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[RP] Mariage de Sindbad et d'Akane Giffard - De Clairval

Fred


[Jour J – Le matin au réveil et quel réveil.]

Oui tout le monde rêve de pouvoir se réveiller délicatement, tout en douceur. Doux réveil, par le chant des oiseaux, qu'elle soit comme une douce et mélodieuse chanson… qui résonne dans nos cœur tel un clairon. En goûtant à chaque instant le souvenir d’un rêve d’enfant…l’éveil de la nature nous procure à chacun de nous l’énergie nécessaire qui fait éclater toute la richesse intérieure du cœur ! Comme l’eau qui coule, l’esprit a besoin du moindre petit cours d’eau pour faire resplendir la source merveilleuse de la vie.

Cependant, non, le Castelviray ne fut pas réveiller par le chant d’un oiseau, ni par la nature mais pas un petit chat ? Oui c’était bien, un chat qui lui avait sauté dessus et c’était bien une patte de petit chat qui s’était posé sur son torse accompagné de doux mots de menace. Le Vicomte ouvrit lentement les yeux, oui il faisait déjà un peu jour. Il posa son regard sur la jeune blonde qui se trouvait sur lui et lui sourit. Ainsi elle le menaçait ?


Par tous les saints des moules du mont, on ose m’attaquer ? Me menacer d’une patte ?

Le Castelviray grogne en tentant d’imiter un dragon même étant un félin. Avec ses mains il cherche à chatouiller la jeune Margot sur les côtés.

Que les chatouilles soient de mise !!!

Le Vicomte se mit un peu à rire tout en la chatouillant, il la fit basculer pour mieux la chatouiller encore.

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Nahysse
Les charrettes étaient bien arrivées tôt le matin devant la cathédrale. La petite blonde en fut soulagée. Il lui aurait été difficile de courir sur les marchés et de s’assurer que tout soit prêt en temps et en heure.
Vêtue d’une simple robe de coton, elle avait aidé à décharger et à placer les gerbes au pied de l’autel, les petits bouquets à chaque entrée de rang et une couronne sur chacun des battants de la grande porte.
Une idée de dernière minute lui fit ramasser et conserver les pétales semés dans le déménagement. Elle les donnerait à lancer à la sortie de la cathédrale, en plus du riz.

Il n’avait pas été facile de trouver des fleurs en cette saison et si le climat avait été plus favorable, il lui aurait été permis d’espérer trouver des violettes. Mais les chaleurs de l’été s’étaient éternisées. Il avait à peine plut pour soulager la terre. Les violettes ne pointeraient pas encore le bout de leur nez avant quelques semaines. Aussi s’était-elle rabattue sur une seule sorte de fleur qu’il était plus facile de trouver : le souci. Des soucis orange pour être plus exact.

Voilà qui donnait le ton aux réjouissances. Dommage qu’il n’en exista pas de rouge.

Ce n’est qu’une fois satisfaite de la décoration du lieu sacré que la petite baronne se retira afin de se préparer à son tour pour les festivités.
Une rapide toilette lui permit de se rafraîchir avant d’enfiler sa tenue d’émeraude et d’or.
Il lui fallut toute fois insister pour que Flora accepte de serrer encore et encore son corset jusqu’à ce que l’arrondi de son ventre accepte de disparaître à l’œil peu observateur.
La petite blonde étouffait. C’était à peine si sa poitrine pouvait se soulever.

Qui n’avait pas dit que la vie de femme pouvait être une voie pavée de souffrances ?

La petite baronne finit par grogner sa satisfaction avant de sortir un éventail et de l’agiter convulsivement devant son visage rougit par l’effort, ses boucles blondes dansant sous la caresse de l’air ainsi déplacé. Seules les étincelles de ses azurs laissaient deviner sa souffrance et les quelques perles de larmes qui constellaient ses longs cils noirs.

Nahysse s’accorda quelques minutes afin de retrouver contenance puis alla à la rencontre de son cavalier sur le parvis de la cathédrale.

Un sourire malicieux, une révérence généreuse.




Messire…J’espère ne pas vous avoir fait trop attendre.

Tu parles ! Nahysse s’était fait une spécialité d’avoir toujours un peu de retard. Il fallait savoir se faire désirer. Et rien ne lui était moins cher que de se savoir ardemment désirée par un homme. D’autant plus par un bel Euzen.
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Della
Leha avait réussi à la tirer de ses pensées et même, la fit rire lorsqu'elle essaya de deviner qui était le supplicié...euh le marié.

