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[RP] Joutes : Seizièmes de finale – 23 août

--Georges_du_chastel







[Au bord de la lice]

Bon pied, bon œil et bel organe, George du Chastel se présenta à nouveau à la foule venue en nombre assister au troisième du tour du Tournoi de la Saint-Privat. cette fois-ci, il ne fit pas trop languir les spectateurs, avec un geste castrateur esquissé quelques minutes plus tôt, la duchesse d'Auxerre lui avait fait comprendre qu'il s'agissait de faire fissa. Il fit donc fissa :
Nobles dames, nobles seigneurs, amis du nord, voisins du sud...

Encore le même geste, une sorte de « couic » qui ne présageait rien de bon pour son entrejambe. Georges du Chastel reprit :
Vous les avez encouragés hier, vous les attendez aujourd'hui, voici les jouteurs en lice pour les seizièmes de finale du Tournoi de la Saint-Privat ...

... Célénya Océalys, dame de Lasson affrontera Suzette de Florensac , dame de Pars-lès-Chavanges!





Theraph, seigneur de Gignat affrontera Nynaève de Gaudemar, vicomtesse de Monestier-de-Clermont, baronne de Mornant & du Glaizil, dame d'Anthon!




Gérault de Gaudemar, vicomte de Monestier-de-Clermont, baron de Mornant & du Glaizil, seigneur d'Anthon affrontera Aimelin de Millelieues, seigneur d'Etampes-sur-Marne; joute en l'honneur de sa suzeraine Dotch d'Appérault de Cassel, duchesse de Saint-Florentin!




Ztneik du Ried, duc d'Alençon & pair de France affrontera Adeline Cyrielle de Courcy, baronne-de-la-Haye-du-Puits!




Beren Hartasn de la Fiole Ebréchée de Sparte, seigneur de Courchaton affrontera Jason Maccord, vicomte de Lyons-la-Forêt, seigneur de Crevecœur-en-Auge!




Khristof, seigneur de Rocquecelier affrontera Bourguignon de Sorel, duc de Beaugency, vicomte de Fronsac, baron de Chécy!




Lylla Cardinal d'Eirbal, baronne d'Arzillière affrontera Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne!




Gamalinas, seigneur Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex affrontera Actarius d'Euphor, comte du Languedoc & pair de France!




Fabien de la Fléchère Marigny, vicomte d'Yssoire & de Hérisson, seigneur de Challiers et de Fayet-le-Château affrontera Liloute, dame de Rozières!




Alcalnn Blackney, duc de Mortain, vicomte du Mont-Saint-Michel, baron de Saint-Paer affrontera Mélina de Franchimont-Bragança, dame de Croisilles!




Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet affrontera Aimbaud de Josselinière, marquis de Nemours, duc de Corbigny, seigneur de Decize & de Saint-Robert!




Flavien-Charles Galanodel, régent & chancelier impérial, seigneur de Fontcouverte, de Roure & de Saint-Dalmas-le-Selvage affrontera Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute!




Klouska d'Hauteroche, dame de Champigneulles-en-Bassigny affrontera Dardus de Las Rosas, seigneur d'Amotz!




Aliénor Vastel, dame de Lesmont affrontera Anzeme du Castel Marchoix, seigneur de Saint-Pe-de-Leren!




Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon; défend les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval affrontera Boudicca d'Arkan, dame des Roches-Saint-Quentin!




Ceraphin d'Azayes, seigneur de Bourdeilles affrontera Akane de Clairval Giffard, duchesse de Cany, vicomtesse de Bolbec, de Vernon & douairière de Carentan, Grand Chambellan de France!


Puis avec emphase :
Place à Montjoie, Roi d'Armes de France et arbitre du Tournoi de la Saint-Privat!
_________________
Chroniqueur gantois.
Ingeburge
[Sur la lice abandonnée, arbitrage et caducée]


Après des trente-deuxièmes de finale qui avaient vu nombre de cadors tomber, Ingeburge se demandait si le massacre allait encore continuer en cette nouvelle journée de duels. La question l'intéressait et à double titre. Tout d'abord, pour le sport, le champion était après tout dans le lot. Ensuite parce qu'elle savait que le comte du Languedoc aimait les joutes, tout autant qu'il n'aimait pas perdre. Parviendrait-il à réitérer les brillants résultats des semaines passées? Elle l'espérait et vivement. Pour le sport bien évidemment!

Mine concentrée, elle en était à observer à nouveau la liste des engagés. Moitié moins que la veille mais elle était un peu fatiguée, le matin, elle n'avait rien trouvé de mieux que de participer à l'Ingathlon. D'une voix assurée néanmoins, elle ouvrit les hostilités :

— Noble assistance, le bonjour! Place aux jouteurs!

Les buicines résonnèrent.

Citation:

    Que s'avancent sur la lice Célénya Océalys, dame de Lasson et Suzette de Florensac, dame de Pars-lès-Chavanges!




    Première passe... Pour cette confrontation d'ouverture, ce sont deux dames Champenoises qui s'élancent et au vu de leur réactivité à peine les drapeaux abaissés, elles étaient impatientes d'en découdre! Vite, l'instant de l'impact approche et l'on entend, au milieu du bruit des sabots qui foulent le sol, le bruit d'une lance qui se rompt. Célénya vient de toucher la targe de Suzette et de briser son arme. La violence du coup projette la dame de Pars-lès-Chavanges qui manque quelque peu sa réception. Conséquence, une blessure légère à la jambe.


    Par chute de son adversaire, la dame de Lasson est déclarée vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Theraph, seigneur de Gignat et Nynaève de Gaudemar, vicomtesse de Monestier-de-Clermont, baronne de Mornant & du Glaizil, dame d'Anthon!




    Première passe... Et on repart sur les mêmes bases que la première confrontation! Il n'y a pas que les montures qui ont le mors aux dents, les jouteurs en piste également et c'est en trombe que ces derniers s'élancent. La résolution est revanche dans un seul des deux camps. Si teraph manque sa cible, Nyaneve, elle, met en plein dans le mille, brise sa lance et fait choir son adversaire, heureusement sans conséquence.


    Par chute de son adversaire la vicomtesse de Monestier-de-Clermont est déclarée vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Gérault de Gaudemar, vicomte de Monestier-de-Clermont, baron de Mornant & du Glaizil, seigneur d'Anthon et Aimelin de Millelieues, seigneur d'Etampes-sur-Marne joutant en l'honneur de sa suzeraine Dotch d'Appérault de Cassel, duchesse de Saint-Florentin!




