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[RP] Joutes : Trente-deuxièmes de finale – 22 août

Helene.blackney
[Dans les tribunes]

Bien évidemment que j'en étais fière de mi padre, il venait d'écraser son adversaire à plate couture et en plus il était d'âge mûre. Loin d'un jeune puceau à sa première joute, lui revêtait tout l'apparat de l'expérience et de la grande noblesse. Elle se présenta et je dis avec le sourire:

-Enchantée également, j'avais bien peur d'être la seule à crier ma joie lors des joutes mais vous semblez également avoir de la voix

Je regardais dans la direction qu'elle m'indiquait, je vis le blason et le nom me fit rire car il y avait "chaton" dedans. Oui oui je suis très bon public on dirait bien. Quels visages je connaissais, après mi padre, il y avait mi parraing, deux hommes très importants dans ma vie.

-Mi parraing Sire de Gaudemar et son épousée, c'est une noble famille du Lyonnais Dauphiné, sinon, je connais les Castel Vilar et sa Grâce Riwenn, je suis son tribun pour la ville de Auch. Sinon, je ne connais personne d'autres.

Je vis la blonde (Albine) passer dans les tribunes, je lui fis un signe de la main mais elle était accompagnée de sa famille, je ne voulais déranger. Mon chien de race s'était endormit et les aboiements avaient cessé. Sac à puces.

-Dame de Bretel, de quelle contrée venez vous? Si ma question n'est pas indiscrète bien évidemment.
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Argael
Citation:

    Vingt-quatrième et on continue avec des duellistes tout en harmonie. Ces deux-là sont Dauphinois et il s'agit d'une part de Romuald Maccornell, seigneur de Cornillon-en-Trièves et d'autre part d'Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute.

    Première passe... Si le seigneur de Cornillon-en-Trièves n'a pas le même nombre de participations à des tournois à revendiquer, c'est néanmoins comme son rival du jour un jouteur expérimenté. Et cette expertise se sent chez chacun des deux Dauphinois, dès le départ et se poursuit dans le choc qui ne tarde pas à survenir. L'impact est réel et tel que non seulement les lances qui touchent se brisent mais en outre, les deux porteurs atterrissent au sol. Romuald se blesse légèrement à la jambe en chutant.
    Nouveau retour de Montjoie sur la lice car il faut départager les jouteurs. Place au duel à l'épée! Les écuyers viennent équiper les rivaux. Qui touchera quatre fois le premier? Qui abandonnera?
    Le Roi d'Armes autorise les duettistes à ferrailler.
    C'est un seigneur de Cornillon-en-Trièves handicapé à la jambe qui se met en garde et voir arriver sur lui un Argael virevoltant. Par trois fois le Fier touche l'autre bretteur et par trois, il blesse celui-ci légèrement : à l'épaule, puis à la main et enfin à la hanche. Quatre blessures légères d'affilée en comptant celle survenue suite à la chute, cela équivaut à une blessure grave. Montjoie arrête le combat, Romuald est trop diminué.
    Par abandon de son adversaire, le marquis de Senlis est déclaré vainqueur!


[Vis comme un homme brave ; et si la fortune t’es contraire, affronte-la avec un coeur empli de courage. « Cicéron »]

Certain affirmeront que les joutes prennent leur sens au moment ou l’on s’élance face à l’adversaire d’un jour. Sans surprise pleine de morve et en déni complet, celle qu’il considérait comme une usurpatrice sur le siège de Reyne de France avait décliné un affrontement sous le regard du Très Haut afin de regler l’animosité entre eux deux. L’infortune donc, mais pouvait on attendre autre chose de cette pimbêche, lui donnera par défaut un adversaire d’une autre valeur d’évidence, puisque un noble comme lui bien connu du Lyonnais Dauphiné, le seigneur de Cornillon-en-Trièves.

Tant pis, l’évènement était heureux tandis que cette femme entrainait le Royaume de France dans la division. La réponse se trouvera dans l’Histoire jugeant les Hommes. Ce jour, il devait faire honneur à ses armoiries, ses gens, ses amis, son épousée. Il ne devait point en être autrement, canalisé son aversion pour cette tête couronnée et ses proches, et s’en servir de manière à briller….

