[RP] Le manoir d’Ar Govelioù en fête !

Elle était restée un peu en retrait, regardant toutes les personnes présentes, les unes après les autres.

Elle était là par amitié pour Miss, par amitié pour Anton pour un grand moment qu'on ne pouvait ignorer dans une vie.

Elle attendrait un peu de calme pour aller les embrasser, souriante et attentive à tout ce qui entourait cette journée.
_________________

La tornade rousse regardait avec beaucoup de curiosité la cérémonie, n'en ayant jamais vu!
Elle trouvait cela particulièrement intéressant : le sire s'agenouillant devant Miss qu'elle trouvait rayonnante dans ce rôle qu'elle menait d'une main de fer dans un gant de velours ... Bref Miss était parfaite!
Elle regarda les uns et les autres pour voir les attitudes de chacun. Puis son attention revint sur les protagonistes : le sire se relevait.
Elle ne comprenait certainement pas tout à ce rituel mais elle appréciait le spectacle. Elle avait également hâte d'aller se désaltérer en buvant du chouchen à volonté.

_________________

Les armoiries étaient déposées d’une couleur pâle tellement pâle qu’elles en devenaient transparentes !
Mais j’aimais bien finir ce qui était commencé…

Mes mains glissèrent des épaules du nouveau seigneur de Cambout pour prendre sa main. Lentement je fendis la foule pour me placer devant l’archevêque de Rennes et ami afin de recevoir sa bénédiction
Ma foi était dans celle d’Aristote, je ne pouvais que me ravir en ce jour solennel d’avoir une bénédiction supplémentaire.
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Et la jeune femme de saluer toutes connaissances mais elle fut aborder par Titi.

Une jeune femme rousse, chiante, chieuse, et malpolie ? Oh ba oui ca me dit bien quelque chose.

Elle le sera fort contre elle, et lui fit un petit bisous discret sur la joue. C'est qu'il y avait du public. Elle entra donc à son bras pour la cérémonie et salua Missanges qui vint les voir. C'était toujours un bonheur de la voir et elle ne put s’empêcher de lui faire un gros bisous bien claquant sur sa joue.

La cérémonie allait pouvoir commencer, tout le monde avait l'air d'être présent et le tira sur la manche de Tiernvael pour les conduire à leur place. Qu'il faisait bon d'être enfin assise et de pouvoir assister en paix à tout ceci. Ca lui rappelait un peu la cérémonie de Imp ou encore de Gwilherm, bien qu'elle aimerait presque oublier un jour qu'il a pu être un si bon ami, il a fait tant de mal après. Mais bon c'était ainsi et elle ne pouvait rien faire d'autre que d'entourer sa nouvelle tante de toute son affection.

Elle regarda attentivement la cérémonie et lorsque le héraut fut appeler, elle tourna la tête vers Anastriana qui ne bougeait pas. C'était elle encore endormie ?Elle commença à fulminer. Elle était furieuse de ce manque de professionnalisme de ces prétendus hérauts si impliqiés et si motivés et si précieux. Voila pourquoi elle avait été viré de son poste de Roy d'Armes et voila pourquoi Tualenn n'avait jamais pu l'apprécier.

Elle ne pouvait pas aider Missanges, la tête de mule ayant refuser d'appliquer ses recommandations et donc de donner au Collège d'Armes les armoiries du nouveau noble.

Meme pas cela l'étonnait mais encore le Collège d'Armes allait subir une mauvaise image à cause d'elle. Voila bien pourquoi elle avait préféré faire appel à Awena de Montfort pour sa propre cérémonie d'anoblissement. Elle n'était pas forcément là mais au moins elle le revendiquait et elle avait toujours été disponible et prévenante en son temps, communiquant et assurant ce qu'elle pouvait quand elle le pouvait.

Ne se tapait elle pas presque seule la mise à jour des registres de la noblesse et de ses fiefs, relevant une foule d'erreur. Elle voulait un peu de respect de la loi mais malheureusement, comment y arriver si même pour une simple cérémonie on arrivait pas à donner les éléments avant.

Et c'était donc Antonslavik qui allait payer le retard, encore les autres et le Collège d'Armes, garder sa réputation d'administration lourde.
_________________

Relève toi AntonSlavik, seigneur de Cambout !

Je dépose sur ta tête cette couronne. Puisse Aristote veiller sur nous afin que jamais nous ne prenions plus grosse tête que la couronne qui ceint notre tête et que jamais nous n’oublions d'où nous venons !!

Une légère impulsion de ma main et je l’aide à se relever, me rapprochant je dépose un baiser sur ses lèvres, symbole de fraternité et de fidélité.

Mes mains lui prennent ses épaules et le fait tourner vers l’assemblée silencieuse.

