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[RP] Mariage de Sindbad et d'Akane Giffard - De Clairval

Milandor
[Un jour en Armagnac]

C'est avec plaisir que je vous accompagnerai à Nostre Dame pour ce grand mariage.


Le jeune seigneur d'Estampes n'avait encore jamais mis les pieds à Paris.
Il s'avançait peut-être un peu en prétendant que ce serait un plaisir.
Quelle idée d'accepter une telle invitation ; il ne connaissait ni la mariée, ni son futur époux.
Qu'importe. Il escorterait la dame de la Chambre Mamaion, comme promis.



[Le jour du mariage]


Milandor de Castel Vilar avait entrepris le long voyage depuis le sud lointain, pour rejoindre la capitale.
Là où il vivait, Paris n'était que rumeur, comme s'il s'agissait d'un royaume étranger.
Mais il se faisait une joie de découvrir ce monde nouveau pour lui.
Son cheval avait filé comme l'éclair pour le conduire jusqu'en l'île de la cité.
une fois arrivé, il avait eu du mal à trouver une chambre dans une auberge de l'île ; l'événement avait attiré beaucoup de monde et les chambres étaient prises d'assaut par les visiteurs venus de tous les coins de France.
Enfin, il en dégota une. Il se prépara sans attendre pour la cérémonie. Il n'était pas très en avance. Sa cavalière devait déjà l'attendre.

Il enfila une belle tenue confectionnée par la fée tisserande Valeryane.


[La cathédrale, enfin]

Une fois prêt, il avait descendu les rues de l'île de la Cité à pieds.
Nostre Dame n'était pas éloignée de son auberge.
Lorsqu'il déboucha sur le parvis de la cathédrale, il resta bouche bée quelques instants ; il ne s'attendait pas à voir un tel édifice, si vaste et magnifique, ciselé comme une dentelle de pierre.
Comment retrouverait-il sa cavalière dans un tel lieu ? il y avait tellement de monde !
Il fouilla le parvis du regard mais il ne discerna aucune Mamaion.
Il entra donc dans l'immense nef de pierre et commença à marcher en scrutant les invités pour retrouver celle qui devait déjà l'attendre.

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Mamaion
Mamaion finit de prier, puis voyant que plusieurs invités étaient arrivés déjà, elle regarda qui d'entres eux elle connaissait. Faisans cela, elle apperçu au loin celui qu'elle attendait. Elle se leva et alla silencieusement à sa rencontre.

Mon cher! Je suis heureuse que vous ayez pu venir. Le voyage n'a pas été trop long, ni trop fatiguant j'espère? Vous n'avez pas rencontré d'ennuis au moins?
Akane
[ Chambre de la mariée… On y arrive … ]

La brune aidée de Lucie, enfila sa robe et la laissa la corseter et nouer le ruban à sa taille gracile. Ruban qui ornerait la tenue faite en satin de damas, couleur ivoire, et parsemée de délicates broderies réalisées avec du fil d’or.

La traine était déposée sur le let afin de la défroisser quelque peu. Longue traine de fine dentelle... Lucie lui donnait quelques consignes afin de ne pas se prendre les pieds dedans. Cela s’avérerait un exercice périlleux que de marcher avec mais la brune le ferait.

Mules enfilées, la tempête se regardait dans le miroir. L’émotion était déjà quelque peu palpable, il ne manquait plus que la cadette arrive pour que la coiffure soit enfin réalisée et que la future mariée puisse enfin se diriger vers la cathédrale où l’attendait son futur époux à lequel elle unirait son existence…

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Semper Paratus Servio
Luckylachance
L'habillage, le maquillage, bref les trucs en "age".

Lucie aidait avec soin Akane a se vêtir, la tâche était délicate car tout devait être parfait. Elle ne savait que trop bien qu'un jour comme celui-ci vous marque à jamais. Il s'inscrit d'une pierre blanche dans vos souvenirs et dans ce qui sera votre vie future quel quelle soit. La blonde lace le corset avec minutie, déroule le voile, enlève les plis de la robe. C'était un travail que la jeune femme avait apprit à faire, notamment par son passe temps de couturière.

