[Match Amical]Breizh-France

Tadeus avait reçu l'invitation pour assister au match de Soule.

L'Eveque de Nantes n'aimais pas trop assister à des compétitions entre pays, car il pensait que ces pays devaient marcher vers la paix.

Il esseya de reconnaitre du monde, mais il avait du monde donc quelques difficultés, il se mit dons dans les tribunes bretonnes en regardant le match tout en priant pour les perdants également.
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Doue a zo va mestr, Breizh va douar

Elle avança à l'appel du capitaine, un pas, puis un autre.

Regarder devant, droit devant.

Se placer, sur la ligne le regard planté dans celui des adversaires.

La clameur montait des tribunes et une grande inspiration s'imposait.

Ils étaient immenses, face à elle mais étaient ils aussi déterminés ?

POUR FOUGERES, POUR BREIZH !
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Sowilo prit place elle aussi au centre du stade entre Bahia et Fanch qu'elle salua de la tête.

Ça faisait belle lurette qu'elle n'avait pas été partie prenante d'un match de soule et ce match revanche contre les François avait tout pour lui plaire.

Durant cette longue pause, elle avait poursuivi son entrainement quasi militaire.

Elle avait aussi eu la chance de tester l'état de sa forme lors de duels au cours desquels elle avait elle-même été surprise par ses performances.

Bref, c'était la grande forme et elle était fin prête à transformer ces François en chair à paté!

Elle regarda ses adversaires droit dans les yeux et leur sourit malicieusement avant de lancer:

Z'êtes mieux d'être prêts les finfinaux parce que vous n'aurez pas droit à une seconde chance!

Tout le monde était arrivé ou presque et il faisait beau. C'était une bonne chose de profiter des dernières chaleurs de saison. Elle avait sorti ses pompons et attendait maintenant que le match commence.

Aanor venait de s'installer à côté d'elle et elle lui sourit en posant les dit pompons sur le banc ...

Arf ... Je savais bien que j'avais oublié quelque chose en route... sur la table près de l'entrée mon attirail ne va pas servir à grand-chose cette fois-ci.

Vous passeriez une babiole à une amie venue supporter un 3B ?

Baron Breton Blond

J'échange le tout contre des biscuits de Gaellig... ceux là je ne les ai pas oubliés.


Elle rigola quand elle entendit parler des « 3B ». C'était vrai que le Bahia Breton était aussi très Blond. Elle lui tendit un pompon en le faisant bouger ...


Ce n'est pas très grave, tenez ... D'ailleurs il faudrait que je me mette sérieusement à faire une tenue correcte aux couleurs de l'équipe pour les encourager ...


alleeeeeez !!! C'est le moment, tout le monde en plaaaace !!!!


Oups, visiblement ils se mettaient en place. C'était le moment du début du match. Elle se leva et se crier l'Hymne des ailes de Saint Pol de Léon ...


Connaissez-vous ces souleurs de st Pol de Léon !
Ces inconditionnels de la soule organisée
Ils portent haut et fort les valeurs du breton !

AH AH AH !!Merch dar ermat
Merch dar ermat

Du haut de son clocher st Aurélien protège les siens
Il leur a, à tous donné des ailes
Et c'est toutes déployées qu'ils volent vers leur destin

AH AH AH ! Merch dar ermat
merch dar ermat

Au son des bignous et des bombardes !!
Les Léonards avancent et point ne s'attardent
Pour l'honneur et la gloire de leurs ancêtres !!!
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Une bannière ? Venez ici

Xhena arriva pour le match de soule,elle avait Galopée à vive allure avec derrière elle Papin qui la tenait fermement!!

Elle aperçut Doucka et cria

Douchka!Douchka!

Frappant des pieds et des mains Xhena ne tenant plus en place

POUR FOUGERES, POUR BREIZH !

Au lointain on apercevais une monture en direction du tournois.....Des spectateur de la dernière minute venues soutenir Breizh...

