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[RP]Attaque de l'Abbaye de Noirlac

Enosch
[LE REFECTOIRE]


kamazone a écrit:
Double, non triple impact: Bras, tête, séant !

Kamazone en tombant aperçoit la furie du novice...

*pff personne veut s'occuper de ses jupons à celle là???*

Telle une lavette servant à rendre les tavernes glissantes, elle git lamentablement étalée. Pour l'égo, pas grave..habituée.

-bordelum la bosse sur le front !!!

comment va t'elle la dissimuler?

En attendant de reprendre ses esprits, elle se glisse sous une table, enfin sous LA table que Tik n'a pas renversé.
Enosch
[LE REFECTOIRE]



Rosalynde a écrit:
Rosalynde suit le mouvement et s'engouffre dans le refectoire. Les moinillons tous assis autour de la table ont les mines qui vacillent entre peur et incrédulité.

Kama menace du fouet et les tetes des moines sursautent chaque fois qu'il claque dans les airs.

/SPAN>
Citation:
- Alors lequel je flagelle? et dites vite où est le pinard..pas envie de m'attarder dans cette ambiance de sainteté.


Soudain une " collet montée " sort de son coin et saisit le fouet de karma qui se retrouve étalée au sol comme une carpette.

Citation:
*Hey les frères qui va m'aider?*


Les moines se regardent entre eux, à savoir qui se lèvera le premier.

Rosa arrive derrière la femme et la saisit par les bras, en lui faisant lacher le fouer, et la plaque par terre, un genou dans le dos et s'écrit :

Hey !!! les moinillons c'est pas le moment de faire les formules de politesse.










Enosch
[LE REFECTOIRE]



Malicia Chiabrena a écrit:
[Quelques minutes auparavant.]

Chia s'était réveillée en sursaut réveillée par un bruit de cloche. Une fièvre et des nausées l'avaient clouée au lit après avoir manger un fruit... qui n'avait pas le goût d'une poire. Ou alor était cette bouteille d'alcool de prune qu'elle avait vidé avec un de ses confrères cette nuit?

Elle s'était précipiter autant qu'elle l'avait pu dans les couloirs des cellules, se tenant de temps à autre au mur qui tanguait.encore un peu Sa tête était devenue moins lourde que la veille et elle commençait de nouveau à réassembler ses idées : pourquoi les cloches? un incendit? l'arrivée d'un dignitaire? un moine saoul à transporter de nouveau au lit? ...

Chia était maintenant devant la porte du réfectoire, remplie de ses braves moines qui se regardaient eux aussi surpris par le bruit des cloches. Certains bondirent vers la sortie. D'autres prenaient le temps de se découper une dernier morceau de pain et entamait la journée d'un premier. Chia avait seulement besoin d'un verre d'eau. Et d'une chaise pour s'assoir. Elle et son gros ventre.

Elle en était à plaisanter avec un des novices sur la mauvaise habitude du Père Bardieu de trop boire en semaine et de ne pas se réserver assez pour le Vin de messe dominical, lorsqu'une porte s'ouvrit sur un olibrius qui aurait pu avoir le qualificatif de jovial si ses paroles 'avaient pas été si ... parlante...


Zouuuuuu... Meseigneures, 'vient vous informez qu'm'sieur Tik vous démet d'vos richesse, veuillez lui indiquez gentil'ment ou s'trouve la p'tain d'cave a vin et vous mettre a portée d'bottes aux fesses sans faire d'histoire, merci..



Chia n'avait pas l'esprit très clair, mais elle savait que son corps lui intimait de ne pas se lever.
Autour d'elle les moines se levaient le plus doucement possible craignant une bastonnade... Ils auraient du craindre le fouet...

Une femme élancée et les yeux sadiques savourait chaque claquement de son appendice de cuir.
Chaque femme trouve plaisir dans ce qu'elle peut... se dit Chia dans un éclair de lucidité. Les nausées reprenaient...

Mais voici maintenant la femme démone à terre, le fouet arrachée. Chia ne connaissait pas cette recrue de l'abbaye mais loua son agilité.

Bravo ma soeur, dit-elle l'air vaguement à côté de la plaque? comme si elle regardait une pièce d'un théâtre ambulant, en simple spectatrice oisive.