Saluez comme il se doit le nouveau seigneur de Cambout, désormais, chacun devra le traiter avec les égards dus à son rang.

Me tournant vers ma Duchesse héraut du jour et héros de toujours…

Que le Héraut approche, et vienne donner à ce nouveau seigneur, les armes de son fief !
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Comme à son habitude, c'est en toute discrétion qu'il était venu suite à l'invitation de son amie Missange. Se mêlant à la foule des invités déjà présents.
Il salua les autres invités, quelques têtes connues, d'autres qui ne lui disaient rien de rien mais dont les noms, au gré des conversations venaient à ses oreilles.

Il suivait la cérémonie anoblissant le jeune Anton Slavik, qu'il avait pu croiser quelques fois, ça et là, au gré de leurs fonctions respectives ducales.
Le silence se fit lorsque Missange appela Anton, lui demandant de s'approcher.
_________________

Discutant avec son ami Hugo près du buffet, Anton scruta la salle. Les invités continuaient d’afflouer, des amis comme des individus qui lui étaient inconnu. Mais il avoua qu’il ne s’attendait pas à autant de monde. Hugo lui lança en souriant « allez mon grand, il est bientôt l’heure » puis il se dirigea vers le fond de la salle de réception où était surélevé une grande estrade richement décoré. Missanges et Dame Anastriana étaient déjà en haut de ces marches. Anton comprit alors que le grand moment allait commencer. Il se rapprocha du centre de la pièce puis attendit.

Antonslavik, approche-toi, s'il te plait.

A ces mots, le stresse revinrent envahir son esprit. Anton se mit à avancer lentement. Les convives les ouvrirent le chemin en direction de la scène et le regardait avancer. Arrivé à la dernière marche, Anton s’agenouilla puis pris la main tendu par Missanges
_________________

Mab arriva vers eux, il prit Pepita dans ses bras et l'embrassa passionnément.

Reprenant sa respiration, il serra chaudement la main de son ami

Ah venir ici avec vous deux, voilà ce que c'est le plaisir. Nul doute que Missanges soit ravi du monde qui est venu à cet évènement. Elle récolte les fruits de son grand coeur.
_________________
URL=http://www.casimages.com/img.php?i=120927113443484912.png][/URL

ftn était parmi les convives maintenant, la salle se remplissait assez facilement, il aperçu sa cousine et la salua de loin, peut être auront il la possibilité de parler

non non Missanges point d'Université aujourd'hui rictus

déjà la cérémonie allait commencer
_________________

Ah ! le chenapan !


Peter ne put s'empêcher de sourire en pénétrant de ce lieu bondé de personnalités qu'il ne connaissait finalement pas ou peu. Il s'était retiré de la vie publique de puis plus d'un an à présent.

Cependant, la vue de son fils cadet Tiernvael, vêtu de collants verts semblables aux siens l'avait ému. Il alla se placer derrière ses deux fils, posant une main sur l'épaule de chacun d'eux. Il sourit à Blotus qui se retourna. Il avait les yeux de sa mère, Tarrha, assurément.

Puis, il écouta Missanges qui s'apprêtait à annoblir Antonslavik.
_________________

Fol d'amour pour sa Lili

Mab arriva, en retard quant à l'invitation.

Le voyage d'accompagnement de Mael l'avait quelque peu bousculé et au retour, mille choses à faire. Comme à chaque fois ....


Il arriva en la demeure. Une foule d'invités se répandait. Mille visages inconnus, mais parfois un sourire reconnu.

Il se glissa à la recherche de Pepita, qui devait bien se trouver là.

Enfin, il la vit. Elle était avec Mael.

Il pressa le pas pour la rejoindre, esquivant ceux et celles qui entravaient sa route.
_________________
URL=http://www.casimages.com/img.php?i=120927113443484912.png][/URL

Depuis son arrivée à Brest il y a quelques semaines, la vie d'Ondine avait radicalemen changé!
Non seulement, elle avait rencontré l'homme de sa vie, Kalonek et était la plus heureuse des femmes à ses cotés mais elle avait aussi fait la connaissance de personnes charmantes et attentionnées avec elle comme l'étaient Missanges, Ankou et Maiwenn...

En recevant l'invitation de Missanges elle avait été surprise, elle, Ondine, une jeune femme sans titre ni fonction...voilà qu'elle était conviée parmi les Grands de Bretagne.

Son inquiétude n'avait fait que croitre lorsqu'elle avait songé à la tenue qu'elle mettrait ce jour là.
La jeune femme n'avait en fait dans sa garde robe qu'une seule et unique robe simple, en lin et de couleur vert émeraude faisant ressortir la couleur de ses cheveux et de ses yeux verts.