    Première passe... Après l'épouse, je demande l'époux! Le vicomte de Monestier-de-Clermont suivra-t-il l'exemple efficace de sa moitié? Pas lors du premier passage en tous les cas. Il ne touche rien et heureusement pour lui, son adversaire non plus. Retour au rang!

    Deuxième passe... Plus de conviction cette fois-ci? Il faut croire que non car nos deux jouteurs se montrent aussi percutants que précédemment en ne faisant que caresser le vide du rochet de leurs lances. Demi-tour!

    Troisième passe... Ce passage peut être décisif, celui se montrant effectivement le plus combattif ayant des chances d'emporter le duel. Les deux rivaux le sentent bien et s'élancent avec bien plus de détermination que lors des deux premières occurrences. En effet, après avoir abaissé leurs lances, tant le Dauphinois que le Champenois touchent et voient leur lance exploser. Mais l'expérience d'Aimelin, jouteur aguerri, paye : il reste en selle là où Gérault touche le sol; ce dernier en sort indemne.


    Par chute de son adversaire, le seigneur d'Etampes-sur-Marne est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Ztneik du Ried, duc d'Alençon & pair de France et Adeline Cyrielle de Courcy, baronne-de-la-Haye-du-Puits!




    Première passe... Les drapeaux sont abaissés et les lances le seront sous peu. en effet, les jouteurs n'ont pas perdu de temps et se sont élancés avec fougue. Ils se croisent, lances pointées vers la targe de l'autre et à l'exercice de la touche, c'est Adeline qui marque le point en brisant son arme là où Ztneik n'atteint rien. Le duc reste en salle.

    Deuxième passe... nouveau signal donné, les duellistes repartent pour un tour. Ils se croisent à nouveau mais cette fois-ci, Adeline ne parvient pas à réitérer son geste, elle ne touche rien. Ztneik lui n'est guère plus heureux, s'il parvient bien à toucher la targe de la Normande, sa lance reste intacte. Cependant, le coup porté est assez fort pour faire vaciller une baronne qui se relève indemne.


    Par chute de son adversaire, le duc d'Alençon est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Beren Hartasn de la Fiole Ebréchée de Sparte, seigneur de Courchaton et Jason Maccord, vicomte de Lyons-la-Forêt, seigneur de Crevecœur-en-Auge!




    Première passe... les deux concurrents ne se laissent pas le temps de l'observation, dès ce premier passage, ils décident de prendre l'initiative. Le moment fatidique approche, lances pointées vers l'avant, les jouteurs vont se croiser. L'Impérial se montre le plus entreprenant en parvenant à atteindre la targe du Normand et à y briser sa lance. Le vicomte lui garde toute sa maîtrise pour ne pas chuter au sol.

    Deuxième passe... nouveau départ et comme la fois précédente, les duettistes ne perdent pas de temps. Cette fois, les rôles sont inversés. Là où Beren avait touché et brisé, il se manque; là où Jason avait raté sa cible, il touche la targe et brise sa lance. Et mieux, le Maccord envoie le seigneur de Courchaton au sol. Celui se blesse légèrement à la hanche en se réceptionnant.


    Par chute de son adversaire, le vicomte de Lyons-la-Forêt est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Khristof, seigneur de Rocquecelier et Bourguignon de Sorel, duc de Beaugency, vicomte de Fronsac, baron de Chécy!




    Première passe... Qui du jouteur débutant ou du jouteur expérimenté va emporter la décision? Ce premier passage prit à bras-le-corps tant par l'un que par l'autre promet d'apporter les premières réponses. En effet, Khristof et Bourguignon s'élancent, pleins de résolution. Le duc orléanais ne parvient pourtant pas à concrétiser, il rate la targe de son vis-à-vis. Celui-ci en revanche fait mouche et même mieux : sa lance se rompt et dans le fracas envoie le Sorel par terre. Ce dernier se relève, tout va bien.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Rocquecelier est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Lylla Cardinal d'Eirbal, baronne d'Arzillière et Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne!




    Première passe... Duel cent pour cent champenois, à nouveau et c'est la plus expérimentée des deux – Colombe – qui prend cette confrontation à son avantage. Efficace, elle fait d'une lance trois coups : touche de la targe, destruction de la lance, envoie de Lylla au sol. Celle-ci n'aura pas eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, elle tombe lance intacte.


    Par chute de son adversaire, la dame d'Ussy-sur-Marne est déclarée vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Gamalinas, seigneur Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex et Actarius d'Euphor, comte du Languedoc & pair de France!




    Première passe... Le grand ordonnateur des festivités de la Saint-Privat entre à nouveau en piste, se mesurant à un Savoyard qui n'en est pas à son premier tournoi français. Le premier passage se résumera à une chevauchée pleine de courtoisie, ni l'hôte ni l'hôte – éniantosémie – ne toucheront.

    Seconde passe... Plus d'entrain dès le signal de départ donné. Actarius et Gamalinas semblent plus investis. Les deux d'ailleurs touchent au moment du croisement et s'envoient mutuellement au sol. Les deux jouteurs se relèvent, en un seul morceau, comme la lance du comte du Languedoc est demeurée intacte. En revanche, celle du visiteur s'est bel et bien rompue, le duel s'arrête donc là.


    Par une lance brisée à aucune, le seigneur de Saint-Gervais-les-Bains est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Fabien de la Fléchère Marigny, vicomte d'Yssoire & de Hérisson, seigneur de Challiers & de Fayet-le-Château et Liloute, dame de Rozières!




    Première passe... Toujours portée par le même entrain que lors de son trente-deuxième de finale, Liloute s'élance avec dynamisme et résolution. Côté auvergnat, c'est moins tranchant avec une targe complètement manquée au moment du croisement. L'Orléanaise, elle, touche, brise sa lance sur celle-ci et envoie son adversaire au sol. Celui-ci, dans sa retombée, se blesse légèrement au bras.


    Par chute de son adversaire, la dame de Rozières est déclarée vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Alcalnn Blackney, duc de Mortain, vicomte du Mont-Saint-Michel, baron de Saint-Paer et Mélina de Franchimont-Bragança, dame de Croisilles!




    Première passe... C'est parti avec un duc de Mortain qui s'élance en trombe à peine les drapeaux mis en berne. Et ce passage sera à l'image de ce départ, à sens unique et sans détail. En effet, le Chat, avec la même redoutable efficacité que lors de son duel précédent, fait mouche : targe atteinte, lance rompue... et adversaire au sol. La dame de Croisilles n'aura eu que le temps de chevaucher, elle ne touchera rien.