La coiffure ensuite, les cheveux sont peignés avec soin, sont démêlés pour être soyeux et parfait. le chignon vient doucement rassembler toute la crinière brune, et ainsi la dompter. Lucie sourit observant son amie dans le miroir de la coiffeuse ou cette dernière se regarde déjà. La Castelviray arrange les épaules de la robe, observe les broderies au fil d'or afin qu'elle ne soient point abîmées.

Tout cela prit du temps, quoique la jeune femme avait fait plus rapidement que d'ordinaire, mais le résultat était là.


Ma douce te voilà prête. Tu es resplendissante ! Comment te sens tu ?

La question pouvait paraitre stupide mais elle avait aussi pour but de mettre sa Duchesse en confiance. Lui montrer qu'elle était là, son amie, qu'elle pouvait être rassurer car en ce jour, elle veillerait sur elle, et aussi à ce que tout se passe bien.
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Della
[Notre Dame, sur un banc, première place le long de l'allée centrale, rangée de droite.]

Elle aurait pu, les mains délicatement posées sur son ventre à peine arrondi, les lèvres tremblantes et le regard "chien battu" se dire malade, ce matin.
Il lui aurait suffi de dire à son époux : "L'enfant..." et il lui aurait commandé de rester bien au chaud chez Charlemagne. Elle aurait été libérée de cette corvée.
Mais...mais Kéridil était rentré contrarié de son entrevue avec le roi et Della, en bonne épouse qu'elle était, ne voulait pas le contrarier plus, même, elle désirait plus que tout lui faire plaisir.
Alors, elle n'avais pas simulé de nausées, elle n'avait pas geint et elle avait mis sa belle robe qui dissimulait son ventre de future mère et après avoir embrassé son fils, elle avait accompagné Kéri Kéri Chéri, sans même ronchonner.

Lorsqu'ils s'étaient séparés, devant la cathédrale, elle avait serré bien fort la main de son époux dans la sienne et elle était entrée, pour prendre place.

Là, bien installée où elle l’intention de se poser, elle pensait au ridicule de ce mariage.

Il y avait peu de temps, Sindbad avait simuler un suicide en présence de Della alors que celle-ci l'accusait de mentir à propos de ses intentions envers Aranelle, filleule et vassale de la Vicomtesse. Le vassal avait déclaré ne pas pouvoir épouser Aranelle car cela aurait à ses yeux, un air d'inceste puisque étant vassal de Kéridil et Aranelle, vassale de Della, cela aurait été selon lui, comme si il épousait sa soeur !
Et le même, très peu de temps après, épousait cette fois réellement une parente de son suzerain...Cherchez l'erreur.
Akane avait tourné longtemps autour de BôPapa Lexhor, espérant qu'il l'épouse. Della avait recueilli les confidences d'Akane à cette époque et elle était même plutôt favorable à cette histoire jusqu'à ce qu'elle apprenne que Akane faisait de l'oeil à un autre...à Sindbad alors fiancé à Aranelle.
Pas simple, cet imbroglio.
Finalement, Aranelle était bien mieux, maintenant fiancée à un autre.
C'est en tout cas ce que se disait Della, tandis qu'elle admirait une fois encore la merveille architecturale qu'était Notre Dame.
De tout ceci, elle en avait discuté, précédemment avec Kéridil, elle lui avait même fait une scène lorsqu'il lui avait appris qu'il donnerait le bras à Akane pour la mener à l'autel...Mais c'était avant...aujourd'hui, elle ne l'avait disputé sur rien du tout.

Bientôt, il passerait, là, tout près d'elle, juste à côté, avec Akane à son bras...

