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[Match Amical]Breizh-France

Ulric
Ulric,l'arbitre arriva sur le stade du Royaume de France.C'était une belle journée d'été mais on sentait que l'automne allait bientôt arriver.Des feuilles commençer a devenir orange,il fesait plus frais pour le plus grand plaisir d'Ulric qui n'aimait pas la chaleur.Il avait sorti son plus beau sifflet pour ce match.
Il attendit que les deux équipes arrivent et viennent ce mettent en position sous l'acclamation de leurs supporters.
Le Chouchen était déjà prêt pour la fin du match et Ulric était pressé d'y goûter,n'ayant point bu depuis au moins une heure.De quoi être bien pour le match.
Il sortit la composition des deux équipes.


Citation:
Breizh:

1:Blotus1er
2:Sam..
3:Hyannos.
4:Douchka
5:Fanch
6:Sowilo
7:Bahia
8:Kiklan
9:Hugo
10:Cmirylle
11:Sherlock


Citation:
France:

1:Ereon
2:Patrocle34
3:Albator
4:Stamildon
5:Melisende
6:Galeazzo Di Lecce
7:Clafoutty
8:Levio
9:Sylven
10:Izberbach
11:Zeji

Remplaçants:

Sebwood
Monross


T.0
Breizh:1 1 1 1 1 1 1 2 1 2 1
France:1 1 1 1 1 1 2 1 1 1 1


T1
Breizh: 00+++++00--
France: ++-0++++0++


Désolé si ce n'est pas parfait,c'est le premier match que j'arbitre.
Si vous avez des conseils a me donner,envoyez les moi par MP.Je les lirai avec attention.
Monross
Pouuuusez-vouuuus !![/color]

Monross jouait des coudes, dans la foule abondante : pourquoi ils étaient tous de sortis ceux-là ? C'était pas le jour du marché ! Ah bah si, peut-être ...
La foule pressait le pauvre souleur, pris dans une tempête où son impuissance et son désarroi avait remplacé sa bêtise et son ridicule !


[color=green]Gniiiip, laissez-moi passer !
Je veux passer, poussez-vous !


Le bras de Monross se tendit, essayant d'attraper une porte, mais la foule l'emporta avant qu'il n'ait pu s'en saisir. Il s'empara donc d'une autre porte et entra chez un habitant tout à fait charmant :

Bonjour ...

Monross traversa la maison, en emmenant au passage un chandelier qui lui avait particulièrement plu :

'chanté d'vous avoir rencontré !

Le Tarbais sortit, sans que son "sauveur" ait dit quoique ce soit : charmant !

Une fois dans la cour, Monross se rendit compte, un peu tard, que c'était sans issue. Il trifouilla les pierres, cherchant un passage secret, puis se résigna à retourner dans la rue. A son passage, l'homme ne dit rien, levant à peine les yeux.

De retour dans la rue, Monross se mit à donner de grands coups de chandelier, se frayant ainsi un chemin. Il frappait, cognait, suait, sans relâche. Puis, on entendit des cris. Des cris de colère, ceux de douleurs duraient depuis qu'il avait commencé à frapper à coups de chandelier : on voulait l'attraper !
Monross se mit à courir, cherchant à fuir. Il frappait encore plus vite, bien que ce soit de moins en moins nécessaire : en entendant les cris, les gens s'écartaient. Monross, tout en courant se félicita intérieurement d'avoir eu cette idée. Même si son plan ne se déroulait plus de la façon dont il l'avait prévu ...

La course continuait, encore, encore, les heures d'entraînement se faisant sentir.


Un bon moment plus tard, la tête de Monross émergea brusquement de la Seine. Pour échapper à ses poursuivants, celui-ci avait sauté dans l'eau, à un croisement, semant ainsi les "forces pour l'ordre", un nom dans ce genre.
Monross se mit à nager, enfin, presque, car il ne savait pas nager !
Alors qu'il coulait, ses pieds touchèrent le fond, il se mit alors à marcher, demandant de temps à autre son chemin aux poissons errants : direction le Stade Royal !

_________________
Monross : il sert à rien mais il est encore là !!
Blotus1er
le convoi breton traversait les provinces, les unes apres les autres !! ils disposaient bien entendu de LP spéciaux pour l'occasion, et les controles frequents n'entamaient pas l'ambiance joyeuse qui régnait au sein de l'equipe.

Un convoi breton en terre françoise, ça ne passe pas inaperçu, et quoi de mieux que de jouer du bignoux sous l'etendard gwenn ha du en arrivant sur le domaine royal.

Ca n'etait pas une invasion , pour ça les bretons seraient venus beaucoup moins nombreux, non il s'agissait simplement d'aller defier l'equipe de soule françoise chez eux dans l'antre du stade royal.

La tache s'annonçait compliquée, les bretons restaient sur 2 defaites et leur victoire de 1457 commençait à dater un peu. Nouvelle equipe, nouveaux joueurs, et une volonté de fer, les ingrédients pour un bon match etaient tous réunis.

Blotus sourit à cette pensée et enfila une rasade de prune...