    Par chute de son adversaire, le duc de Mortain est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet et Aimbaud de Josselinière, marquis de Nemours, duc de Corbigny, seigneur de Decize & de Saint-Robert!




    Première passe... Le départ est donné et les deux jouteurs éperonnent leur monture. A un galop honorable, ils abaissent leur lance, se croisent et n'accompliront rien de plus. Le rang est désigné, ils retournent y prendre place.

    Deuxième passe... Assistera-t-on à un croisement plus incisif cette fois-ci? Eh bien, non. Toujours sur le même mode, le seigneur et le marquis ne font que passer l'un à côté de l'autre et conservent donc des lances intactes qui n'auront touché que le vent.

    Troisième passe... C'est maintenant ou jamais, tant pour les duettistes que pour les spectateurs qui espèrent en voir davantage pour cet ultime passage à dos de cheval. L'Impérial, novice en tournoi français, l'a bien intégré et avec plus de résolution, touche enfin la targe de son adversaire. Celui-ci connaît à nouveau l'échec en ne rencontrant rien avec le bout de sa lice, pis, il voit celle de son concurrent se briser avant de démonter, se blessant légèrement au pied au passage.


    Par chute de son adversaire, le seigneur d'Orgelet est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Flavien-Charles Galanodel, régent & chancelier impérial, seigneur de Fontcouverte, de Roure & de Saint-Dalmas-le-Selvage et Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute!




    Première passe... Duel inédit entre un ancien dauphin et l'actuel numéro deux du Saint-Empire. Peut-être pour cela que les deux qui ont assisté un jour un souverain profite de cette rencontre pour s'observer, se jauger. Ni l'un ni l'autre ne touchent, le retour au rang se fait lances intactes.

    Deuxième passe... Trêve de courtoisie, nos deux hommes repartent plus motivés et déterminés. Ce nouvel état d'esprit s'observe dans le choc qui arrive rapidement tous deux se croisent en touchant l'autre et tous deux voient leur lance se briser. Mais là où Fenthick débute, Argael et ses dizaines de participations font la différence : le Fier reste en sel, le régent impérial, non. Celui-ci s'en sortira sans blessure.


    Par chute de son adversaire, le marquis de Senlis est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Klouska d'Hauteroche, dame de Champigneulles-en-Bassigny et Dardus de Las Rosas, seigneur d'Amotz!




    Première passe... Avec un départ tambour battant, Klouska ne fait pas dans le détail! Il faut dire que la Champenoise doit avoir envie d'en découdre après avoir passé les trente-deuxièmes de finale sur forfait de son adversaire. cette envie transparaît dans ses gestes, avec fermeté elle abaisse sa lance, lui fait atteindre la targe de son adversaire, brise son arme et envoie un Dardus qui s'est complètement manqué au sol. Celui-ci en tombant se blesse légèrement au pied.


    Par chute de son adversaire, la dame de Champigneules-en-Bassigny est déclarée vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Aliénor Vastel, dame de Lesmont et Anzeme du Castel Marchoix, seigneur de Saint-Pe-de-Leren!




    Première passe... Une Champenoise avec quelques tournois à son actif face à un novice venu du sud. Les deux jouteurs s'élancent prudemment, quelque peu attentistes. Le résultat est sans appel : l'un comme l'autre rate son adversaire. Retour au rang.

    Deuxième passe... pour une redite. En effet, comme lors du premier passage, la dame de Lesmont et le seigneur de Saint-Pe ne font que se croiser sans se toucher. Nouveau demi-tour, lances intactes.

    Troisième passe... La décision peut se faire sur ce passage, il suffit simplement pour l'un des deux de briser sa lance. Anzeme débute peut-être mais il l'a bien compris, il se montre plus résolu dans son approche et dans le mouvement effectué pour abaisser la lance. Ainsi donc il touche et remplit l'objectif attendu en rompant sa lance. Alienor, elle, ne touche toujours pas mais parvient à rester en selle.


    Par une lance brisée à aucune, le seigneur de Saint-Pe-de-Leren est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon; défend les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval et Boudicca d'Arkan, dame des Roches-Saint-Quentin!




    Première passe... Les drapeaux sont baissés, les deux jouteurs s'élancent sans perdre de temps. Rapidement, ils entrent dans le champ de vision de l'autre et abaissent leur lance au moment crucial. Chacun connaître une fortune diverse. A Salvaire la lance qui touche puis se brise; à Boudicca une lance qui fend le vent et une chute au sol.


    Par chute de son adversaire, le baron d'Apcher est déclaré vainqueur!


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Ceraphin d'Azayes, seigneur de Bourdeilles et Akane de Clairval Giffard, duchesse de Cany, vicomtesse de Bolbec, de Vernon & douairière de Carentan, Grand Chambellan de France!




    Première passe... pour la dernière et seizième confrontation. Qui atteindra les huitièmes de finale? Les duettistes semblent vouloir faire durer l'attente en manquant tous les deux leur but. Tant la Giffard que l'Azayes retournent au rang lance intacte, sans même avoir touché.

    Deuxième passe... décidément, ils ont décidé de ne pas se décider tout de suite! Ce nouveau passage est à l'image du précédent : targes ratées, lances réutilisables.

    Troisième passe... Celui qui se montrera le plus saignant l'emportera à coup sûr. Les deux jouteurs en ont conscience et s'élancent, plus résolus. C'est surtout vrai pour Céraphin qui touche et brise sa lance là où Akane manque une troisième et dernière fois son objectif. Dernière car elle n'aura plus l'occasion de défendre ses chances : sa lance ne se brise pas et pis, elle choit au sol, se blessant légèrement au coude.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Bourdeilles est déclaré vainqueur!

_________________
[Indispo pas prévue, rattrapage en cours.]
Jason_maccord
Et c'etait reparti.
MacCord suivait les duels. Nynaeve ne fit qu'une bouchée de son adversaire. Gero n'eut pas cette chance et fini au sol malgré le bris de lance.
Deedee venait d'entrer en lice et face au duc d'Alençon en plus. MacCord grimaça puis cria de joie en voyant la lance de la baronne se briser sur l'ecu du duc.
Sourire de courte durée. La seconde lance fut fatale et désarçonna Deedee.
MacCord allait s'elancer voir si tout allait bien quand l'herault l'annonça. Pas le temps de voir si Deedee etait blessée, fallait entrer en lice.