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- Et vot'blason, Duchesse ?
- Euh...il est là, quelque part dans les malles...'pouvez chercher. Attention à ne pas tout déranger !
Leha
    Ou l'art de transformer une corvée familiale en corvée insoutenable...

    Pardon, commençons par le début.

    La ravissante et charmante demoiselle d'honneur faisait son entrée, l'air aussi réjouie que lorsqu'elle se rendait chez le dentiste, c'est à dire pas le moins du monde. Elle ne portait pas la tenue règlementaire des demoiselles d'honneur, et s'en fichait un peu. Fallait dire qu'elle avait été prévenue une semaine plus tôt qu'elle serait demoiselle d'honneur. D'ailleurs, elle ne savait même pas en quoi cela consistait, alors elle se contenterait d'en faire un titre honorifique pour la journée. Peut être cela pourrait-il lui donner plus rapidement accès au buffet ? Qui sait.
    Si la journée s'annonçait si pourrie pour elle, ce n'était pas vraiment à cause du mariage. Savoir que sa tante allait se caser la rassurait même, bien qu'elle ne connaisse pas son futur oncle. Mais l'idée de dire à son fiancé "Je pars, et si vous changez d'avis, nous nous verrons au mariage de ma tante" était un peu idiote. Notez le : ne jamais poser un ultimatum concernant ses fiançailles en impliquant un autre mariage familial. Cela la déprimait, et l'énervait on ne peut plus.

    Alors, la charmante et radieuse demoiselle d'Estrées remonta l'allée pour aller se poser à côté de sa cousine préférée : Della.
    Et, avec une mine enjouée et épanouie au possible, elle soupira, commençant à compter les minutes qui restaient avant que la journée ne finisse.


    Le bonjour, ma cousine.

    Un regard blasé autour d'elle, pour vérifier que personne ne la surveillait :

    C'est une belle journée, n'est ce pas ? Et dire que j'aurais pu être ailleurs.
    D'ailleurs, j'ai la fâcheuse impression d'avoir oublié quelque chose, avec toutes les histoires qu'il y a en ce moment.

    C'est lui le marié ?
    Ou c'est lui ?

    Pfff, je ne connais même pas l'homme que ma tante va épouser.


    Et la Giffard (la rousse, vu qu'il y en a beaucoup) croisa les bras, démoralisée.

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Pitt.bull
il y a des époques, des moments, des édifices, des gens qui marquent leur temps.
tout icelle était réunit.

il avait eu du mal à faire en sorte que sa jeune épouse monte dans une carriole, il lui avait dit, ma tendre un navire de guerre sur un parvis de cathédrale voyons...
légère voiturette de normandie à Paris, pitt se rappelait son accession aux trônes, le bruit des pavés sous le cheval du serment.

pitt descendit sur un parvis magnifique pour aider à descendre une femme non moins magnifique.

il lui porta son bras à hauteur afin qu'elle en soit faciliter de descendre.


Nous y voilà duchesse, ensemble, nous y voilà.
Il m'est impatience de revoir aeglos


ils s'avancèrent regardant le nombre de tissu dorés qui foisonnaient de partout
Anya_de_puycharic


[Devant la chambre du futur, mais plus pour longtemps]

Hari parler langue pays Aparajita ? Alors entrer.

- Eh bien, parler serait un bien grand mot, mais...


Pas le temps de dire quoi que ce soit de plus que la jeune femme la prit doucement par les avant-bras. Un sourire apparut sur le visage de la blonde. En d'autres lieux, en d'autres temps...ce geste. Gabriel. Son Ange lui apprenant quelques petites astuces pour vérifier si quelqu'un était armé, alors qu'elle était atteinte d'une cécité passagère et que cela pouvait être très utile dans son état. Car oui... même aux proches l'on ne pouvait pas forcément faire confiance. Anya ne s'offusqua pas d'une telle pratique, le comprenant aisément. Puis... si elle cherchait une arme, elle cherchait au mauvais endroit. Ce n'était pas là qu'elle portait habituellement la petite dague qui ne la quittait pas, bien que là, partie précipitamment, elle ne l'avait pas prise.