Bonjour Leha, je suis bien heureuse de vous rencontrer.
Pour tout dire, j'aurais aimé être ailleurs aussi mais...
Elle se tourna un peu pour voir si Kéridil était entré, mais non..."elle" a demandé à Kéridil de la conduire jusqu'à l'autel et...petit moue de désapprobation...Il est tellement gentil qu'il a accepté.Inutile de préciser qui était le "elle", Della savait que Leha comprendrait et vraiment Della n'avait pas du tout envie d'évoquer plus avant ce mariage.

Après avoir secoué la tête négativement, Della reprit pour Leha :
Sindbad n'est pas encore là. Je suppose qu'il ne tardera plus. A moins qu'il n'ait changé d'avis et se soit sauvé en courant...
Et Della sourit...discrètement parce qu'elle avait de bonnes manières...et elle reprit son observation du lieu, des gens, des tenues...
Etes-vous venue seule, Leha ?
Ô curiosité quand tu nous tiens.
On se croirait dans une officine de médicastre avec tous ces soucis...Ajouta-t-elle encore, décidément très vilaine langue, ce jour.
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- Et vot'blason, Duchesse ?
- Euh...il est là, quelque part dans les malles...'pouvez chercher. Attention à ne pas tout déranger !
Ph92
Péhache voyait du monde défiler, des femmes, des hommes, des nobles...Alors qu'il se demandait quand le mariage allait commencer, il aperçut une connaissance, une amie à lui, une Bourguignonne d'origine, Della de la Mirandole. Cela faisait un bon bout de temps qu'il ne l'avait pas vu et le jeune homme ne voulait pas la louper cette femme si admirable cependant, il'avait une toute petite appréhension, qu'elle l'appelle " Péhage".
Il s'avança donc prés d'elle et la salua:


Della, qu'elle bonne surprise ! Comment vas tu, ça fait longtemps qu'on ne c'est pas vu! Alors quoi de beau? Tu es donc invitée au mariage de Sindbad et d'Akane? C'était si évident pourtant...
Luckylachance
La jeune femme sourit à son amie. Elle était très heureuse pour elle en ce grand jour. C'était pour elle également un jour important. Après tout voilà qu'elle était témoin pour la première fois de sa vie.
Puis cela lui permettait de retrouver un peu de joie, des sourires, de faire la fête. Ce qui n'était pas pour déplaire la blonde qui appréciait un peu de détente en ces temps agités. Elle avait un grand besoin de souffler, de profiter de l'air d'été hors des couloirs du Louvre.

Posant sa main sur l'épaule de sa tornade elle la regardait, se voulait rassurante et présente pour elle. C'est alors qu'Anya revint, la blonde tourne la tête et sourit à la jeune femme. Elle écoute alors Ak puis réplique. Tout en riant.


Bien sur ! Avec plaisir !

Le regard azur se pose sur Anya, elle pose alors ses mains sur ses hanches puis fait la sévère, tout en souriant amusée.

Allé allé très chère ! Au travail !

[Le commando marital]

Le trajet se passait tranquillement tandis que les jeunes femmes conversaient avec entousiasthme. Rire et sourire étaient au rendez vous. Elles étaient de bonne humeur en ce jour heureux.

La Castelviray tenait la main de sa tornade, en même temps qu'Anya. Il était important que la mariée se sente soutenue et accompagné durant ce grand engagement qu'était le mariage. Ce n'était pas anodin, cela vous liez pour toujours, jusqu'à la fin de vos jours. Elle pensait cependant que Ak avait bien choisi, elle était heureuse de la voir comblée à ce point.
C'était tout ce qu'il fallait à la Castelviray.

Les rues étaient déjà parsemées de monde, l'activité de Paris battait son plein. La blonde, de son air curieux, posa son regard sur Notre Dame qui se dessinait devant le coche.

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Sindbad
Devant l'appréhension qui s'emparait de lui alors qu'approchait le moment de la cérémonie, Sindbad se trouva presque soulagé par la présence du Seigneur de Sarliève. Grâce à son calme communicatif, il reprenait peu à peu le contrôle de lui même.

Vous savez, je fais rarement des grands discours aux Ambassadeurs Royaux. D'abord, parce qu'ils n'ont pas le temps de m'écouter parler, ensuite parce que c'est plutôt à moi d'écouter ce qu'ils ont à me dire. Et de trouver des solutions.

Pour autant, la boule restait solidement logée au creux de l'estomac. Un simple mot, un simple mot...Mais devant un parterre de ce que le Royaume de France comptait de plus élégant et distingué. Des gens qu'il connaissait, certes, mais aussi d'autres qu'il n'avait jamais croisé, et qui, peut-être le verraient pour la première fois. Il trouva le courage d'émettre un rire :

Vous savez, s'il n'y avait que le prêtre, la mariée et moi, je ne me mettrais pas en frais...Mais le tout-Paris...

