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[RP]Saint Didier ou comment faire renaitre une ville

Bentich
Les ordres fusaient et le baron fut agréablement surpris de voir que le petit bout de femme qu’était Ryx pouvait faire croire qu'elle était général d'armée.

Il sourit de toutes ses dents, et oui malgré son âge il les avaient encore toutes, bon les cheveux ça on évitera le sujet.

En avançant au plus près des écuries, Ben aperçu un bout de l’étang et entendit des canards

Une fois devant les écuries, ben prit son acte de propriété et commença a compter les portes, il en comptait dix, dix belles portes en bois, une par Box, et miracle incroyable il était renseigné dix box à chevaux


Ma chère Ryx nous sommes tombés sur une chose magnifique, toutes les portes sont encore debout.

Mais au fait pourquoi me parles tu d'ombre, déjà faut en trouver de l'ombre. Aurais tu des doutes sur l'effet du soleil sur ma capacité a émettre des idées. Tu ne la trouve pas bonne mon idée ??


Il sourit et avançât, ba oui on sait parler en marchand quoiqu'on en dise

Mais allons voir de plus prés debout ne veut pas dire en bon état.

Il osa a peine touché les portes et regarda Ryx pour voir si elle oserait tester la solidité des portes.

Le bois a encore l'air bon, mais vu la proximité de l’étang, qui apporte l'humidité et les dix ans de non occupations il est possible que le bois soit remoulu.

Il avisa un banc, et s'y assit, se rendant compte que le cadeau reçu, n’était pas vraiment à la hauteur de ses attentes. Mais il était sur qu'avec l'aide de Ryx et des autres. le domaine serait magnifique.

Dis moi Ryx a combien chiffres tu en écus la somme totale qu'il y aura a débourser
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Ryxende
mais qu'est ce qu'il lui fait, avec les portes, lui ?! une lubie ? non, parce que, une porte, c'est une porte, quoi ... c'est en bois, c'est dur ... si si , testée avec une dure tête lorraine, une fois ! mais c'est qu'une porte, quoi ?! c'est pas non plus extraordinaire ! elle l'observe ... l'observe ... il est p't'ête dev'nu fou ! pis ... comme faut pas l'dire mais qu'il semble manquer de pilosité testale ... le soleil, déjà puissant, du sud .... tout ça tout ça .... si ça se trouve, son cerveau est entré en ébullition et paf !! il nous a pété un vaisseau vachement important, genre celui de la sagesse . comment qu'elle va se méfier encore plus, elle !!!

et il ose demander pourquoi elle parle d'ombre ????? lui qui tombe en admiration devant des portes de boxes de chevaux ??? ben c'est p't'être pire qu'elle le pensait, tiens ! deux solutions s'offre à elle, là . soit lui dire carrément qu'il devrait penser à porter un couvre chef lorsqu'il sort, ou alors, jouer les imbéciles ... hhmmm.. la réflexion excessivement rapide . grand sourire et ...

des doutes ? sur vos idées ??? meuuuuuhhhh non !!!


ou comment rien dire en laissant penser le contraire . faut pas croire, c'est pas si facile que ça, d'être une silencieuse . la communication, ça s'improvise pas !

euh .. pourquoi il veut s'approcher, d'abord ? c'est des portes ! rien que des portes !! DES PORTES !! mais euuuuhhhhh !!!! bon, on reconnaitra que vu l'état du reste, peu de chance qu'il y ai encore des bêtes vivantes dedans . mais on sait jamais ! ah il veut vérifier ? ah oui ?! ben elle va te vérifier ça, elle ! et il saura tout de suite si c'est solide ou pas . elle s'approche, le regarde à peine effleurer le bois . comment qu'il veut savoir si c'est solide rien qu'en effleurant, lui ?! elle le regarde un peu sceptique . et VLAN ! colle un grand coup de pied dans la porte devant elle . le bois vibre, mais tient bon . du coup, regard satisfait se levant vers son chef ect avec un hochement de tête entendu . ça tiendra ! alors ... hein qu'elle fait du bon travail d'intendante ? hein ?! c'est pas donné à tout l'monde, ça ! ça doit être inné, chez elle ! tant de talent et de grâce (et non de graisse ) réunie en une seule femme ... quelle chance il a !!

mais il le fait exprès ou quoi ????? dites lui qu'il le fait exprès !!! lui parler de chiffre ... à elle ... qui est même pas vraiment capable de savoir combien coute un pain ... pis les chiffres .. c'est pas elle, c'est Louis !! il arrive à les tourner, et retourner qu'elle a jamais trop bien compris, alors ... lui demander de chiffres les dépenses ... elle oscille entre 50 écus et 10 000 ... pour vous dire ! du coup, la bouche s'ouvre, se referme, se rouvre, se referme ... euh ... la, c'est la honte !

euh ... j'peux faire une pause ? juste le temps de descendre au village ...

