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[RP] Mariage de Sindbad et d'Akane Giffard - De Clairval

Anya_de_puycharic


[Le parvis, et toussa, toussa...]

Elles étaient arrivées toutes les trois, alors qu'un monde fou se trouvait déjà soit devant, soit dedans, et que d'autres arriveraient derrière. Autre point à noter pour éviter son propre mariage, qui était loin d'être au goût du jour, et pour cause !
Du monde qu'elle connaissait, d'autre pas, une nièce en vue qui vint les saluer, un sourire en retour, heureuse de la voir là.
Puis une mini-Perle tornade qui se planta devant elle, habillée en princ...chevalier ? Mhh, la petite s'était trompée de tenue ! Elles n'allaient pas à une cérémonie d'intronisation ou d'anoblissement, mais à un mariage, et Margot se devait de porter une robe.
Et où était son petit frère, et le Baron de la tr...du Perche, Vicomte de son état, et pas encore serpillé, pour son plus grand malheur ?

Elle embrassa son petit ange lorsqu'un bras vint se glisser au sien, puis un baiser bien visé. Si si !! il savait faire !!
Ainsi elle était magnifique en ce jour ? Et heu... les autres jours, non ? Moué.., peut-être un subterfuge pour trouver un moyen, coûte que coûte, de se faire serpiller.
Ahhhh, et un autre qui suivait !!! Ainsi, c'était LUI, LE coupable, si Margot était ainsi habillée. Il cherchait réellement les coups. Non pas pour la tenue de sa fille, qui lui allait à ravir, mais surtout parce que cela n'était pas prévu ainsi.

Et il avait passé agréable matinée ? Avec Margot ??!!!! Non, il la taquinait, pour sûr. La petite détestait le Vicomte. Pourtant, il était là, à ses côtés, sans oreille en moins, sans cheveux trempés, ... entier, apparemment. Que de points à éclaircir !

- Bonjour Vicooooomte. Et...si. ...nous aurons une petite discussion... en privé...

Un sourire à sa sauce pour accompagner ces mots, le "thon" était donné, Le Baron de la Perche n'avait qu'à bien se tenir. Ceci étant, elle avait hâte de connaitre le pourquoi d'un tel sourire sur le visage du Vicomte suite à cette "fabuleuse" matinée entre lui et sa fille.

Le moment d'entrer était arrivé, son frère les appelait à l'intérieur. Anya suivrait le mouvement et prendrait la place qu'on lui indiquerait. Le Vicomte ne le lâchait pas d'un poil, comme s'il avait peur qu'elle s'évapore...
Peur légitime puisque de "Blanche", elle passait à "transparente", que ce soit ici ou ailleurs...
Elle arbora un sourire, notamment destiné au Traitre à son bras... élaborer de nouveaux plans de vengeance... voilà qui l'occuperait un moment.

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Euzen

    Les familles nombreuses, il connaissait. De par le nombre, la sienne n’avait rien à envier à aucune autre. Pourtant, à cet instant, il maudissait les familles nombreuses, le Corniaud.

    Qui était arrivé le premier ? Il ne sut mais en quelque instant, le jeune couple fut bien entouré. Est-ce l’éminent homme d’église ou la Comtesse? Le premier lui semblait-il. Mais il n’avait fallu que quelques secondes à sa future belle-mère pour faire son entrée à sa suite. Non décidément, en cet instant, il détestait les grandes familles … Surtout quand il était le seul ignorant des liens et secrets qui unissait les uns les autres. Qu’il abhorrait cette impression d’être crédule et à la merci du moindre sous-entendu que son inculture ne lui permettait pas de déceler. Pas moyen de se défendre alors ! Ruminant intérieurement, il n’en inclina pas moins légèrement, la tête et le haut du corps pour saluer ces deux ainés.


    - Votre Éminence. Votre Grandeur.

    Le titre du premier, il ne l’avait appris qu’en écoutant sa jeune compagne le saluer un instant avant et, grâce à cela, en déduisit son identité. Le chef de famille des Plantagenet … Gloups. Le titre de la seconde, il l’utilisait pour faire bonne figure. Inutile de s’attirer les foudres de la Comtesse une seconde fois. Pas tant que le mariage ne serait pas célébré en tout cas.