Citation:

    Que s'avancent sur la lice Beren Hartasn de la Fiole Ebréchée de Sparte, seigneur de Courchaton et Jason Maccord, vicomte de Lyons-la-Forêt, seigneur de Crevecœur-en-Auge!




    Première passe... les deux concurrents ne se laissent pas le temps de l'observation, dès ce premier passage, ils décident de prendre l'initiative. Le moment fatidique approche, lances pointées vers l'avant, les jouteurs vont se croiser. L'Impérial se montre le plus entreprenant en parvenant à atteindre la targe du Normand et à y briser sa lance. Le vicomte lui garde toute sa maîtrise pour ne pas chuter au sol.

    Deuxième passe... nouveau départ et comme la fois précédente, les duettistes ne perdent pas de temps. Cette fois, les rôles sont inversés. Là où Beren avait touché et brisé, il se manque; là où Jason avait raté sa cible, il touche la targe et brise sa lance. Et mieux, le Maccord envoie le seigneur de Courchaton au sol. Celui se blesse légèrement à la hanche en se réceptionnant.


    Par chute de son adversaire, le vicomte de Lyons-la-Forêt est déclaré vainqueur!


C'est encore anxieux pour Deedee que MacCord s'elança pour la première lance. Et celà ne fit pas un pli. Le manque de concentration ne pardonnait pas et la lance de son adversaire se brisa sur son ecu tandis que la lance normande ne rencontrait que du vide. MacCord se retablit au dernier moment sous le choc et evita la chute de justesse.

Pas un chat, même sauvage, qui va abattre un wolfhound...

MacCord rageait en s'elançant pour une seconde passe. Rage de ne pas connaitre l'etat de Deedee, rage d'avoir failli finir au sol. MacCord abaissa sa lance tout en guidant Herion droit. A quelques pas de son adversaire, MacCord piqua Herion qui accelera en serrant la lice. La lance de son adversaire ne toucha pas suite à la manoeuvre. Celle de MacCord brisa nette en envoyant le seigneur adverse au sol.
MacCord fit demi tour, son adversaire semblant avoir du mal à se remettre.


Merci pour cette joute, messire. Est-ce que ça va ?
_________________
Isora
Isora revenait de la taverne « La Lance du Lot » les mains chargées de boissons fraîches et de deux pommes qu’elle avait mises dans sa poche. Il fallait bien se donner les moyens de tenir, tenir et encore tenir sous ce soleil qui ne semblait pas vouloir se cacher derrière…..aucun nuage d’ailleurs ! Ce petit intermède lui avait permis de se rafraichir un peu et de se dégourdir quelque peu les jambes. Cela faisait un certain temps qu’elles étaient là avec Dona Boulga et elles commençaient à se déshydrater ! Elle reprit place donc à côté de son amie, lui tendit la boisson désirée et son regard se porta de nouveau vers la lice.

Tenez Boulga !

Un sourire lui vint car un chat avec le poil complètement hérissé semblait être dessiné sur, comment appelait-on cela : un blason ? Isora les trouvait tous plus beaux les uns que les autres, mais certains attiraient plus son attention, un animal aimé, des couleurs chatoyantes et des dessins dont certains étaient surprenants. D’ailleurs disait-on dessin ? Elle regarda son amie, mais ne voulant pas la déranger , elle resta muette, elle savait à qui poser cette question, elle lui écrirait dès ce soir.


Son regard s'attarda autour d'elle, certains étaient anxieux, d'autres souriaient. Des discussions animées de tous côtés, des retrouvailles. Tout cela était agréable, toutefois Isora aurait bien voulu que certains de ses amis se bougent un peu et viennent assister à ce "spectacle", oui ils manquaient quelque chose c'était certain.

Ceraphin
Citation:

    Que s'avancent sur la lice Ceraphin d'Azayes, seigneur de Bourdeilles et Akane de Clairval Giffard, duchesse de Cany, vicomtesse de Bolbec, de Vernon & douairière de Carentan, Grand Chambellan de France!




    Première passe... pour la dernière et seizième confrontation. Qui atteindra les huitièmes de finale? Les duettistes semblent vouloir faire durer l'attente en manquant tous les deux leur but. Tant la Giffard que l'Azayes retournent au rang lance intacte, sans même avoir touché.

    Deuxième passe... décidément, ils ont décidé de ne pas se décider tout de suite! Ce nouveau passage est à l'image du précédent : targes ratées, lances réutilisables.

    Troisième passe... Celui qui se montrera le plus saignant l'emportera à coup sûr. Les deux jouteurs en ont conscience et s'élancent, plus résolus. C'est surtout vrai pour Céraphin qui touche et brise sa lance là où Akane manque une troisième et dernière fois son objectif. Dernière car elle n'aura plus l'occasion de défendre ses chances : sa lance ne se brise pas et pis, elle choit au sol, se blessant légèrement au coude.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Bourdeilles est déclaré vainqueur!



Aux abords de la lice, Ceraphin ressasse malgré lui l'évidence inéluctable qui s'impose à lui: son adversaire est à nouveau une femme.
Or c'est bien moins un manque qu'un excès de respect qui lui paralyse quelque peu l'esprit: blesser volontairement une donà ou une damiselà n'est pas dans sa philosophie de vie.
Alors, pour tenter de ne pas manquer cette nouvelle chance de jouter plus avant, il laisse son esprit lui jouer un tour à sa façon... et même...
Trois petits tours...

Et si tout ceci n'était qu'une danse?

Au premier tour, ils s'élancent prestement.
L'air joué est vif et sautillant, l'on doit faire valoir sa jeunesse infatigable dans une allure impassible.
A la croisée, l'on garde le port altier et la posture emplie de dignité... et le mouvement est si rapide que Ceraphin ne peut espérer réellement accrocher le regard de sa cavalière.
A la prochaine passe peut être...

Au second mouvement, les élans s’exacerbent... la vitesse ne décroit point.
Les cœurs s'emballent au rythme de la danse et l'épiderme tend à se faire moite, surtout au creux de l'échine.
Et bientôt, au détour d'une nouvelle croisée, les deux se frôlent, n'osant se toucher encore.
Chassé croisé ludique... qui osera le premier?

