Absynthe
Absynthe était partie un long moment se recueillir chez les surs, presque un mois à vrais dire. Les surs avaient été agréables et accueillantes, et sa cellule plutôt confortable. Absinthe était allée à toute les messes et avait aidé au verger. En même temps il n'y avait que ça à faire. Vivre dans un tel extrême des vertus était sans doute une bénédiction pour le salut de l'âme, mais elle n'était pas mécontente de partir.
Absynthe pétillante et joyeuse de nature, voir souvent trop agité, rêvait de danser et de chanter. De voir du monde et de rire en taverne. Et il y avait bien un autre vide inexplicable. Mais quoi donc ?.... Son Ben bien-sur ... Il lui tardait de se blottir dans les bras de son baron.
La jolie jeune fille avait accroché un ruban à ses cheveux tressé pour être belle pour son retour. Puis elle replaça la médaille que Bentich lui avait offert en gage de confiance sur son corsage blanc. enfin, avant de sortir, elle remis à son doigt sa bague de fiançailles qu'elle avait mis à labri pour travailler avec les surs. Saluant et remerciant ses hôte, elle pris le chemin du domaine de Saint Didier en Velay.
Admirant le soleil dans les feuilles des arbres, elle butinait tel un papillon blanc entre les fleures pour faire un beau bouquet. Ha qu'il était bon de n'en faire qu'à sa tête à nouveau. Sautillant et dansant dans la campagne du Velay, la belle chantait.
Y'a bien 10 filles à marier, laissons les rubans voler,
Y'a bien 10 filles à marier, laissons les rubans voler,
Laissons les rubans qui vont qui viennent, laissons les rubans voler...
Laissons les rubans qui vont qui viennent, laissons les rubans voler...
Y'a bien 9 filles à marier.......
Le soleil était déjà haut dans le ciel alors qu'elle était partie après la première messe et le petit déjeuné. ha que le temps libre passait vite ! Le château était apparu dans son horizon et devenait de plus en plus présent. Elle avait passé les premiers champs et salué des paysans, et elle percevait maintenant nettement que la demeure était habitée de toute une foule de gens. Elle qui avait laissé les lieux vides et délabrée, la voilà agréablement surprise par toute cette vie. Surprise, mais aussi un peu perdu. Jusqu'à se demander si elle ne s'était pas trompé d'endroit. Les bras chargés de fleures, elle cherchait désespérément le Maitre de lieu...
Bentich ?.... êtes vous là mon tendre baron ?
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Absynthe pétillante et joyeuse de nature, voir souvent trop agité, rêvait de danser et de chanter. De voir du monde et de rire en taverne. Et il y avait bien un autre vide inexplicable. Mais quoi donc ?.... Son Ben bien-sur ... Il lui tardait de se blottir dans les bras de son baron.
La jolie jeune fille avait accroché un ruban à ses cheveux tressé pour être belle pour son retour. Puis elle replaça la médaille que Bentich lui avait offert en gage de confiance sur son corsage blanc. enfin, avant de sortir, elle remis à son doigt sa bague de fiançailles qu'elle avait mis à labri pour travailler avec les surs. Saluant et remerciant ses hôte, elle pris le chemin du domaine de Saint Didier en Velay.
Admirant le soleil dans les feuilles des arbres, elle butinait tel un papillon blanc entre les fleures pour faire un beau bouquet. Ha qu'il était bon de n'en faire qu'à sa tête à nouveau. Sautillant et dansant dans la campagne du Velay, la belle chantait.
Y'a bien 10 filles à marier, laissons les rubans voler,
Y'a bien 10 filles à marier, laissons les rubans voler,
Laissons les rubans qui vont qui viennent, laissons les rubans voler...
Laissons les rubans qui vont qui viennent, laissons les rubans voler...
Y'a bien 9 filles à marier.......
Le soleil était déjà haut dans le ciel alors qu'elle était partie après la première messe et le petit déjeuné. ha que le temps libre passait vite ! Le château était apparu dans son horizon et devenait de plus en plus présent. Elle avait passé les premiers champs et salué des paysans, et elle percevait maintenant nettement que la demeure était habitée de toute une foule de gens. Elle qui avait laissé les lieux vides et délabrée, la voilà agréablement surprise par toute cette vie. Surprise, mais aussi un peu perdu. Jusqu'à se demander si elle ne s'était pas trompé d'endroit. Les bras chargés de fleures, elle cherchait désespérément le Maitre de lieu...
Bentich ?.... êtes vous là mon tendre baron ?
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