On ne pouvais pas encore distingué sur cette monture qui aller aussi vite que le vent les cavaliers.... mais il semblais bien y avoir un homme et une Femme à crinières blondes tous deux.

Papin tenant Xhena fermement pour ne pas tomber de cheval lui dis... "Espérons que l'on arrive avant le début des jeux. et que l'on trouve de bonne places"

Après être arrivé... il descendit avec une joie non dissimuler, et trouva facilement ses amis, grâce à l’œil experte et la voie cristalline de Xhena.

--Ah nous sommes enfin sur le plancher de la soule.

VIVE BREIZH , VIVE FELGER !

Restant debout, toujours indécis sur la place qu'il devait prendre.
En allant dans la tribune française, le prélat breton bouderait comme un enfant. Un peu trop fier de terre peu être même plus que du travail qu’il avait à faire.
Mais en allant coté breton, l’évêque de rennes fanfaronnerait et on l’entendrait encore sous entendre des âneries pendants des années sur a terre bretonne plus parfaite que la terre… enfin le reste quoi.
Ha quand on met des œillères à une mule, elle va tout droit, même s’il y a un mur devant.
Et minlawa essayait tant bien que mal de dirigé cette vielle carne plus souvent à la soule et sur son bateau que dans ses affaires.
En tant que vicaire général, Minlawa était grimaçant, mais toujours patient.
Pendant un an et demi il avait due s’occupé de son diocèse quand il était alors évêque de Nantes. Il pourrait recommencer s’il le fallait.
Il décida de rester debout le temps qu’il fallait, entre les deux tribunes.

Salutation mon frère,

Un verre ? Non merci, j’aurais trop peur de le cassé. Et puis dites-moi donc, vous en avez des moyens pour payer des « verres ». Même les roys n’en ont pas.
Cela vient du tronc de l’église bretonne ?

Et ne jurez pas, par les saintes burnes d'Aristote!

Il se disait qu'il le ferait bien virer de sa place, juste pour voir. Sachant que Hugo en pesterait.
Cela pourait être marant et animerait cette pseudo guéguerre Franco-bretonne.
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Mouarf mon frère !
Vous savez bien que nous avons les meilleures boissons en Bretagne, pour quelqu'un qui se dit Breton vous devriez le savoir.
Et en ce qui concerne les verres, si le roy ne peut rincer sa cour c'est que la france est tombée bien bas mais la vous avouerez que pour une fois ça n'est pas moi qui lance le pique, n'est-ce pas ?

Puis il ricana en entendant sa remarque sur l'argent.

Haha Quartier-Maître ! Vous savez que mon activité maritime me permet d'avoir quelques écus en plus.
Rassurez vous je destine la majorité à la formation de nos étudiants qui après s'engageront à officier dans une paroisse Bretonne.

Tout de fois, sachez que je ne jure pas, je parle Breton nuance s'il vous plait, vous n'aimeriez pas que je dise que le Français est une méchante langue même si vous devez savoir que je n'en pense pas moins je suis bien obliger d'en user pour me faire entendre.

Quoiqu'il en soit vous me semblez bien indécis il est vrai que dans votre posture et malgré tout j'irai dans la tribune Bretonne car vous savez tout comme moi que, c'est tout simplement la meilleure tribune car elle est justement Bretonne.
En plus je vous ai ramené un copain qui n'aime pas trop la soule, qui est clerc, prélat et même de votre famille c'est dire que malgré l'age avancé de certains vous devriez bien vous entendre.
D'ailleurs je ne vous cacherai pas qu'il serait judicieux de penser à rejoindre une de ses tribunes le match débutant bientôt.
La soule ça n'est pas les échecs même s'il faut réfléchir tout autant c'est plus physique.

Puis entendant ses compatriotes hurler le nom des villages il en fit de même.

