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[RP] Le manoir d’Ar Govelioù en fête !

Missanges
Ce que nous craignons par- dessus tout, lorsque nous donnons une fête, c’est sans doute la pluie. Craindre que les invités salissent leurs belles toilettes en descendant de leur attelage mettant leurs pieds dans l’eau boueuse ou bien que les gouttes défassent leurs belles coiffures…Mais en Bretagne les gouttes ne sont pas les mêmes que dans les autres endroits du royaume. Elles sont gorgées de prunàvampi et abreuvent avec joie chaque breton !

Ce fut donc avec un soulagement, la tête calée entre mes oreillers, que je regardais un rayon de soleil s’insinuant dans la chambre. Rejetant le drap, je me levais d’un bond et j’écartais les tentures obstruant le jour. Le ciel semblait sans nuage et le soleil dardait ses premiers rayons.
Peut être que chaque invité faisait la même chose et ressentait le même soulagement, du beau temps !

Et lui ressentait-il la même excitation, perlée sans doute d’une pointe de peur à l’idée que le grand jour était enfin arrivé.
Oui enfin !
Cela avait pris de nombreux mois avant que ce jour soit là et j’étais contente de cela. Mes yeux se perdirent sur la vue qui s’étalait devant moi et, sans regarder un point précis, j’essayais de me rappeler ce jour d’août 1459 où il avait rejoint l’encyclopédie dont tous les capitaines avaient laissé dériver cette institution par manque de temps. Et tous les deux nous avions navigué sur la mer des mots, au gré de cette encre qui ne s’assèche jamais depuis.

Pour lui, aujourd’hui le manoir d’Ar Govelioù était en fête. Le nombre impressionnant de fenêtres de la bâtisse avaient été nettoyées du rez de chaussée au premier étage sans oublier celles plus petites du deuxième étage.
Les hautes colonnes de granit encadrant les grandes marches en pierre avaient été lessivées et le magnifique jardin s’était vu composé de parterres impeccables.
Tout était prêt !
Trois petits coups brefs à la porte, pas le temps de dire ‘entrez’, que les trois ancêtres de Kastell faisaient irruption dans la chambre.


-Tu comptes bailler aux corneilles encore longtemps ?

-Je préfère bailler au corbeau blond !
-Ma doué ! La voilà qui a toujours de la répartie !
-Ben remue-toi, il y a déjà des invités qui piétinent le jardin, si c’est pas du possible de se percher sur des talons qui trouent la terre.
-On inventera un jeu reboucher les trous : un jardin party. C’est très mode ! Tu as quoi dans ta grande boite ?
-Un truc très mode qui vient de la boutique de Tréguier !
Ouvrant la boite je ne pus retenir un cri…
-Oh !! Imagine a confectionné une merveille. Ma main passa sur la robe et je souris
-Allez en attendant que les invités arrivent nous allons te préparer..
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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Anastriana
[château de Rohan]

Depuis plusieurs jours, le château est en ébullition. Déjà parce que la chaleur suffocante vous fait tourner les sangs, et surtout parce que le Grand Duc et toute sa cour, occupent l'étage supérieur de la tour ouest du château depuis plusieurs jours.
Qui plus est, l'escorte personnelle du Grand Duc, composée de plusieurs membres de l'Ordre des Trente, a dû transmettre sa mission de protection du souverain aux Pennher Ar Lug, une urgence les attendant ailleurs. Ana doit donc assurer à la fois la protection et le confort du Grand Duc, jusqu'au retour des Trente. Une situation propice à faire monter la tension de la duchesse du rohannais.

Ce matin-là, la cour du château résonne des pas des chevaux, les palefreniers, sous les ordres du connétable du château, les amènent, harnachés avec une sellerie ornementée, des selles et des brides de parade. Deux carosses, l'un tiré par les deux grands carossiers qu'Ana a offert au grand Duc, l'autre tiré par deux bretons alezans, n'attendent plus que ceux qui doivent les emprunter, pour se rendre sur les terres Ar Govelioù, chez la vicomtesse Missanges de Kerrandic.
Parce qu'aujourd'hui, c'est jour de fête, c'est jour d'anoblissement! Les terres du rohannais, vont bientôt avoir un nouveau seigneur, quelqu'un dont le mérite, bien que discret, n'en est pas moins immense. Les petites pattes qui travaillent dans l'ombre, ont toujours eu les faveurs d'Ana.