…. Armure mise, heaume baissé, sur sa monture il attendait, la lance à porté tenue par un escuyer. La tension montait maintenant malgré l’expérience certaine de notre montagnard vainqueur de deux joutes cette année. Point trop d’excès de confiance, garder sa concentration.

Le signal

Sa lance toucha et fit choir son adversaire d’un jour, mais celui-ci ne s’en laissant point compté obtenu le même résultat. Combien de fois avait t’il chu de la sorte ? L’habitude lui permit sans doute de ne point se blesser. La décision se ferai donc à l’épée.

L’échange ici tourna court de manière surprenante, par trois fois le marquis toucha et blessant de telle manière que le Roy d’Armes fit stoppé le combat, déclarant le plus expérimenté vainqueur.

Soucieux des blessures de son ancien adversaire, il s’enquit de son sort et lui promit de lui envoyer son médicastre personnel, et de trinquer avec lui une fois remit sur pied.

En lui-même une pensée, cela aurait du être le sort de la Reyne de France….

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PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ??? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis
Comte de Menin
Vicomte de Monestier de Briançon
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute
Albine.
L'expérience en cours était des plus formatrice. Albine sentait à cet instant précis, qu'il fallait y mettre un terme, sans doute parce que sa mère venait de découvrir la supercherie et que ses yeux lançaient des éclairs... Gloups ça risque de barder cette fois ci... Au comble de l'horreur, elle voit Fanchon s'enfuir avec un jeune homme ! Mais comment fait-elle ?!!! Tous les jeunes hommes que rencontre Albine s'enfuient si vite... Bref, ça sent le roussi.
Il lui faut un miracle, tout de suite là maintenant... Elle se signe et prie brièvement, mais fort sincèrement.

Le miracle arrive sous la forme de Lanfeust ! Elle remercie intérieurement Aristote et Lanf en souriant largement. Il faut fuir très vite et embarquer Fanchon au passage.

Boitillant le plus rapidement possible, elle tente de retrouver sa servante. Elle devient blême en la voyant en retrait en compagnie d'Arthur... Mais elle est incroyable !!! Comment faire maintenant ? Heureusement papounet ne voit rien trop occupé à regarder la lice, un problème en moins !

Bon, il ne reste qu'une solution, boitiller jusqu'à la tente, se changer et revenir habillée correctement, c'est en effet le plus sage, action !

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Noeline
Si elle ne s'était pas empêtrée dans sa robe, si la foule n'avait pas été aussi dense, si le soleil n'avait pas taper autant ... avec des " si " !!!

Lanfeust apparu comme par enchantement au moment où Noeline allait quitter les gradins.

Tu dois être heureuse pour Fabien, il a bien jouté !

Que faire ? préférer l'impolitesse et calmer les ardeurs de Fanchon ? impossible.

Ah Lanfeust ! Merci pour ce compliment. Oui Fabien s'est bien battu, il a vaillamment défendu nos couleurs, surtout contre le Prince Namaycush qui n'est pas un débutant non plus.

Dis moi Lanf ? Sais tu que ton fils vient de disparaître avec ma femme de chambre là ? Je crois qu'il serait bon que j'aille trouver Albine et lui demander quelques explications, pardonne moi ... on se voit tout à l'heure, embrasse Laure pour moi surtout
.


Et Noeline de glisser au bas des gradins, un peu trop tardivement, Albine avait déjà quitter les lieux en toute hâte.

Le marquis de Senlis est déclaré vainqueur! Ce furent les dernières paroles qui raisonnèrent à ses oreilles avant qu'elle ne quitte la lice vers la campement.
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Isleen
[Au bord de la lice, on trépigne de voir les joutes]

Chocs, fracas des lances, hennissements des chevaux lancés, vainqueurs, vaincus, l'irlandaise assistait à ses premières joutes, ne manquant rien du spectacle tentant de comprendre les règles qui déterminait untel plutôt qu'untel, et il n’y avait pas meilleur place pour elle que là au bord de la lice, liberté de mouvements appréciable plutôt que coincée dans une tribune à ne pouvoir bouger. Au plus près pour voir, comprendre, pas qu'une chose pareille puisse lui servir pour plus tard, non, on ne nait pas un jour bâtarde irlandaise pour se retrouver noble française le lendemain, à moins d'un sacré miracle ! Non le minipouce en brigandine veut juste comprendre et savoir, quitte à assister à des joutes, autant qu'elle sache, une chose qu'elle déteste : rester dans l'ignorance, d’où son gros problème avec l'autorité en générale. Obéir pour obéir sans savoir, elle a jamais su faire, d'ailleurs le prochain en Lice qui s'avançait en savait quelque chose.

