.

-Il était une fois trois jeunes enfants qui habitaient un petit village qui se nommait Blaye. L’un d’entre eux, Heineken, avait « l’âme » pur il rêvait tout le temps de justice à la con, le deuxième, Boulgrouche, lui jouait au méchant, vu la tête qu’il avait ça lui allait bien et puis peut être parce que son père l’avait abandonné dans un tas d’ordure. Le troisième était une jolie petite fille. Luciana. Ahhh lulu. Les deux garçons étaient amoureux d’elle bien sur ! Mais accélérons un peu car je te vois t’agiter.
Alors un jour ce con de Heineken qui coursait bien sur boulgrouche poussa boulgrouche sur le lac gelé de Blaye. Et une plaque s’effondra. Heineken ne trouva qu’une seule solution, aller chercher les secours pendant que son copain se noyait. Merci Heineken le justicier à la con !
Mais attend la meilleur il y a quelqu’un qui a envie de te parler ici ce soir.


Cicatrice commença à trembler de la main. Les yeux révulsé, il appela son double schizophrénique, Boulgrouche le petit garçon de cinq ans.
L’enfant trop content d e pouvoir sortir a nouveau de l’âme de Cicatrice s’engouffra vers la lumière.
Avec une petite voix fluette :

-Hey salut Heineken !!!

Kronembourg a écrit:
.

Kro recula en titubant comme s'il se trouvait face au Malin lui-même.

Boulgrouche, Heineken, Luciana, tout lui revenait.... mais dans l'autre sens !

Et puis soudain cette voix de l'autre, l'explication pour la cicatrice, l'enfant qui parlait dans ce corps d'homme glaça Kro jusqu'aux os.




Tu mens, ton esprit malin a tout inventé ! Tu as fait croire à ta mort ! Et que s'est-il passé quand Luciana a disparu ?




Cicatrice a écrit:
.

-Je suis content de te revoir, tu sais on s’est bien amusé avec Luciona la dernière fois et puis les trois autres enfants…
Cicatrice repris la main vite fait sur Boulgrouche.

-Hmmm. Ah les enfants ça parle trop !!! Laisse-moi te raconter la suite. Alors le pauvre Boulgrouche ben il était pas mort mais c’était tout comme car sa peau était devenue toute bleue. Desormais il était un monstre, un freaks ! Il fut recueilli par des brigands, sa vie de se déroula au rythme des rackets sur la route. Une vie bien sympa. Mais voila t y pas que ce Boulgrouche qui était devenue Cicatrice chez les brigands recroise à nouveau ce con de Heineken. Il ne se rappelait de rien le niai, il s'etait marié a Luciona.
Alors un soir alors que Heineken n’était pas la Cicatrice décida d’aller retrouver Luciona. Elle ne le reconnu pas tout de suite. Cicatrice lui avait envie de retrouver les saveurs de l’enfance alors il lui demanda de partir avec lui car elle avait été toujours amoureuse de lui au fond. Mais elle niait, elle niait tellement et tant qu’à la fin elle se prit une claque et puis deux…
Elle tomba la tête contre une pierre et dans un dernier souffle appela après son Heineken.
Je dois dire que Cicatrice fut terriblement vexée. Alors il decida de bruler la maison avec les enfants dedans. Apres tout Heineken avait laissé mourir Boulgrouche ?!




Kronembourg a écrit:
.

Au fur et à mesure du récit de Boulgr Cicatrice, les yeux de Kro s'écarquillèrent.
Il avait l'impression de nager en plein cauchemar mais non, l'homme face à lui était bien réel, il était le même que lorsqu'ils étaient gosses, la même tronche de Maïs mal bouffé dont même un porc aveugle et affamé aurait répugné à manger.

Des images de Luciona lui revenaient en mémoire et le doute était là : Avait-elle aimé Boulgrouche ? Avait-elle cédé ?
Et tout s'embrouillait avec la fatigue... Non, Boulgrouche, c'était lui : Kronembourg !
Heineken était le petit con qui leur tournait autour à Luciona et lui, qui soulevait toujours ses jupons de gamines et qui mettait des claques à Boulgrouche parce qu'il était plus grand que lui à l'époque...


Aujourd'hui Kro était devenu plus grand que Cicatrice. Pas forcément plus malin, mais peut-être plus fort.

Le récit de ses paroles lui était insupportable et sans plus réfléchir, Kro s'élança vers lui l'épée en avant et la bave à la bouche dans un grand hurlement.

SALOPAAAAAAARD !!!!!!!!!!!!!



Cette fois il fallait en découdre.




Cicatrice a écrit:
.

Cicatrice était en joie d'avoir enfin put livrer sa petite histoire, enfin sa version de l'histoire ! Le kro avait été anéanti pendant quelques instants, quelle joie immense ce fut pour Cicatrice ! Mais Kronembourg s'élançait déjà sur lui. Pauvre chou!