Le Grand Duc séjournant actuellement sur ses terres, c'est une belle occasion de pouvoir l'avoir à cet anoblissement, et il avait accepté l'invitation avec plaisir quelques jours plus tôt. Ana a donc organisé le convoi, pour qu'ils puissent voyager en toute sécurité, escorté par les Pennher Ar Lug. Comme toujours, elle confia cette mission au chef de sa garde, le chevalier de Saint Maudan.

Elle sort dans la cour, habillée d'une robe gueule et or, comme souvent. Elle grimpe dans le carosse qui lui est réservé, le voyage, assez court, ne sera pas long, mais la chaleur intenable l'a obligé à demander aux cochers de ne pas faire aller les chevaux trop vite, inutile d'harasser des animaux de valeur pour rien.


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[Vicomté des Forges... Et du marteau, et du clou, et de l'enclume... Comment ça c'est la blague de Riwan?!]

Ils arrivent chez Missanges, aussitot descendue, Ana demande si le Grand Duc va bien, si la chaleur ne l'indispose pas trop, et donne rapidement des ordres pour que les chevaux reçoivent les soins nécessaires. Elle interpelle un valet quelconque et lui lance:

"Allez prévenir la vicomtesse que sa suzeraine ainsi que le Grand Duc de Bretagne sont là je vous prie. Et indiquez-nous un endroit ombrageux où attendre."
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Rowenda
[Château de Rohan au matin]

Le chevalier de Saint Maudan en l’occurrence ce serait bien passer de cette mission, il détestait toujours autant les responsabilités et sa mère prenais un malin plaisir a lui en mettre sur les épaules, et cette fois elle avait pas chômer, elle lui confiait la vie du Grand-duc ! Rien que ça, sans rire, la vie du noble le plus important de Bretagne tout juste couronner par les nobles assemblés, ce qui voulais dire qu'une partie des nobles n'avaient pas due être d'accord et serait ravi de voir une tête couronnée rouler au sol.

Pestant contre sa mère il avait fait rassembler les Pennher ar lug, le régiment était présent au complet dans la cour du château, il désigna deux compagnie pour s'occuper de la sécurité du château de la famille et de l'ordre avant de répartir la dernière sous les ordres de son frère, d'Azarelle, et son propre commandement.
Les routes de Bretagne étaient certes sans doute parmi les plus sûres du monde connu, mais ce serait tout de même pas moins d'une cinquantaine d'homme qui allaient veiller sur la personne de Riwan nathan de Brocéliande.

On ne rigolais pas avec la sécurité dans la famille, 20 fantassins marcheraient aux cotés des carrosses pour en assurer la sécurité répartie entre lanciers et arbalétriers afin de parer a tout danger. D'autre part 6 éclaireurs répartis en paire surveillerais l'avancée du convoi prévenant des embuscades en se plaçant a l'avant et sur les flancs du petit convoi. 14 cavaliers dont son frère et lui même circuleraient le long de ce convoi afin de rester en alerte et de pouvoir protéger les passagers de marques en brisant si nécessaire une charge ennemi.
Enfin les 10 hommes restants sous le commandement d'Azarelle formaient l'arrière-garde, prête a intervenir en chargeant dans la mêlée au moindre signe d'alerte, ils seraient a moins d'un quart de lieue pour rester discret mais pouvoir agir assez vite.

Ne portant que sa cotte de maille lui même seraient le plus clair du temps en tête du convoi pendant le voyage, tout les sens en alerte, tant que le grand duc ne serait pas en sécurité au domaine de la vicomtesse il ne relâcherait en rien son attention.
Et encore, une fois sur place, il se tiendrais non loin de ce dernier une fois ses hommes placés autour du domaine de Missanges afin d'en assurer la protection, Elim, Azarelle et lui seul serait a la réception pour des raisons d'étiquette. Mais des soldats filtreraient les entrées et se tiendraient au points stratégiques.