Ce matin là, ell était donc partie avec Kal pour la cérémonie et la réception données par leur amie avec un noeud au ventre tant celà l'impressionnait.

Le jeune couple arriva donc sur les lieux; de nombreuses personnes étaient déjà là et comme elle s'y attendait, elle ne connaissait personne mis à part leur délicieuse hôtesse et Ankou.

Elle lança un regard doux à son aimé et se redressa bien décidée à lui faire honneur, souriant poliment aux personnes qu'ils croisaient.

Sentant la timidité de la jeune femme, Kalonek glissa délicatement sa main dans la sienne.

Mélons nous discrètement à la foule, il sera toujours temps de nous présenter plus tard !

Tu as raison...nous aurons bien le temps d'aller saluer Missanges qui semble très occupée!
Je te suis mon coeur....

Ondine acquiessa dans un doux sourire, salua d'u sourire amical Ankou qui était des plus chics et tous deux se faufilèrent au milieu des invités.....

Une invitation et le temps d'arriver sur place en passant par de multiple péripéties il était parvenu sur le lieu d'anoblissement d'un certain Anton Slavik qui ne connaissait absolument pas. En retard, il se fit discret et parvint à se mêler à la foule.

Le capitaine de l'OST de Breizh était en armure, une dague à la ceinture et sa main était posée sur le manche de son épée. Il jeta son heaume à un domestique qui le rattrapa tant bien que mal et prit place sur un siège en espérant que celui serait suffisamment solide pour supporter son poids.

Il était donc venu assisté à un anoblissement, lui même avait été récemment fait seigneur de Planvaodez et c'était encore frais dans sa tête. D'ailleurs, il savait exactement ce que pouvait ressentir l’anobli à cet instant...

_________________
Capitaine de l'armée de Bretagne/seigneur de Lanvaodez

Kaloneg de Kermelin avait reçu une invitation de son amie Missanges de Kerrandic pour assister à la cérémonie d'anoblissement de Messire Anton Slavik.
Il en fut très honoré mais rapidement aussi très inquiet ; il n'était pas coutumier de ce genre d'événements et ne savait pas trop comment se vêtir, se comporter en pareilles circonstances.

Il hésitait à s'y rendre mais par bonheur, sa bien aimée Ondine du Lac, l'informa qu'elle était aussi conviée et le convainquit de s'y rendre avec elle pour faire honneur à notre hôte.

Il s'habilla donc des ses plus beaux vêtements et ils se mirent en route vers le domaine où se tenait la cérémonie.
Arrivé sur place, ils s'aperçurent qu'ils étaient légèrement en retard car le protocole allait bientôt débuter.

 Mélons nous discrètement à la foule, il sera toujours temps de nous présenter plus tard ! 

Dans l'immédiat, Kalonek se contente de saluer de la tête son cousin Ankou de Coetivy et son ami Hutymberg qu'il a reconnu dans l'assemblée et adresse un regard complice à Ondine du Lac dont il prend la main.
_________________

Les cils battent afin de permettre aux iris de s’habituer à cette lumière vive. Le flot de paroles dans la salle cesse subitement comme par enchantement et quelques hooooo fusent.
Une silhouette s’avance vers moi, un homme élégant dans un habit différent, autre que sa robe de bure, des vêtements d'un grand tailleur qui lui sied à merveille.
Sa main saisit la mienne et ses lèvres se posent sur ma peau. J’écoute sa voix et soudain mes yeux s’embrument, tandis que mon esprit s’envole, des images d’un certain Tro Breizh surgissent en mémoire. La musique légère d’un biniou joue dans mon esprit, la mélodie de l’hymne bretonne résonne appuyant ces images furtives. L’homme qui se tient devant moi était diacre alors et à ce moment là tout était permis. Mais l’homme avait choisi l’église dans tous les sens du terme…Et une amitié profonde était née.
Je tire doucement sur sa main et me laisse aller contre lui pour lui donner une bise chaleureuse sur ses deux joues.
- Prends soin de toi Pouilloux Fouquet, tu seras toujours dans mon cœur, je prends note devant témoins que tu me dois une danse donc !
Les corps s’écartent afin de reprendre le cours de la cérémonie.

Un autre homme important pour moi s'avance, tenant dans sa main une rose blanche.
Mes doigts se referment sur la tige de la fleur offerte tandis que ses lèvres se posent sur le dos de ma main.
L’attirant contre moi, mes lèvres se posent sur ses joues tandis que mes iris le regardent tendrement.
- Merci Ankou, je vais garder précieusement cette rose.