là, tout de suite, les premiers mots qui lui viennent à l'esprit c'est "AMOUUUUUUURRRRR !!! AU SECOURS !!!!!!!" mais elle les dit pas !! la honte, la honte, la honte !!!!
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Vanyuki
La petite nouvelle de Mende avait fait pleins de rencontres intéressante notamment Bentich et Ryxende. Vany trouvait la lorraine fascinante, oui, parce que Ryxende avait répété à plusieurs reprise qu'elle était une pure Lorraine, avec l'accent et toussa ! Vany se disait bien aussi qu'elle n'était pas comme les autres, ce n'était pas tant son côté « fière d'être Lorraine » jusqu'au bout es ongles qui l'intriguait, mais du peu qu'elle avait pu voir, il lui semblait que c'était une femme à la fois responsable avec du caractère mais aussi avec une belle sensibilité. Vany l'avait observé un long moment. C'était une petite brune, un peu comme Vany d'ailleurs, et sa petite taille avait un côté plus que mignon chez cette femme, non, il faut le dire, Vany trouvait cette nouvelle connaissance vraiment belle. Durant leur conversation en taverne, La Lorraine avait proposé à Vany un travail rémunéré à la Baronnie de Saint machin chose... Elle n'avait pas tout bien compris ce que la femme lui proposait mais en gros, c'était un travail de personnels de maisons. Vany avait promit d'y réfléchir et de passer y faire un tour prochainement, mais elle ne s'était engagée à rien !

Au final, la voilà sur le chemin pour aller à « la Baronnie de Saint Didier en Velay », c'est comme ça qu'on lui avait dit quand elle a demandé comment s'y rendre sans trop savoir où elle se rendait justement ! Même si la damoiselle était plutôt tête en l'air et qu'elle avait peur de se perdre en route, elle redressa la tête et se mis en route.

Toutes sortes de pensées traversaient son esprit durant cette ballade. Allait-elle vraiment se plaire à Mende ? Est-ce que son côté maladroit et femme enfant ne sera pas mal perçu ? Est-ce qu'elle allait encore pouvoir tenir son masque de fille bien polie pour cacher la timidité et la peur qui l'a ronge ? Elle secoua la tête. Ce n'était pas le moment de baisser les bras, elle n'avait pas fait tout ça pour rien ! Oui... mais c'était quoi « tout ça »? Elle n'avait pas eu le choix en fin de compte... plus de famille... plus de maison... NON ! Non, vraiment, ce n'était pas le moment de déprimer, une nouvelle vie démarrait et elle était prête à tout pour avoir une vie paisible avec des amis et des occupations de grande !

Le long du chemin, elle cueillit une marguerite et se remit en route tout en effeuillant un à un les pétales de la marguerite, songeuse. Une fois les pétales tous enlevés, elle s'arrêta et soupira.


Pffff, Tu vois, tu continues à faire des trucs de gamines ! Si tu veux devenir une femme il faut que tu te comporte comme une femme !

Elle se tapa l'arrière de sa tête à l'aide de la paume de sa main comme elle à l'habitude de le faire quand elle n'est pas contente d'elle et leva la tête vers le soleil qui l'éblouit instantanément. Elle sourit et se remit en marche.

Finalement, j'ai pas besoin d'être une autre, je suis peut-être petite et maladroite, mais je peux très bien devenir quelqu'un même avec une marguerite à la main !

Et naturellement, elle était redevenue la femme timide mais toujours enjouée qu'elle avait toujours été. Elle aperçue une grande bâtisse assez vieille. Ça y est ! C'était ça la Baronnie du truc ! Elle n'avait jamais vu de plus grande maison, enfin si on peut appeler ça une maison se dit-elle, c'était très impressionnant ! Alors elle se mis à courir pour la voir de plus près, et le château était de plus en plus grand ! Elle arriva près de grilles, s'approcha tout près et découvrit un grand jardin, ou plutôt une friche... Mais au milieu d'un si bel endroit elle ne pouvait se résoudre à trouver un terrain en pareil état, elle qui aimait tant la nature, les fleurs et les papillons venant butiner leur nectar... Elle imaginait déjà le jardin remit à neuf, parsemé d'arbres divers et de fleurs aux couleurs variées et chatoyantes ! De petits bancs aménagés pour des moments romantiques où le chant des oiseaux apaiserait toutes les peines du monde. Un petit chemin bien entretenu s’enfonçant dans la forêt où il serait bon de s'y perdre avec un charmant jeune homme, où le peu de vent ferait onduler ses longs cheveux châtain foncés au milieu de son petit visage de jeune fille toujours souriant...

Elle se réveilla de ses rêves, elle était partie trop loin ! Mais tout ce qu'y pourrait être fait ici ! Ça pourrait être tellement beau ! Elle regarda intensément les arbres trop vieux qui ne donnaient même plus de jolies fleurs, les racines sortant au milieux des mauvaises herbes... ici les pissenlit semblaient être les seules plantes pas trop mal du coin... mais allez faire un bouquet de pissenlit pour déclarer votre flamme à quelqu'un ! On vous rira au nez !