Boudicca d'Arkan, dame des Roches-Saint-Quentin affrontera Enzo, seigneur de Falmignoul!

Esquisse d'un sourire, il avait de l’allure le Grand sur son cheval et vu le train d’enfer prit par les montures, ça allait être rude. Choc, fracas, cavaliers sur les fesses, lance brisée. Il avait gagné ! Comment non ? Pourtant elle aurait cru, sa lance était toujours intacte, soupire, les règles sont étranges parfois. Bon ben non alors, dommage, elle aurait préféré le voir gagner, c’est toujours mieux pour l’humeur. Mais déjà les prochains entraient, et la rouquine reporta son attention sur la lice .
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Fanchon_gassonet
Ils s'étaient faufilés et Fanchon le coeur battant la chamade plongea son regard vert dans celui du jeune homme au moment où il l'attira hors de vue.

Sire Arthur de Troy Dame. C’est étrange, je ne connais pas votre nom, mais j’ai l’impression de vous avoir déjà vu

Arthur de Troy, enchantée Seigneur, je ne vous aurais pas reconnu, vous avez changé, vous êtes devenu ....
Elle se mordit la lèvre, il ne fallait pas qu'il se rende compte, elle ne savait pas encore par quelle pirouette, elle allait se sortir de là, pas trop de compliments, rester sereine surtout et ne pas dévoiler son nom, ce serait sa perte.

Pour parler de la bonté de Monseigneur c’est que vous devez le connaître personnellement, me pardonneriez-vous que je m’interroge sur votre lien avec lui ?

En plus, il était curieux le bel oiseau.

Heu, mon lien ? et bien ... c'est un ami, oui voilà un ami mais n'en dites rien surtout, sa femme me tuerait, elle est intraitable, une ... une folle jalouse, non bien sûr je ne suis pas leur fille, voyons qu'elle idée, je suis une amie, vous savez le Vicomte va souvent à Paris et ...enfin je le connais c'est tout.

Son débit de parole devenait plus saccadé au fil des minutes et la présence inquisitrice du blond commençait sérieusement à mettre la jeune domestique au plus mal, elle se sentait prête à raconter les histoires les plus fantaisistes et accentuait son cas devenu désespéré. Il fallait fuir ou alors le séduire ...

Albine moi ? Que nenni ! Disons que pour vous je serais l'inconnu de la lice !

Appuyant son regard, Fanchon prit un air mystérieux et partit en riant aux éclats, courant entre les arbres et espérant que le jeune seigneur ne la suivrait pas. Elle allait rejoindre le campement au plus vite... là elle n'aurait qu'à reprendre ses habits et enfoncer son bonnet jusqu'à ses yeux, un morceau de charbon appliqué sur le bout de son nez et sur ses joues achèverait de la métamorphoser en pauvrette, le temps qu'Albine trouve à arranger la douce folie dans laquelle elle les avait plongées..
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Albine.
Finalement, il avait fallu peu de temps à la jeune fille pour arriver sous sa tente, jeter les vêtements sur la paillasse de la bonne et prendre l'onguent magique et se masser longuement la jambe.

Il fallait se rendre à l'évidence, elle n'avait pas d'autre choix que de prendre sa canne... Elle reste un moment allongée repensant à la vie des serviteurs. Ses parents lui avaient expliqué qu'il est important de prendre soin des gueux des terres que l'on possède. Or, elle allait prochainement recevoir des terres, d'où cette merveilleuse idée ! Maintenant, comment vivre avec l'idée qu'ils avaient de telles vies de chien ?!!! D'un autre côté, ils se disent pauvres alors qu'elle-même a reçu énormément de pièces...

Il lui faudra réfléchir à tout cela plus tard. Elle enfile une robe, glisse une pince torsadee dans ses cheveux et repart cane en main assister à la fin des éliminatoires. Apercevant sa mère au loin, elle contourne les lieux et s'installe sur la première place vacante tout au bout...