L'aide du Seigneur de Sarliève s'avéra finalement précieuse, et le constantinopolitain fut bientôt habillé de pied en cap. Même Aparajita sourit en le voyant, preuve qu'il était à son avantage. Il était temps pour son témoin de se préparer à son tour.

Pour ce qui est d'aller à la cathédrale, Aparajita m'accompagnera, même si je sais qu'elle n'apprécie guère nos lieux de culte. Mais si vous le souhaitez, je puis vous aider à passer votre tenue. Ainsi arriverons nous à la cérémonie ensemble, Aurore, vous et moi ?

Courageux mais pas téméraire, Sindbad ? Il y avait un peu de cela. Il appréhendait d'affronter seul tous ces gens. Heureusement, la mariée serait là...
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Grand Ambassadeur Royal de France | Ambassadeur d'Orléans auprès des Comtés d'Angleterre | Baron du Chêne Doré & Seigneur d'Epieds en Beauce
Theobald


"Ventre affamé n'a pas d'oreille" énonce un adage populaire. C'est en respect de celui ci que Theobald accepta sans se faire prier les quelques écus que lui remit la Dame de Sarliève. En d'autres temps, il aurait peut-être feint l'indignation, ou évoqué son honneur professionnel, mais les temps étaient durs.

A l'aspect que prit le visage d'Aiguemarine, le ménestrel comprit, par ailleurs, que les investigations sur le passé de celle qui fut autrefois italienne se trouvaient bloquées. Par qui ? Par quoi ? Et, manifestement, leur voyage bourguignon ne l'avait pas marqué de manière impérissable. La manière dont elle changea de sujet constituait un indice supplémentaire. Peut-être était-il temps qu'il revienne se promener en Orléanais...

Mais, à tout seigneur tout honneur. Et le seigneur de ce jour étaient les mariés. Il décida donc de s'en tirer d'une pirouette :


Tout lieu est propice à se remémorer le passé, lorsque celui ci est plaisant. Mais vous avez raison : nous avons une cérémonie à laquelle nous devons assister, et un ami commun à féliciter...

Puis, se penchant vers elle, il murmura :

...sans compter une Soeur à semer. Gardez moi une place, j'arrive.

Restait à s'occuper de la Soeur.

Ma Soeur, je me présente : Theobald, ménestrel de mon état. Et vous pouvez m'aider.

Voyez vous, l'homme qui unit sa vie ce jour devant le Très-Haut est un très bon ami, et je souhaite assister à son mariage. Malheureusement, confronté à l'affluence, le prêtre a décidé que seuls ceux qui disposeraient d'un laisser-passer entreraient dans la cathédrale. Vous qui servez le Très-Haut, pouvez vous aller voir l'officiant afin qu'il m'en procure un ? Ma gratitude vous serait alors assuré, sans compter la généreuse donation dont bénéficierait votre Congrégation...



Theobald
Ménestrel,
Narrateur de « La Geste d’Orient »
Commentateur de matches de soule
Anya_de_puycharic


[Dans la chambre de la Reyne...du jour]

Bien plus qu'une accolade franginesque, un câlin comme elles en avaient partagé dans les coups durs notamment, et très rarement, trop rarement dans les moments de joie. Comme là maintenant.
Lucie allait l'aider à s'habiller et cela ne serait pas de refus. Lever les bras était encore difficile, puis il y avait des lacets à fermer. C'est ainsi que quelques instants plus tard, la Blanche se retrouva habillée... non pas de blanc, mais d'une robe dont l'étoffe ne serait pas sans rappeler certaines origines.
Anya remercia Lucie et toutes trois quittèrent la chambre. Akane semblait plus nerveuse à chaque pas qu'elle faisait, chaque pas qui l'éloignait de cette chambre mais l'approchait de l'endroit où elle devrait faire le grand saut.

A penser au grand saut, elle pensa à lui. Allez savoir pourquoi, mais son visage vint s'installer dans son esprit et elle ressentit comme un manque. Elle aurait voulu qu'il soit là, à ses côtés, mais ce n'était pas le cas.
Elles partaient toutes les trois, direction Nostre-Dame...

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Della
S'il y avait bien une personne qu'elle ne serait pas attendue à voir ici, c'était Péhage.
Un sourcil se leva, suivit aussitôt du second, sur un regard inquisiteur que la jeune femme promena sur le personnage.
Un frisson lui parcourut l'échine alors qu'il la tutoyait comme s'ils avaient été de grands amis. Or, l'on sait que Della ne donne du "tu" qu'à de très rares personnes et qu'elle n'en accepte que de plus rares encore.