Au dernier tiers, l'ardeur ne faillit nullement.
Emportés par la cadence de l'instant, ils survolent presque la piste.
Il s'en faudrait d'un rien qu'ils choient, pris dans cette transe envoutante.
Puis, alors que leurs pas les mènent à nouveau l'un vers l'autre, le jeune homme décide de ne plus esquiver ce contact furtif... tant désiré... tant redouté.
Cela se fait l'espace d'un instant des plus infimes.
Mais, pour autant, il ne peut nier que le contact eut lieu, tant l'impact fut puissamment ressenti.
Et d'ailleurs, lorsque le mouvement s'achèvera, un regard anxieusement lancé, lui livrera qu'il ne l'a pas laissée indifférente tant les pas de sa cavalière ont quelque peu dévié... surement un rien perturbée.
Et ça lui va bien ainsi.

Puis, lorsque l'imagerie dansante se sera estompée dans un nuage de poussière d'ocre...

L'Azayes pousse doucement sa monture jusqu'au milieu du champ clos, à hauteur de son adversaire du jour.
A la voir ainsi se faire aider à se relever, il comprend qu’elle est blessée.
S'il n'y eut tout cet attirail ferrailleux sur ses épaules, il aurait démonté de cheval pour se porter lui même à son aide.
Mais là, il ne peut que relever son mézail et, décollant une mèche importune qui lui barre en partie le regard, il articule sans morgue aucune...


Pardonnez, donà... je vous prie.

_________________
Helene.blackney
[Les tribunes avec une filha en délire]

Et les destriers s'élancent sur la lice, oui, oui Patrick, magnifique, c'est wonderful, c'est magnifique, explain me so much fort! Mi padre avait encore gagné, j'étais debout, la poitrine bombée, la chevelure brillante, le sourire jusqu'aux oreilles. It's saturday night fever Patrick! Mais qui est ce Patrick? Réglisse aboyait en même temps que j'applaudissais El Gato mi padre. Je lui fis signe de la main, lui lançant des bises volantes.

Encore une victoire de canard euh de papounet. Je mis mes mains en porte voix et je fis le cri symbolique de nostre famille:


-Miaou! Miaou! Miaou!

*hommage à Nelson
_________________
Gamalinas
Citation:

    Que s'avancent sur la lice Gamalinas, seigneur Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex et Actarius d'Euphor, comte du Languedoc & pair de France!




    Première passe... Le grand ordonnateur des festivités de la Saint-Privat entre à nouveau en piste, se mesurant à un Savoyard qui n'en est pas à son premier tournoi français. Le premier passage se résumera à une chevauchée pleine de courtoisie, ni l'hôte ni l'hôte – éniantosémie – ne toucheront.

    Seconde passe... Plus d'entrain dès le signal de départ donné. Actarius et Gamalinas semblent plus investis. Les deux d'ailleurs touchent au moment du croisement et s'envoient mutuellement au sol. Les deux jouteurs se relèvent, en un seul morceau, comme la lance du comte du Languedoc est demeurée intacte. En revanche, celle du visiteur s'est bel et bien rompue, le duel s'arrête donc là.


    Par une lance brisée à aucune, le seigneur de Saint-Gervais-les-Bains est déclaré vainqueur!


La matinée semblait morne, mais rien de bien grave, ni d'objectif, car tout semblait morne pour Gamalinas. Le soleil déjà bien levé lui meurtrit les yeux. Il marchait avec nonchalance en rond autour de son pavillon d'azur et d'or. Cela dura un certain temps, comme si ce passage était obligé avant de faire démarrer la machine. Pendant cette marche il devait certainement penser, mais à quoi ?

Ensuite il se laissait équiper et on lui donnait le nom de son adversaire du jour, le Comte du Languedoc en personne. Un favori. Saint Gervais se sentait déjà perdre et rouler sur le sable en compagnie d'une blessure peut être. Mieux vaut ne pas rester seul dans la misère.

Monté sur son sable destrier, une main dextre menait le duo humain chevalin vers la lice. Des rencontres avaient déjà eu lieu et on lui rapporta que la dame de Lasson avait remportait son duel. Ceci ne l'étonna pas, il savait Célénya très forte en ce moment. Quelque minutes d'attentes avant d'entendre le nom du Comte clamé par les officiels et reprit par la foule, sonnant le temps de la défaite imminente de Saint Gervais.

Les yeux toujours dans le vide derrière la visière du armet, Gamalinas n'était pas fortement motivé pour commencer. Il est des états de l'esprit qui nous font oublier la chance qu'on a. Le départ fut donné et d'un élancement timoré l'animal de Gamalinas alla de l'avant. Surpris par la course non enthousiaste d cheval, il fixa son regard sur la tête de la bête. Pourtant il était bien en ligne et pas distrait par autre chose que la piste. Une fois cela vérifié il était trop tard pour pouvoir viser convenablement le Comte. Par chance ce dernier eut une réussite similaire.

Pourquoi l'équidé Achille n'avait pas couru comme il fallait ? Lui aussi était il touché par la mélancolie ? Ou peut être que ce mal se passe d'homme à bête ? Bref, la chose était déjà mal partie pour ne pas réclamer vengeance honnête. Sur la fin du parcourt, le cheval fit un demi tour et Gamalinas le talonna comme pour la rencontre de la vielle. Plus d'hésitation, le destrier avala la piste avec rage, faisant s'ébranler toute l'armature de l'équipage ; jamais Saint Gervais ne s'était trouvé aussi mal sur un cheval. Juste au dernier moment il put ajuster le Comte avec autant de précision que de chance, puis il se sentit partir en arrière en même temps que son adversaire seulement séparé par des confettis de bois. Durant la chute Gamalinas pensa que les deux lances étaient brisées et comme les deux combattants allaient tomber, le tout devait se terminer à l'épée.

Le dos heurta le sable, mais tout ça devait se terminer autrement, donc Gamalinas se releva et dénuda aussi vite que possible son épée. Mais la voix du héraut vint une fois de plus le surprendre en le nommant vainqueur. non loin on pouvait voir la lance du Comte encore intacte. Le gagnant releva sa visière pour mieux voir cette scène étrange, l'épée à demi tenue au bout d'un bras ballant le long d'une jambe droite. De jeune palefreniers récupéraient les chevaux délaissés. Le fort de la lame dans la main gauche, Gamalinas vint tendre l'autre au Comte.


-Veuillez votre Grâce accepter les excuse d'un chevalier qui ne gagne une fois tombé, par un détaille du règlement.

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Fabien74
[Mortecouille, j'ai chu!]

Citation:
"Fabien de la Fléchère Marigny, vicomte de Hérisson & Yssoire, seigneur de Challiers & Fayet-le-château affrontera Liloute, dame de Rozières!"