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Lanfeust86
Ah Lanfeust ! Merci pour ce compliment. Oui Fabien s'est bien battu, il a vaillamment défendu nos couleurs, surtout contre le Prince Namaycush qui n'est pas un débutant non plus.

Le Duc sourit aux propos de Noeline, en effet Fabien était très bien parti pour ces joutes, il fallait espérer qu'il irait loin et qui sait à la victoire !
Toutefois les paroles suivantes firent effacer le sourire du visage du rouquin.


Dis moi Lanf ? Sais tu que ton fils vient de disparaître avec ma femme de chambre là ? Je crois qu'il serait bon que j'aille trouver Albine et lui demander quelques explications, pardonne moi ... on se voit tout à l'heure, embrasse Laure pour moi surtout.

La femme de chambre ? Pardon !!! Regard du duc vers les gradins, son fils ne semble plus y être, Noeline dirait donc vrai, il ne manquait plus que ça !

Non je ne savais pas, je te dis donc à plus tard.

Le Duc remonta dans les gradins pour vérifier que son fils ne se trouvait plus là où il l'avait vu précédemment, et c'était le cas, nulle trace de lui. Il continua donc dans la même direction afin d'atteindre l'autre bout de la lice, mais il n'était guère facile d'avancer parmi la foule.
Il venait d'ailleurs d'entendre que Hervé, son vassal, venait de perdre contre une dame, et bien voilà de quoi le charrier un peu également. Mais c'était un auvergnat de moins !
Quelques joutes plus tard, il avait enfin atteint le bout des gradins, entendant que Sakura était apparemment blessée. Il regarda alors la lice et les médicastres qui s'affairaient, espérant que ce ne serait pas trop grave...

Le rouquin vit alors Albine qui revenait vers là où il était et prenait place, regardant de tout côté.
Hummm sa mère n'a pas du tout la trouver à priori, et lui n'avait d'ailleurs toujours pas mis la main sur son fils et la Fanchon...D'ailleurs si ces souvenirs sont bon, elle est...rousse !
Manquerait plus qu'il batifole avec elle et qu'il la mette enceinte, le premier bâtard d'Arthur de Troy ! Non c'était hors de question !
S'approchant d'Albine, il s'adressa à elle.


Albine ! Le bonjour !
Je cherche Arthur qui serait avec Fanchon d'après ta mère, qui d'ailleurs te cherche.
Peux tu m'aider à les retrouver ?

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Boulga
[Toujours dans les tribunes
Niall de Rivien VS Salvaire d'Irissarri y Castelmaure]


Isora a écrit:


(...)

Elle venait donc ce jour surtout pour y retrouver Boulga qui lui avait envoyé une missive charmante l’invitant à la retrouver ici. Du regard elle parcourut la foule présente, il faut avouer que les spectateurs étaient nombreux, elle l’aperçut enfin, s’excusa en passant devant certaines personnes. Désolée je ne fais que passer….. Elle arriva, prit place rapidement pour ne pas gêner la vue de qui que ce soit.
Bonjorn Boulga ! Elle embrassa son amie qui donnait l’impression d’être, légèrement tendue…. comme un arc ! Normal on le serait à moins et bien oui vous avez compris et Isora ne voudrait en aucun cas, un jour, se retrouver dans ce cas de figure, à s’inquiéter, se torturer, non du tout, en l’espérant….jamais ! A peine fut-elle assise que le Baron Salvaire et le Vicomte entraient en lice. Tout se déroula très vite, enfin ce fut l’impression qu’Isora en eu, Niall….enfin le Vicomte se retrouva badaboum !!!! au sol, apparemment blessé car……il semblerait qu’il n’arrivait pas à se relever.

Et le Baron était donc le vainqueur !

C’est alors qu’Isora le vit, son ami Joinvillois : Caminho ! Elle espérait qu’il allait l’apercevoir et peut être venir lui dire bonjour !

Isora regarda son amie, le sourire était revenu sur ses lèvres……et cela faisait plaisir....