-Tu vas pas tarder a rejoindre ta Luciona réjouis toi ducon !

Premier coup d’épée sur son bouclier, celui-ci se brisa en morceau. Arf l’autre con de teuteu avait forçé un peu dessus tout à l’heure. Cicatrice empoigna le kro et le fit valdinguer sur une porte qui s’ouvrit dans un grand fracas. C’était trop facile
-Sale fiente, ce que je veux je le prends par la force tu comprends ? et ça été pareil avec Luciona, elle voulait pas ecarter les cuisses mais elle a finalement cédé la garce !
Ils étaient devant un petit escalier menant au clocher. Kro était par terre, Cicatrice referma la lourde porte et la bloqua avec une poutre. Puis il lui attrapa les cheveux et commença l’ascension.
-Je m’en vais aller te faire voire le paysage mon gros.
Une fois arrivé en haut du clocher Cicatrice déposa le Kronembourg sur le sol et fit tomber sa massue a clous afin de sortir ses deux épées.
-Je veux que tu ressentes ce que j’ai ressenti moi-même quand j’étais sous la glace. J’ai appris un coup d’un teutonique lui-même.
Kronembourg était assis, Cicatrice posa le plat des épées sur chacune des deux oreilles, et dans un mouvement synchronisé les écarta afin de prendre assez de recul, puis PAFFF un grand coup sur les oreilles. A coup sur le kronembourg n’entendrais plus rien pendant un bon bout de temps. Il tomba allongé sur le sol se tenant les oreilles. Cicatrice était au comble de l’excitation. Il se retourna pour voir le paysage. La lune brillait de son plus bel éclat. Un vrai régal pour les yeux.




bridgess1961 a écrit:
.

[En Bas du clocher]

Bridg se hâta presque trop, elle failllit tomber à quelques reprise, pour finalement arriver à l.Abbatiale Saint Benard

*Les cloches faut sonner les cloches encore et redonner l'alerte!*

Bridgess arriva dans l'église et se dirigea vers les cordes des cloches, il fallait avertir tout le monde que les renforts etait arrivés.

Elle sauta et lentement la corde sous l'effet du poid descendit et le premier son se fit entendre

et puis:


DONG DONG DONG DONG



Kronembourg a écrit:
.

Le coup d'épée avait servi à peu de chose : Juste briser le bouclier du balafré qui en profita pour cogner Kro contre une porte qui craqua sans mal sous la violence.

Kronembourg se fit alors tirer la tignasse comme un beau diable en essayant de résister mais le damné de Cicatrice semblait en cet instant être doté d'une force surhumaine.
D'ailleurs c'était sûr, il n'avait en lui plus rien d'humain.

Kro se faisait trainer la carcasse jusqu'en haut des escaliers, instants durant lesquels seules les visions de Luciona et de ses trois enfants venaient le hanter : Ses yeux ne voyaient plus, ses oreilles n'entendaient plus ; il était dans une sorte d'état de choc, d'état second, comme au fond d'un gouffre sans fin.

Puis apparut la lumière. Un clocher.
Enfin quelque paysage connu. Des couleurs, des reliefs, bref, autre chose que tous les couloirs sombres que Kro avait parcouru pendant des heures.

Mais en cet instant il voyait à peine le décor de ses dernières secondes : il se laissa jeter contre un mur, assis, sans réagir.
Sa vie d'ailleurs n'avait plus aucune importance puisqu'il savait que jamais il ne connaîtrait tous les chemins menant à la vérité de son existence.

Il ne savait plus qui il était et d'ailleurs, ça lui importait peu.
Il vit l'autre lâcher son gourdin pour sortir deux épées qui lui fracassèrent les oreilles.

Gnaaaaaaaiiiieeeee !!!!!!

La plus grande douleur qu'il ait jamais connu.
Il n'y eut soudain plus de son, plus rien, que du silence.
Et l'image du balafré triomphant à un tel point qu'il ne le regardait déjà plus.


En quelques secondes pourtant tout bascula.
Sans raison apparente Cicatrice se mit à se prendre les oreilles lui aussi : Le Dugland commençait même à se tordre de douleur comme si un son épouvantable lui strillait les oreilles et, à voir le rictus qui déformait complètement son visage, être sourd en cet instant et en ces lieux semblait être une bénédiction.

C'était le moment où jamais.
Kro se saisit de la massue à clous que l'imbécile avait laissé posée à terre et la prit à pleine mains.
L'autre était toujours tordu, suffoquant comme un damné. La position idéale pour se prendre un bon coup de gourdin en pleine cicatrice.


