Eulaly_de_baylaucq
Eulaly s'était effectivement beaucoup inquiétée pour sa marraine ces derniers jours, et ce malgré les nouvelles plutôt bonnes qui lui parvenaient régulièrement. Mais dans son esprit, une marraine heureuse, c'était une marraine dans les bras de Jo. Impossible donc qu'elle fût parfaitement bien où qu'elle soit sans lui même si sa santé s'améliorait.
Elle était elle-même en train de se préparer quand on toqua à la porte. Une robe à la hauteur de l'évènement, d'un violet profond, lacée sur une poitrine comprimée, la taille marquée et les fronces du tissu épanouissant les hanches. Belle à croquer. Et croquée elle serait pour sûr !
Mais avant cela, c'est elle qui croquerait. Ce serait son cadeau pour Rosa. Mais n'en dévoilons pas plus pour l'instant.
Râlant d'être dérangée dans ses préparatifs, elle marche jusqu'à la porte d'un pas lourd.
Si c'est encore ces gosses !
De pauvres gamins des bas-quartiers qui venaient régulièrement chercher l'aumône chez les bourgeois... Pas qu'elle fusse radine mais là çà n'était pas le moment.
La porte s'ouvre à la volée et elle se retrouve devant une marraine belle, épanouie, souriante, en pleine santé.
Oh !!!!
C'est toi !!!
Et de l'enlacer fort fort fort. Et de la faire tourner sur une dizaine de tours.
Comme je suis contente de te voir !
Entre mais entre donc ! Tu vas prendre froid !
Et fermant la porte derrière elles.
C'que t'es belle ! Alors raconte-moi, combien t'en as mordu pour qu'elles te laissent partir ?
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Elle était elle-même en train de se préparer quand on toqua à la porte. Une robe à la hauteur de l'évènement, d'un violet profond, lacée sur une poitrine comprimée, la taille marquée et les fronces du tissu épanouissant les hanches. Belle à croquer. Et croquée elle serait pour sûr !
Mais avant cela, c'est elle qui croquerait. Ce serait son cadeau pour Rosa. Mais n'en dévoilons pas plus pour l'instant.
Râlant d'être dérangée dans ses préparatifs, elle marche jusqu'à la porte d'un pas lourd.
Si c'est encore ces gosses !
De pauvres gamins des bas-quartiers qui venaient régulièrement chercher l'aumône chez les bourgeois... Pas qu'elle fusse radine mais là çà n'était pas le moment.
La porte s'ouvre à la volée et elle se retrouve devant une marraine belle, épanouie, souriante, en pleine santé.
Oh !!!!
C'est toi !!!
Et de l'enlacer fort fort fort. Et de la faire tourner sur une dizaine de tours.
Comme je suis contente de te voir !
Entre mais entre donc ! Tu vas prendre froid !
Et fermant la porte derrière elles.
C'que t'es belle ! Alors raconte-moi, combien t'en as mordu pour qu'elles te laissent partir ?
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