Eulaly_de_baylaucq
Instants magiques qui se succèdent...
Le premier quand après ses longues absences, il quitte enfin ses dossiers pour la rejoindre chez eux, beau comme un dieu.
Le second quand il lui offre la rose, qu'elle place délicatement dans ses cheveux blonds, sans cesser de le regarder une seconde, les yeux emplis de myriades d'étoiles.
Le troisième leur "Je t'aime" encore tellement plus fébriles qu'il y a quelques mois.
Le quatrième le baiser qui suit, tendre d'abord, puis passionné et qui les aurait emmené jusqu'à leur couche si le cinquième n'était pas arrivé en musique.
Eulaly n'en revient pas, ses deux mains sur sa bouche ouverte et ses larmes difficilement contenues.
Tu es fou...
Mais voilà le sixième qui arrive juste derrière nimbé d'un délicieux fumet émanant des plats qu'il porte, tous plus appétissants les uns que les autres.
Le septième quand ils y avaient goûté, à table, les yeux dans les yeux, joignant souvent leurs doigts et buvant l'un les paroles de l'autre, en écoutant jouer le violoniste.
Le huitième, quand, tous leurs sens en exergue, ils avaient renvoyé le musicien pour longuement, langoureusement, assouvir le désir qu'ils avaient l'un pour l'autre.
Instants magiques oui...
Eulaly aurait pu dire que c'était là le plus beau jour de sa vie mais c'aurait été omettre tous les autres, celui de leur rencontre, celui de leur première intime étreinte, celui de sa demande en mariage, celui où elle avait emménagé chez lui.
Vints la faisait planer comme jamais personne avant lui et comme jamais personne d'autre ne saurait le faire. Il était simplement l'homme de sa vie.
Nue, contre lui, comblée, elle caresse doucement sa joue.
Je t'aime Vints... Je t'aime...
Elle n'avait rien pu lui offrir de matériel, un peu fauchée la donzelle... mais elle s'offrait elle, toute entière, et cela pour le reste de leur vies.
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Le premier quand après ses longues absences, il quitte enfin ses dossiers pour la rejoindre chez eux, beau comme un dieu.
Le second quand il lui offre la rose, qu'elle place délicatement dans ses cheveux blonds, sans cesser de le regarder une seconde, les yeux emplis de myriades d'étoiles.
Le troisième leur "Je t'aime" encore tellement plus fébriles qu'il y a quelques mois.
Le quatrième le baiser qui suit, tendre d'abord, puis passionné et qui les aurait emmené jusqu'à leur couche si le cinquième n'était pas arrivé en musique.
Eulaly n'en revient pas, ses deux mains sur sa bouche ouverte et ses larmes difficilement contenues.
Tu es fou...
Mais voilà le sixième qui arrive juste derrière nimbé d'un délicieux fumet émanant des plats qu'il porte, tous plus appétissants les uns que les autres.
Le septième quand ils y avaient goûté, à table, les yeux dans les yeux, joignant souvent leurs doigts et buvant l'un les paroles de l'autre, en écoutant jouer le violoniste.
Le huitième, quand, tous leurs sens en exergue, ils avaient renvoyé le musicien pour longuement, langoureusement, assouvir le désir qu'ils avaient l'un pour l'autre.
Instants magiques oui...
Eulaly aurait pu dire que c'était là le plus beau jour de sa vie mais c'aurait été omettre tous les autres, celui de leur rencontre, celui de leur première intime étreinte, celui de sa demande en mariage, celui où elle avait emménagé chez lui.
Vints la faisait planer comme jamais personne avant lui et comme jamais personne d'autre ne saurait le faire. Il était simplement l'homme de sa vie.
Nue, contre lui, comblée, elle caresse doucement sa joue.
Je t'aime Vints... Je t'aime...
Elle n'avait rien pu lui offrir de matériel, un peu fauchée la donzelle... mais elle s'offrait elle, toute entière, et cela pour le reste de leur vies.
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