Ah ! quelle longue attente que celle de la première joute que devait disputer son senher ! Attente longue et surtout terriblement angoissante. Boulga en avait des noeuds partout dans le ventre, et qui remontaient jusque dans la gorge, lui ôtant toute envie de boire et de manger.
Et ça ne s'arrangea nullement lorsqu'elle vit que deux des jouteurs se finissaient à l'épée.
Tudieu ! mais c'était horrible !
Un autre souvenir douloureux revint, celui où engagée à l'occasion dans une armée languedocienne pour défendre la capitale, elle avait malencontreusement participé au poutrage d'un de ses amis et voisins.
Pour tâcher de se distraire des sombres pensées qui l'assaillaient, comme de voir son maître à l'agonie, elle parcourut des yeux les spectateurs et chercha des têtes éventuellement connues. La comtessa de Gevaudan, par exemple, ou encore dona Melisende, ou Ella. Et Isora, qu'elle attendait.
Son oeil revenait aux joutes lorsqu'un senher qu'elle connaissait entrait en lice. Ainsi Kelak et Castelreng, qui s'inclinèrent finalement après plusieurs passes, mais sans démériter. Et puis le coms Actarius, qui l'emporta brillamment. C'est d'ailleurs à cette occasion qu'elle repéra la donasela Ella, toute excitée de la victoire de son mentor.

Mais le temps passait et s'approchait celui où le senher Salvaire s'élancerait à son tour.
Le soleil achevait sa course, la journée était bien avancée déjà, et sa lumière dorée eût été du plus bel effet si la jeune fille s'était trouvée en état de l'apprécier pleinement.
Enfin, Isora arriva.


Ah ! mercé d'être là ! je crois que je n'en puis plus ! Savez qu'on a emporté tantôt une dona gravement blessée ? la joute s'était finie à l'épée !

Et quand le senher Salvaire entra sur son destrier, reconnaissable aux couleurs de sa fiancée, nouveau soupir :

ah ! je veux pas voir, je veux pas voir !

Mais elle regarda quand même, toute blêmissante.
Première passe... ben, rien, en fait... ouf, il était indemne... mais l'autre, en face aussi et il fallait recommencer. Elle adressa une prière muette au Très Haut
Deos ! Deos ! qu'il aime toutes les femmes du monde, n'importe, pourvu qu'il en sorte vivant !


Et le bel et blond baron fit mieux que cela : il ressortit vainqueur, brisant sa lance sur la targe de son adversaire et le projetant à terre sous la violence du choc.

Eh oui ! un large sourire s'épanouit sur la figure de Boulga, en même temps qu'elle exhala un énorme soupir de soulagement. Le plus dur était fait !
Resterait à examiner son senher et vérifier qu'il ne souffre pas de contusions ici ou là. Mais bon, ce serait pour plus tard, cela, quand après l'effort viendrait le réconfort. Et le repos du guerrier.

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Albine.
Albine ! Le bonjour ! Je cherche Arthur qui serait avec Fanchon d'après ta mère, qui d'ailleurs te cherche. Peux tu m'aider à les retrouver ?

Albine sursaute et se tourne. Trouvant Lanf face à elle, elle ne peut retenir un gémissement, puis un large sourire niais barre son visage éliminant ainsi une partie ses traits tirés par la douleur.
Que faire ? Elle avait cru à un miracle, mais visiblement, son ange gardien était taquin... Qu'il en soit ainsi ! Elle se saisi de sa cane et se lève.


soit ! Mais quelle drôle d'idée tout de même ! Que feraient Arthur et Fanchon ?!!! Elle rit nerveusement, avançant doucement. Changer de sujet était le mieux. D'autant plus qu'elle avait vu comment réagissent les valets entre eux. Quelle horreur !! Pour défendre son postérieur, elle avait largement distribué gifles, coup de poing et de cruche... À cette idée, elle frisonne se demandant ce que Fanchon fait à Arthur et frisonne. Changer de sujet.. changer de sujet.... est ce que Laure aime son chien ?
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Isora
Citation:
Ah ! mercé d'être là ! je crois que je n'en puis plus ! Savez qu'on a emporté tantôt une dona gravement blessée ? la joute s'était finie à l'épée !

Isora non ne le savait pas elle arrivait en l’instant. Elle ne connaissait pas les règles des joutes non plus, un combat se terminant à l’épée, une Dona ! Ce qu’elle regardait surtout c’était les chevaux, ils étaient magnifiques, dressés parfaitement, ils étaient courageux car tout de même leurs cavaliers devaient peser un certain poids vu leur équipement. Une relation fusionnelle semblait exister entre les deux. Des jouteurs, on ne distinguait pas leurs visages, mais tout de même certains avaient un peu plus de classe que d’autres, il fallait l’avouer.