Bonjour. Lâcha-t-elle du bout des lèvres qui dessinaient une petite moue contrariée.

Je vous prierais de ne point vous montrer aussi familier, messire Péhage.
Je suis Vicomtesse, vous semblez l'oublier.

Un geste de la main pour chasser une poussière de sa robe, nonchalamment avant de continuer. Cela dit, je vais bien, je vous remercie. Il se trouve que la mariée est la cousine de mon époux et le marié son vassal.
Elle aurait aussi bien pu lui demander ce que lui faisait là mais non, elle n'avait pas envie d'épiloguer.

Reprenant alors la conversation avec Leha :
Participerez-vous aux réjouissances du mariage ?
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- Et vot'blason, Duchesse ?
- Euh...il est là, quelque part dans les malles...'pouvez chercher. Attention à ne pas tout déranger !
Ph92
Alors qu'il était heureux de retrouver celle qui le tutoyait et qui le considérait comme un ami dans le temps, il vit bien vite que la jeune Della était devenue une femme bien revêche et aigrie, il n'était pas question qu'il se laisse faire, il faut dire que le jeune chevalier était très susceptible et qu'il n'aimait pas se faire reprendre....ah non...il ne supportait absolument pas les leçons de morale et les remontrances, il se sentait si ridicule après... Mais après quelques secondes d réflexions il réalisa qu'il était le fautif et qu'il il avait manqué de respect en publique à une personne de la noblesse, le jeune homme avait fait une erreur impordonnable surtout pour un chevalier. Sans dire un mot de plus, il retourna très vite à sa place dans l'idée de ne plus la quitter jusqu'à la fin du mariage.
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Péhache d'Adventac, Chevalier d'Irlande de dix sept ans ( Bannière à venir d'ici la fin de la la création du blason etc.)
Margot_puycharic


    [Chez le Nain Domptable]

    Par tous les saints des moules du mont, on ose m’attaquer ? Me menacer d’une patte ? , que il avait dit le pabo Vicomte avant de me chatouiller, que même que je riais pas à cause des chatouilles, enfin si, un peu, mais passque j'avais réussi un début de mission de haute "importansssse".
    Pi je levai les yeux au ciel : c'était même pas comme ça que on disait, j'vous f'rais dire. Il avait rien compris le bigorneau de Vicomte. Je laissai échapper un léger soupir en même temps que mes yeux roulaient un peu à la mode :"tu dis n'importe quoi, d'abord".
    Je lui mis une seconde patte de petite minette et mes pieds pareil, sur le torse, pour essayer d'échapper à ses chatouilles.

    C'est "Par tous les bigorneaux et les moules avariés du Mont", qu'on dit.

    Pi moi je roulais un peu sur le côté pour mieux lui sauter dessus.

    A l'abordazzze !!! c'est ça que tonton Alexandre il m'avait raconté de ses histoires de Pirates et que il fallait dire quand on attaquait aussi. Pi j'avais besoin de savoir un cruc et que là, c'était le bon moyen de lui faire avouer et que même que j'avais besoin de savoir si ce que papa il disait c'était vrai.
    Maintenant vous allez avouer, pabo !!!! mais là, fallait redeviendre sérieux. Et comme il avait été terrassé, le nain domptable, bin je restais sur lui, bras croisés sur son torse et menton dessus : Dis. Y'en a que ils disent que maman c'est toujours ta chérie et que même que tu vas la n'épouser. Mais moi, j'ai entendu dire maman, que les garçons c'est nul et que elle se mariera jamais. T'es son n'amoureux ?

    OOouuupssss !!! qu'on va se faire gronder. Maman elle voulait que je viende te réveiller, et que y'a le mariage de tatie et que même que on est pas habillé !!

    Je laissai échapper un gros soupir.

    Je veux pas mettre de robe. C'est pas joli et moi je veux être habillée en Chevalier du Coquillaze Blanc. Tu crois que je peux ?

    J'étais toujours sur lui, bras croisés, et j'avais attendu comme ça, que il me réponde.

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Euzen

    Petit voyage à Paris, rien de mieux pour s’aérer l’esprit … Mais pas les poumons.

    Ils étaient partie à cinq de Limoge. Trois femmes dans une voiture, deux hommes à cheval. Le cochet lui ne comptait pas. Mais ils ne reviendraient qu’à quatre. Pourquoi ? Eh bien, parce que l’une des donzelles serait vendue. Enfin, elle le serait si tout se passait comme le Corniaud l’escompter autrement, ils repartiraient avec elle. En d’autre temps, il n’aurait pas été si pointilleux pour se séparer d’elle mais là, quelques conditions s’imposé. Certes, il se vendait de la Sauvage mais il ne vendait qu’elle. Ce qui signifier qu’un autre petit bout devait lui être rendu en temps et heure. Le plus dur aller certainement être d’expliquer cela à sa future épouse …

    Bref.