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"L'ancien forum ou rien !"
"J'aime les censeurs !"
Fanchig, incarné par Missanges
"Allez prévenir la vicomtesse que sa suzeraine ainsi que le Grand Duc de Bretagne sont là je vous prie. Et indiquez-nous un endroit ombrageux où attendre."

Miss avait laissé des consignes, chacun savait ce qu’il devait faire. Lui devait réceptionner les chevaux, les bichonner, veiller à leur confort.
Il savait qu’il y aurait du monde lors de cette cérémonie mais le Grand Duc, Miss n’avait rien dit de tout cela.

Dévisageant la Duchesse du Rohannais qui venait souvent rendre visite à Miss, Fanchig la regardait sondant ses yeux afin de voir si cela était vrai puis il vit la couronne et s’inclina respectueusement. Prenant rapidement les chevaux, très mal à l’aise dans ce genre de protocole, c’est qu’avec Miss tout était simple et du coup il ne savait pas vraiment comment il devait courber l’échine. Depuis son très jeune âge seul les chevaux était sa préoccupation.

Demat duchesse vous pouvez vous avancer dans la salle de réception, des personnes vont s’occuper de vous.
Pepita
La Roussette était venue la veille chez son amie Miss pour l'aider à recevoir tout un troupeau pour l’anoblissement d'elle ne savait même plus qui...Il faut dire que la tornade rousse avait une mémoire de poisson rouge, même si elle pouvait pousser des miaulements...de chat!

Elle s'était levée bien plus tôt ce matin là qu'à l'accoutumée pour se pomponner. Armée d'une brosse dans la main droite et d'un fouet dans la gauche elle tenta de dompter sa chevelure rebelle. Après plusieurs grognements et des cheveux arrachés, elle réussit à'arranger sa chevelure afin de paraître un minimum coiffée : malgré quelques mèches qui lui tombaient dans le cou, son chignon tiendrait le temps de la soirée...
Elle enfila sa robe pourpre qui mettait sa chevelure rousse et ses yeux verts en valeur. Elle s'allongea sur le lit pour lacer la robe en prenant une grosse inspiration : le chouchen de ses dernières semaines en taverne s'était mis dans ses plis... Quelques difficultés à enfermer son ventre et ses hanches dans le corset, mais grâce à une apnée prolongée, elle parvint à emballer le tout...Elle avait mis sa plus belle robe pour accueillir les invités de haute gamme. Manque de chance, dans la bataille, ses cheveux rebelles avaient vaincus le chignon qui ne ressemblait déjà plus à rien. Elle soupira et finalement opta pour une coiffure plus que naturelle : elle détacha sa chevelure flamboyante!! Rien ne valait le naturel, surtout quand l'heure n'était plus à la préparation...
Bref elle s'était mis sur son 31 même si on était que le 20...

Elle sortit et courut vers les premiers invités sourire aux lèvres...



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Tualenn
La jeune demoiselle avait été invité. C'était bien la première fois depuis des mois qu'elle ressortait. Plusieurs fois elle avait été invité à des mariages, des fêtes ou autres et elle n'avait pas pu se déplacer à chaque fois. Ou alors elle se trouvait surtout une excuse quand ca ne l'interessait pas.

Mais là, c'était une cérémonie initiée par sa future belle-soeur, elle se devait de se déplacer et surtout Missanges était une des rares personnes qu'elle appréciait sans réserve.

Autre point non négligeable, elle était Reyne d'Armes maintenant et elle voulait un peu voir comment ses héraut allaient travailler.

Grand sourire à son arrivée, seule, pour arriver plutot tott et voir tous les préparatif, après tout elle allait être anoblie aussi dans les jours à venir, autant pomper chez les autres.