Aparajita la laissa un instant revenant quelques minutes plus tard avec ledit peigne. Il était en effet magnifique et irait à merveilles dans les cheveux de sa soeur. Puis la dévouée à Sindbad lui confia qu'il était nerveux. Ainsi, même les hommes, aussi forts soient-ils, grands et j'en passe, se trouvaient soumis aux mêmes "tensions" que les femmes. Quelle idée de s'infliger cela... Quelle idée de se marier...
Anya prit le peigne et lui sourit en retour, la remerciant.

- dhanyawad, Aparajita. Oui, merci beaucoup. Et, je dirai à Akane, oui. Je retourne auprès d'elle. Namasté. Et de joindre à nouveau les mains devant sa poitrine, s'inclinant légèrement pour la saluer et prendre congé, lui adressant un dernier sourire.

Elle reprit la route pour se rendre auprès de sa soeur, au plus vite. Grimace en montant sur le pur sang qui lui servait de monture. Mais elle ne montrerait rien en arrivant.

[Chambre de la future épousée]

- Me revoilà ! avec le peigne. Mission accomplie. Et... Sin va bien. Il t'aime, il est nerveux, mais il t'aime... mais... il est nerveux. Mais il t'aime, hein !


Un regard à sa soeur. Ah. Ca y est, elle était prête ou presque. Petite grosse déception intérieure. Anya était heureuse d'être auprès de sa soeur en ce jour. Un moment complice entre deux soeurettes qui malheureusement ne se voyaient pas autant qu'elles le souhaitaient. Voilà ce à quoi elle avait pensé en venant dans sa chambre : l'aider à se préparer, l'aider à ne pas trop stresser, être là, comme une soeur se doit de l'être... au lieu de cela, on lui avait confié la mission d'aller chercher un peigne. Important pour Akane, certes. Et Anya avait été heureuse de lui rendre ce service. Mais en attendant, le temps avait passé, et il ne lui en restait guère beaucoup pour se préparer elle-même. Et elle ne pourrait pas se vêtir aussi rapidement que convenu, vu la douleur qui la tiraillait, dans le ventre. Mais elle ne montra rien. Rien d'autre qu'un sourire ajoutant à cela :

- Tu es magnifique. Ne manque plus que ce peigne dans tes cheveux, et tout sera parfait. Je vais aller voir Clothilde, qu'elle m'aide à me préparer, et je reviens ensuite. Sauf si... tu as encore besoin de moi...

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Akane
[ Chambre de la mariée, dernier acte … ]

La voilà fin prête.
Pomponnée, mais pas trop, elle n’aimait pas ce qui était articificiel et le manquillage en faisait parti.
Le voile posé dans le diadème les cheveux relevés, la brune se regardait encore et encore le cœur battant de plus en plus.

Anya revenait et Lucie de s’enquérir de son état. Elle demanda à sa petite sœur de lui passer le peigne puis…


- Il est donc tout aussi nerveux que moi, quant à ses sentiments, entendre dire qu’il m’aime encore et encore me ravit.

Un signe à la Blanche alors qu’elle se leva. Doucement elle l’étreignit puis ajouta :

- Merci pour tout, merci d’être toi ma petite sœur chérie et d’être là. Je t’aime.

Ceci fait vint le tour de Lucie qui avait elle aussi droit à l’étreinte en règle.

- Ma douce, ma chère future vassale, merci également. Je suis heureuse de pouvoir te considérer bientôt comme des miens.

Non, elle n’allait pas pleurer, ce serait idiot, elle regardait les deux jeunes femmes et réalisa que le temps passait inexorablement.

- Lucie pourrais-tu aider Anya à se vêtir en plus de Clothilde ? Je vous attends, il est hors de question que je parte sans mes témoins !