    - Euzen de Montbazon-Navailles ? C’est donc l’heureux élu. Effectivement, j’aimerai beaucoup faire sa connaissance.

    Gloups. Pourquoi avait-il soudain l’impression d’être un lièvre sur la trajectoire d’une flèche de chasseur ? Allez savoir. Nouvelle inclinaison.

    - Votre Eminence, il me tardait de vous rencontrer aussi.

    Oh le vilain mensonge ! Bon, vivement que cette satané cérémonie commence et les tirent de se bourdier … Il était d’ailleurs temps de s’installer. La mariée était en vue et l’officiant demandait à tous de prendre place. Un regard glissa vers sa Muse et, ensemble, suivirent le mouvement de leurs aînés.

    Ils étaient sauf … pour l’instant.

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Mamaion
Mamaion souria à la Duchesse, puis vit sa moue. Elle regarda en direction de l'entrée et apperçu la reine du jour. Elle alla s'assoir auprès de son compagnon, décidément bien muet, serait-il impressioné? La cérémonie commença alors.
Aiguemarine
Une prière silencieuse adressée au Très-Haut.
Azurs qui glissent quelques instants vers Theobald qui, lui même, regarde la nonnette avec un léger sourire. Quel plan "diabolique" manigance t'il encore ?!

Mais le temps des interrogations n'est plus...

Le futur marié fait son entrée, suivi de près par ses 2 témoins.
Aiguemarine se lève à leur passage.
Elle croise le regard de son époux, & là...plus rien ne semble exister autour d'elle.
Des jours, des semaines, qu'Aiguemarine attend ce
moment & elle était loin d'imaginer qu'il aurait lieu ici, à Nostre-Dame, pour le mariage de leur ami.

Esquisse d'un sourire fugace pour le rassurer quelque peu.
Même si elle doûtait de "le tromper" longtemps tellement il ne la connaît que trop bien.

Puis c'est au tour de la future épousée de faire son entrée au bras de l'ex-duc d'Orléans.
Akane semblait rayonner, sa mise était des plus magnifiques, même si la solennité de l'instant prenait le pas.
Aiguemarine se perdit quelques instants dans ses pensées...se remémorant son union avec Nic, dans un cadre bien plus modeste que Nostre-Dame.
Autres temps, autres moeurs...

Tous les protagonistes étaient présents ; nul doûte que la cérémonie débuterait sous peu.

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[
.ambre.
[Quelques jours avant]

La petite Breto-Normande s'entraînait ardemment au combat à l'épée avec son nouveau maistre d'arme quand Mara, sa grande soeur vint lui coller une missive sous le nez :

"T'aurais pas oublié ça boulette?"

Couverte de sueur et de poussière, l'adolescente loucha sur les lettres manuscrites :

"Mariage...Nostre Dame...le 7 septembre...nom de diou, on va être en retard!"

Plantant là lettre, épée, bouclier et presque sa tenue d'entraînement, voilà la jeune fille partit en trombe dans sa chambre préparer robe, peigne, tenue de voyage, épée, bouclier, puis redescendre pour préparer de la nourriture pour le voyage.

Pour sûr qu'Akane mettrait du temps à la reconnaitre, elle l'avait quitté enfant, elle retrouverait l'adolescente presque femme. Mais pour le moment, Ambre se prépara au départ, une fois en selle, elle regarda sa soeur aînée qui souriait mais qui ne faisait pas mine de se préparer :


"Je suppose que j'y vais seule et que je te trouverais une excuse?"

"Tu sais bien que je n'aime pas aller en public Ambre...tu t'en tireras très bien toute seule et tu n'as plus besoin de moi pour voyager. Je préfère tenir la maison et le moulin pendant ton absence."

"Ora, ora, tu sais bien qu'on doit vendre ça aussi, si on doit aller dans le Sud, va falloir t'y faire."

"..."

Ambre sourit à sa soeur et se pencha pour l'embrasser sur le front avant de piquer son destrier qui partit au galop en direction de la ville du Roy : Paris.