L'annonce du héraut fît sourire l'Auvergnat: après avoir affronté un prince de France, il jouterait une illustre inconnue; comme le hasard était surprenant parfois.
Son tour venu, et prêt comme à l'accoutumée, le vicomte se plaça au son de la trompette: à l'autre bout de la lice la Rozières, le visage dissimulé par son heaume, s'apprêtait également à éperonner.


Tin tintin tintintin tintintin tin tin!

Et vas-y que je galope!
Les chevaux étaient comme des furies, et éjectaient de leurs puissants naseaux autant de sécrétions nasales qu'un taureau embardé; mais leur course fût de courte durée puisque déjà la lance de la dame vînt s'écraser avec force contre l'écu du vicomte, l'envoyant platement et sans ambages au sol, comme un malpropre qu'il n'était pas.
En s'écrasant dans le sable de la lice, Fabien se réceptionna sur son bras gauche. Grand mal lui en prît puisqu'il ne manqua pas de blesser ce dernier avec un des fragments de sa propre lance. Si ça n'était pas de la poisse.


Cornetudieu, cette femelle a bien la force d'un teuton mal dégrossi...

A peine le temps de marmonner sous sa visière qu'un escuyer hérissonnais l'aida à se relever. Il redressa sa visière de son bras valide, et dît aussitôt à son adversaire, encore présente sur la lice:

Dame, vous avez vaillamment combattu.
Je vous souhaite autant de chance pour la suite du tournoi que vous en avez eu durant cette passe.


Un franc sourire lui barra le visage et le voilà déjà reparti, soutenu par divers escuyers, vers le campement Fléchère Marigny, tandis que d'autres encore s'occupaient de rapatrier son matériel.
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Lahire
Citation:

    Que s'avancent sur la lice Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon; défend les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval et Boudicca d'Arkan, dame des Roches-Saint-Quentin!




    Première passe... Les drapeaux sont baissés, les deux jouteurs s'élancent sans perdre de temps. Rapidement, ils entrent dans le champ de vision de l'autre et abaissent leur lance au moment crucial. Chacun connaître une fortune diverse. A Salvaire la lance qui touche puis se brise; à Boudicca une lance qui fend le vent et une chute au sol.


    Par chute de son adversaire, le baron d'Apcher est déclaré vainqueur!


Et la nain se met a genoux, bras en l'air, au milieu de la Lice, la chemise remontée sur sa tête laissant apercevoir ses abdominaux bien cachés par un pti ventre dodue obtenu par un entrainement sévère de levage de chopes en taverne.

Quelques minutes plus tôt à l'arrivée des 2 belligérants, le nain n'avait pas douté une seconde.
Quoi une ravissante Donà en Lice? Comment pourrait elle ne pas succomber sous les coups de boutoirs de la lance du blond bi baron.
Il n'est de femme dans le bel age qui n'est résistée à sa blonditude et ça Lahire le constatait maintes fois en taverne lors de son entrainement a lui.

Le nain enviait le noble jeune homme, enviait et admirait ! Quand il serait grand il serait beau comme l'astre blond...

Il n'empêche que même connaissant, ne doutant point de l'issue de la joute, le nain ne pu garder sa joie !


C'est mon bibaron a moi !!!!! Ouaissssssssss !!!
Coxynel
A peine remise de son exploit de la veille, la champenoise s'était préparé comme à l'habitude, usant toujours du même rituel. Attila avait lui aussi eu des soins, coup de brosse, sabots lustrés et petits légumes pour le remercier de ne pas l'avoir fait chuter la veille.
Et c'est ainsi que la blonde était partie en lice, peu confiante... Dés lors qu'il s'agissait de joutes, elle ne l'était pas.
Qui plus est lorsqu'elle se rendit compte de qui elle devait affronter !
Une champenoise, comme elle...


Misère !

Juchée sur sa monture, elle attendit le signal pour talonner Attila et...

Citation:

    Que s'avancent sur la lice Lylla Cardinal d'Eirbal, baronne d'Arzillière et Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne!




    Première passe... Duel cent pour cent champenois, à nouveau et c'est la plus expérimentée des deux – Colombe – qui prend cette confrontation à son avantage. Efficace, elle fait d'une lance trois coups : touche de la targe, destruction de la lance, envoie de Lylla au sol. Celle-ci n'aura pas eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, elle tombe lance intacte.


    Par chute de son adversaire, la dame d'Ussy-sur-Marne est déclarée vainqueur!


Un peu avant d'arriver au niveau de Lylla, elle redressa sa lance, la mit parallèle au sol et visa le bouclier de son adversaire du jour.
Et là...
Miracle !
Oui parce que réussir une première fois, c'est de la chance. A partir de la deuxième fois, ça relève d'un miracle !

Coxynel tira sur les rênes d'Attila pour le ralentir et lui faire faire demi-tour. La baronne d'Arzillères était à terre. La bonbonnière descendit de cheval pour rejoindre Lylla, la saluer et l'aider, si besoin était, à se relever.

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Lylla
Cette première victoire avait été dument fêté sans doute même un peu trop vu les troupeau de vaches qui s'amusaient à cavaler de toute leur force sous son crâne au matin.

Les cheveux en bataille, le teint pâle, la paupière récalcitrante et une haleine de dragon. Voilà dans quel état se trouvait Lylla de bon matin.
Immédiatement un doute lui vint... Ca sentait le coup fourré !
Et elle eut beau brailler à la recherche du Maréchal autant que le lui permettait son mal de crâne que cela n'eut que l'effet de faire venir la brave aubergiste.


Criez point comm'ça Dame, z'allez m'ameuter tout'l'auberge !

Mais la Baronne n'en démordait pas.
Trouver moi mon Maréchal ! Sortez moi ce misérable de son trou.
Fallait il qu'elle soit bonne commerçante l'aubergiste pour se prendre les vapeurs éthylique dans la poire en gardant le sourire.
Mais l'est point ici Messire Lupus, j'l'ai vu partir très tot à l'aube. L'a juste dit "Si la Baronne me cherche, dites lui que je m'occupe de son fourbi".
Ha le fourbe !!! Voilà que là où l'homme tenait sans broncher de grandes quantité d'alcool ingérées, il savait parfaitement que le moindre verre lui montait très vite à la tête, et vu l'état de cette dernière elle n'osait même pas imaginer la quantité qu'elle avait pu avaler sans que le géant ne l'arrête.
Lylla plissa des paupières déjà peu ouvertes, le scélérat ne perdait rien pour attendre, jamais une d'Eirbal ne baissait les bras et elle serait sur la lice quoiqu'il lui en coute.

