Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP]Saint Didier ou comment faire renaitre une ville

Roy
Après une conversation suivit d'un accord entre lui et le Baron Bentich, Roy partait tôt ce matin pour se rendre en les terres dudit baron. Il avait fait voeux, sous quelques conditions, de se joindre à sa suite en tant qu'homme de main dirons nous.
A dos de son destrier blanc, Rod'h, qu'il avait étriller et soigné pour se rendre au-devant du baron, tout comme lui même par ailleurs. Prenant le chemin de Mende il se dirigea ensuite vers l'Eglise d'où il vit la grande tour du châteaux. Souriant de la simplicité à trouver la domaine il s'y dirigea lentement, prenant garde aux forêts et autres bosquets d'arbres qu'il traversait...Il se souvenait encore de la dernière fois qu'il était allé chez un noble, Salvaire. Il s'était fait prendre en embuscade par trois morveux...
Grommelant à ce souvenir il continuait son chemin quand, enfin, il arriva aux portes du domaines.

S'engageant, il arriva dans la cours du château et voyant un gens du baron le héla.


Ola! Mon brave! Pourriez vous, je vous prie, prévenir de ma présence votre maître le Baron Bentich? Dites lui que Roy est là.

Il regarda le domestique partir après avoir hocher la tête et patienta sur son cheval en regardant l'architecture. Il soupira légèrement se demandant si il avait raison de se porter auprès d'un noble, lui qui à toujours été indépendant...

[HRP : désolé si ce n'est pas top, je ne suis pas encore un grand Rpiste^^]
Bentich
Ben s'approcha de sa douce et l'aida a se relever. Il sourit à Ryx en l'entendant émettre sa logique toute Lorraine, Mais logique tout a fait établie. en effet pour savoir ce qu'il y avait dans le livre il suffisait de l'ouvrir tout simplement.

Mon ange, si comme le dit Ryxende, nous ouvrions ce magnifique livre pour lequel tu as risquer ta vie. Nous saurons enfin ce qu'il détient comme trésor.

Se tournant vers Ryx

Laisse les livres par terre on les fera ranger plus tard....

Le couple et l'intendante s’installèrent pour découvrir le contenu du fameux livre quand un des gardes vint trouver le Baron. Il l’écouta avec attention.

Très bien faites entrer Mestre Roy, nous le recevrons ici.

Le baron regarda le garde repartir et attendit que Roy arrive en regardant vers le livre qu'Aby allait ouvrir
_________________
Roy
Quand le garde vint le chercher Roy apprit qu'il était attendu dans les appartements du baron.

Il descendit de Rod'h et tendit les rennes à un serviteur qui s'approchait et suivit le garde jusque devant le baron.

Après avoir été introduit par le garde, il s'inclina devant le baron puis devant les dames présentes, dont Absynthe, qu'il avait entre aperçu une ou deux fois
.

Bonjour Baron... Mesdames...
Absynthe
Bentich a écrit:
Il remis son épée dans son fourreaux et sans la cher la torche il se rendit vers le lieu ou avait du se passer un séisme Absynthien. Ben arriva devant la bibliothèque et le spectacle offert était assez étonnant. Une Ryxende debout devant une Absynthe avec un livre en main, un amas de livre sur le sol devant un meuble de bibliothèque en piteux état

Il entendit la fin de l’échange entre Ryx et Aby et sourit puis s'inquièta de sa douce


Mais mon amour, aurais tu été attaquée par une horde de bouquin en folie et serais tu parvenue a capturée leurs chef ????


La jeune Aby sourit au baron et rit à sa remarque pleine d'esprit.

Et bien mon tendre Baron, je croix plutôt qu'en mettant la main sur leur chef, tout une armée est venu à moi pour causer ma perte !

Regardant l'ampleur des dégât qu'elle venait de causer, elle regarda tristement Ben et d'une voix penaude. Je suis désolée.... Puis lui présentant son trophet dorée et ornementé Tu as vu comme il est beau ?.... il est à ta famille depuis longtemps ? ....