Elle était entrain de faire la liste des choses à faire dans sa tête pour que le château reprenne de sa splendeur, quand elle aperçue deux silhouettes. Un homme et une femme, pensa t-elle, et à en juger par la petite taille de la femme, elle aurait mis ça main à couper que c'était Dame Ryxende !Elle se mit sur la pointe des pieds et commença à secouer sa main de droite à gauche avec le reste de sa marguerite au bout des doigts.


Eeeeeh oooooh ! Vous m'entendez ?! Je peux entrer ?!

Consciente que sa petite voix ne parviendrait pas à leurs oreilles, elle redoubla d'effort dans le brassage de mains au dessus de sa tête dans l'espoir qu'on l’aperçoit.
Le_g.
Une taverne, une proposition décente, si, si, celle de travailler pour un noble. Voilà à quoi réfléchissait le Gaucher. Il fallait bien qu'il s'y mette, à bosser, qu'il se trouve un métier, qui puisse le faire manger. Troubadour, c'est bien mais ça ne nourrit pas son homme, et encore moins quand il a charge de famille. Il songe à ses fils, Nicolas et Julian, à sa douce, qui bosse déjà pour Bentich. Elle a légèrement oublié de lui demander avant de le faire mais bon, elle lui a parlé d'une dette à régler, pour Julian, alors pas le choix, il faut toujours payer ses dettes d'honneur. Il l'aidera donc.

Songeur, pensif, il est donc en route pour le castel du Baron Bentich. Pas de gaité de coeur qu'il va bosser pour lui, il est tombé bien bas pour devoir le farie, bosser pour cet homme, pour le boucher, mais il aidera sa belle. Contraint, pas forcément heureux de le faire, il approche donc des lieux, observe aux alentours, remarque l'état de délabrement, des friches, et émet un sifflement. Il va y avoir de quoi faire pour remettre tout cela en état ! Son regard passe d'un endroit à l'autre, repère déjà les failles potentielles, imaginant déjà les défenses à mettre en place, remarquant les endroits les plus vulnérables.

Monter de Mende vers le col sur lequel est perché le Castel n'a pas été une mince affaire, mais cela lui a permis de voir pas mal de choses, notamment les alentours, les endroits où le baron pourrait être attendu, là où des embuscades pourraient être tendues contre les gens de la maisonnée. En gros, vu que le baron lui a parlé de la sécurité, il a réfléchit à ce qu'il faudrait mettre en place si c'était son campement, ou son clan qu'il fallait protéger. Le soleil est déjà bien haut lorsqu'il arrive, et il n'est toujours pas à son aise, limite qu'il trouve qu'il est encore trop tôt, alors qu'il se présente près des grilles, manquant de bousculer sa brune.


Bonjour Amour.

Il lui sourit, et observe les lieux, les bâtiments ne sont pas de prime jeunesse, là aussi, il va y en avoir du boulot !

Heu, dis-moi, on pourra partir avant que tout soit en état hein ? Nan parce que là, il y en a pour des années, et au bas mot pour quinze à vingt mille écus, rien que pour le castel.

Il lui montre le mur d'enceinte.


Regarde, il va falloir le reprendre, il y a des failles là. Ce serait un jeu d'enfant de déplacer les pierres, discrètement et d'entrer dans la forteresse. Et je te parle pas du reste que j'ai vu en venant... Pas pour dire, mais il va avoir de quoi s'occuper l'baron !

Il se retourne en voyant la petite donzelle, et esquisse un sourire.

Oui oui, il y a du monde par ici. Gaffe, il y a au moins quinze arbalètes qui visent votre tête !

Et le Gaucher part d'un grand éclat de rire.

Mouais, ou pas hein...

Pas pour dire, mais il espère quand même qu'il n'y aura pas que des bonnes femmes dans le castel.
Sinon44
Ayant entendu parlé depuis quelque temps d'un restauration d'un Castel. L'idée qui pourrait aider ne lui vient pas.
Cependant après les différente péripétie qu'il lui est arrivé depuis peu, peut être serait-il temps pour lui de ce changer les idées.
Une invitation de Louis et Rxy lui parvient à l'oreille. Il décida d'aller y faire un tour
Après avoir longuement marché il se dit qu'un peu de voyage ne lui referait pas de mal.

Il regarde les différents travaux a faire, après tout, autant éviter de ce lancé dans histoire sans fin.

Pour lui, ça à l'air d'être plus que faisable, avec un peu de réutilisation de matière et de transformation d'autres, l'idée semble lui plaire.

C'est alors qu'il s'avance devant l'assemblé pour leur confirmer qu'il prend part au travaux.
Bentich
La discussion ne traînât pas et immédiatement Ryx s'empressa de tester la solidité des portes des boxes. Le bois malgré l'ancienneté et l'humidité avait tenu le coup. Il est vrai que le lieu baignait sous le soleil du Velay.

Tout à coup Ryx demanda une pause, pour descendre au village.


Heu oui si tu veux mais..........

Il n'eut pas le temps de lui poser la question et elle ne parti pas comme demande, en effet la ronde des travailleurs commençait, ce qui rendit le Baron d’excellente humeur. Vany et Louis arrivèrent presqu'en même temps.