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Golda
Golda arriva, et vit que tous ses amis étaient présent en ces lieux.
Elle ne les voyait plus mais reconnaissait leur éclats de voix ou bien leur paroles sages.
Golda avait ressortit une robe du placard, une robe venant de russie si le souvenir de la trame était la bonne, probablement rouge, mais comme la nourrice de son fils état là pour l'aider à s'habiller, ils firent les quelques retouche pour qu'elle ne paraissent pas immense.



Puis elle se mit dans un coin, ou elle semblait être à l'aise et écoutait ce qui se passait pour l'anoblissement de l'ami de Missange, AntonSlavik .
Tiernvael.de.kerdren
Départ !
C'est l'heure du départ Tiernvael !

Oui bon, il n'était pas en retard pour autant se dit il, tout comme il se maudit de n'avoir prévu une petite marge puisque c'était pour lui galère de monter sur une monture.
Cependant il y arriva du premier coup et était habillé comme un ange.
C'est à dire de collants verts amoureux, d'une chemise soignée, de bottes raffinées, et pour clore le tout de sa ceinture habituelle.

Tiernvael arriva là où il devait attendre sa future belle famille, mais quelque chose l'intrigua.
Tualenn ne semblait pas présente.
Ni son cheval, ni jusqu'à même sa douce présence n'était décelable en ce lieu.
Comprenant qu'elle avait donc décidé de prendre de l'avance, il avertit un valet de son départ et chevaucha aussi vite que possible lorsqu'il fait déjà chaud le matin.
La bête semblait supporter et l'enfant s'en réjoui, heureusement sans doute qu'il voyageait léger.



[Vicomté des Forges, sans blague ^^]

Ce ne devait plus être très loin.
Les yeux tout petits pour distinguer le domaine, il força encore l'allure de son cheval infatigable, ou presque.
Ou presque, car lorsqu'il fut arrivé l'animal reprit son souffle doucement, les brides dans les mains d'un palefrenier qui l'avait accueilli avec un aimable sourire.
Oui, il était le frère de la vicomtesse, autant que ses collants verts puissent le confirmer.

Plus loin, c'était au tour d'une rousse d'être distinguée.
Se dirigeant à grands pas feutrés vers elle, il dit dans son dos.


Excusez-moi, jeune femme, sauriez-vous où est la Reyne d'Armes par hasard ?
Nous avions convenu avec sa famille de faire route ensemble mais ... mon petit cœur s'est mit en tête de la rejoindre, ne la trouvant pas au lieu de rendez-vous.
D'ailleurs, comment trouvez vous l'endroit ? J'avoue que je suis époustouflé par le travail de recherche de ma sœur.
Elle me surprendra toujours ...


Sourires et clins d’œils l'attendaient dès qu'il put poser son premier regard sur son visage.
Ce beau visage de femme aux traits fins et soignés.
De quoi émouvoir un cœur de collants verts, sans nul doute.

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Camille.
Intimidée et en admiration elle l'est. C'est toujours l'effet qu'ont les pierres sur la jeune femme. Elle n'y peut rien : les bâtiments majestueux ont l'aura des hommes qui se sont échinés à les dresser vers le ciel. Et le manoir d’Ar Govelioù ne dénote pas à l'ensemble. C'est donc en un petit trot léger que Camille s'approche des lieux, invitation bien rangée dans la sacoche de Tempête.

Se laissant glisser de sa monture, elle en confie les rênes puis présente le vélin pour être introduite. Elle a pour l'occasion choisi une robe d'Elizabelle qu'elle ne porte en général que pour les grandes occasions et quoi de plus prestigieux qu'un anoblissement? Il y a étiquette à tenir et elle s'y appliquait de son mieux.



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Ankou
Une lettre de plus ou de moins sur le bureau d’un maire, une lettre venant agrandir la pile des vélins qui s’entassaient rien de bien étrange la dedans sauf que la lettre semble différente des autres.
Posant la plume, mes doigts se saisissent de cette missive et mes yeux parcourent les lignes italiques témoignant d’une écriture soignée.

Long moment de réflexion …au moins trois longues secondes, ma décision est prise.
Plus de chiffres plus de compte le bureau du maire est fermé !

Après une toilette d’usage, j’endosse ma plus belle tenue et je me dirige vers l’écurie.