VIVE LES CORSAIRES ! VIVE LE REGIMENT DES GRIFFONS ! VIVE SAINT-BRIEUC ! VIVE LA BRETAGNE !

Puis se tournant vers Min il dit.

VIVE L'EGLISE ET LA PROVINCE DE TOURS !

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Après le gros vent pris auprès de l'arbitre, Mélisende avait heureusement été rattrapée par l'archevêque de Rennes.

Ah ! Enchantée mon frère.

Elle prit une petite gorgée à la bouteille tendue, mais elle s'attendait à ce chouchen dont elle n'était ni adepte, ni amateure. À peine eut elle finit que le prélat breton était parti à la rencontre de Mgr Minlawa. Elle l'accompagna, d'un pas plus tranquille.

Bonjour Monseigneur Minlawa.
Contente de vous voir ici. Vous ne faites pas partie d'une équipe de Soule ? Vous ne voudriez pas nous rejoindre ? C'est un sport très amusant et puis ça dérouille un peu des bancs de l'église...

Elle lui sourit.

Mais ce n'était pas tout. Les salamalèques les plus courtes sont les meilleures.
Aussi l'évêque de Beauvais alla rejoindre ses rangs, sans oublié au passage de saluer les deux prélats qu'elle venait de rencontrer, et écouta attentivement les consignes du capitaine.

Pruneàvampi, chouchen, hydromel, cidre. Ce qui est bien avec les bretons c’est leurs boissons. Posée à la buvette du stade de France Lily hésite, indécise. Elle sursaute aux premières notes d’un chant breton. Etait ce le début du match ? Plus le temps de tergiverser, elle commande une chope de chaque et un sac de glace pilée pour atténuer la bosse qui pousse sur son crane, résultat un coup de chandelier pris quelques minutes plus tôt dans les rues de la capitale. Sont fous ces parisiens !

Armée comme il se doit pour assister au premier tour (avec seulement 4 chopes elle ne tient guère plus longtemps), la tavernière pictave se fraye un chemin jusque dans les gradins coté françois. Eh oui ! On peut aimer les alcools bretons et préférer les souleurs français. Le coup d’envoi ne va plus tarder, il est temps de donner de la voix pour concurrencer les bretons.

ALLER FRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNCE !
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Le monde selon Lily: Musso, du rose, de l'alcool et la soule.

Devenus accrocs à l'ambiance des matchs de soule depuis qu'ils avaient eu à soutenir l'équipe de Mont de Marsan, les petits gascons avaient décidés de s'échapper de chez eux et de filer à Paris en entendant parler de ce match.

Armés de leurs bérets basques et d'un tonneau de floc, les gamins pénétrèrent dans le stade. Leurs vêtements étaient légèrement froissés et tâchés mais en même temps, pas facile facile d'avancer dans les rues de Paris. Avec tout le monde qu'il y avait, ils avaient du se tenir par la main pour ne pas se perdre entre eux, puis Nestor était tombé dans la Seine, à cause d'un fou avec un chandelier. Jeanne avait faillit se faire écraser par un tonneau de cidre tombé d'une charrette mais finalement ils avaient survécus ! Et c'est donc avec bonne humeur qu'ils firent leur entrée.

Wahouuuu ! C'est autre chose que les terrains qu'on a vu jusqu'à présent ! S'exclama Clotilde. Et vous avez vu les belles robes des dames dans les tribunes ?!
On s'en fiche Clo ! Aide moi plutôt à faire rouler le tonneau jusqu'à l'arbitre ! Répliqua Clotaire, son grand frère revêche.

Soupirant, la blondinette se posta à côté de lui et fit rouler le tonneau jusqu'aux pieds de l'arbitre.

B'jour m'sieur l'arbitre, fit-elle avec un sourire angélique. Voilà pour vous m'sieur, de la part des supporteurs françois. Un bon tonneau de floc tout droit venu d'Gascogne. Vous m'en direz des nouvelles !