[Le jour J]

Malgré son esprit aventureux, il y a une chose que la Breto-normande avait oublié : une carte et son sens de l'orientation. Si bien qu'elle arriva vers le milieu de matinée à Paris, encore loin la Cathédrale.
Mais heureusement, le langage de la rue était connu de la peste qui trouva rapidement un guide du crû pour la mener dans une auberge pas trop mal famé proche de la cathédrale contre quelques piecettes et un charmant sourire.
Elle réussi même à avoir un bain pour se laver des journées de voyage ce qui lui rendit sa superbe.

Lavée, elle sortit sa robe d'un beau jaune ocre qui mettait en valeur ses yeux ambré, passa à son cour la fine chaine en argent raz-le-cou qui retenait le pendentif familial : le croissant de lune en argent. Une paire de boucle d'oreille du même métal orné d'ambre vinrent compléter la parure.
Ses long cheveux noirs furent attachés en une longue tresse qui commençait du côté gauche de son crâne pour finir du côté droit, le ruban nouant la tresse sous sa poitrine. Ambre était fière de ses cheveux et en prenait grand soin, contrairement à ses mains calleuses par l'entraînement ou autres soins féminins, mais...elle savait se rendre présentable pour les grandes occasions, sa mère était Dame et ceux qui l'avaient élevé faisaient partit de la Noblesse, hors de question de leur faire honte!

Ceinture en cuir marron passée pour pouvoir y accrocher bourse, épée ou encore dague, la voilà partit vers Nostre Dame qui était bien agitée.

Sauf que voilà, Ambre débarquait pendant que sa marraine remontait l'allée et elle se trouva quasiment sur ses talons. Heureusement, elle faisait moins d'1m50 et était encore assez fine pour rester cachée derrière celle-ci, le temps de prendre une place.

Cela ne l'empêcha pas de souffler malicieusement vers sa marraine :


"J'suis arrivée! Félicitation tata Kakane!"

Pas de course de cochon, pas d'entrée en fanfarre...elle se l'était promis manière de ne pas se faire trop gronder pour le retard, mais...aller titiller sa marraine, ça, elle n'aurait pas pu se l'empêcher!

Assise à côté d'elle-ne-savait-qui, elle fit un grand sourire angélique à ceux qui daignaient la fusiller du regard pendant qu'elle ne quittait plus Akane et la cérémonie de ses pupilles malicieuses.

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Jglth
[Poursuite de la cérémonie]


Une fois les deux futurs mariés devant l’autel, Julien attendit que la musique se termine.

Fidèles, croyants, amis et amies des futurs époux, je vous souhaite la bienvenue à cette cérémonie de mariage.

Aujourd’hui, est un grand jour. Cet homme et cette femme viennent témoigner de leur amour devant la communauté mais également devant le Tout Puissant. Nous ne pouvons que les soutenir et les encourager dans cette voie car tous deux vont aujourd’hui se promettre fidélité, partage, amour, soutien, affection, présence, solidarité. Ensemble ils vivront des moments de joie et de peine, mais c’est unis dans l’amour et l’amitié aristotélicienne qu'ils y feront face.


Marquant une petite pause il poursuivit.

J'invite désormais le témoin du futur marié, dame Aurore à s'avancer pour réciter le Credo et je vous invite à faire de même afin de témoigner de notre foi en le Très Haut.
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Ingeburge
Les mariages ne préoccupaient ni n'émouvaient nullement la duchesse d'Auxerre, ils n'avaient d'intérêt pour elle que dans les changements qu'ils occasionnaient dans ses chères familles, car il était évident que les familles de France étaient les siennes, la généalogiste qu'elle était ne disparaissant pas tout à fait sous la défroque de Roi d'Armes. Et, ayant été éduquée avec l'idée qu'un mariage n'avait d'autre but que d'asseoir sa situation ou mieux, de l'élever, elle trouvait pour le moins curieux qu'une duchesse convole avec un seigneur, tout Grand Officier qu'il fût. Il devait donc y avoir de l'amour là-dessous, de ce même amour qui était selon la Très Sainte Eglise bien éloignée en la matière des considérations de ses nobles enfants nécessaire à une union aristotélicienne. Du reste, elle l'avait bien compris à la Curia Regis quand le Grand Chambellan avait évoqué ses noces de manière détournée.