La capitale françoise etait enfin en vue, passage sous une des portes de la ville et les bretons se retrouvèrent tout à coup plongés dans une agitation intense. Le chemin pour le stade il le connaissait mais la foule et les rues etroites ne rendaient pas le trajet facile.
Patrocle34
Patrocle accompagnait de sa famille (Nohell et Mentit) arrive tranquilement sur le terrain, il va saluer l'arbitre ainsi que les joueurs présents.

Va se changer puis s'échauffe avant d'aller se placer sur le terrain. Pour 1 fois qu'il n'a pas à décider des tactiques, il va pouvoir se reposer.

Il s'allonge sur la pelouse et attend le début du match
Fanch.
Fanch, avec le reste de l'équipe Bretonne, arriva au Stade, il regarda rapidement la composition de l'équipe d'en face, et pâli un peut, y'a du lourd en face, et pas de Monross, sauf que lui était un peu plus lourd que les autres m'enfin pas dans le même sens, c'était une grosse pipelette, vous le connaissez pas?
Franchement vous manquez rien!
Comment ça je m'égare, ah oui c'est vrai le match, donc, à la vue des noms, Fanch se motiva, fallait les taper ceux-là, ils le méritaient bien, ils avaient presque tous battus Vannes récemment.

Il se dirigea donc vers le terrain avec les Costauds Bretons et commença à s'échauffer, tournage de bras en règles, flexions, extensions, et hop la bouteille de prune qui tombe par terre, vite il la planque, faut pas que les autres la voit et la lui pique, il échauffa aussi son gosier et continua de se balader tranquillou, ben oui, il allait transpirer tout à l'heure le bougre donc...


_________________

Capitaine des Hermines Vénètes pas nettes équipe de Soule de Vannes
Hugo.
Le Prélat venait d'arriver comme le reste de l'équipe.
Il avait pour l'occasion rameuter tout le clergé local !
Un kop Aristote ça aurait de l'allure !
En soutane et en sabot il était avec le reste de l'équipe à attendre les consignes de Blotus.
Regardant la composition de l'équipe de France il lâche un.


Malloz Doué !

En effet ça n'allait pas être simple, mais qu'importe il fallait gagner !
Il devait aller narguer l'Evêque du Mans après.

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Douchka
Les yeux écarquillés tout le long du voyage.
Elle n'avait encore jamais été aussi loin et c'est curieuse qu'elle détaillait les villages et visages rencontrés.

L'ambiance était vraiment extraordinaire, elle se sentait bien avec ses équipiers et plus déterminée que jamais.

Arrivée au stade, elle suivit l'équipe et prit bonne note de l'équipe d'en face.
Il allait être temps de montrer ce dont ils étaient capables et elle ne se sentait nullement perdue au milieu des costauds qui l'entourait.

Un sourire-arme-fatale aux adversaires avant de fouler le terrain.
Ils avaient marché jusque là, il était temps de courir un peu.
La prune ce sera pour juste après.

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Amarante.
Elle avait suivi l'équipe, bin oui, en tant que Pompom, il fallait bien ça.
Ils étaient venus nombreux comme à chaque fois qu'il y avait un match, mais là, celui-là avait une importance particulière, ils jouaient contre les François et ce n'était pas rien ...

Ils arrivaient doucement au stade de la capitale. Il y avait du monde et c'était impressionnant ...


Saint Pol !
Saint Pol !
Saint Pol !

Allez Saint Poooolll !!!

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Une bannière ? Venez ici
Hyannos
Hyannos à la suite de ses coéquipiers pénétra sur le joli terrain des françois, il observa la liste des adversaires et oh surprise, Stamildon, l'arbitre félon qui lui devait un bras était sur la liste, il repéra bien son n° en se disant que s'il fallait en sortir un, il se promettait que ce serait celui là.
Il vit aussi que l'ancêtre Sebwood était remplaçant, ses vieux os devaient commencer à craquer, mais il dégusterait bien une cervoise avec lui en souvenir de matchs passés. Puis il cria à ses compagnons


"Je vous recommande le 4, poutrer le bien de ma part pour rappeler Hyannos à son souvenir"

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Hyannos
Monross
Monross n'arriva même pas en retard ! Malgré un détour que l'on appellerait "raccourci", le capitaine des françois arriva totalement trempé.
Il jeta des regards un peu dans tous les sens, les bretons étaient déjà là en bon nombre : pas bien ça ! Si on les laissait prendre de la confiance ils allaient se débattre durant le match !


Bonjour tout le monde, vous m'attendiez ?
Bonjour blopinet, comment vas-tu cher confrère ? C'est toi qui guide nos bretons ?


Monross fronça les sourcils, ajoutant pour lui-même :

'fin, les bretons plutôt, ch'uis pas pour la Bretagne aujourd'hui, faut que je m'en souvienne !

Le capitaine se dirigea vers Fanch. Il avait meilleur mine que lors de leur dernière rencontre :

Salut toi !
T'as des copains hermines qui sont venus avec toi ? Pour me rappeler de bons souvenirs ?