Citation:
ah ! je veux pas voir, je veux pas voir !

Il valait mieux regarder que de rester à l’écart dans l’inquiétude de ne rien savoir et de vivre des minutes qui sembleraient durer des heures. Notre Tonnerroise l’avait déjà vécu, rester dans l’angoisse de ne rien savoir, non en espérant……….plus jamais. Isora sourit, Cam l'avait vu et reconnu, elle répondit à son signe de la main, c'était bien lui. La dernière fois qu’ils s’étaient parlés remontait à quelques mois déjà. Ils devaient voyager entre amis, un voyage prévu depuis si longtemps, que de choses depuis….que de changements dans la vie de Cam et aussi dans la sienne. Ses pensées s’en allèrent en Tonnerre, son amie Dark dont elle n’avait plus aucune nouvelle, cela était très difficile pour Isora, mais hélas étant éloignée, elle ne pouvait rien faire de plus. C’était une des raisons pour laquelle elle voulait rentrer en Bourgogne, mais pas trop vite non plus, ah quel casse tête !

Voyez il a gagné !

Etait-ce le mot gagné, remporté, victorieux…..

Arthur_de_troy
Ben tient. Alors l’étrange tenue d’Albine n’était pas due à un échange d’identité avec la rousse, sinon celle-ci aurait saisi la perche, et se serait attribué le nom de la première. Peut-être était-elle simplement une amie de celle-ci, et que sa gêne était seulement consécutive au drôle de caprice de la Fléchère Marigny. Néanmoins ça ne collait pas. Elle le trouvait changé, donc elle l’avait déjà vu, et certes il allait à Paris, mais il n’y rencontrait jamais les amies du Vicomte, plus encore que Fanchon sous entendait que le Vicomte avait des « amies » du genre que l’on ne présentait pas en public, donc aucun risque que ceux-ci puissent dire de lui qu’il était changé.

De voir ainsi la jeune femme s’enfuir dans un rire presque diabolique scia le jeune homme, qui finalement ne put se retenir et fini lui-même par éclater de rire. Restait alors deux solutions… Courir après elle, ou retourner aux joutes. Mais il ne se sentait pas l’humeur de courir après une rousse, il avait déjà tenté, et ça avait mal fini… Il restait encore deux façons de comprendre le fin mot de cette histoire : Albine et Noeline.

Le seigneur tourna donc talons pour rejoindre les gradins, tombant immédiatement sur la première Dame recherchée et son père, qui se tenaient là tout au bout du gradin, juste devant eux.


Oh bon jour ! Père. Albine ! ça fait tellement de mois ! Jolie robe, très jolie…

Avec une légère révérence, le blond dédia à Albine un sourire malicieux.
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Perrinne
Une main se tendit tandis que le duc de Mortain se murait dans le silence... du moins quand elle apercut la dite main. Maing au gantelet ferme, au visage point du tout inconnu tandis que son regard s'élevait et sa vision se focalisait.
Ses levres s'étirèrent en diverses expressions tour à tour soulagée de voir apparaitre un tel soutien, heureuse du silence meme si la compassion se lisait dans le regard du Chevalier, quelque peut honteuse d'avoir ainsi chu et ne point etre arrivée à se relever seule.

Néanmoins, puisque le soutien était là, à défaut d'avoir une bequille à proximité, elle prit reconnaissante l'appui offert avec cette subtile galanterie que le flamand savait dispenser avec prudence quand l'envie lui prenait. Autant dire qu'elle ne l'avait quasiment jamais vu à l'oeuvre jusqu'à cet instant.


Merci chevalier, vous voilà bien galant. Si vous pouviez juste... jusque là. Je crains que mon épaule ne soit légèrement démise... et ce machin pèse une tonne. Vous devez encore jouter, je ne voudrais troubler votre concentration.
Lahire
Citation:
Vingt-neuvième affrontement entre deux hommes effectuant en lice leurs premiers pas. Choc entre l'oïl de Niall de Rivien, vicomte de Montréal et l'oc de Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon qui défend les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval.


