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[RP] Joutes : Eliminatoires – 21 août

Albine.
dans les tribunes enfin !

Il peut parfois être long de préparer surtout lorsque l'on doit faire de nombreuses vocalises. Mais les cordes étaient maintenant accordée, tout va bien dans le meilleur des mondes.
Albine arrive enfin aux tribunes et trouve sans mal Hélène qui discute avec Rémy.

Ah quelle joie qu'ai-je raté ?

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Reinemab
[Dans la foule ]

Rainette errait parmi la foule, bruyante et indomptable... Elle n'aurait su dire si tout était achevé, si gagnant il y avait, ni quel était le cours attendu des festivités, mais elle sentait que les éliminatoires du tournoi s'essoufflaient... Il y avait dans l'air ce parfum subtil d'épopée sur le retour, alors que les flammes dansent dans l'âtre mais que la voix du conteur se taie, invitant chacun au repos de la nuit.
Sous le soleil miroitant de cette journée singulière, il en était de même et les hourras de la foule s'estompaient.


Pfff, il semblerait que j'ai raté mes amies

Cherchant du regard Ptitmec et Kahhlan... Au loin derrière une masse de personne un panneau d'affichage semblait donner les résultats... La popularité du tournoi avait ameuté un grand nombre d'âme et la grenouille eut bien grande peine à avancer dans la foule sans réclamer l'espace à la force de ses galons.


Pardon, pardon... je ne voudrais pas m'imposer, mais je voudrais accéder à se panneau, merci... merci, pardon


Ce qui n'aurait pas manqué d'attirer l'attention sur elle. La mèche verte étincelante de sa chevelure n'aurait put prétendre à un simple artifice des caprices du soleil, et l'on aurait peu tardé avant de la reconnaître pour la paria qu'elle était.... continuant à se mêler à la foule, telle une indiscrète pique-assiette parmi les convives d'une fête majestueuse, à laquelle elle eut pu être invitée... Bientôt, elle arrivait enfin au panneau, y pouvant lire ceci :

Citation:
Kahhlan d'Aydindril Salmo Salar, dame de La Feuillade & de Valeuil et Célénya Océalys, dame de Lasson.
Par chute de son adversaire, la dame de Lasson est déclarée vainqueur!


Ses deux amis avaient été adversaires, l'une contre l'autre... Dans les yeux de Rainette images colorées du tournoi parmi les souvenirs indistincts des aventures passées auxquelles elles avaient toutes trois participé, ponctuée de blessures, au nom du Roy.
Kahhlan avait eu folie de défier horizons et destins une fois de plus, certes elle avait autant besoin que tous de se détendre, mais diantre à peine remise, la voilà déjà entrain de défier les ombres... La petite grenouille était plein d'admiration, pour ses deux camarades et aspirait à être bonne épaule pour ses deux là en cas de besoin.
Ainsi, repartant dans la foule, elle espérait les retrouver... afin de se rendre utile à leur repos mérité, avant que toutes ne partagent la course.

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Blanche_
Blanche répondit à Hélène en glissant une main sous son mantel pour gagner sa ceinture. A elle pendait une besace de cuir, d'où elle sortit une paire de gants.
Il n'était jamais bon de sortir sans gant.

Je ne sais pas trop qui est cette amie de Castelmaure. Mais si cela est de la famille de Béatrice je voudrais la rencontrer.

Elle omit cependant de parler de Charlemagne, qu'elle ne connaissait pas du tout. Cela la vexait peut etre un peu d'admettre que celui qui se tenait à la place de Béatrice sur son testament ne lui avait été jamais présenté, ou comble, qu'elle ne s'était jamais présentée à lui.
Elle éluda.

En tous cas, il a le pantalon bien abimé, s'il a chut.


Suit au prochain round.
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Deedee
Citation:



Sous son casque Adeline ne put s’empêcher de soupirer de soulagement. Le chevalier n’avait rien. Car toute débutant qu’elle était, elle n’aurait surement pas supporté blessé son adversaire au premier coup de lance. S’assurant donc qu’il se relevait sans difficulté, la jeune Baronne fit signe pour qu’on l’aide a descendre de son canasson sur lequel elle semblait s’être… collé ! Peut être pour cela qu’elle était rester en selle après tout ?

-Ce n’est là que la chance du débutant, Chevalier, rien d’autre, mais… Un sourire osé et malicieux se dessina doucement sur son visage et la jeune femme continua sa phrase en regardant son interlocuteur avec un certain aplomb qui ne lui était pas commun. Mais un autre duel ne me déplairait pas non plus je dois dire. Au moins pour être sur que cette fois la, n’était pas que de la chance.
Par contre, je ne sais de quel coutume vous parlez, mais en Normandie… Un autre duel serait très bien venu c’est certain. Et puis… je peux vous l’avouer, j’aurais bien besoin de leçon de joutes !