Cependant le grossier était toujours à l'oeuvre et tyranisait les moinillons leur faisant remonter jusqu'au genoux leurs toges pour voir s'ils avaient des ...


mollets de coq ou de pourceau?

Chia ne put s'empêcher de répondre "coqqqqqq" comme un enfant, presque enthousiaste qui Guignol.

Du coup, l'homme reportait son attention sur elle.

Elle était encore grisée de la veille et lui dit lui tendant un verre de vin rouge qui trainait sur la table:


Un petit coup pour la route?

Et elle se sentit minable.
Enosch
[LE REFECTOIRE]

Enosch venait de se faire reperer par une espece de nabot au bec puant, et le fit rouler a travers la piece. Les côtes en miettes, il entendit:

Citation:
GROOOOS BOOOOOOOOOB !! Viens m'crucifier ça boudiou !! Aidez moi les autres on va l'faire parler !


Il ne put que repondre:

JAMAIS! VOUS M'ENTENDEZ? JE NE VOUS DIREZ RIEN!!
Enosch
[LE REFECTOIRE]



bridgess1961 a écrit:
Bridgess avait de la difficulté à respirer sous le poids de cette autre intruse.Elle graffigne le sol pour finalement avoir assez de sable dans sa paume, puis tournant la tête de cote elle vise et lui lance au visage, surprenant son adversaire. Bridgess lui mordit a pleine bouche la cuisse pour que cette dernière se soulève un peu du moins, ce qu'elle fit. Ayant moins de poids sur son corps elle put se dégager de l'emprise, mais elle n’avait plus d'armes. Elle sauta donc sur cette femme qui lui voulait du mal, s'ensuivit une vrai bataille style griffe sortis et coups de poing par alternance. Bridgess espérait de l'aide qui tardait à arriver. Elle lui ramassa la crinière et lui mit un bon coup de poing au visage, puis se reculant lui donna un bon coup de pied sur le tibia. La femme se penchant suite au mal de son tibia, ramassa un coup de genou bien placé sur le nez. Bridg avait au même moment dans ce combat, des flashes, des événements oubliés qui lui arrivait en mémoire, elle n'avait pas le temps pour la réflexion, elle y repenserai plus tard, maintenant se protéger et aider ses amis(es).
Elle espéra que Malicia l'aide un peu tout de même!
Farfadet
[Réfectoire]

L'Farfa, ben trop confiant n'a pas l'temps de s'dmander ce qu'y lui arrive qu'y roul'boule au loin.
AAAAAAAAH ! GNOU QU'ELLE EST MA TAUPE ?!
La voit au loin. S'moinillon va payer pour les 2 jours où l'comté l'avait obligé à travailler à l'église alors qu'il était qu'un vagabond tiens ! Pris d'une pulsion y lui balanche sa hache de toute force.
Mouarf raté. J'suis un peu con d'l'avoir jetté tu m'diras. Surtout pour l'rater... Aaaah raté raté raté ! Heureus'ment qu'je m'sépare jamais d'ma rame.
Alors dans ses pensées les femmes commencent à hurler et à s'foutre sur la gueule. Y laisse un peu sa cible et s'mit à r'garder ce spéctacle des plus... réjouissant !

_________________
Enosch
[LE REFECTOIRE]
Enosch sentit une masse froler sa tete...mais son attention c'etait reporté sur Bridge.
Dieu qu'elle pouvait être belle dans le désespoir du combat...
Il voyait la scene au ralenti...
Puis son attention fut prise par la vision des compères du Nain qui ramenaient la grande croix de l'entrée de l'Abbaye.

*Non ils n'oseraient tout de meme pas faire ça!*



Il tenta de se relever et dans un élan fonça tete baissé vers le nain.
Celui-ci senti le coup passer bien fort dans son ventre et s'ecroula à terre.
Enosch
[Le Réfectoire]

Rosalynde a écrit:
Le nez en sang, les cheveux en bataille, le tibia enflé et l'esprit un peu secoué, Rosalynde se relève la main sur le nez et les yeux pleins de furie se rue sur la femme qui l'avait mise dans cet état, fonçant tete baissée dans son estomac. Le choc si fort la destabilise et la fait tomber, pendant que l'autre se plie en deux en se tenant le ventre. Aussitot au sol, aussitot debout, Rosalynde met les mains par terre pour se relever et hop debout. Décidément ses jupons la gènent. D'un geste vif, elle déchire le bas de sa robe et de ses jupons, quand ses yeux se posent sur le fouet qui traine par terre. Elle se rue dessus pour le saisir avant qu'une autre main ne le fasse. Puis se retournant vers la femme, avec des étincelles dans les yeux.