L'invitation avait finalement été reçue, après indication des semaines plus tôt qu'elle en serait et elle en était, dans son coin, quelque part vers le fond, quelque part dans un coin, plongée dans l'ombre d'un pilier et dans l'ombre de sa soyeuse vêture noire, mais bel et bien là, comme en témoignait d'ailleurs la présence de la garde lombarde déployée autour d'elle. Les mariés successivement entrés et avancés vers l'autel, le service fut ouvert par le... marquis de Rosny. Un sourcil délié légèrement haussé, Ingeburge ouvrit son Livre d'Heures et feuilleta lentement celui-ci de ses doigts bagués.

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Ingeborg aka Ingeburge aka Montjoie aka chuipavotlarbin.
Armes qui seront refaites, un jour.
Roi d'Armes de France, duchesse d'Auxerre, bla bla bla bla bla.
HS.
Aurore87
La rousse assis non loin de son ami, elle attendit son nom se lève. La grande timide sourit doucement malgré ça nervosité de bafouiller le credo devant tant de gens.
Une bref image de son mariage apparu dans ses pensées, quand ses mains moites se posent en avant d’elle que ça robe d’or la dirige vers l’autel mettant un pas devant l’autres.
La jeune vice ce retourne devant tous ce monde ses yeux de jade qui brillent par le rayons du soleil qui semble plomber sur elle, prend une grande respiration et avec cœur se met à réciter le credo.





Respire doucement entre chaque phrase et chaque mot prononcer avec attentions.
Ses yeux se rive vers les futures mariées .Le credo récité la jeune femme n’étant pas sur si elle doit retourner s’assoir ou rester debout auprès du Constantinople.
Se remémore quand son époux et elle récitèrent leur credo devant le très hauts.
Mamaion
Aurore récita le crédo, et Mamaion fit de même à voix basse.

Aiguemarine
La cérémonie débutait...
L'officiant invita Aurore à s'avancer afin de réciter le Credo.
Ce qu'elle fit, & sans se tromper.

Aiguemarine le récita à son tour, fermant les yeux un bref instant, avant de les rouvrir & de fixer son attention sur les futurs époux ainsi que sa moitié.




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[
Guillaume_de_jeneffe
Il était bon de retrouver des amis. Cette constatation, le Flamand se la faisait le plus souvent à la guerre, quand il apercevait des bannières connues se dessiner dans le lointain et s’avancer vers la place qu’il tenait ou avait choisie pour s’y établir. Comme si les rires qui ne manqueraient pas de se faire entendre amoindrissaient la souffrance qui s’annonçait. Heureusement, en ce jour, l’occasion était tout autre. Un mariage, suivi de festivités. Et si parfois ces cérémonies pouvaient être pénibles ou paraître durer des heures, il était cette fois certain que ce ne serait point le cas. L’identité des futurs époux et celle de nombre d’invités n’y étaient pas pour peu. Sans compter, qu’au surplus, voici que Julien et Perrinne abondait dans les taquineries verbales. Fort bien, si c’est comme ça…

- Se rappeler nos jeunes années ? Mais ma foi, êtes-vous déjà si vieux qu’il vous faut convoquer votre mémoire pour cela ? Car pour ma part, je ne me sens guère vieux. Et j’attends encore celui qui osera me dire le contraire. Et me le prouver.

Certes, il mentait à 200 %, étant plus que conscient de son âge plus qu’avancé. Mais pourquoi pas, après tout, quand cela pouvait aider à profiter de la vie. Ça ne ferait qu’un bien maigre péché à confesser, le cas échéant.

« Voyez, vous craignez même de moi que je sois encore vert. Vous vous contredisez, marquis. L’effet de la croix de sable, certainement ».

Il suivit toutefois les instructions dudit marquis un grand sourire ironique aux lèvres. On peut rire, certes, mais pas perturber la cérémonie de mariage d’une amie. La vie est question de priorité. Il put donc ainsi apercevoir quelques visages parmi la vaste assemblée qui remplissait chaque instant un peu plus la nef de la cathédrale. C’était concours de parure sur concours de parure. Pour sûr que les tisserands devaient se frotter les mains.