Un nouveau sourire et Adeline confia son casque et sa lance a son écuyer qui fila aussi rapidement les préparer pour la manche suivant.

-Je suppose que maintenant une nouvelle manche va se jouer… Vous.. hum… vous rester assistez aux autres duels ?

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Erwelyn
Citation:

    Cinquième duel, fini les novices! Aimelin de Millelieues, seigneur d'Etampes-sur-Marne joutant en l'honneur de sa suzeraine Dotch d'Appérault de Cassel, pair de France, duchesse de Saint-Florentin, comtesse d'Armentières, vicomtesse de Cassel, baronne de Château-Thierry et Erwelyn Corleone de la Mirandole, duchesse de Saint-Fargeau, baronne d'Auxonne & d'Evron, dame de Saint-Antoine-de-Rochefort sont des jouteurs avec de l'expérience.



    Première passe... l'affrontement démarre fort! Le champenois, fort de sa quinzaine de participations et de sa troisième place au classement général année 1459, ne prend pas le temps de jauger son adversaire : il s'élance, abaisse, touche et brise! Côté mainois, c'est moins tranchant : pas de touche mais rien n'est joué pour autant. La Poneytte reste en effet en selle, conservant ainsi toutes ses chances.

    Deuxième passe... certainement pour le délassement, à moins que ce soit là une stratégie : à part se croiser, les deux jouteurs n'accompliront rien de notable. Chacun rejoint son rang sans avoir touché.

    Troisième passe... La duchesse ne peut plus gaspiller ses chances. Pour rester en course, il lui faut briser sa lance et même mieux, envoyer valdinguer son concurrent. Mais est-ce le soleil? Est-ce les grillons? La précision lui fait toujours défaut : elle manque sa cible. Aimelin, lui, retrouve son efficacité première : il touche une nouvelle fois et voit sa lance se briser dans le mouvement. La consolation pour Erwelyn? Celle de rester en selle.
    Par deux lances brisées à aucune, le seigneur d'Etampes-sur-Marne est déclaré vainqueur!

Bord de lice.
Concentration optimale.
Regard dans la foule pour voir si papounet qui l’avait présentée comme sa fille à son arrivée au campement à un licorneux était dans le coin pour l’observer.
Pas de papounet à l’horizon, Lynette qui boude.

Sous son armure de joute repeinte fraichement en rose, la Corleone reporta son attention sur Montjoie qui annonçait la ribambelle de titres du grand maitre de France, puis porta son regard sur son adversaire. Le nom ne lui disait rien, ou vaguement quelque chose, mais vu la présentation du Roy d’armes, il allait lui donner du fil à retordre le bougre. La duchesse avait beau s’entrainer aux joutes toute l’année sur ses terres d’Evron, tomber sur un adversaire ayant plus d’expérience qu’elle ne présageait rien de bon. Pour sûr, elle pesterait encore si elle devait encore une fois s’arrêter aux éliminatoires.

Montjoie donna le départ, et Lynette lança Cheval au galop, restant bien fichée sur sa selle. Bien lui en prit d’ailleurs car elle faillit valser à la première touche de son adversaire. Serrant les fesses – enfin, autant qu’elle put avec un machin aussi lourd que ça sur le dos – elle réussit à se retrouver en bout de lice sans dégringoler de Cheval. Un soupir de soulagement et la deuxième passe débuta, sans vraiment avoir eu le temps de dire tarte à la myrtille. Plus calme, ils se contentèrent de se frôler sans se toucher. Elle avait encore une chance pour l’emporter.

Bout de lice, elle regarda à nouveau si son père l’observait, ce qui apparemment n’était pas le cas. Ou en tout cas, elle ne le voyait pas. C’est donc la mine chafouine qu’elle talonna Cheval pour cette troisième passe et, l’esprit ailleurs, manqua l’écu du seigneur d'Etampes-sur-Marne, qui ne la manqua pas, lui. Fâchée la Corleone ? Oui, pour sûr ! Et elle pesta en enlevant son heaume, comme sait si bien le faire un poney.


Cornefianchtre d’éliminatoires de dauuuube !

Avant de capter la présence du jeune homme à ses côtés.

Ahem… mes confuses messire, je suis chiffonnée de cette défaite.

Elle le regarda avec plus d’attention lorsqu’il lui parla de chopine, et puis, son visage ne lui était pas inconnu. Elle l’avait déjà croisé oui, mais où ? Il faut dire que vu son âge qui se faisait vieux, elle en avait croisé du monde. Aussi bien sur la route, que dans les ambassades, au cours de joutes, dans des festivités, des tavernes… Ses yeux se plissèrent, puis son regard s’illumina lorsque le nom de Marine fut prononcé. Elle le remit enfin.