Et de rire un peu…



[ Quelques instants plus tard, le départ enfin ! ]

Les trois drôles de dames montèrent dans la voiture qui les mèneraient en la Cathédrale. Normalement à ce moment précis, le marié devait quant à lui, être presque arrivé.

Le trajet se fit sans encombre, la brune tremblait un peu et les deux jeunes femmes lui tenaient les mains comme pour leur donner leur force, leur courage. Elles étaient magnifiques toutes deux en cette journée et elle ne manqua pas de les complimenter.

Les rues grouillaient de monde, et déjà Nostre-Dame se profilait…

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Semper Paratus Servio
Jamie68
Honfleur, un matin de septembre 1460

Un ptit pigeon se pose sur la fenêtre avec dans ses pattes un miniscule papier qui en réalité une invitation à un mariage. Et oui encore voyons nous sommes rendu à 3 mariages.

Hum ce mariage va être constitué de beau monde, il faut donc être habillé correctement. Mais , de ça elle avait encore temps.




Paris, le 7 septembre 1460

voilà le jour du mariage d'akane était enfin arrivé. Partie la veille en cheval, Jamie était enfin arrivée devant cette immense cathédrale, toujours aussi magnifique. Une fois sur le parvis de notre dame, elle essaya de voir les têtes connues.
Aiguemarine
[ Sur le parvis de Nostre-Dame avec l'amuseur public aka Theobald ]


Dame Aiguemarine ! Quel plaisir de vous croiser de nouveau !
Non, pas d'écu dans ma bourse, elle est vide, jugez vous même...
En ce moment, avec toutes ces frontières fermées, les temps sont durs. Auriez vous une pièce ou un quignon de pain ?

Quelques écus, un quignon de pain, & puis quoi encore ?!
Elle-même n'avait point déjeunée & à la seule évocation de nourriture, son estomac se mit à gargouiller. Hmmm...
Aiguemarine, se décollant un peu de "sa" nonnette préférée, extirpa sa bourse & en sortit quelques écus qu'elle s'empressa de lui coller dans une main, avant de changer d'avis.
Puis, elle l'écouta de nouveau narrer ses aventures.
Elle grimaça légèrement quand il parla de l'Ecosse. Allez savoir, mais la brune ne les portait pas vraiment dans son coeur. Ils avaient des moeurs quelque peu...bizarres !


J'ai passé plusieurs mois dans le riant Comté de Galloway, au Royaume d'Ecosse. Vous savez, après notre escapade bourguignonne, j'avais besoin de calme, de repos...Et aussi de réfléchir à ce que Soeur Radegonde nous avait dit.

D'ailleurs, avez vous de ses nouvelles ?


Elle plissa les yeux à l'évocation de leur périple Bourguignon.
Comment aurait'elle pu oublier ?! Enfin, si...elle l'avait oublié lors de sa chute sur les remparts de Blois ! Mais le temps avait fait son oeuvre & une grosse partie de ses souvenirs étaient revenus ces derniers mois.
Oui, elle se souvenait que Moooossieur avait voulu jouer au sauveteur !
Oui, elle se souvenait que cet inconscient avait failli les faire périr dans un incendie !
Aiguemarine haussa légèrement les épaules. Elle ne souhaitait pas évoquer Soeur Radegonde. Ce n'était ni le lieu, ni le moment là...
Toutefois, ses réflexions pourraient être intéressantes. Il faudrait qu'ils en reparlent.

Une fois qu'il eût terminé sa longue diatribe, ses azurs se fixèrent sur le Ménestrel.


"J'aurai bien évoquée avec vous le "bon vieux temps" mais vous conviendrez que le lieu ne s'y prête pas.
Souhaitez vous entrer avec nous pour assister aux épousailles ou préférez vous rester là ?!
Je vous présente d'ailleurs Soeur Marie-Camille du Monastère de Marmoutier".

Puis, plus bas...