Après quelque ébats, heu… non débats, avec ma belle palefrenière, elle accepte enfin de seller Teñvaladenn.
J’enfourche mon étalon et en route pour le manoir.

La route de Brest au manoir est longue et c’est avec plaisir que je vois se profiler l’entrée du domaine.
Un homme s'approche et prend les renes de mon étalon.
je m'avance vers le manoir et entre.


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Pepita
La Roussette ne pensait pas qu'autant d'invités arriveraient aussi rapidement!! Qu'avaient-ils tous? Ils avaient peur de ne plus avoir de chouchen à boire? M'enfin d'habitude les nobles se pointaient en retard à une invitation pour être vus de tous et remarqués par l'assistance qui détaillait forcément les habits de parure et les bijoux brillants...

Elle fut donc surprise mais n'en montra rien et sourit aux arrivants de façon aimable et détendue malgré qu'elle ne sentait pas forcément à sa place au milieu de tout ce beau monde qu'elle ne connaissait pas d'ailleurs pour la plupart...


Bonjour à tous, soyez les bienvenus ici! Je m'appelle Pepita, suis une amie à Miss, je suis là pour l'aider à vous recevoir.
Elle leur sourit et leur demanda Vous souhaitez peut être un petit verre pour vous désaltérer après vos chevauchés respectives? De l'eau fraiche? du chouchen? un petit vin?

Elle attendit les demandes, prêtes à les servir avec prestance et rapidité...
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Hugo.
Le Prélat était également convié à l'anoblissement de son ami Briochin.
Ca n'était pas tout les jours qu'un Briochin devenait noble, le dernier devait être Nagirrok !
C'est dire l'importance de ce jour !
Dans sa soutane noire le Prélat se présente aux gardes qui l'informent du lieu de la cérémonie.
Profitant d'un espace confiné, le prélat escorté de son vicaire enfile ses vêtements liturgique, enfiler oui parce qu'il garde tout même sa soutane !
En pleine été, de quoi tomber raide comme après avoir abusé de la vipérine !
Avec sa chape doré avec deux Griffons brodés, son pallium, sa mitre, sa crosse, il s'avance dans la salle saluant les diverses personnes et attendant la suite des événements.

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Antonslavik
La respiration forte et longue, Anton tentait de se détendre. Le stresse l'envahissait à l'approche de la cérémonie. C’était la première fois qu'il allait se retrouver au centre d’un tel évènement, sous le regard de tous. De grands personnages de Bretagne seraient présents dont sa majesté Riwan de Brocéliande et tous ces amis. Anton leva la tête et se trouva face à son image, reflétée par le miroir de la chambre puis réexamina une nouvelle fois son costume d’apparat à la recherche du moindre défaut. Il avait choisi son habit habituel de couleur bleu et jaune, les couleurs de sa famille, avec sur son manteau l’association de l’hermine de Bretagne. La peur de ne pas être à la hauteur de l’évènement mettait à mal son enthousiasme. A cet instant, Un page frappa à la porte de la chambre puis, sous l’autorisation d’Anton, entra.

Mes hommages messire, sa seigneurie Missanges de Kerrandic réclame votre présence dans la salle de réception.

Le crac monta d’un cran à l’écoute du serviteur, le moment fatidique arrivait. Anton ferma les yeux et essaya de se reprendre. En ce jour de grâce 1460, Anton allait devenir un noble de Bretagne, grâce à Missanges. C’était aussi un grand moment pour elle. Il avait le devoir de lui faire honneur puis montrer à la l’ensemble de la Bretagne qu’il était digne d’accéder à la noblesse bretonne. Le page le sortit de ces pensées.

Messires …

Anton rouvrit les yeux et se tourna vers la porte de la chambre.