Oh mais j’espère bien ! Vous méritez votre victoire jeune homme, félicitations.

Et, plus bas.

Vous avez raison, Marine vous en aurait fait voir de toutes les couleurs si vous m’aviez blessée !


S’éloignant quelque peu de la lice pour laisser la place aux passes suivantes, on l’aida ensuite à descendre de cheval.

Que diriez-vous de m’offrir ces chopes maintenant ? Vous pourrez me dire comment se porte ma petite fille et me faire la liste de ses bêtises de la semaine.
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Lanfeust86
Ingeburge a écrit:

    Sixième duel, retour des jouteurs les moins aguerris. Avec moins de cinq tournois à eux deux, Terwagne Méricourt, vicomtesse d'Orpierre, dame de Taulignan et Lanfeust de Troy, duc consort du Bourbonnais-Auvergne ont l'occasion par cette rencontre de se hisser plus haut dans le tournoi.




    Première passe... Les concurrents, motivés, s'élancent! Ils se croisent à pleine vitesse, leurs lances abaissées pointées vers les targes. Tous deux touchent mais la vicomtesse y met plus de conviction : sa lance se brise, sa poussée fait choir le duc, ses pieds restent dans les étriers! Lanfeust se relève, sans aucune séquelle.


    Par chute de son adversaire, la vicomtesse d'Orpierre est déclarée vainqueur!


Les éliminatoires ouvraient les joutes de Tournel et les Troy se trouvaient au campement pour se préparer à leurs futurs affrontements.
Le rouquin du Bourbonnais Auvergne se faisait aider par Jeannot pour enfiler son armure, et les couleurs du Duché. Il portait finalement celles de son épouse vu que c'était elle, la régnante.
Le casque sous le bras il sortit de la tente, regardant son fils également en armure qui partait déjà. Il allait passer avant lui de toute façon mais il voulait être là pour assister à la première joute de son héritier.

Aux abords de la lice, Lanfeust constata que les gradins étaient bondés, il ne fallait donc pas trop se ridiculiser. Le seul soucis c'est que le Duc n'avait pas vraiment beaucoup d'expérience dans ce domaine à vrai dire.
Lorsque les noms de son fils et de Ztneik furent annoncés, il reporta son attention sur les deux hommes et attendit.
La première passe se passa plutôt bien pour son fils qui brisa sa lance sur l'alençonnais mais cela ne fut pas suffisant pour faire tomber à terre le Pair. Légère grimage du rouquin qui espère que son fils aura plus de chance la fois suivante.
A nouveau les deux s'élancent mais là il voit bien que son fils commet une erreur et celui-ci tombe à terre...Quel dommage, il était pourtant bien parti. Pas de blessure c'était le principal.

Ce fut rapidement à son tour et il affrontait pour l'occasion une femme du Lyonnais Dauphiné, Terwagne.
Un rouquin sur sa monture, un salut vers son épouse dans les gradins et la visière qui s'abaisse.


Jeannot ma lance !

Le domestique s'exécute et apporte la dite lance au Consort qui se tient prêt. Les deux concurrents s'élancent alors, le Duc baisse sa lance et vise son adversaire.
La douleur est alors double, son bras qui tient la lance sous le choc du contact et l'autre qui reçoit celle de Terwagne.
Toutefois il semblerait qu'elle y est mis plus de force ou que son cheval soit plus rapide car il sentit son corps glisser hors de la selle pour tomber à terre, le souffle coupé.


Outch...

Reprenant ses esprits le Duc se releva, à priori il n'avait aucune blessure, toutefois il était nettement déçu d'être tombé aussi vite de sa monture. Si tôt dans les éliminatoires, se faire élimer, cela le frustrait grandement.
Il repartit donc vers Jeannot qui avait récupéré la monture recouverte des couleurs du BA. Prenant alors la gourde d'eau, il nettoya son gosier du sable qu'il avait avalé.


Bon et bien plus d'effort à accomplir, tant pis, on se contentera du plaisir Jeannot.
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Aimelin
[Auprès d’Erwelyn]


Cornefianchtre d’éliminatoires de dauuuube !

S’il avait été soulagé de la réaction de la Duchesse, il avait néanmoins affiché une mine amusée lorsqu’elle avait enlevé son heaume en pestant.

Merci bien votre Grâce.
Les éliminatoires sont injustes je suis d’accord avec vous.


Lice quittée, il mit pieds à terre, abandonna Altaïr à Ernest, cherchant des yeux sa blondinette, avant de répondre sur le ton de la confidence.