"J'étais jusqu'ici au Monastère afin de me reposer & je n'ai obtenue qu'une courte permission en faisant quelques concessions. D'ailleurs...hmmm...si vous aviez une idée pour...toussote...m'en débarasser". Maigre sourire...
Oui, c'est pas Aristotélicien, mais on fait ce qu'on peut !
Elle réciterait 3 crédos, 2 actes de contrition & la messe serait dite, si l'on peut dire ça comme ça.


Elle jeta un regard circulaire aux alentours.
De plus en plus de monde se pressait, il était temps d'aller prendre place.
Aiguemarine ressentait encore & toujours quelque fatigue.
S'appuyant légèrement sur le bras de Soeur Marie-Camille, elle attendit la réponse de Theobald.

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[
Harpege
Plus têtu qu'un Normand, il n'y a pas. Elle avait eu beau expliquer que feue la très regrettée Nébisa lui avait trouvé une fort seyante propriété donnant directement sur la Seine non loin de Paris, qu'il était facile de s'y rendre à la voile, sans efforts ni cahots, surtout sans cahots, pour s'y changer tranquille, puis que des quais de la Seine au parvis de Notre Dame il y a à peine une centaine de pas, rien n'y fit. Et c'est sur un ma tendre un navire de guerre sur un parvis de cathédrale voyons... qu'elle se retrouva mise en boite et bringuebalée en tous sens, sur une route poussiéreuse, de la Normandie à Paris.

mais il aimait tellement la mettre en boîte aussi... Elle poussa la complaisance jusqu'à râler tout le chemin.

Seule la beauté et la noblesse de l'édifice la fit se taire. Muette. Elle prit la main tendue, défroissa machinalement une robe qui, après tous ces cahots semblait vouloir lancer la mode des froissés délicats, jeta des coups d'oeil admiratifs autour d'elle sur les belles tenues, sourit à la cantonade et surtout à son étoile, et se concentra sur les pavés, un peu irréguliers quand on est chaussé d'escarpins de cuir fin.

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Aeglos.
Et un, et deux, et trois mariages. Et oui, la saison continuait sur de nouvelles noces. Cette fois, ce n'était plus de la famille, meme par expension, car, pour jamie et davy, ils les concideraient tout les deux comme des membres de la famille. Pour Davy, etant vassal de son pere, le jeune normand voyais ça comme un lieu de parenté particulier, et pour Jamie, il la voyait comme une sorte de tante qu'il aimait beaucoup embeter, mais bon, apres tout, comme disait l'adage, qui aime bien, chatie bien. Donc, pour une fois, le mariage n'était pas familliale, mais amicalo-professionnel, apres tout, ce n'est pas souvent que l'on a l'occasion d'avoir ses deux patrons qui se marient en meme temps, et ensemble en plus. Autre changement par rapport aux deux autres mariages, sur celui là, il avait du bosser. Certes, cela ne le derangeait pas d'aider son amie futur mariée, mais, ça marqué une difference, et, supprimé toute surprise de comment cela allez se passé. Il voyait ce mariage comme une ceremonie a organiser à la Maison Royale, ayant travaillé avec des collegues, juste les locaux avaient changé.

Malgres tout, il n'aurait raté ce mariage sous aucun pretexte. Ils étaient donc partis assez tot, pour arriver à l'heure. Et cette fois, pas de retard, meme de la part de Blanche. Ils arriverent donc à l'heure, et assez rapidement sur le parvis de la cathedrale. Et alors que la voiture aux armes de Montpeyroux arrivait, il vit que la voiture de ses parents venait juste d'arriver également. Apres etre descendu, et aidé blanche à faire de meme, il les salua avec le sourire, ayant entendu les propos de son pere.


Tu n'auras pas à attendre trop longtemps!

Vous allez bien? la route c'est bien passé?


Et voila, malgres le fait qu'ils n'aient pas voyagé ensemble, son projet n'ayant pas abouti, ils s'étaient finalement rapidement retrouvé.
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Nictail
[Dans la chambre du stressé.]