Allez donzelle !! Tu vas danser maintenant !!

Et le fouet claque aux pieds de la femme qui commence à sautiller.

Plus vite !! Plus vite !!
Enosch
[Le Réfectoire]

bridgess1961 a écrit:
Bridgess leva les pieds pour éviter le fouet.
*Mais ils sont tous zinzins, on n’est pas dans une ecurie.*
Le claquement était sec comme si.... nul doute cette femme semblait savoir comment agiter les fouets. Elle pouvait lui faire très mal, la blesser même gravement, mais cela ne semblait pas être son but. Cette femme semblait s'amuser de voir la peur dans les yeux des autres.
Bridgess cria :

-Arrête ! Arrête !
Mais rien n’y fit les yeux de la femme était malicieux et pervers. Elle comprit qu'elle n'arrêterait pas et que sa demande était vaine, elle courut entendant le coup derrière elle, puis une brulure déchira le mollet de Bridgess qui tomba sous la douleur, les coups cessèrent un bref instant, Bridg vit son manche, le saisit mais le sang coulait de sa blessure. Etait-ce pour cela que la femme avait arrêté ses gestes ?

Les yeux de Bridg étaient en larmes dû à la douleur. Bridgess vie une table non renversé, y couru et pris un pichet remplit de vin. Elle lui lança. La femme fit le mouvement pour l'éviter mais reçu tout le liquide qui lui plaqua ses habits au corps, Bridg espéra que cela l’empêcherai de bien bouger mais rien n’étais moins sur. Elle était forte cette femme. Le temps de dire amen et Bridg se retrouva encore sur la femme à faire du corps a corps, elles tombèrent sur le sol rendu trempé. Et elles furent couvertes de boue, Bridg tenta de lui dire faut cesser on ne se connait même pas, y’a pas de raison pour ce faire ca !
Bridg se défendait bien mais elle faiblissait. Tout de même une journée de lutte ça elle ne connaissait pas.
La femme riait elle aimait la lutte, Bridg n’y comprenait guère rien.

Les habits commençait a être déchiré mais cela ne semblait en rien gêner la femme.
Puis sans savoir pourquoi la femme relâcha Bridgess.
Bridg n'en demanda pas plus, non cette fois valait mieux se sauver, tout simplement pour reprendre des forces.
et attendre les secours.
Kamazone
[dans le réfectoire]

Du dessous de sa table, kamazone observe la scène et n'en croit pas ses yeux.

Rosa met une sérieuse déculotée à la gueuse du novice, tout en finesse et légèreté



* comme c'est bon, faudra que je pense à lui donner quelques cierges en récompense
*


Enosh, le sale cafteur qui a donné l'alerte est le séant sur le sol, la tête dure et tordue du nain lui ayant sans doute ôter toute envie de copuler pour un bon moment

*rrooo c'est la gueuse Bridg qui va être déçue...elle semblait en avoir besoin*


Une douce illuminée offre un verre de vin à Tik. Nan mais sérieux elle a vu tous les saints en rêve ou quoi elle? doit pas vraiment pratiquer l'abstinence elle...


* arff il va lui faire avaler son verre de pinard...boit jamais au verre lui...en parlant d'alcoolo, il est où le grander?*


Et la touche final, l'farfadet qui au lieu d'agir pour la noble cause regarde les yeux dégoulinants de concupiscence le combat féminin en train de se dérouler....

- pffff venir mater de la donzelle déchainée dans un abbaye...vraiment c'est pas le moment lui lance t'elle sur un ton moqueur

D'un bond elle surgit de sous la table, enjambe d'un geste leste Enosh et se précipite vers l'endroit où elle pense que la cave à vin se trouve, et met au passage une tape derrière la tête du Farfa pour le sortir de ses graveleuses pensées.