TIENS DUGLAND, ET PENSE A TOUS LES MOINES QUE TU AS TORTURES !!!!!
Hurla Kro en lui plantant les clous en plein crâne.
Le sang jaillit, comme une fontaîne, à divers endroits de la cicatrice du balafré.
Et comme pris de rage Kro rabattit la massue une seconde fois sur lui, avec fureur, arrachant au passage un morceau de cervelle du pauvre cinglé qui, comme pour le salir une dernière fois, projeta vers son uniforme une coulée sanguinaire qui matérialisa le terme définitif de sa vie.
C'était fini.



Cicatrice a écrit:
.

Cicatrice était en train d’admirer la vue lorsque les cloches derrière lui se mirent à tinter et tinter. Le bruit était insoutenable. Il tentait de se cacher les oreilles mais rien à faire !
Puis il sentit un petit picotement derrière la tète suivi d’un choc et d’une intense douleur. Puis un deuxième coup. Il se retourna pour voir le visage de son fre… mais déjà la vie le quittait, il recula et senti le vide derrière lui. Le clocher s’éloignait. Il s’écrasa comme une m****, car on ne peut pas dire autrement !
Puis la douleur disparue. Cicatrice se releva et épousseta ses vêtements.

*Sacrée chute nom de diou* se dit-il en regardant le clocher d’en bas. Puis il regarda le sol et vit…son corps inerte. Une flaque de sang coulait depuis sa tête. Il n’eut pas le temps d’admirer le spectacle car derrière lui un bruit venant du ciel le fit se retourner.
Un charriot semblait venir de la lune. Il se rapprocha et s’arrêta prés de lui. A son bord une flopé de nains qui avaient tous le visage du…. Farfadet !!!

*Bon dieu de défection de bordelum*
Quelqu’un toqua a l’épaule de Cicatrice un archange se tenait la avec son visage monstrueux.
-Nous sommes venus te chercher mon ami, on t’a préparé une petite fête là-haut sur la lune. C’est que tu nous en as envoyé des âmes damnés.
Le petit rictus sadique de l’archange ne sentait pas bon du tout.
-Allez chargez moi ça les nains, Cicatrice se retrouva ligoté dans le chariot
-Mais avant on doit te délester de quelqu’un car nous ne pouvons l’emmener avec nous.
L’archange fit signe aux nains. Ils commencèrent avec des lames de couteau très fines a découper la boite crânienne de Cicatrice afin d’extraire Boulgrouche de la.

Le chariot repartit en direction de la Lune et Cicatrice ne put se permettre qu’un long crie de douleur pendant le trajet.


HHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.
Enosch
[Le campements des soldats sans et avec banniere]




Kronembourg a écrit:
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Il était las, épuisé, tourmenté, trimballant avec lui le corps inerte du chef de la bande qui, tout au long de la redescente des couloirs, lui avait dégouliné dessus.

Lorsqu'il fut enfin arrivé au campement de défense de l'abbaye, Kro n'était plus qu'un homme maculé du sang de son ennemi. Le camp était désormais occupé par une trentaine d'hommes prets à prendre les armes.
L'aurore pointait seulement le bout de son nez sur ce paysage désolé, ravagé par les combats.


Kro déposa à terre le corps de Cicatrice d'un geste presque respectueux.



Voilà, c'en est fini. Tout le monde peut retourner vaquer à ses occupations et nous, nous pouvons lever le camp.
Quant à moi j'aimerais voir le frère Roger. Je n'entends pas encore le son de l'église célébrant mon baptême.



Ce qu'ignorait encore le pauvre bougre de Kro, c'est qu'il était resté sourd depuis qu'il avait accusé le coup des deux épées cognées contre ses oreilles.
Ceci dit cela n'aurait rien changé : Aucune cloche n'était en train de sonner pour lui. La seule cloche en présence dans ces lieux, ben... c'était lui.



Il regarda une dernière fois le cadavre de Cicatrice comme pour s'assurer que celui-ci était bien mort.
Chose curieuse : le balafré s'était vidé de toute sa cervelle durant la redescente jusqu'ici.
Mais Kro n'y preta pas vraiment garde : Il ne serait plus jamais le même homme après tout ce qui s'était passé là-haut.




Nain tolérant a écrit:
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Le Nain tolérant parti mais ce n'était que diversion ... Il trouva des fleches enflammable que l'un de ses compagnons avait fait tomber... il les ramassa et mis le feu a l'une d'elle et il l'a donna au farfadet et lui dit :

Tiens ca peux les faire cramer vif approche toi d'eux et balance les sur eux moi je m'occupe de la fille qui m'a botté les fesses!!


Il s'élanca sur la fille qui ne pus l'esquivé étant blessé et mis le feu a son acoutrement

Vive les brigands!!!
et il lanca ensuite sa fleche sur le cheval et les chevaux devinrent fou faisant tombé et piétinant leurs cavaliers

Prenez ca !!!
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