Voilà ! Soudoyer l'arbitre c'était fait ! Ils étaient vraiment de plus en plus doués comme supporteurs. De la graine de champions ces mômes là !

Diiiites ! C'est qui qui jouuuue aujourd'hui ? Demanda Nestor tout en essorant sa chemise. Y'aura mad'moiselle Iride ?
Mais non idiot ! C'est la grande, la merveiiilleuse, la magniiiiifique équipe de France qui joue aujourd'hui ! Répliqua Eudes, en fan inconditionnel. Contre heuuu... Des gens d'un autre pays. J'pas trop compris d'où ils sont.
C'est des bretons, expliqua Jeanne. Ceux qui se bagarrent souvent avec nous.
Il parait qu'ils font des gâteaux trop bons. Du kouign amann que ça s'appelle.
On s'en fiche ! Vous croyez que je pourrai avoir un autographe de Monross ?
Bah va lui demander 'spèce de navet ! Parce que si t'y vas pas, c'est sur que t'auras rien !
Bon, bon, arrêtons de nous disputer. On est des supporteurs de qualité, souvenez-vous, fit Clotilde d'un air autoritaire, coupant court au débat. A trois... Un, deux, trois...

ALLEZ LES FRANÇAIS !
ON VA TOUT DÉCHIRER !
DE L'ENNEMIE ON N'FERA QU'UNE BOUCHÉE !!!

Et un retard, un !

Non mais la Claf ne faisait qu'accumuler les retards, si il y avait un gain à reporter par ticket de retard elle gagnerait probablement le gros lot. Père souleur invente nous un jeu dont le but c'est d'être en retard et d'être récompensé ! Ah non ? Non bon ben tant pis hein c'était une idée comme une autre, à prendre ou à laisser.

Deux retards, deux !

Abusé comment elle n'avait pas pu se lever du lit, comment elle avait dit non à l'équipe du genre: ouais moi je viens solo les gars, comptez pas sur moi pour m'encombrer avec des mâles, ouais je viens comme une grande parce que je suis grande. Mortecouille que t'aurais dû grimper dans le charrois. Et en effet, pas d'invention d'excuses comme quoi tu tenais ta carte à l'envers, où que le cheval l'avait brouté en dessert ou même que la pancarte qui indiquait qu'il fallait tourné à gauche s'est gourée et montrait le sens inverse.
- Comment ça je copie le joueur de Cmyrille ? Non c'est pas du plagiat, c'est de l'empreint d'idée mais détourné à des fins utiles. C'est du
détournement de mots, c'tout, un délit anondin, rien de plus.

- Attendez moi les gars ! Je suis prête

Et c'est une Claf excitée comme au premier jour qui déboule sur le terrain, short assez court, haut légèrement décolleté pas plus. Combien de temps n'avait-elle pas jouer ? Depuis la demi finale ! Pratiquement un long et long et long bout de temps : la vache. Si Izb venait pour la première fois en tant que joueur, Claf venait pour la troisième fois. Sauf que le stade de France reste le stade de France : Vert, très vert même; verdoyant, assez verdoyant; grand, je dirai plus que gigantesque même. Sincèrement, être en maillot, prête à cogner c'était un délice.

Nostalgie.
Remémoration, pour dire vrai, elle n'avait jamais joué avec une autre personne au commande que Kaeronn, vieux grincheux, meilleur capitaine bon qui pourrait être plus attentionné mais c'est l'vieux grognon que voulez vous !
Et là, c'est la totale confusion, les larmes montent aux yeux : bonheur et nostalgie ne font pas bon ménage. D'entendre les voix de Kae gueuler dans sa tête et de se dire à voix haute pour elle

- TA GUEULE KAE tu fais c'hier d'ailleurs j'en ai marre que tu nous maltraites !