Le protocole voudrait que je passe au milieu de la foule inclinant seulement la tête, mais cela serait mal connaître la petite Miss pour qui, l’amitié à une très grande importance. Mes yeux se posent sur une amie très chère se tenant dans un coin reculé de la pièce et mes pas prennent sa direction. Je la serre très fort contre moi.
- Je suis heureuse de te voir Précio, nous avons guère l’occasion de nous voir avec nos habitations lointaines, je suis heureuse que tu aie fait ce déplacement.

Le bruissement d’une robe me fit tourner la tête et j’aperçus la plus célèbre Crieuse de Saint Brieuc et amie de longue date, discutant avec le représentant de l’église Hugo et Camille.
- Demat belle Lio, tu es ravissante, cette couleur te va à merveille.
- Camille, je suis ravie de ta présence, je lui souris taquine sachant que j’étais pour elle une fleur bleue de Bretagne. Mes yeux rencontrèrent ceux d’Hugo, un ami très cher de longue date aussi, le sachant très prit par ses fonctions, je fus émue de sa présence. -Merci Hugo de t’être libéré de toutes tes charges pour ce moment.

Je fis une bise voyant Alix arrivée, chère Alix que ma route avait croisée un jour pour notre bonheur.
- Alix ! Je suis ravie de te voir, merci d’être venue.

Les deux doyens de l’université discutent sans doute de futurs plannings. Mon regard se pose tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre c’est qu’une longue et grande amitié me lie avec Ftn.
-Demat Fanch et demat Ftn, aujourd’hui pas d’université hein ! Leur faisant la bise je file vers…

Un groupe de Rohannais composé de Pépita, Golda, Mael30, Hutymberg, conversant doucement. C’est ainsi lors de chaque cérémonie ou d’occasions festives, les personnes invitées se regroupent par affinité. Et là ! C’était une partie de Rohan qui riaient sous les dires de Pepita qui elle-même essayait tant bien que mal d’étouffer son rire mais la bonne humeur de Pepita est contagieuse et quel bonheur ! Mael nous fera sans doute une peinture de ce moment, ce Rohannais est redoutable avec des pinceaux. Je leur souris leur faisant une bise à chacun. Merci d'être là !

Je souris tendrement à la vue de collants verts mon frère Tiernvael.de.kerdren était là mais ses yeux étaient rivés sur une seule personne Tualenn, ses iris pétillaient de mille feux témoignant sa passion pour cette belle femme. Mon autre frère Blotus1er venait compléter ce tableau familial.
Un bras passa autour de la taille de mon jeune frère et l’autre autour de celle de Tualenn et je leur fis une bise sonore. Je fis aussi la bise au meilleur souleur de bretagne.
- Réellement ravie de vous avoir autour de moi.
Je cherchais des yeux d’autres collants verts, mais je savais qu’en ce mois d’août mon père faisait souvent retraite auprès des moines, l’occasion de revenir avec de bonnes liqueurs mais qu’aucune n’égalera la Prunàvampi !

J’aperçus le chevalier de Saint-Maodan, Rowenda de Walsh-Montfort, j’esquissais un sourire tandis que mon nez se plissa de façon taquine.
Devant moi côte à côté se tenait le Grand Duc Sa majesté Riwan de Nathan et la Duchesse de Rohannais Anastriana de walsh montfort.
M’inclinant respectueusement devant le Grand Duc et ma Suzeraine je me tournais vers Antonslavik et lui sourit.

Me plaçant auprès de ma Suzeraine je dis d’une voix forte et claire


Antonslavik, approche-toi, s'il te plait.
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Les invités commence doucement à arriver, quelques conversations s’engagent

La Vicomtesse des Forges, Missanges de Kerrandic.

A cet instant toutes les têtes se tournent et c’est avec plaisir que je vois mon amie Missanges faire son entrée, sa robe est vraiment magnifique et s’accorde à la mienne par le plus grand des hasards.
Un gigantesque lustre de cristal se balance légèrement projetant des éclats de lumières sur les murs et les tentures, les yeux d’émeraudes de la vicomtesse brillent et reflètent la lumière qu’il projette.

Pouilloux, le premier s’avance vers elle, puis se dirige vers la sortie, je le salue chaleureusement comme il passe près de moi en quittant la pièce.

Ensuite à mon tour je m’approche d’elle, je lui souris et m’avance bien décidé à la saluer comme il se doit.
Je m’incline profondément, devant elle, saisis délicatement sa main afin de porter celle-ci à mes lèvres pour y déposer silencieusement un baiser en signe d'hommage à sa beauté.

Ma chère Missanges tu es simplement ravissante, cette robe te va à ravir.

Je détache ma rose blanche et lui offre en gage de mon amitié.