Oui, je vous suis

La traversé entre sa chambre et la grande salle lui parut très long. Anton se battait pour ne pas paniquer, effacer toutes formes de pensées négatives. La grande porte approchait, gardée par deux soldats de l'ordre des pennher ar lug. La présence de la garde grande ducale signifiait que des membres de la haute noblesse, voir sa Majesté, étaient déjà arrivés. Le stresse lui devenait insoutenable jusqu’à que les gardes se mirent à ouvrir la porte.
D’un coup, l’esprit d’Anton se vida de toutes pensées. Ces craintes avaient visiblement disparues. La salle de réception s’éclairait à lui, illuminée par son somptueux décorum s’écartaient et s’inclinèrent à son arrivé. Amusé, Anton avait déjà l’impression d’être un noble. Il croisa le regard de sa grâce Anastriana de Rohan devant laquelle il s’inclina. Anton lui devait beaucoup à elle aussi pour ce jour. Elle allait devenir sa suzeraine indirecte. Il croisa plusieurs visages inconnus, surement issus de la noblesse rohannaise et amis de dame Missange, qu’il salua et se présenta. Calmement il prit la direction du buffet afin de s’y hydraté.


Bonsoir gente dame, une coupe de vin, s’il vous plait

Au moment de recevoir le verre, son regard se tourna vers l’entrée quand un page annonça l’arrivé de Monseigneur Hugo Botherel, devenue archevêque de Rennes et son plus vieil ami. Il alla le rejoindre tout en l’invitant d’un geste de la main à faire de même.
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Anne_claire
La première fois qu'il était venu au domaine, Pouilloux n'était qu'un diacre, il faisait son tout premier Tro Breizh en compagnie de la maitresse des lieux, la vicomtesse de forges, Missanges. En passant dans la cour, il se souvient de son arrivée nocturne. De la découverte au petit matin du domaine. Missange lui avait laissé sa chambre pour aller retrouver et partager son reste de nuit avec sa fille.

Pouilloux retrouve le puit où le matin il avait été tiré de l'eau pour ses ablutions. Il lève d'instint ses iris vers la fenètre où Missanges lui criait de se dépêcher à rentrer ou bien de se couvrir plus en ce mois de février... Il ne la voit pas... Pourtant il se souvient fort bien de la scène....

Actuellement Pouilloux est en attente de sa nomination en France pour continuer dans la voie de l'Eglise. C'est un diacre qui était venue la première fois, c'est un évêque qui partira la cérémonie d'annoblissement finie.


Aujourd'hui, il vient avec plaisir dans ce domaine. Pas vraiment pour le principal intéressé, mais bien pour celle qui invite. Missanges est une personne pour qui le curé n'a pas hésité, et n'hésitera pas à se mettre en avant pour qu'elle soit reconnue pour ses justes valeurs. Et elles sont nombreuses les valeurs chez Missanges. l'appartenance à la Bretagne pour n'en retenir qu'une... Pas une appartenance de convention, mais celle qui se mérite, celle dont elle défend par ses actions, qu'elle fait découvrir à tous ceux qui poussent la porte de l'encyclopédie...

Habillé lui aussi par la couturière en vogue, la charmante Imagine de Tréguier, il entre dans le saon de réception et salue avec un grand sourire l'ensemble des invités en cherchant du regard Missanges.


Hutymberg
Tyty qui était un peu sonné par 2 journées de travail laborieuses. Arriva avec beaucoup de retard comme à l'accoutumée.

Il fallait reconnaître qu'il n'avait pas le coeur à la fête. Le Président Herv200 l'avait viré du parlement sous les applaudissements nourris du Duc Conte de Balmora.

Mais cela ne le destabilisera pas . Au contraire cette cette mise à la retraite devrait lui être très bénéfique pour revenir encore plus fort.


Alors mes amis Antonslavik et Missanges c'est une grande joie pou moi que de partager ce jour de bonheur, avec vous.

Assister à ces anobissements cela lui était arrivé une fois au chateau du Rohannais chez la Duchessse. Et il avait apprécié le couronnement de la Vicomtesse des Forges, Du baron de Trébeurden, et de la baronne de Langast.

De bien lointains et beaux souvenirs.

Et c'est avec joie qu'il regargait Missanges toute émue opérer avec Antonslavik


Félicitations à vous deux et longue route à nos côtés sur les routes de notre royaume.
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