Léger sourire, et de l'écouter cette fois-ci se vanter, tellement qu'il ne connaissait pas la modestie. Puis les scènes s'enchainaient dans sa tête, les déceptions des défaites, l'orgueil après chaque victoire, l'alcool, les massages, c'était plus que son capitaine: son ami.

- Tu me devais un baiser fougueux tu sais ! Enfin oui oui mais bon puisqu'on a perdu la demi finale le baiser ne sera pas fougueux mais un baiser simple, c'est logique non ?

Ses yeux se referment, elle lutte pour effacer les souvenirs si pénibles. La grosse gueule lui manque, et elle allait gueuler comme lui. Bon c'est vrai il était mort avant d'arriver en final et n'avait donc pas pu lui donner son baiser, mais hey il pouvait sentir la mort venir et l'embrasser avant !

- Hey bande de crouton faudra vous bugez le cul parce qu'on va vous mettre la raclée de votre vie que vous irez vous cacher sous les jupes à vos maman ! Pour l'instant à vous regarder on croirait de grosses larves inertes !

Un regard amusé à sa coéquipière qui tente de soudoyer l'arbitre, léger sourire, elle se revoit faisant pareil.

- En fait ça sert à rien de les chouchouter, ils vous envoient chier, même l'arbitre ne pourra pas...han non mais si euuuh oui enfin je ..oui...mais non je voulais dire que ......ouais j'vas me taire.
Izb t'es prêt et tout pour une fois qu'on joue dans la même équipe hein ?
MONROSSINET je veux une bon gros verre stp stp
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Le curé normand sortit des vestiaire, avec sa tenue de joueur de l'équipe de France qu'il etrennait. S dirigeant vers sa place a la buvette, il croisa d'autres prelats.

-Monseigneur Mélisende, évêque de Beauvais, pour vous servir...

-Monseigneur Hugo Botherel, Archevêque de Rennes et Marin Breton, je suis enchanté de vous rencontrer !

Il se présenta a son tour.

-Le boujou a vous! Pere Giovanni d'Eusébius, curé de Bayeux et vicaire du diocese de Lisieux. Ce sera donc une agréable rencontre tant sportive que spirituelle, a ce qu'il semble.

Il accepta de la gnole proposee, puis finit par se rendre compte que l'eveque de Beauvais portait deja son numero 5 fetiche!

-Mais... qu'est-ce que... ah oui, c'est vrai, on n'est pas a Bayeux! Aujourd'hui je porte le... numero 11 ? Ouh laaa! C'est mauvais, ca, comme position quand on est defenseur.

Monross! J'ai deux mots a te dire, question strategie!
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Les deux équipes donnaient la voix… Les supporters rivalisant d’ingéniosité pour encourager leur équipe favorite… Aux chants bretons répondaient des Allez France du plus bel effet…

Izb, toujours proche de son tonneau de tastevine, avait la concentration légère, participant de son mieux à cette rencontre certes amicale mais qui devait néanmoins, de par son prestige, asseoir l’une ou l’autre « nation » sur le toit soulesque… Et s’il pouvait être de ceux sur le toit, y avait pas de mal à se faire du bien…

Bref, il attendait le coup de sifflet avec impatience, prêt à en découdre avec le premier breton qui pointerait le bout de son nez à portée de son bourre-pif…

Laissant à Monross le soin de rappeler à l’arbitre où se situait ses intérêts, il salua à gauche, à droite… sifflant la Claf en tenue de souleuse… Pffiouuu Claf, en tenue… Ça fait longtemps…  Ça rappelle des souvenirs ce stade hein ? Une finale grandiose… Surtout grâce au duo arbitral… Clin d’œil à la belle… Bon et sinon, y va siffler l’arbitre où faut qu’on aille lui expliquer comment on fait ?

 
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Capitaine des BURP's de Péronne

Hyannos approuva de la tête

"S'il tarde trop, il va finir par pleuvoir et moi je partirai aux champignons, on va quant même pas prendre racines ici !!"
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Hyannos