Puis je m’efface à regret, la laissant à ses devoirs d’hôtesse.
_________________

Sur invitation de sa soeur Missange, Blotus arriva à son tour à l'entrée du domaine, la route avait éte longue et il etait heureux d'être enfin à destination.

Les Pennher sécurisaient le manoir. Il reconnut Rowenda qu'il avait côtoyé en Normandie et le salua.

Blotus penetra dans le domaine et confia sa monture. Tout en réajustant sa tenue d'officier de l'armée Bretonne, il se dirigea alors vers la salle de réception ou beaucoup de monde semblait déjà se trouver.

L’ordonnance se fit annoncer et pénétra dans la salle.
_________________
Blotus de kerdren fils de Peterpan/Kastellan de st pol/ Breizh souleur / Clan Gwenn ha du

Le baron arrivait enfin, accompagné de son inséparable escorte d'amis, il avait été légèrement retardé suite bêtise en jouant avec une hache et un arbre avec son ami Mégridonc

il avait été convié et comme noble de Bretagne il se devait d'être là, de plus il avait un peu cotoyé le bientôt nouveau noble et avait de l'estime pour Missanges tout ça faisait qu'ils avaient pris la route afin de se rendre sur place

arrivé sur place il confia sa monture à ses amis et se dirigea vers la pièce d'accueil où il avait été mené

bonjour mon brave,
veuillez annoncer ftn_andenmarv Sainz Trestain Baron et Amiral de Bretagne, s'il vous plait

la liste fut consulté et la personne annonça

Baron et Amiral de Bretagne ftn_Andenmarv Sainz Trestain

et ftn entra dans la pièce principale où se tenaient déjà des convives, il salua avec respects certaines têtes connues
_________________

Invité par Missanges, Mael entra silencieusement et se mit en retrait pour ne pas déranger mais observer cet Anoblissement lui qui n'en avait jamais vu.Il se fit discret cherchant du regard une tête connue
_________________

Souriant à son ami, le prélat le suivit et se présenta lui aussi ou il prit un chouchen afin de s'hydrater, chose très important quand on est en tenue.
_________________

[ Chambre au premier étage ]

-Allez en attendant que les invités arrivent nous allons te préparer..

Et je fus poussée dans la pièce d’eau

La cuve trônait au centre de la pièce, une pièce unique dessinée par mes soins et réalisée par le meilleur artisan forgeron de toute la Bretagne. Ce gros ventre creux reposait sur quatre griffes d’une chimère d’acier. La pièce était moderne s’accordant aisément avec les pierres de l’édifice ancien.

Les Mamettes donnaient les ordres et j’exécutais sans les contrarier. Une douce odeur d’essence de fleurs se répandit dans la pièce. L’air de la pièce déjà chaud devint brûlant et humide, les fenêtres s’embrumèrent de vapeur, tandis qu’une mousse parfumée vint caresser mon corps. Au fond de la cuve je regardais mes cheveux s’éparpiller sur la surface de l’eau semblant nager.. Pendant un long moment, le calme régna, puis je remontai cherchant l’air.

- Tu comptes tout de même pas y passer la nuit dans ta cuve. Je te signale que tu as des obligations aujourd’hui !

Qu’aujourd’hui ! je songeai à chaque matin ou je me levais allant ouvrir les portes de l’université. Mais à quoi bon leur dire, à quoi bon rajouter une parole cela serait tout de même bien moins qu’elles n’avaient fait de toute leur vie. Il me sembla les entendre..Moi de mon temps…Et patati et patata…

Je regardais les doigts ridés de mahestine tendant une serviette épaisse, m’intimant l’ordre de sortir de ce bain. Diverses fioles et tout un tas d’accessoires de toilette avaient pris possession du dessus de la commode. Je fus séchée, parfumée, habillée et coiffée…

Ambroizine étala la robe sur le lit, une robe haute couture inédite spéciale pour cette occasion. Nous avions des doigts d'or dans notre Bretagne, une grande richesse toutes ces personnes sachant travailler l'ouvrage...
Le fin tissu de la robe glissa lentement sur mon corps caressant mes courbes, j’étais prête…
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

La première fois qu'il était venu au domaine, Pouilloux n'était qu'un diacre, il faisait son tout premier Tro Breizh en compagnie de la maitresse des lieux, la vicomtesse de forges, Missanges. En passant dans la cour, il se souvient de son arrivée nocturne. De la découverte au petit matin du domaine. Missange lui avait laissé sa chambre pour aller retrouver et partager son reste de nuit avec sa fille.

Pouilloux retrouve le puit où le matin il avait été tiré de l'eau pour ses ablutions. Il lève d'instint ses iris vers la fenètre où Missanges lui criait de se dépêcher à rentrer ou bien de se couvrir plus en ce mois de février... Il ne la voit pas... Pourtant il se souvient fort bien de la scène....