Alors je vais tenter de vous déchiffoner autour de quelques chopes.
Et puis avec cette chaleur notre gosier nous remerciera.


Un sourire à l’évocation de leur petite Marine.

mmm voyons la liste de ses bêtises…

Il sourit et repensa à sa dernière soirée avec elle, à son regard devant le chapeau pirate puis les vêtements. Elle lui manquait la petite peste et il maudissait celui qui régulièrement l’éloignait d’eux comme un fait expres. Il ne pût s’empêcher de repenser à cette fois où elle avait fait enfermer Alie dans un couvent, ce qui avait déclenché entre la blonde et la rouquine, quelques petites discussions assez savoureuses.

Il offrit son bras à Erwelyn


c’est qu’elle est bien vivante votre petite fille, chaque moment avec elle est une véritable aventure.
Vivante et attachante... du bonheur.

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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Julios
[Juste après le duel contre Deedee (et avec)]

Une leçon de joute ? Quand c'est moi qui suis à terre ? Dit-il après avoir haussé un sourcil.
Mais comment pourrais-je vous refuser quoi que ce soit tant que vous accepter de chevaucher avec moi, ou plutôt contre moi, en retour...Vous pourriez même avoir le dessus, une fois de plus, que ça ne me gênerai pas plus que ça, au moins ça ne sera pas que de la chance comme vous dites.

Je resterai bien volontiers assister aux duels suivants, je n'avais rien d'autre de prévu au cas où je devais moi même y participer. D'autant que même si je ne suis plus en lice pour les prochains duels, j'ai à présent une adversaire à étudier et d'autres combats à admirer.
Conclut-il avec un sourire.
Thegregterror
Citation:

    Treizième duel et entrée en lice du premier au classement 1459 de la Ligue de Joutes, Grégoire d'Ailhaud, duc de Brunelles, comte de Lille & de Saint-Omer, baron d'Aire-sur-la-Lys, d'Arques & de Melun, seigneur d’Isles-sous-Ramerupt, Chancelier de France. Face à lui, Louis-Philippe von Witteslbach, vicomte d'Aywaille, de Came & de Gabarret.




    Première passe... L'expérimenté Grégoire d'Ailhaud n'est pas seulement une terreur dans les prétoires, il l'est aussi sur la lice et le démontre encore aujourd'hui. Après un très bon départ, porté par son élan, il abaisse sa lance, la plante dans le plastron de son adversaire gascon. Pas de bris pour autant, mais suffisamment de force pour coller le triple vicomte le nez dans le sol. Celui-ci, malheureux, n'avait déjà pas touché le Chancelier; il récolte en outre une légère blessure à la jambe.


    Par chute de son adversaire, le duc de Brunelles est déclaré vainqueur!


Grégoire avait longtemps hésité avant de s’inscrire au tournoi de joutes de Tournel. Il avait clairement autre chose à faire – ou du moins, son temps aurait pu être utilisé autrement. Finalement, l’envie de changer un peu d’air et de s’adonner à cette activité noble avaient pris le dessus sur le reste. La lice garde ce petit quelque chose qui attire les jouteurs…

Cela ne changea cependant pas l’éloignement de Paris à la province languedocienne. Le sud n’était clairement pas sa spécialité, et il préférait de loin le nord du Royaume de France. Le Comte de Sainct-Omer avait résidé à Mende lorsque les terres du Languedoc venaient d’être placées sous la Couronne de France. Il ne fallut qu’un seul mois avant de revenir sur ses pas pour rejoindre à nouveau l’Artois. Une situation qui laissa bien peu de souvenirs à Grégoire, si ce n’était le passage en lui-même.

Qu’importe au final, puisque la province ne changeait point l’enjeu en lice et que seuls quelques nobles pouvaient s’enhardir de jouter à domicile. Et de la lice justement, il en était question.

En lice pour débuter ce grand tournoi regroupant un nombre considérable de jouteurs. Le chemin jusqu’à la victoire serait plus difficile mais plus glorieux, et la victoire plus belle. Néanmoins, il convenait de débuter : c’est aux éliminatoires que Grégoire fut appelé en ladite lice.

Une joute rapide puisqu’une seule passe suffit au Comte de Sainct-Omer pour faire choir son adversaire. Un coup direct au plastron sans bris laissa celui-ci sur le sol, avec pour seul compagnon la souffrance d’une blessure à la jambe.

S’adressant à Louis-Philippe von Witteslbach.


Vicomte, le merci pour cette joute qui vous a malheureusement vu prendre blessure. Puissiez-vous rapidement vous en remettre.

Un bon début, qu’il fallait tenter de poursuivre…
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