L'ancien maire pris des déjà les choses en main pour donner un coup de main à sa moitié, qui il est vrai ne savait plus ou mettre la tête tellement Ben lui en demandait. Il laissa quelques minutes le couple discuter et s'adressa a Vany


Bonjour à toi, et heureux que tu sois venu. Donc comme tu vois c'st énorme et il y a du boulot. Alors comme tu es dans les premières dis moi ce qui te tente, personnel, de maison, t'occuper du jardin, enfin ce qu'il en reste pour les moments, t’occuper des chevaux, enfin eux ne sont pas encore la, ou peut être a tu des dons de cuisinières. enfin voila tu as le choix.

Il remarqua que le couple avait fini et s'adressa à Louis. Donc comme je te l'ai dit, la sécurité ça te connais, et vu ton passé, je suis sur que tu as déjà remarqué les failles ce cet endroit, même si il est haut perché je suis sur que dans l’état actuel il est une cible idéale.

Et a ton avis le budget pour tout remettre à neuf.


A peine la question posée qu'une troisième personne arriva. Le Medicastre reconnu Sinon.

Bonjour à vous le voyage n'a pas été trop long ??? Question rituelle, dans qu'elle partie vous sentez vous en force
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Le_g.
Entendant le baron, il se tourne vers lui et s'incline, se taisant pour l'écouter, hochant la tête par moment, esquissant un sourire en coin à d'autres. Le Gaucher regarde la montagne autour, et ne peut qu'acquiescer, le castel est fragile, malgré sa position. En l'état, il ne tiendrait pas longtemps, et un homme seul pourrait venir de nuit et le vider, 'fin pas tout à fait, il faudrait des bras pour tout porter, mais pas pour se battre, des gamins du village pourraient tout aussi bien prendre le castel, même âgés de 12 ans... ou pas. Encore faudrait-il qu'ils en aient l'idée quoi.

Bonjour Baron.

Louis montre la route par laquelle il est arrivé, et un peu vers l'ouest un sentier qu'il a repéré un peu plus loin.

Et pour les failles, oui, Senher, il y en a, et pas qu'une si je puis me permettre.

Senher, je ne suis pas certain que votre Castel n'aie pas été utilisé il y a quelques temps. Sans doute pas cette année, mais voyez ce sentier qui remonte par là... On le devine à peine, quelques fougères ont poussées, mais il est bien là.


Je dirais que l'urgent est de mettre des portes sur les bâtiments, des toits qui ne fuient pas, ensuite de s'occuper du mur d'enceinte. J'estime au bas mot à quinze mille écus les travaux. Il faut compter qu'il faudra faire venir les matériaux, par une route escarpée, et qu'il faudra protéger les convois.

Mettant sa main pour protéger ses yeux, regardant les alentours, il sourit.

Jolie vue, et gros potentiel. Vu la position, avec quelques travaux, il sera imprenable, si tant est que vous ayez des greniers suffisants.
Je me suis permis d'inviter Sinon. Il est boulanger, donc pourra fournir le pain à vos gens, Senher, et puis il sait déjà se débrouiller avec un arc. Il pourrait devenir membre de votre garde, si vous le souhaitez.


De nouveau, il regarde autour, et laissant les autres gérer le reste, va près du mur d'enceinte, frôle les pierres de sa main. Quelque chose lui parle, lui dit que ce castel, il n'a pas été inoccupé depuis si longtemps. Remarquant alors quelque chose, il tire vers lui une pierre, et esquisse un sourire, lorsqu'elle vient sans même forcer.

Va falloir songer à vraiment renforcer...
Ryxende
euh .. elle a pas attendu ? ah ? z'êtes sur ? ah ? euh ... c'est possible, après tout . faut dire que là .. c'est la panique ! au fur et à mesure qu'elle détale, le chiffre, dans sa tête, augmente dangereusement . 20 000 ? 30 000 ? 40 000 ? 50 000 ??? mais ça fait combien tout ça ????? si seulement elle le savait !! et que fait une lorraine en panique ? ben elle galope, plus vite qu'un cheval . file, plus vite que le vent . et .... manque se prendre un grand brun de plein fouet !! légère déviation sur la droite pour éviter l'importun qui l'empêche de fuir en paix et le chemin qui descend se présente à elle ... elle court, elle court, elle cou ... ah non . elle ralenti , s'arrête .. se retourne et ... repart en courant dans l'autre sens . l'importun, c'est son ange ! celui qu'elle était partie cherché en courant . elle s'accroche à lui, le souffle court, tentant de reprendre son souffle pour sortir une phrase compréhensible .

au ... au .. sec ... ours ! y .. y ... m'par... le ... écus !

et le regarde suppliant et paniqué qui va avec . elle est nulle dans les chiffres ! mais alors, nulle, que ça en est affligeant ! elle hoche la tête, c'est tout ce qu'elle peut faire . oui, oui, ça dette sera payé bien vite, à ce tarif là . arrfff !! même les mots s'y mettent pour parler monnaies sonnantes et trébuchantes ! mais c'est l'intention qui compte . bon, ça veut rien dire mais je rappelle, qui en est encore à reprendre son souffle, alors ... on s'en fiche de si ça veut dire quelque chose, ou pas . et tadddaaammmmm !!! elle l'avait pas dit, que c'était lui, le roi des chiffres ?! hein ?! elle l'avait pas dit ?! un peu, qu'si !!! la preuve en parole angesque . il arrive et direct il parle d'un montant ! il est trop fort ! c'est aussi pour ça, qu'elle l'aime ! elle lui volerait bien un baiser,là . mais elle se tient encore la poitrine et respire fortement .