    Mais, bien que la vente soit l’une de ces priorités, il devait se soumettre à quelques obligations avant. Et l’une d’elle était le mariage de la supérieure de sa Muse à la Maison Royal. Encore du temps perdu dans une église … Dieu, il avait l’impression de ne faire que cela actuellement. Et ce n’était pas prêt de s’arrêter puisqu’il était l’un des prochains sur la liste … Heureusement que ces cousins, le frère et la sœur, avaient accepté l’idée d’être baptisé en même temps. Une cérémonie de moins, une !

    Et à présent, il attendait.

    Quoi ? Que sa belle daigne pointer le bout de son petit nez. Il arpentait le parvis par centaines de pas. C’est que la patience n’était point son fort, au Montbazon, et de savoir que la jeune femme en jouait surement l’agacé d’autant plus. C’était de bonne guerre c’est vrai, mais il aurait préféré se faire arracher la langue plutôt que de l’admettre. Et se fut sur cette réflexion qu’il la vit arriver. Un instant, il leva un sourcil, surpris de la tenue qu’elle portait. Comment diable avait-elle réussit à la passer ? Décidément les femmes l’étonneraient toujours … Mais à présent, il comprenait mieux l’insistance qui avait été la sienne quant au choix de sa propre tenue. Prenez la verte qu’elle disait ! Oui vu ainsi …

    Souriant à sa remarque, alors qu’il lui présentait le bras, il aurait pourtant aimé lui tirait la langue comme le faisait les enfants. La Bougresse l’avait bien fait exprès ! L’entrainant vers l’édifice religieux … plus vite cela aurait commencé, plus vite ce serait terminé … Il se pencha à son oreille.


    - J’espère que vous pouvez respirer tout de même … N’allez pas vous évanouir au milieu de l’office …

    Petite pique ? Oui. Mais elle le méritait bien …

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Rehael
Venir à un mariage sans en être l'officiant, cela était devenu rare pour Rehael, ces derniers temps. Ce jour serait donc un jour de repos, dont il allait d'autant plus profiter qu'il était heureux de voir Julien officier. Le nouveau diacre d'Honfleur et aumônier de l'Ordre hospitalier avait été un élève attentif et brillant, il était donc très heureux de le voir prononcer son premier mariage.

Il le chercha du regard, comptant lui dire quelques mots, mais il le trouva en profonde prière. Ce jour était important pour lui, aussi, et il décida de ne pas interrompre sa méditation. Il se revit un instant, prononçant son première mariage, très ému...

Pour le moment, il ne vit pas le futur marié, qu'il ne connaissait pas encore. Il se promit d'aller le saluer dès que possible, même s'il imagina qu'il serait bientôt harcelé par les invités.
Il imagina aussi la joie d'Akane, qui devait probablement terminer de se préparer. Il était très heureux pour elle, car il savait qu'elle attendait ce jour J avec grande impatience.

Dans l'immédiat, le Prince d'Eglise aperçu deux membre de sa famille, Nahysse et Morganenn, qu'il entreprit d'aller saluer.


Nahysse, Morganenn, quel plaisir de vous voir ici.
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Mamaion
Mamaion qui discutait avec son cavalier, repéra bien vite la vicontesse et duchesse Della. Elle souria et décida d'aller la saluer, c'était la moindre des choses après son invitation chez elle!

Excusez moi mon ami, mais il faut que j'aille saluer la Duchesse Della d'Amahir, elle est mariée à notre ancien Duc.

Elle s'avança vers cette dernière et s'inclina.

Bonjour Duchesse! Je suis ravie de vous voir ici. Comment allez vous?

Grand sourire.

Enfin je me doutais bien que vous seriez invitée! Je voulais encore une fois vous remercier de votre invitation, j'ai passé un agréable moment à votre presbytère à Blois!
Pitt.bull
Citation:
Vous allez bien? la route c'est bien passé?


Heuuu oui fils fort bien, ta maman à chanté tout du long, bon dans sa langue à elle, avec ses propres paroles, mais elle a chanté.

il rit taquin.
se hasarda à une bise à blanche
puis sourit à l'arrivant.


Citation:
Votre Altesse, Vos Grâces, Messire...



bien le bonjour à vous, décidément nous aurons festoyer ce mois ci...
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