Actuellement Pouilloux est en attente de sa nomination en France pour continuer dans la voie de l'Eglise. C'est un diacre qui était venue la première fois, c'est un évêque qui partira la cérémonie d'annoblissement finie.


Aujourd'hui, il vient avec plaisir dans ce domaine. Pas vraiment pour le principal intéressé, mais bien pour celle qui invite. Missanges est une personne pour qui le curé n'a pas hésité, et n'hésitera pas à se mettre en avant pour qu'elle soit reconnue pour ses justes valeurs. Et elles sont nombreuses les valeurs chez Missanges. l'appartenance à la Bretagne pour n'en retenir qu'une... Pas une appartenance de convention, mais celle qui se mérite, celle dont elle défend par ses actions, qu'elle fait découvrir à tous ceux qui poussent la porte de l'encyclopédie...

Habillé lui aussi par la couturière en vogue, la charmante Imagine de Tréguier, il entre dans le saon de réception et salue avec un grand sourire l'ensemble des invités en cherchant du regard Missanges.

La respiration forte et longue, Anton tentait de se détendre. Le stresse l'envahissait à l'approche de la cérémonie. C’était la première fois qu'il allait se retrouver au centre d’un tel évènement, sous le regard de tous. De grands personnages de Bretagne seraient présents dont sa majesté Riwan de Brocéliande et tous ces amis. Anton leva la tête et se trouva face à son image, reflétée par le miroir de la chambre puis réexamina une nouvelle fois son costume d’apparat à la recherche du moindre défaut. Il avait choisi son habit habituel de couleur bleu et jaune, les couleurs de sa famille, avec sur son manteau l’association de l’hermine de Bretagne. La peur de ne pas être à la hauteur de l’évènement mettait à mal son enthousiasme. A cet instant, Un page frappa à la porte de la chambre puis, sous l’autorisation d’Anton, entra.

Mes hommages messire, sa seigneurie Missanges de Kerrandic réclame votre présence dans la salle de réception.

Le crac monta d’un cran à l’écoute du serviteur, le moment fatidique arrivait. Anton ferma les yeux et essaya de se reprendre. En ce jour de grâce 1460, Anton allait devenir un noble de Bretagne, grâce à Missanges. C’était aussi un grand moment pour elle. Il avait le devoir de lui faire honneur puis montrer à la l’ensemble de la Bretagne qu’il était digne d’accéder à la noblesse bretonne. Le page le sortit de ces pensées.

Messires …

Anton rouvrit les yeux et se tourna vers la porte de la chambre.

Oui, je vous suis

La traversé entre sa chambre et la grande salle lui parut très long. Anton se battait pour ne pas paniquer, effacer toutes formes de pensées négatives. La grande porte approchait, gardée par deux soldats de l'ordre des pennher ar lug. La présence de la garde grande ducale signifiait que des membres de la haute noblesse, voir sa Majesté, étaient déjà arrivés. Le stresse lui devenait insoutenable jusqu’à que les gardes se mirent à ouvrir la porte.
D’un coup, l’esprit d’Anton se vida de toutes pensées. Ces craintes avaient visiblement disparues. La salle de réception s’éclairait à lui, illuminée par son somptueux décorum s’écartaient et s’inclinèrent à son arrivé. Amusé, Anton avait déjà l’impression d’être un noble. Il croisa le regard de sa grâce Anastriana de Rohan devant laquelle il s’inclina. Anton lui devait beaucoup à elle aussi pour ce jour. Elle allait devenir sa suzeraine indirecte. Il croisa plusieurs visages inconnus, surement issus de la noblesse rohannaise et amis de dame Missange, qu’il salua et se présenta. Calmement il prit la direction du buffet afin de s’y hydraté.

Bonsoir gente dame, une coupe de vin, s’il vous plait

Au moment de recevoir le verre, son regard se tourna vers l’entrée quand un page annonça l’arrivé de Monseigneur Hugo Botherel, devenue archevêque de Rennes et son plus vieil ami. Il alla le rejoindre tout en l’invitant d’un geste de la main à faire de même.
_________________

Une lettre de plus ou de moins sur le bureau d’un maire, une lettre venant agrandir la pile des vélins qui s’entassaient rien de bien étrange la dedans sauf que la lettre semble différente des autres.
Posant la plume, mes doigts se saisissent de cette missive et mes yeux parcourent les lignes italiques témoignant d’une écriture soignée.

Long moment de réflexion …au moins trois longues secondes, ma décision est prise.
Plus de chiffres plus de compte le bureau du maire est fermé !

Après une toilette d’usage, j’endosse ma plus belle tenue et je me dirige vers l’écurie.