Un bain faite moi de suite monter un bain. Et froid ! Bien froid surtout. Et il me faudrait de la tisane, vous devez bien avoir ça. Un truc pour les gueules de bois.
Pour sur que la blonde vit un sourire sur la face de l'aubergiste. Sans doute la reprenait elle pour une ravagée de la cervelle. Mais bon tant que les écus tombaient dans sa poche... Et puis elle avait du en voir d'autre va.
Un bain froid... Et une tisane. J'en ai une de ma spécialité, je vais vous en faire monter un broc.
La porte se referma derrière elle que Lylla grimaçait déjà à l'idée de ce qui allait suivre.

Citation:
Lylla Cardinal d'Eirbal, baronne d'Arzillière affrontera Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne!


Ce fut l'annonce qui l'accueillit à son arrivée sur les lieux du tournoi. Madre des Dios ! Gagnant sa tente la blonde se signa, le Seigneur devait vouloir sa mort pour l'opposer à une champenoise qui avait du passer plus de temps sur une selle qu'un Duc sur son trône !
L'arrivée devant la tente à ses couleurs changea le cours de sa pensée. Son cheval était là, parfaitement calme et déjà caparaçonné, prêt pour le combat.
Tout le contraire de sa cavalière qui souffla des naseaux devant le géant impassible qui attendait tranquillement les bras croisés, un fin sourire impossible à déchiffrer aux lèvres.


Bonjour Baronne nous n'attendions plus que vous.
Avant d'ouvrir pour elle le panneau de tissu derrière lequel on allait la transformer un bonhomme métallique. Au fait vous avez un teint superbe, je ne vous savais pas aussi résistante...

Les narines se pincèrent, ses paupières ne laissèrent plus passer son regard que dans une fente, Lylla se vengeant à sa façon en marchant effrontément sur le pied de son Maréchal. Comme si une mouche pouvait faire mal à une telle force de la nature. Cela provoqua même un léger sursaut chez Lupus du a une envie de rire durement contrôler.


Une fois entièrement couverte de toutes les protections possibles et imaginables, la Baronne fut hissée sur son destrier. Mais voilà, les brumes de sa cuite s'étaient dissipées et c'était maintenant l'appréhension qui la gagnait et fit trembler sa main quand elle s'empara de la lance qu'on lui présentait.
Malgré son courroux, elle connaissait trop bien Lupus pour savoir que s'il l'avait jugé inapte a concourir, il l'aurait assommé s'il 'avait fallut, mais jamais il ne l'aurait laissé galoper vers le danger, seule cette pensée la rasséréna quelque peu.

Mais malgré tout, le mélange lendemain de bringue, tisane de l'aubergiste à faire rendre les tripes à un soudard, et présence de la veuve du Capitaine Champenois, voilà qui avait de quoi faire suer la blonde sous son heaume.

Plus de temps de réfléchir. Les deux adversaires s'étaient positionnés sur le terrain et le départ fut donné. Comme si elle l'avait pressentie, Lylla ferma les yeux au moment de l'impact, grossière erreur puisque se faisant elle ne visa même pas Coxinel qui elle par contre fit mouche.
Une violente douleur à l'épaule et l'espace d'un instant une sensation de légèreté tandis qu'elle voltigeait dans les airs, sensation totalement fugace et qui disparue très vite quand son fessier entra le premier en contact avec le sol.

Si la douleur à l'épaule chassa le mal de crâne, la chute ne vint que s'ajouter à la première. Lylla ne voyait plus des éléphants rose, mais trente six chandelles pour le coup ! La main de la Champenoise lui fut d'un grand secours pour se remettre debout.

Otant son heaume pour respirer plus librement, Lylla la remercia d'un sourire.


Merci et bonne chance pour la suite des épreuves Dame.

Clopin clopant dans sa boite de conserve, tenant sa monture d'une main pour le moins molle, la blonde regagna sa tente où l'attendait Emelyne sa petite suivante aux doigts de fée, sous l'oeil anxieux du géant.
Radoucie par sa chute, Lylla lui tapa un clin d'oeil.

T'inquiètes, je suis entière et au moins je me serais pas affalée aux pieds d'un homme.
Une légère grimace atténua toutefois la note d'humour.
Par contre j'ai l'épaule et les fesses en compote !
Rassuré le Maréchal éclata de rire.
Allez vient Patronne, on va prendre soin de toi maintenant.

Ces premières joutes resteraient longtemps gravées dans l'esprit de Lylla.
En deux jours elle avait terrassé un Prince et découvert les lois de la gravité !

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Adrien
Citation:

    Que s'avancent sur la lice Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet et Aimbaud de Josselinière, marquis de Nemours, duc de Corbigny, seigneur de Decize & de Saint-Robert!




    Première passe... Le départ est donné et les deux jouteurs éperonnent leur monture. A un galop honorable, ils abaissent leur lance, se croisent et n'accompliront rien de plus. Le rang est désigné, ils retournent y prendre place.

    Deuxième passe... Assistera-t-on à un croisement plus incisif cette fois-ci? Eh bien, non. Toujours sur le même mode, le seigneur et le marquis ne font que passer l'un à côté de l'autre et conservent donc des lances intactes qui n'auront touché que le vent.

    Troisième passe... C'est maintenant ou jamais, tant pour les duettistes que pour les spectateurs qui espèrent en voir davantage pour cet ultime passage à dos de cheval. L'Impérial, novice en tournoi français, l'a bien intégré et avec plus de résolution, touche enfin la targe de son adversaire. Celui-ci connaît à nouveau l'échec en ne rencontrant rien avec le bout de sa lice, pis, il voit celle de son concurrent se briser avant de démonter, se blessant légèrement au pied au passage.


    Par chute de son adversaire, le seigneur d'Orgelet est déclaré vainqueur!


Adrien arriva devant l'affiche et lut. Maintenant sa sera contre un marquis, lui qui était simple seigneur, aurait t'il plus d’expérience pour autant? L'avenir nous le dira. Jusqu'ici, le maréchal a eu de la chance, selon lui.

Quelques temps plus tard, son tours arriva. Le Marquis avait l'air majestueux avec ses titres, mais Adrien savait très bien, par son métier, qu'un titré ne faisait pas forcement un bon noble. Son écuyer vint derrière et commença à l’équiper de son armure. Il serra l'armure comme une brut. Certes, cela permet de renforcer la protection, mais une armure trop serrée ralentirait l'homme.