mais ça l'empêche pas de suivre du regard tout ce qu'il lui montre . bon, c'est décidé ! elle veut pas être chef de tout ! c'est inhumain ! non, elle va se contenter de l'intérieur . elle s’apprête même à le dire, lentement, son souffle encore légèrement fort, quand ...

aaahhh son aide de camp !!! oui oui oui !!! viendez ! viendez ! et pour bien faire voir qu'il faut viendez , elle lève la main et lui fait signe de viendez ! c'est que ça s'improvise pas , le viendage ! c'est tout un art que la lorraine manie à sa manière . le temps lorrain est toujours autre .. allez comprendre ... marrant quand même, comme la jeune femme semble bien la comprendre . surement une connexion de mouvements de bras . elles sont en phase de mouvements . la toute petite brune en remercierait presque le ciel, sauf qu'elle peut pas parce que l'église, ben , elle s'ouvre pas !! parce que le curé dort chez ses confrère et que la curette, ben elle veut pas sans qu'on la paie !! un monde ça ! bref, revenons à notre toute petite brune en phase avec Vany . donc, logiquement, la lorraine n'aura qu'à faire des signes et son aide comprendra tout, tout de suite ! la vache, comme elle va l'aimer, elle !! elle va te la chouchouter ! pas comme l'évaporée qui semble s'être évaporée, justement . comme quoi, tout s'recoupe !

et elle en est à finir d'être essoufflée, et oui, toutes les bonnes choses ont une fin, quand .. une haute silhouette se dessine sur le chemin . les yeux de jais se plissent . elle connait . elle en est sure , elle connait cette silhouette . mais c'est qui ??? et vas y qu'il prend son temps ... pppffff !!! d'accord, la cote est rude, mais c'est pas une raison . pourrait se dépêcher, qu'elle sache qui c'est , quand même !et un sourire se dessine sur ses lèvres . ça y est , elle le reconnait . c'est son ami ... Sinon ! elle l'accueillerait bien avec effusion mais ... l'histoire des écus lui a un peu coupée les pattes, voyez ?! d'ailleurs, elle lève le nez vers son ange, l'air de demander : "tu m'prends sur ton dos, pour rentrer ?"

mais, sournoisement, parce qu'elle l'a pas vu la suivre, ni arriver, donc, c'est forcément sournoisement, le chef ect est déjà en train de parler . là, c'est pas grave !! parce que celui qui va pouvoir la sortir de cette situation, ou certes elle s'est mise seule mais pour une bonne raison (forcément qu'elle est bonne, puisqu'elle vient d'elle), est là ! et le médicaste ect.. s'y trompe pas ! direct c'est à lui qu'il s'adresse en parlant écus ! aahhh que c'est beau quend c'est pas à elle, qu'on parle de ça !! que c'est beau !! elle les regarde presque admirative, tiens !

petite parole de bienvenu à Sinon et .... euh ... il va la porter, hein ?! il va le faire ?! sinon, elle sera bien obligé de grimper par ses propres moyens, sur le dos . de souvenir de lorraine, elle l'a déjà fait, un soir de kidna... euh .. de .. demande de nourriture ! oui oui oui ! bon, le grand brun était partie avec une très jeune femme sur l'épaule, une autre était partie avec de la nourriture de partout, et la lorraine avec toute une réserve de liquide buvable . bref ... elle devrait arriver à retrouver ses marques pour grimper sur un dos !

mais non, il parle logistique ou elle sait pas quoi . euh .. logistique, ça veut dire quoi, en fait ? bon, pas grave, elle écoute, écoute .. hoche tout plein ... hein, qu'il est bien, son ange , hein ?! bon ben ... c'est pas tout ça mais ... elle observe le large dos ... d'un coup d'oeil, fait comme lui avec la montagne , elle avise les prise pour les mains, et les pieds . mollets, hanches, épaules ... hhmmm .. ça devrait le faire . je m'en vais te renforcer ta défense arrière, moi ....
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Vanyuki
Vany qui s'efforçait de se faire remarquer par les deux individus se fit surprendre par Louis. Alors qu'elle sursauta, il lui dit quelque chose comme « Gaffe, il y a au moins quinze arbalètes qui visent votre tête ». Elle regarda autour d'elle et ne vit personne d'autre puis se retourna vers l'homme qui riait à gorge déployée. Son cœur battait la chamade, elle ne se laisse jamais surprendre d'habitude, et une fois son esprit remit elle comprit que ce n'était qu'une blague... quelle bécasse... tu ne comprendras jamais rien à l'humour toi !