Après quelque ébats, heu… non débats, avec ma belle palefrenière, elle accepte enfin de seller Teñvaladenn.
J’enfourche mon étalon et en route pour le manoir.

La route de Brest au manoir est longue et c’est avec plaisir que je vois se profiler l’entrée du domaine.
Un homme s'approche et prend les renes de mon étalon.
je m'avance vers le manoir et entre.

_________________

Intimidée et en admiration elle l'est. C'est toujours l'effet qu'ont les pierres sur la jeune femme. Elle n'y peut rien : les bâtiments majestueux ont l'aura des hommes qui se sont échinés à les dresser vers le ciel. Et le manoir d’Ar Govelioù ne dénote pas à l'ensemble. C'est donc en un petit trot léger que Camille s'approche des lieux, invitation bien rangée dans la sacoche de Tempête.

Se laissant glisser de sa monture, elle en confie les rênes puis présente le vélin pour être introduite. Elle a pour l'occasion choisi une robe d'Elizabelle qu'elle ne porte en général que pour les grandes occasions et quoi de plus prestigieux qu'un anoblissement? Il y a étiquette à tenir et elle s'y appliquait de son mieux.


_________________

La jeune demoiselle avait été invité. C'était bien la première fois depuis des mois qu'elle ressortait. Plusieurs fois elle avait été invité à des mariages, des fêtes ou autres et elle n'avait pas pu se déplacer à chaque fois. Ou alors elle se trouvait surtout une excuse quand ca ne l'interessait pas.

Mais là, c'était une cérémonie initiée par sa future belle-soeur, elle se devait de se déplacer et surtout Missanges était une des rares personnes qu'elle appréciait sans réserve.

Autre point non négligeable, elle était Reyne d'Armes maintenant et elle voulait un peu voir comment ses héraut allaient travailler.

Grand sourire à son arrivée, seule, pour arriver plutot tott et voir tous les préparatif, après tout elle allait être anoblie aussi dans les jours à venir, autant pomper chez les autres.
_________________

"Allez prévenir la vicomtesse que sa suzeraine ainsi que le Grand Duc de Bretagne sont là je vous prie. Et indiquez-nous un endroit ombrageux où attendre."

Miss avait laissé des consignes, chacun savait ce qu’il devait faire. Lui devait réceptionner les chevaux, les bichonner, veiller à leur confort.
Il savait qu’il y aurait du monde lors de cette cérémonie mais le Grand Duc, Miss n’avait rien dit de tout cela.

Dévisageant la Duchesse du Rohannais qui venait souvent rendre visite à Miss, Fanchig la regardait sondant ses yeux afin de voir si cela était vrai puis il vit la couronne et s’inclina respectueusement. Prenant rapidement les chevaux, très mal à l’aise dans ce genre de protocole, c’est qu’avec Miss tout était simple et du coup il ne savait pas vraiment comment il devait courber l’échine. Depuis son très jeune âge seul les chevaux était sa préoccupation.

Demat duchesse vous pouvez vous avancer dans la salle de réception, des personnes vont s’occuper de vous.

[Château de Rohan au matin]

Le chevalier de Saint Maudan en l’occurrence ce serait bien passer de cette mission, il détestait toujours autant les responsabilités et sa mère prenais un malin plaisir a lui en mettre sur les épaules, et cette fois elle avait pas chômer, elle lui confiait la vie du Grand-duc ! Rien que ça, sans rire, la vie du noble le plus important de Bretagne tout juste couronner par les nobles assemblés, ce qui voulais dire qu'une partie des nobles n'avaient pas due être d'accord et serait ravi de voir une tête couronnée rouler au sol.

Pestant contre sa mère il avait fait rassembler les Pennher ar lug, le régiment était présent au complet dans la cour du château, il désigna deux compagnie pour s'occuper de la sécurité du château de la famille et de l'ordre avant de répartir la dernière sous les ordres de son frère, d'Azarelle, et son propre commandement.
Les routes de Bretagne étaient certes sans doute parmi les plus sûres du monde connu, mais ce serait tout de même pas moins d'une cinquantaine d'homme qui allaient veiller sur la personne de Riwan nathan de Brocéliande.

On ne rigolais pas avec la sécurité dans la famille, 20 fantassins marcheraient aux cotés des carrosses pour en assurer la sécurité répartie entre lanciers et arbalétriers afin de parer a tout danger. D'autre part 6 éclaireurs répartis en paire surveillerais l'avancée du convoi prévenant des embuscades en se plaçant a l'avant et sur les flancs du petit convoi. 14 cavaliers dont son frère et lui même circuleraient le long de ce convoi afin de rester en alerte et de pouvoir protéger les passagers de marques en brisant si nécessaire une charge ennemi.
Enfin les 10 hommes restants sous le commandement d'Azarelle formaient l'arrière-garde, prête a intervenir en chargeant dans la mêlée au moindre signe d'alerte, ils seraient a moins d'un quart de lieue pour rester discret mais pouvoir agir assez vite.