Ce fut ensuite à la Normande de donner ses instructions. Quoiqu’en matière d’instructions, il serait plus juste de parler de proposition. Ce qui expliqua peut-être sa légère hésitation. Qu’est-ce qui pouvait bien nécessiter sa présence là ? Baste, la meilleure façon était encore d’aller voir.


« Damoiselle, puisque le marquis n’a plus besoin de notre aide, je gage que je peux vous offrir la mienne ».

Et il en suivit donc la trace, se retrouvant, en quelques pas, à porter son regard sur la foule depuis un point de vue imprenable.

« Eh bien, que deviez-vous donc vérifier ? Que personne ne s’était placé ici pour percer le Grand Ambassadeur d’un carreau ou d’une volée de serpentine ? »
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Sindbad
Sindbad avait pour habitude de réciter son Credo en grec. Pour deux raisons :

D'abord parce que c'était la langue dans laquelle il l'avait apprise.

Ensuite parce que le Credo récité à Constantinople différait du Credo de Rome sur un point. Mais un point qui pouvait faire toute la différence. Et ce jour, il était venu se marier, et non discuter théologie avec son futur beau-frère. Il aurait tout loisir de le faire après le mariage.

Prenant sa croix baptismale, il récita donc en français :


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Après tout, par amour pour sa bien-aimé, son défunt père adoptif lui ferait bien crédit d'un petit credo en français...
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Grand Ambassadeur Royal de France | Ambassadeur d'Orléans auprès des Comtés d'Angleterre | Baron du Chêne Doré & Seigneur d'Epieds en Beauce
Luckylachance
Ca y est. La procession s'était parfaitement déroulé, malgré le fait que la blonde sentait la grande nervosité de sa tornade brune. Assise au premier rang, à côté de sa belle soeur à qui elle sourit largement, tout allait commencer. C'était le grand moment pour ce couple, et la Castelviray en était plus qu'heureuse. Elle espérait de grandes choses pour tout les deux, elle qui n'avait pas pu trouver encore le bonheur à long terme.

Un soupir d'aise. Elle en oubliait le temps, se perdant dans des souvenirs, dans ce bonheur oublié qui aujourd'hui lui tiraillait le coeur. Ce n'était pas son genre d'être triste, de s'apitoyer sur son sort ou autre chose dans le genre. Mais pourtant, elle reconnaissait être victime de mélancolie, de nostalgie de bons moments passés et effacés à jamais par la perte, par la mort. Bien sur qu'elle avait été en colère, bien plus que triste dans un premier temps. Puis le fardeau retombe et vous vous effondrez un instant.

Cependant, elle secoua la tête, ce n'était pas le moment de se perdre dans ce genre de tristesse. Le moment était au bonheur, à la tête, et au partage de ces sourires avec un couple heureux. Aussi, elle récita à son tour le credo.


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________
Akane
Elle avait arpentée la longue allée...
C'était sans compter une arrivée en fanfare. Une locution qu'elle savait reconnaitre entre mille autre, et pour cause, elle avait eu sous son aile celle qui s'exprimait de la sorte.

Cependant, elle eut une drôle de sensation, comme si Ayumi se trouvait présente tant l'esprit malicieux était similaire.
Elle retient un rire, néanmoins un grand sourire se lisait sur ses lèvres.

Arrivée aux côtés de son époux, elle le fixait avec un regard plus amoureux que jamais.
Son frère commença la cérémonie. Etait venu le temps de réciter le crédo, ce qu'elle fit avec application :

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________

Semper Paratus Servio
Nictail
Lorsqu'il croisa le regard de son aimée, Nic sentit un regain de courage et de joie.
Si elle était près de lui, il ne pourrait rien lui arriver.
Même si elle semblait encore un peu fatiguée, Nic était vraiment soulagé qu'elle ait pu sortir du couvent. En espérant bien que ce soit pour de bon.
Mais, ils en discuteraient plus tard, pour l'heure, la cérémonie débutait.
Et Aurore était de "corvée" de credo. Nic l'imita donc, tranquillement.


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Et voilà, on y était, le mariage était lancé, et on en pouvait plus reculer.
Tout se passerait bien et les nouveaux mariés sortiraient heureux et souriants.

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