Le reste des moinillons, toujours bouche bée, restent stupidement plantés comme des croyants aristotéliciens écoutant le prêche du père Groar.
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Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main - Sicaire Morte

Enosch
[Place du Village de Saint-Aignan]


Moine a écrit:
Un jeune moine arrive tambour battant sur sa monture. Il se met à crier à la volée aux villageois présent sur la place publique:

-A l'aide nobles gens, notre Abbaye vient tout juste d'être investi par des fous sanguinaires sans pitié, de grace venez nous-en aide...Prevenez la marechaussé, l'armée, mes frères sont en train de se faire massacrer.
Faites passer le message !



Le moine repart au triple galop en direction de Chateauroux.
Auguste
[Au réfectoire, en train de regarder les combats féminins]

Auguste suivait les brigands jusqu'au réfectoire. Kamazone s'amusait à mouillé les jupes des moines avant tout le monde se batte sauf le blondinet qui restait à la porte, surveillant de temps à autre si des renforts ne venaient pas tout en observant le combat féminin... Il devrait pas, il n'était plus célibataire comme avant mais il faut bien apprécier ce que la nature offre.

Alors que les combats faisaient rage, un homme arriva et se dirigea tout de suite dans un coin de la salle. Haussant les épaules, le jeune brigand s'assit puis prit un verre pas encore terminé pour le vider cul sec.

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"Protégez moi de mes amis, je me charge de mes ennemis..."
Auguste
Malicia Chiabrena

[Au réfectoire]

Chia venait d'offrir un verre... refusé?

Tant pis, elle prit la bouteille et s'avança tout en buvant quelques gorgées au goulot, vers un autre homme, plutôt jeunot aui venait de s'installer à une table.

Hep! Le marmot ! Tu veux un verre? C'est pas du vin que vous venez chercher ici? *tapotant a bouteille* Celui-ci est un bon cru!

Chia se sentait mal. Elle se pencha par dessus les épaules du brigand pour lui en resservir un verre qu'il venait de vider. Des relents d'alcool remontait doucement, puis s'accélérèrent d'un coup remontant le trajet de la gorge... et le contenu liquide vint s'étaler sur la cape du jeune brigand.

Mille excuses...

Mais Chia se sentait déjà mieux.
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"Protégez moi de mes amis, je me charge de mes ennemis..."
Auguste
Auguste tenait son verre, continuant de regarder la scène. Alors que ses yeux ne quittaient pas les cuisses de certaines demoiselles, une ivrogne l'interpella en le surnommant "marmot".

Je m'appelle Auguste et je suis pas un marmot...

Le blondinet la dévisageait, réfléchissant à ce qu'elle lui voulait. L'attaquer ? Elle allait être surprise.

Du vin, de la bière, du rhume, des bijoux, des écus et...

Il s'arrêta. Le jeune brigand avait l'intention d'ajouter à l'énumération "femmes" mais non. Sara n'aurait pas aimé.

Je crois que dans ton état, tu remarquerais même pas si tu buvais du sang de vache.

Auguste éclata de rire mais allait le regretter dans quelques instants. Le Très-Haut serait il contre lui ?
Alors que la dame se penchait pour lui servir du nectar alcoolisé, c'est autre chose qui sortit non pas du goulot de la bouteille mais de la bouche de l'inconnue.


Par l'Enfer et tous les démons ! Tu peux pas faire attention ?!

Tout en se levant, il fixait la beurrée d'un regard noir.

Elle avait l'air réjouit de ce qui venait d'arriver. Le blondinet crut qu'elle avait fait exprès.


Le brigand détacha la corde qui retenait sa cape et la laissa glisser jusqu'au sol avant de s'approcher de la bougresse.
Une fois juste devant elle, le brigand la gifla violament et la regarda gesticulait à terre.

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"Protégez moi de mes amis, je me charge de mes ennemis..."
Kamazone
NEOCOR

[Dans le refectoire]


neocor a écrit:
Arrivant d'un bon pas, la stature haute malgré sa grande maigreur, Neocor, ancien moine combattant vit sa Soeur Malicia en mauvaise posture... Il met la main à sa poche et en retire une pochette de sel propre à faire reculer la malin -on ne sait jamais, il pourrait s'agir de la créature sans nom- et projette en tous sens...

Il reste un moment à regarder les effets de son geste, puis se rapproche de sa Soeur...


Malicia, ma fille, qui sont donc ces gens qui, à ce qu'il me semble, ont désir de vous perturber ?

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Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main - Sicaire Morte

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