Alors que Louis franchi la Baronnie avec une grande assurance, un nouvel homme fit son apparition. Vany reconnu Sinon qui inspectait les lieux sans même se rendre compte de sa présence. Puis Bentich vint à notre rencontre, cela faisait beaucoup de monde tout d'un coup alors qu'elle se croyait seule. La jeune femme sourit chaleureusement, comme à son habitude, à Bentich et lorsqu'il lui demanda se qui la tentait, elle se voyait déjà en extérieur à s'occuper du jardin. Bien qu'il y ait beaucoup de travail pour redonner une vie à ce lieu, elle se voyait mal derrière les fourneaux, dans une cuisine, elle qui déteste être enfermée.


Et bien, c'est pas que j'aime pas la cuisine mais j'préfère être dehors en faite ! J'ai un peu la main verte et j'adore redonner un coup de fouet au paysage. J'pourrais aussi aider dans les champs parce qu'avec toute cette mauvaise herbe vous en ferrez rien hein ! Par contre, je tiens pas particulièrement a m'occuper de chevaux, j'crois qu'on a du mal à communiquer ces bêtes la et moi !

Vany inspecta les alentours plus sérieusement de ces petits yeux en amandes en attendant la réponse de Bentich.
Bentich
Le Baron écouta avec attention les différentes personnes présentes. Et ce qu'il entendit lui plut. Non pas qu'il aimait dépenser bêtement l'argent, mais voila la sécurité était importante, et remettre ce capharnaüm en état devenait une priorité à ses yeux.

Bon Louis et Sinon, vous avez carte blanche, pour me rendre ce lieu plus sécurisé que le château du Roy. Puis avec quelques secondes de réflexion. J'ai comme l'impression Louis que tu pense comme moi, que ces lieux on eut des habitants il n'y a pas longtemps. Un repère de brigand à ton avis ???

Puis se tournant vers Ryx et Vany.

Vu que notre chère Vany à la main verte, d'après ses dires, si vous pouviez faire un petit état des lieux et voir ce qu'il y a lieu de faire, et surtout avec quoi et comment.

Puis sortant de sa besace deux énorme bourses remplies d’écus.

Louis voici 5000 écus, pour commencer, je te fais confiance pour voir ce qu'il faut comme matériel et personnel.

Ryx et Vany voici la même somme, je suis sur que vous vous en sortirez toutes les deux sans aucuns problèmes. En passant Ryx tu sais voir si par hasard notre blondinette s'en sort bien. Moi pendant ce temps je vais m'occuper des écuries et vérifier l’état de tout les box.

Des questions ???

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Le_g.
L'ancien brigand attrape la bourse tendue par le Baron et le regarde, aussi surpris qu'interloqué ou ce que vous voulez. La confiance du baron le surprend, et avouez qu'il y a de quoi, quand on sait qu'il y a quelques mois, les mêmes hommes s'étaient rencontrés et que le Senher avait viré du Languedoc, manu militari le troubadour.

Le Gaucher hoche la tête.


Oui, Senher, je ferai mon possible. Pour le repère, je pense bien oui, et il va nous falloir un tour de garde, si vous me permettez, parce que s'ils ont oublié des choses, ou qu'ils les ont laissées, nul doute qu'ils vont venir les chercher avant la fin des travaux, et si j'étais eux, je patienterai la nuit.

Il fait mine de rien, se tournant, dos à la montagne, regardant le Baron.

Un peu plus haut, sur la droite quand vous êtes face à moi... Il manque quelques arbres, comme une clairière en plein milieu. Pas logique dans cette masse sombre, Senher. On nous observe, et on voit combien nous sommes. Sauf votre respect, il va falloir ouvrir l'oeil et le bon, et se regrouper dans les mêmes pièces pour le moment la nuit, tant que les lieux ne sont pas sécurisés. Je tiens pas à ce que l'un de nous se fasse tuer.

Le sourire en coin, une lueur étrange dans le regard.

Et j'avoue que faire les travaux aux frais de ceux qui ont utilisé les lieux serait marrant.

Mouais, la situation ne manque pas de piquant. Avouez quand même que de le voir bosser pour le Boucher du Languedoc, ça a quelque chose de détonnant. Pour Le Gaucher, il n'aurait pas pu tomber plus bas, mais il regarde sa belle. Quand on est au plus bas, on ne peut que remonter, non ?
Ryxende
aahh ben voilà, Vany préfère être dehors ! ça l'arrange bien, ça . la blonde dedans, Vany, dehors . oui, oui, oui ! voilà, une équipe qui marche du tonnerre .pis, Vany, elle, elle a pas l'air évaporée, ni accroc au sucreries . c'est pas elle qui proposerait une gâterie au baron ect ... elle a l'air d'avoir la tête sur les épaules et du courage à revendre ! bien bien bien ! du courage, il va lui en falloir .