Bonjour Nictail. Vous tombez à pic. J'ai plutôt besoin de quelqu'un pour m'aider à m'habiller, et je ne suis entouré que de femmes. Dont Aparajita pour assurer ma sécurité, donc tout va bien.

Comment je me sens ? Je ne sais pas si j'arriverais à avaler quoi que ce soit.

C'était pareil pour vous le jour où vous avez épousé Aiguemarine ?


Nic sourit doucement au futur marié.
Et il commença donc à l'aider à s'habiller tout en lui faisant la conversation.


Je pense que je peux vous aider. Embarrassé devant tant de femmes ?! Je pense que ça peut se comprendre. Même si Aparajita n'est pas comme les autres, je le concède.
On avançait progressivement dans l'habillement du Sire.
Bah alors, on est tendu ?! Plus dur de se marier que de faire de grands discours devant l'ambassade royale ?! Pourtant, c'est juste un petit mot, un simple et seul petit mot à dire. Un beau et franc "oui". Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué là-dedans.
Large sourire pour détendre le futur enchainé. Ben quoi, il aura essayé au moins.
Et si vous ne vous sentez pas bien, évitez de manger... Ce serait dommage de... sur la mariée. Vraiment dommage...
Mais vous verrez, il n'y a rien à craindre. Détendez-vous un peu. Elle sera bel et bien là, et personne ne s'opposera à votre union. Tout ira bien...

Voilà, il était fin prêt. Tout du moins, il était vêtu comme il se devait.

Moi ?! Je devais être tendu, c'est logique, mais un peu moins...
Bon, je dois avouer que je me souviens surtout de la cérémonie et du moment où elle a dit oui. Croyez-moi, vous oublierez le reste après ça.
Alors, didious ! Calmez-vous et détendez-vous.
Vous êtes ravissant, elle sera magnifique... et vous serez bientôt mariés...

Il ouvre la porte pour que Sindbad se montre à Aparajita.

Alors Aparajita, qu'en pensez-vous ?! Il est beau n'est-ce pas ?!
Je vais aller me préparer. Veillez-bien sur lui !


Il s'apprête à sortir et se tourne vers Sindbad.
Qui vous accompagne jusqu'à l'autel ?! Je vous retrouve à la cathédrale, c'est ça ?!
Une fois qu'il saurait, Nic filerait se mettre en tenue.
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Nicolas.df
Au départ, il ne voulait pas venir. D'abord, il n'avait pas été invité. Il ne connaissait pas le marié, et la mariée ne l'aimait pas. Ensuite, il n'avait que peu de goût pour les cérémonies, et son quota annuel commençait à être largement dépassé avec les mariages qui se succédaient. Elisabeth, puis Harpège, bientôt Hélène, sans doute le sien par la suite... seulement voilà, Julien avait insisté, et Leha avait quasiment adressé un ultimatum. Nicolas n'était pas en position de refuser, et la perspective d'épouser enfin le renard Giffard suffisait à trancher son conflit intérieur.

Puisque la bonne société parisienne allait sûrement occuper chaque travée de Notre Dame, le borgne prêta grand soin à ses atours. Il avait beau n'être que bourgeois, il était tout de même bien plus riche que la plupart des nobles fréquentant la capitale et ne se privait jamais de laisser sa garde-robes le prouver. La tenue qu'il arborait pour se rendre sur l'île de la Cité n'aurait pas dépareillé à la cour florentine du temps de Cosme l'Ancien.

En arrivant en vue du parvis, il fit évidemment attention à ne pas laisser des giclées de boues gâcher son bel effet, et resta à bonne distance de deux voitures qui arrivaient. Ce n'est que lorsqu'elles furent arrêtées qu'il les contourna sans vraiment prêter attention aux blasons qu'elles arboraient... mais une voix familière parvint à son oreille. Il se retourna et arbora bien vite un large sourire.


Votre Altesse, Vos Grâces, Messire...

Le tout ponctué d'une élégante révérence.
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