Monrossinet ajouta un clin d'oeil à ses paroles, nul doute que le capitaine vannetais avait très largement progressé depuis leur confrontation en tournoi francophone !

Le capitaine leva ensuite son chandelier, observant la composition bretonne afin de savoir sur qui se porterait son courroux. Il avait beau être sur la banc, l'arbitre était de son côté après tout : ne venait-il pas de rejoindre les Minotaures !
Et puis c'est Monross qui déciderait de sa nomination au rang d'arbitre officiel ! Il fermerait donc les yeux sur quelques coups de chandelier ...

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Monross : il sert à rien mais il est encore là !!
Melisende
Mgr Mélisende arrivait tout droit de Beauvais. La route avait été bonne, et pour une fois, pas trop longue.
La stade commençait gentillement à se remplir, mais elle fut surprise de voir autant de Breton. On se croyait en terrain conquit, ce qui ne put empêcher de faire sourire Mélisende. Cela lui rappelait le temps où moultes bretons campaient du côté de Bertincourt.

Laissant les bretons à leur entrée en fanfare, elle alla saluer son capitaine.

Bonjour Monross !
Comment va ?
Tu m'as mise à l'arrière, près des fûts, c'est ça ? En tout cas, je suis bien placée... Merci pour ce N°5, côte à côte avec mon capitaine de club et le capitaine du vice.

Bon, il restait la partie la plus importante : aller soudoyer l'arbitre.
Elle ne le connaissait pas, c'était un tord.


Messire l'arbitre, le bon jour...
Vous avez une mine ravissante aujourd'hui !
Je vous propose de partager ce verre de l'amitié aristotélicienne... Un bon vin de messe directement en provenance des vignes de Champagne. Cuvée 1427, vous m'en direz des nouvelles...

Elle sortit une bouteille de sa besace, ainsi que deux gobelets et commença à verser.
Mais j'en oublie les politesses :
Monseigneur Mélisende, évêque de Beauvais, pour vous servir...
Kiklan
Kiklan avait lui aussi fait le voyage pour le match... Enfin, un match ou bretons et francois se tapait dessus "amicalement"... L'était pas habitué lui qui avait l'habitude de leur faire la guerre! Il se plia donc aux exigences et salua tout les francois, les joueurs comme l'arbitre. Après tout, la paix était là aussi fragile soit elle. Pis c'était pas un sauvage, l'était poli aussi hein!

Demat à vous m'sire l'arbitre, le chouchen attend plus que les bretons et ceux qui en voudront aussi hé hé! Quand aux autres ben... y se mangeront les doigts hein!

Il regarda tout le monde avant d'aller s'assouplir et de courrir un peu histoire de s'echaufer...
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Plutôt la mort que la souillure!
Minlawa
Il s'installa, mais où?

Lui qui disait toujours qu'il n'était ni breton ni français, mais simplement Prêtre Aristotélicien.

N'est il pas vrai que pour un clerc, La patrie est partout où coulent les sources de l'éternité.

Ou que le clerc ou le croyant, ou le fidèles se tourne, c'est face à dieu car ce n'est point la chair ou le sang des offrandes qui conduisent à Dieu, mais leur piétée.

Il regardait ce Match avec attention.

Ce match était pourtant symbolique. La Foy n'a pas de frontière, il n'est pas utile de montrer sont laisser passé pour aller sur le paradis solaire.
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Monross
Monross regarda Melisende avec des yeux ronds :

Euh ... Ouais ! J'dois t'avoir mis là !

Reniflant bruyamment, le capitaine observa les personnes autour de lui. Scrutant les visages inconnus, il tendit l'oreille pour n'entendre qu'un mot. Non, pas le seul mot qui l'intéressait !

Chouchen ? Aaaaahhhh

De la bave se mit à couler du coin gauche de la bouche de Monross. Tendant les bras pour en avoir, la bave se répandait sur le sol alors qu'il avançait.

A mmmooiiiii le chouchen ....

Sa voix passive allant en contradiction avec son chandelier, levé, prêt à frapper le premier qui se mettrait entre lui et les tonneaux de chouchen !
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Monross : il sert à rien mais il est encore là !!
Hugo.
Il écoutait avec attention quand il entendit.

Monseigneur Mélisende, évêque de Beauvais, pour vous servir...

Demat ma soeur je suis Monseigneur Hugo Botherel, Archevêque de Rennes et Marin Breton, je suis enchanté de vous rencontrer !


Lui tendant sa bouteille.

Voulez vous de ma vipérine maison, ça vous réveille pendant l'office ou ça vous vous donne le courage pour le match.

Puis voila l'évêque du Mans qui se pointe et la le Prélat devint joyeux il courra le rejoindre.
Glissade de sabot, puis il dit.


Malloz Doué !
Vindieu mon frère te voila là !
Je suis heureux de te voir, tiens voila la tribune des Bretons.


La désigne avec son doigt, la main tenant la bouteille.

Un verre mon frère, je produis moi même ce petit plaisir.
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