A ouïr l'annonce, le nain couru sur ses courtes pâtes comme un beau diable plantant tout sur place. On gloussa sur son passage tant il tanguait et penchait avec ses jambes arquées. Mais l'était ou la lice ??? Arf que n'était il si petit, il n'avait que peu de point de repères au ras du sol !
Mais au moins le sens de l'orientation ne lui fit pas défaut et passant entre pattes et jambes de l'assemblées entassées, il se fit chemin jusqu'aux pieds des tribunes. Les belligérants étaient déjà à l'oeuvre...

Citation:
Première passe... Comme pour d'autres avant eux, le vicomte et le baron ne se montrent pas incisifs pour leurs débuts sur un champ-clos. Les cavaliers se sont bien avancés mais rien de plus n'a été produit : pas de lance brisée et pour cause, pas de lance ayant atteint de targe.


Arf il n'avait rien raté !!! L'était rusé le Blond BiBaron, l'avait fait un tour pour rien afin de jauger son adversaire. Pas de précipitation, tout dans l'observation.
Le nain ravie, tapa du coude son voisin.

Hé c'est mon Baron !!! Si Si le Bibaron de Salvaire, c'est moi ! Enfin c'est lui mais lui c'est moi, enfin j'suis son mestre Pintor quoi ! Un pti bout de lui pour ainsi dire....


Comme le voisin voir même les autres, ne semblaient pas apprécier, mais pas du tout apprécier ses commentaires, il fit la moue et les traita d’ignare (en pensées)...

Ah ils remettent ça ! ça va la faire....
Vas y, vas y VAS Yyyyyyyyyyyyyy


Citation:
Seconde passe... Après un retour au rang lance intacte, les deux concurrents repartent pour un tour! Cette fois, l'un des deux prend les commandes et plutôt nettement : en effet, après avoir porté son bras en avant, l'Irissarri met en plein dans le mille, mille comme les morceaux de sa lance qui choient au sol, sol que connaît aussitôt le Rivien déstabilisé par le coup porté et par celui que lui-même a asséné au vide. Niall se relève mais sa jambe est moyennement blessée. Les physiciens tournelois y pourvoiront.


Ouiiiiiiiiiiiiiiiii

Citation:
Par chute de son adversaire, le baron d'Apcher est déclaré vainqueur!


A ces mots le nain ne se sent plus de joie et pour la montrer, vl'a t'y pas qu'il court les bras en croix sur le terrain !!!!!

D'un coup,il se stoppe, comme toucher pas la grâce - là il fait un gros clin d'oeil à Boulga qu'il aperçoit dans les tribunes - fouille sa grande besace et en sort un parchemin qu'il ouvre grand au dessous de sa tête à la vue de tous, tout en haranguant la foule !

Castelmaure !!! Tornejador!!!


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Albine.
Le répit et les babillages d'Albine pour changer de sujet sont de très courte durée, Arthur fait déjà son arrivée. Mais quelle joie de le voir seul !!!

Oh bon jour ! Père. Albine ! ça fait tellement de mois ! Jolie robe, très jolie…

Elle lui aurait bien sauté au cou tellement heureuse de le voir seul, mais son sourire la ramène à la réalité. Ils étaient ensemble, elle les a vu tout de même. Où est passé Fanchon ? Il n'est point l'heure des questionnements. Elle lui sourit.

Arthur !!! Quelle joie de te voir ! Tu as bonne mine, je suis heureuse de te trouver en parfaite santé. se tournant vers Lanf. Tout va bien ! À nouveau vers Arthur. Ne lui a-t-il pas dit qu'elle a une belle robe ? Ah mais si ! Elle sourit. Oui mais se rendant compte qu'elle ne s'est pas très bien habillée, juste une robe, et une coiffure toute simple et en plus elle a sa cane... Quelle horreur ! Son sourire retombe. Reprendre le contrôle, tu es une Marigny... Nouveau sourire. Ok, elle est quelconque, boiteuse c'est un fait. En face, Arthur, bien mis, joli garçon, sûr de lui, c'est certain, il comprendra... Quoi aucune idée, mais qu'il y a crise, sûrement ! Elle lui offre donc son plus beau sourire.
Imagine un instant... Nous te cherchions en fait... De même que l'une de nos servante, Fanchon... Une très jolie rousse... Mais que dis-je ? Pourquoi l'aurais tu vu ?!!!
son sourire reste collé sur son visage.
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