Loryane.
Javais retrouvé ma mère la veille, aujourdhui elle allait se marier.
Malgré mes craintes de jeune fille, elle ne mavait pas oublié et regrettait de ne pas avoir été plus présente pour moi. Un quelque chose lanimait quelle appelait le sens du devoir et celui-ci lavait éloigné peu à peu de sa vie de famille.
Je métais découvert quelques jours auparavant une tante dans des conditions effroyables. Il marrivait encore den pleurer dy penser. Puis jétais restée avec elle avec le Vicomte de Castelviray et ma cousine plus jeune de quelques années. Javais eu du mal face à linsouciance de Margot peut être parce quelle me rappelait quelque peu Edeline à son âge ma petite sur défunte mais le temps aidant je commençais à mamuser de ses facéties.
Aujourdhui après avoir dévoré des tranches de pain et de fromage chez lhomme qui était mon oncle et que je ne connaissais point encore, je me fis habillée de la robe en satin de damas de couleur azur pâle. Une robe confectionnée en Normandie par une couturière de la province. Lon démêla ensuite mes cheveux ondulés de jais et on plaça deux petits peignes de perles de chaque côté de la tête histoire de retenir quelques mèches bien trop rebelles.
Je fus menée par une voiture jusque la Cathédrale. Montée des marches, javise des mes prunelles marines lintérieur et vis quil yavait du monde beaucoup de monde. Je me trouvais attirée par les lieux saints, javais envie dentrer dessayer de trouver mon oncle et qui officierait pour me présenter mais la peur de cette foule me fit me tenir là.
Jattendrais ma mère ou un visage connu je verrai bien. Je resterai je crois avec Margot et ma tante.
Il yavait une autre peur : Celle de rencontrer pour la première fois mon beau-père. Ca en faisait des premières fois hein !
De ce que mère me disait, je ne pourrai pas le rater tant il se distinguait.
Moui On verra bien
En attendant, je triturais une mèche de mes cheveux.
Malgré mes craintes de jeune fille, elle ne mavait pas oublié et regrettait de ne pas avoir été plus présente pour moi. Un quelque chose lanimait quelle appelait le sens du devoir et celui-ci lavait éloigné peu à peu de sa vie de famille.
Je métais découvert quelques jours auparavant une tante dans des conditions effroyables. Il marrivait encore den pleurer dy penser. Puis jétais restée avec elle avec le Vicomte de Castelviray et ma cousine plus jeune de quelques années. Javais eu du mal face à linsouciance de Margot peut être parce quelle me rappelait quelque peu Edeline à son âge ma petite sur défunte mais le temps aidant je commençais à mamuser de ses facéties.
Aujourdhui après avoir dévoré des tranches de pain et de fromage chez lhomme qui était mon oncle et que je ne connaissais point encore, je me fis habillée de la robe en satin de damas de couleur azur pâle. Une robe confectionnée en Normandie par une couturière de la province. Lon démêla ensuite mes cheveux ondulés de jais et on plaça deux petits peignes de perles de chaque côté de la tête histoire de retenir quelques mèches bien trop rebelles.
Je fus menée par une voiture jusque la Cathédrale. Montée des marches, javise des mes prunelles marines lintérieur et vis quil yavait du monde beaucoup de monde. Je me trouvais attirée par les lieux saints, javais envie dentrer dessayer de trouver mon oncle et qui officierait pour me présenter mais la peur de cette foule me fit me tenir là.
Jattendrais ma mère ou un visage connu je verrai bien. Je resterai je crois avec Margot et ma tante.
Il yavait une autre peur : Celle de rencontrer pour la première fois mon beau-père. Ca en faisait des premières fois hein !
De ce que mère me disait, je ne pourrai pas le rater tant il se distinguait.
Moui On verra bien
En attendant, je triturais une mèche de mes cheveux.