et hop, une énorme bourse d'écus se retrouvant dans les toutes petites mains de la lorraine . c'est lourd, n'empêche ! pis, elle en a jamais vu autant d'un coup . même par petits bouts, d'ailleurs. la vache ... avec ça, elle va pouvoir refaire toute la déco . intérieure ET extérieure ! comment ça, elle a aucun notion de l'argent ?! comment ça ?! ben on a jamais dit le contraire, hein ?! jamais ! bien au contraire, même ! alors hein ?! laissez lui croire qu'elle peut refaire le monde avec 5000 écus ! elle regarde la bourse dans les mains de son ange .. la soupèse du regard .. pourquoi elle est sure et certaine qu'il en a plus qu'elle ? hein ?! pourquoi ? elle est en train de monter un piège, dans sa tête, pour vérifier et, le cas échéant, contre balancer la donne . et tout ça, durant la petite conversation qu'ils ont entre hommes . son homme se déplace, les yeux de jais suivent le mouvement, braqués sur la bourse . et au moment où elle se dit qu'elle va pouvoir agir, oups, des yeux ambrés se pose sur elle . oups, grand sourire . mais alors ... grannnnd sourire . le sourire que tu le vois, tu peux pas penser qu'elle avait des idées derrière la tête . ou dans la tête, même .

bon, pas tout ça, mais le chef ect .. a donné des ordres . faut mettre Vany au travail et surveiller la blonde . elle attrape Vany par le bras et l'entraine à l'intérieur des murs . la visite se passe de commentaire . c'est pas un parc, c'est la jungle birmane !! voir amazonienne !! bref, Vany doit se rendre compte, seule de l'étendue des dégâts . elle va laisser le médicaste ect ... inspecter les écuries . elle lui a déjà prouvé que les portes tenaient bons, le reste .. ça ne la regaaaaarde pas ! les yeux de jais se tournent vers Vany et observent sa réaction . mais se place entre elle, et la grille de sortie . dès fois qu'il lui vienne l'idée de s'enfuir en courant en voyant l'étendu de travail à faire . et comme elle sait pas, encore, où peuvent bien se trouver les outils nécessaires ...

bon, j'te fais confiance, tu commences à déblayer l'terrain, pendant qu'j'vais voir c'que m'a fait Eleanor

comment laisser en plan Vany ? ben regardez la toute petite brune ! même pas qu'elle lui a laissé le temps de réagir, qu'elle trottine déjà vers la porte du domaine !! trop forte, elle !! et VLAN , la porte ouverte d'un coup d'pied !! et pourquoi d'un coup de pied, me direz vous ?! ben pour surprendre la blonde , tiens ! mais ... le baron ne va t il pas en prendre ombrage ? bonne question . et la réponse est : même pas qu'il peut l'savoir parce qu'il est aux écuriiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesss ! machiavélique, la lorraine, oui oui oui ! mais de blonde ... point en vue !! oups làààààà !!! la lorraine en mode recherche d'évaporée ! ça va faire mal !!!
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Vanyuki
Dès que la bourse de Bentich fut donnée à Ryxende, ni une ni deux, la brune lui choppa le bras et l’entraîna à l'intérieur du château... enfin, ce qui ressemblait à un château. A l'intérieur, tout était sombre et en fouillis, Les vitraux tellement sales refusait de laisser entrer un brin de lumière. Vany plissa les yeux et prit conscience que le travail à faire allait être énorme ! Elle n'imaginait pas que l'intérieur pouvait être à l'image de l'extérieur. Elle n'eut pas plus de temps pour examiner les lieux puisque Ryxende l'a prit à nouveau par le bras et les deux femmes retournèrent à l'extérieur. Vany ne savait pas quoi dire, par quoi commencer au milieu d'un bazar pareil ? M'enfin, en même temps, elle n'avait rien à dire, ou plutôt elle n'avait rien le temps de dire. Ryxende lui dit qu'elle lui faisait confiance pour commencer de déblayer le terrain et qu'elle irait voir une certaine Eleonor. Huuuum... La « blonde » ou « blondinette » comme elle avait entendue, s’appelait donc Eleonor... Elle n'avait pourtant vu personne d'autre à l’intérieur. Elle hocha la tête à Ryxende en signe d'accord et la Lorraine se remit en marche, ou plutôt en course, vers le château.

Vany commençait à se demander ce qu'elle était vraiment venue faire ici... Ils n'étaient que 4 ou 5 à tout casser... combien de temps leur faudrait il pour remette tout ça sur pied ?! Elle jeta un coup autour d'elle, au milieu des hautes herbes, puis vers le chemin duquel elle était arrivée. Personne d'autre n'était là. Pourquoi pas s'en aller temps qu'il en était encore temps ? Pis après tout, le but était de se faire des amis et de s'intégrer au village... alors on remonte ses manches et on s'met au travail ! Comme tout le monde ! Comme à son habitude, la jeune fille se parla à elle même, peut-être pour se donner du courage :


Bon, par quoi commencer ? C'est tellement grand ici. J'vais d'jà faire un tour pour voir l'étendue des dégâts, pis on verra sur l'tas !