Ne portant que sa cotte de maille lui même seraient le plus clair du temps en tête du convoi pendant le voyage, tout les sens en alerte, tant que le grand duc ne serait pas en sécurité au domaine de la vicomtesse il ne relâcherait en rien son attention.
Et encore, une fois sur place, il se tiendrais non loin de ce dernier une fois ses hommes placés autour du domaine de Missanges afin d'en assurer la protection, Elim, Azarelle et lui seul serait a la réception pour des raisons d'étiquette. Mais des soldats filtreraient les entrées et se tiendraient au points stratégiques.
_________________
"L'ancien forum ou rien !"
"J'aime les censeurs !"

Ce que nous craignons par- dessus tout, lorsque nous donnons une fête, c’est sans doute la pluie. Craindre que les invités salissent leurs belles toilettes en descendant de leur attelage mettant leurs pieds dans l’eau boueuse ou bien que les gouttes défassent leurs belles coiffures…Mais en Bretagne les gouttes ne sont pas les mêmes que dans les autres endroits du royaume. Elles sont gorgées de prunàvampi et abreuvent avec joie chaque breton !

Ce fut donc avec un soulagement, la tête calée entre mes oreillers, que je regardais un rayon de soleil s’insinuant dans la chambre. Rejetant le drap, je me levais d’un bond et j’écartais les tentures obstruant le jour. Le ciel semblait sans nuage et le soleil dardait ses premiers rayons.
Peut être que chaque invité faisait la même chose et ressentait le même soulagement, du beau temps !

Et lui ressentait-il la même excitation, perlée sans doute d’une pointe de peur à l’idée que le grand jour était enfin arrivé.
Oui enfin !
Cela avait pris de nombreux mois avant que ce jour soit là et j’étais contente de cela. Mes yeux se perdirent sur la vue qui s’étalait devant moi et, sans regarder un point précis, j’essayais de me rappeler ce jour d’août 1459 où il avait rejoint l’encyclopédie dont tous les capitaines avaient laissé dériver cette institution par manque de temps. Et tous les deux nous avions navigué sur la mer des mots, au gré de cette encre qui ne s’assèche jamais depuis.

Pour lui, aujourd’hui le manoir d’Ar Govelioù était en fête. Le nombre impressionnant de fenêtres de la bâtisse avaient été nettoyées du rez de chaussée au premier étage sans oublier celles plus petites du deuxième étage.
Les hautes colonnes de granit encadrant les grandes marches en pierre avaient été lessivées et le magnifique jardin s’était vu composé de parterres impeccables.
Tout était prêt !
Trois petits coups brefs à la porte, pas le temps de dire ‘entrez’, que les trois ancêtres de Kastell faisaient irruption dans la chambre.

-Tu comptes bailler aux corneilles encore longtemps ?
-Je préfère bailler au corbeau blond !
-Ma doué ! La voilà qui a toujours de la répartie !
-Ben remue-toi, il y a déjà des invités qui piétinent le jardin, si c’est pas du possible de se percher sur des talons qui trouent la terre.
-On inventera un jeu reboucher les trous : un jardin party. C’est très mode ! Tu as quoi dans ta grande boite ?
-Un truc très mode qui vient de la boutique de Tréguier !
Ouvrant la boite je ne pus retenir un cri…
-Oh !! Imagine a confectionné une merveille. Ma main passa sur la robe et je souris
-Allez en attendant que les invités arrivent nous allons te préparer..
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Vous feriez de moi l’homme le plus heureux, si vous me permettez de vous inviter à dîner à Brest

Mes grands yeux verts le dévisagèrent, je le savais trèèèèèèèèsssss pris par sa mairie, amoureux des chiffres, moi très prise aussi par mes fonctions. Une pause près de la mer près de mes racines natales…

-Pourquoi pas, mais un dîner romantique alors pas un dîner d’affaire ! Mais saurez-vous ne pas parler de chiffres ?
_________________

Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie

Pourquoi pas, mais un dîner romantique alors pas un dîner d’affaire ! Mais saurez-vous ne pas parler de chiffres ?

Je vais vous emmener faire le diner le plus romantique dont vous pouvez rêver, en votre compagnie j’aurais bien mieux à faire que de me consacrer au chiffres, je serais bien trop occupé à vous parler d’amour, à plonger dans les délices de vos yeux et admirer vos sourires.

Je prends son bras avec la ferme intention de ne pas le lâcher.
_________________