Une fois équipé, on le monta sur la monture et il prit la lance. Et se tint prêt au galop. Une fois son adversaire prés, Adrien vit un signe de l’arbitre à travers la grille. Il mit son cheval au galop, le marquis s'approchait Adrien baissa sa lance et essaya de viser, ferma les yeux et rien se passa. Aucun choc, il reprit sa place. Il se prépara et se mit au bout. Ils repartirent aussi vite. Adrien visa plus bas, mais rien a y faire... encore rater. Enfin, à la dernière tentative, Adrien put visé, et ne ferma pas les yeux cette fois ci avant le choc. Un bruit sourd mi-métallique retentit. Il observa ce qui se passait, le marquis était tombé, Adrien souffla de soulagement et dit au Marquis.


- Bravo tous de même. C'était serré.

Adrien sourit
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Klouska
Citation:

    Que s'avancent sur la lice Klouska d'Hauteroche, dame de Champigneulles-en-Bassigny et Dardus de Las Rosas, seigneur d'Amotz!




    Première passe... Avec un départ tambour battant, Klouska ne fait pas dans le détail! Il faut dire que la Champenoise doit avoir envie d'en découdre après avoir passé les trente-deuxièmes de finale sur forfait de son adversaire. cette envie transparaît dans ses gestes, avec fermeté elle abaisse sa lance, lui fait atteindre la targe de son adversaire, brise son arme et envoie un Dardus qui s'est complètement manqué au sol. Celui-ci en tombant se blesse légèrement au pied.


    Par chute de son adversaire, la dame de Champigneulles-en-Bassigny est déclarée vainqueur!



Elle s'etait tellement préparée lors des 32eme de finale que c'est une Dame remontée à bloc qui se présenta aujourd'hui. Son armure, neuve pour le coup, brillait d'avoir été frottée avec amour. La monture aussi semblait pleine de fougue. C'est donc, coeur battant à tout rompre que Klouska s'elanca dans la lice, face à son nouvel adversaire.
Premiere passe, premier choc. Sa lance se brise sous l'impact mais la jeune femme, corps penché de tout son poids en avant, accuse le coup sans un recul ; chose incroyable lorsque l'on voit la carrure de son adversaire.

En bout de lice, d'un mouvement elle fait virevolter sa monture pour faire face à son adversaire.. mais celui ci se trouve au sol.


l'annonce, etouffée par son casque, retentit :
Par chute de son adversaire, la dame de Champigneulles-en-Bassigny est déclarée vainqueur!

C'etait fini. Elle avait gagné !
Elle mit pied à terre et rejoignit son adversaire qui s'etait remit sur ses jambes.
Klouska ota son heaume, liberant ainsi sa longue chevelure brune, respirant enfin l'air frais.
Casque sous un bras, elle leva son minois vers le visage de l'homme face à elle.

J'ai eu beaucoup de chance je crois..
et de lui sourire avec modestie
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Albine.
Suite à une grande joute verbale, tenue dans la presque grande intimité du campement de la Flechere Marigny, Albine revient assister aux joutes, mime mi renfrognee, mi soulagée et re mi renfrognee derrière.

D'un regard, elle balaye les tribunes. Elle sourit voyant son amie Hélène envoyer des baisers à son père. Un instant, elle reste immobile perdue dans ses pensées.
Il serait sans doute sage de prendre exemple sur elle... Sa mère devait avoir raison, on ne pourrait jamais rien faire d'elle. Bien sûr, elle avait retiré ses paroles une fois calmée, elle avait même pris la jeune fille dans ses bras pour la consoler.
Il en était ainsi, elle n'était même pas "envisageable".

Elle s'adosse et regarde les joutes d'un air absent.

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Lacoquelicot


    [Angoisse au bord de la lice…]


    C’est encore contrarié de sa défaite à la course tourneloise que la jeune protégée arriva au bord de la lice. Ella avait quitté ses braies et sa chemise de «combat» pour une robe écarlate afin que son mentor puisse la repérée juste avant d’entrée en scène. Actarius devait jouter au huitième combat contre un sire du nom de Gamalinas, seigneur Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex. La rouquine n’aurait su dire si c’était la matinée, le temps nuageux ou le couleur de l’herbe mais quelque chose en elle lui faisait craindre ses nouveaux combats. C’est donc seule et inquiète que la jeune fille s’accouda au rebord de la lice dans l’attente de voir son seigneur apparaitre. Avant lui sept combats eurent lieu, n’attirant guère l’attention de la demoiselle bien trop angoissée pour se concentrer sur autre chose que le devenir de son protecteur…


      8e combat - Actarius d'Euphor Vs Gamalinas…


    Puis les bucines retentirent et le Phénix fit son apparition. Ella se hissa sur la pointe des pieds pour mieux le voir, espérant secrètement un regard ou un sourire avant qu’il ne s’élance. Même sous son heaume. Peu importait tant qu’il savait qu’elle était là pour le soutenir. La première passe fut lancé, les destriers prirent de l’allure, les lances s’abaissèrent… Et Ella ferma les yeux. Le spectacle qu’elle avait tant attendu elle ne voulait plus le voir. Autour d’elle plus rien n’avait de consistance, et la jeune rousse, cramponnée de toutes ses forces à la rambarde de la lice, n’attendait que le bruit fracassant du bois qui se brise sous le choc. Point final de la passe,qui ne résonna pas à ses oreilles. Les jouteurs s’étaient manqué et lorsque les yeux vert de la jeune fille se rouvrirent, le mendois était toujours en scelle, la lance intacte. Tout comme son adversaire, signe qu’une seconde passe aurait lieu.

    Une seconde séance de torture pour la demoiselle qui supportait mal ce spectacle que certain trouvait divertissant. La Fleur trouvait cela barbare et violent. Rien de plus. Le second coup d’envoi fut donné et cette fois les deux hommes ne se manquèrent pas. L’un comme l’autre touchèrent, se désarçonnant mutuellement. C’était la première fois, qu’Ella voyait son mentor au sol. Lui qui lui inspirait tant la stabilité et la force, était mis à terre brutalement. L’image s’imprima immédiatement entre les tempes de la protégée. Le choc était rude pour la môme qui voulait déjà enjamber cette fichue barrière pour aller voir s'il allait bien. Mais un bras lui enserra la taille fermement pour la retenir, lui faisant comprendre sans un mot qu’elle devait attendre et ne rien faire. C’est douloureux, mais le comte qui se relevait alors qu’on le déclarait perdant lui ôta un peu de cette inquiétude qui s’était mise à la ronger en un coup de lance.

    Il allait bien, le reste importait peu.

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Image: Jenifer Anderson - Texte: La rue Kétanou
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