Vany commença à marcher à tâtons dans les hautes herbes. Elle savait qu'un tas de bestioles en tout genre logeait dans les coins comme ça. Elle en avait vu chez elle ! En passant son enfance dans les champs, prés et autres terrains sauvages elle en avait vu des vertes et des pas mûres comme disait son père. D'ailleurs, c'était son père qui lui avait appris à chopper les serpents comme les vrais hommes ! Parce qu'une fois, y a un serpent qu'avait bien faillit la tuer la jeunette ! Mais on dirait pas comme ça, avec son petit physique de minette, mais elle est forte la Vany ! Heureusement, une vieille branche cassée était dissimulée dans les herbes mais les petits yeux félins de Vany l'avait tout de suite vu. Elle s'en servi de bâton pour faire fuir d'éventuelle menace devant elle. Une faucille n'aurait pas été de refus, au pire une serpette, mais bon... Apparemment y avait rien de tel ici ! Ça va pas être facile hein ! Elle va quand même pas couper toutes ces herbes à la main nan ? Elle attends quoi au juste Ryxende ? Vany continua de marcher prudemment quand soudain elle se cogna le pied contre une sorte de pierre... non, en faite, plusieurs pierres ! Elle se baissa et remarqua que les pierres formaient une sorte de ligne. Voilà qui était sûrement une démarcation de... ben en faite on sait pas trop, les herbes surplombaient tout alors difficile de dire c'que c'était au final. En tout cas, ça devait ressembler à un mur à l'époque parce que vu le tas de débris qu'il y avait, interdiction de faire quoi que ce soit tant que les pierres étaient pas déblayé autre part ! Y en avait de paaaaaartout ! Plus on avance, plus on se tord les pieds contre des bouts de pierres, cailloux, et autre truc dur !

Bon, ben v'là où y va falloir commencer hein !

Elle prit une pierre puis la rapprocha du « mur », du moins ce qu'il en restait... puis recommença l'opération encore et encore dans l'espoir de faire un peu de place pour la seconde étape !
Sinon44
Bonjour tout le monde

Sinon, venant de remarquez l'absence de politesse, essaye de corriger le tire

Alors, comme la dit Louis je peux être utile a l'arc. Enfin, je peux être utile a beaucoup de chose, tant que cela reste manuel.


Par rapport aux dit de Louis

Louis, je me permet de te suggérer, étant donner que nous connaissons peut les lieux, il serait peut être préférable de faire garder la pièce ou l'on dort. Au moins pour le début.
Cela ne m'étonnerais pas que les personnes aillant déjà visité le lieu le connaisse mieux que nous. Et, dans ce cas, je ne donne pas chère de notre peau en cas d'attaque.
Es ce que mes craintes sont fondées ?


Attendit la réponse de Louis.
--Eleanor
La brune avait parlé, il fallait l’écouter car franchement, elle n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds ! La blonde elle, essayait de bien assimiler ce que lui disait l’Intendante. Oulala, il y avait tant de choses !
Comment pouvait-elle retenir tout ça ? Ou alors, il lui fallait du temps ! Beauuuucoup de temps ! Les tapis ? D’accord d’accord ! Voilà qu’elle essaye de les décrocher, manquant de mourir étouffée sous un de ces derniers. La poussière la recouvre presque, elle tousse encore et encore !
Elle les tira lourdement à l’extérieur, les adossa à une rambarde quand soudain elle se rendit compte qu’elle n’avait rien pour les battre. Ses épaules tombèrent, elle souffla. Elle aurait bien aimé voir Ryxende à l’œuvre avant de s’y mettre ! Elle se gratte la tête, un balai !
Oui, elle avait vu un balai dans l’entrée. Elle y courra, en prenant soin de bien relever sa robe. Manquerait plus qu’elle tombe la blonde. Elle choppe le balais, retourne au tapis et voilà qu’elle se défoule dessus ! Que de poussière ! Elle tape, encore et encore ! Ça a l’impression de pas s’arrêter ! Et pourtant, y’en a encore un sacré stock dans les pièces du château ! Elle n’aura jamais terminé !
C’est presque de l’esclavagisme ! Elle fronce les sourcils en pensant à la brune se demandant si elle pouvait lui en vouloir de quelque chose. Puis soulagée, elle se rendit vite compte qu’elle était beaucoup trop gentille pour être victime de quolibets !

La pétillante se remit au travail, sueur au front. Elle n’en avait pas fini avec ces tapis ! Et voilà qu’elle ronchonnait. Pourquoi moi, qu'est-ce que je suis venue faire ici, pourquoi on m'a laissée toute seule, pourquoi qu'elle a fuit la brune. Pourquoi qu'elle peut pas faire encore de gâteaux. Quand est-ce qu'elle aurait terminé avec ces foutus tapis ? Oh un papillon... Elle détourne la tête mais quelques secondes seulement, et la POUF ! Il semblerait qu'elle avait déjà terminé les tapisseries !

Et elle avait dit quoi déjà la Cheffe ? Les POUSSIÈRES ? Mais y'en avait partout des poussières ! Comment elle allait s'en sortir ? Bon, elle avait entendu un truc sur les murs, elle attrapa son balais et commença à les frotter en faisant bien attention de ne pas laisser de sales traces. La bavarde était bien silencieuse, mais il n'y avait point de compagnie à qui s'adresser !
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