Elle tendit la main au baron pour qu'il l'aide à se relever. Un terrible mal à la cheville la fit grimacer aille !... Toujours le précieux livre serré contre elle, appuyé sur le bras de son fiancé, elle se dirigea vers la table de travail, s'y installa et posa le livre.

Visiblement Ben ne savait pas plus qu'elle ce qu'il y avait à l’intérieur. Et les voilà tout deux au-dessus d'elle à scander en cœur qu'il suffit d'ouvrir le livre pour savoir ce qu'il y a dedans. après tant d'effort, l'exercice lui semble presque trop facile. Elle scrute encore le détail de la reliure doré.


Avez vous vu comme c'est étrange ?.... je n'ai jamais vu de tels dessins sur une reliure Sur le vieux cuire vermoulu était dessiné à l'encre dorée une quantité de petits dessins alignés. Ils représentaient des profiles de serpents, de loups, d'oiseaux, d'hommes, des canes, des bols.... dans différentes positions. Sous le regard impatient du baron et de la toute petite, elle détaillait chacun des dessins. Mais aillant peur que d'exaspération, on lui arrache le livre des mains, elle se décida à l'ouvrir quand...

Roy a écrit:
Bonjour Baron... Mesdames...


Absynthe reposa les deux mains sur le livre et sourit à l'homme qui venait d'entrer.

Bonjour Mestre Roy.
_________________
Roy
Roy sourit légèrement, son arrivée était un peu abrupte.

Il toussota et repris ;


Pardon de vous dérangez a cette heure et en pleine activité, mais je viens vous voir comme prévu baron, pour que nous scellions notre...euh...contrat?

Il sourit a Absynthe comme pour s'excuser d'avoir interrompue leur moment tranquille.
Bentich
Le mystère du livre de la bibliothèque allait être résolu, mais l'arrivée de Roy stoppa net l'avancée de l'enquête et naturellement priva tout le monde de son dénouement.

Bonjour Mestre, vous ne nous dérange pas du tout, nous étions sur une enquête mystérieuse de la plus grande importance.

Mais entrez donc. Je vous présente Absynthe, ma moitié, enfin future mais on va dire que ainsi que la demoiselle près de vous, Ryxende, l'intendance de ce domaine.


Il pria Roy de se joindre à eux et de s'asseoir.

Pour votre contrat et bien nous allons en parler immédiatement, mais vu que vous êtes la, je suis sur que cela se passera très bien.
_________________
Roy
Roy hésitait encore un peu après une conversation qu'il avait eu avec son ami Salvaire. Il été venu pour s'engager mais la question militaire lui trottait dans la tête. Aussi avait il a l'instant parler à Salvaire de sceller un contrat, mais devant le fait à accomplir, il n'en été plus certain de vouloir. Inspirant un grand coup il regarda Bentich dans les yeux pour déclarer :

Sir, après une longue hésitation, et malgré ce que je viens de déclarer, à savoir, ma volonté de sceller notre "accord", je dois avouer que cela ne m'intéresse plus. Je suis venu ici pour le sceller, mais devant le fait, il ne me semble pas bon, pour mes ambitions de vous servir.
Rien n'est contre vous. Vous auriez été quelqu'un d'autre, cela aurait été pareil. Je ne suis pas homme à juger les gens par leurs actes passés. Mais, j'ai entendu de votre impossibilité à monter une armée et, pour mes ambitions, c'est a dire, défendre Mende réellement, je ne peux finalement pas rentrer à votre service.


Roy pris une pose avant de rajouter :
Je suis désolé, et sachez que ce n'est pas personnellement contre vous. Comme je vous l'ai dit je ne suis pas homme à juger.

Roy se leva et salua Bentich et Absynthe.

J'espère que cela ne changera pas notre entente cordiale, car je respecte ce que vous avez fait pour Mende à l'heure où personne n'était présent pour elle.
Bentich
Le regard de Ben passa de Aby à Roy et inversement

Très bien Mestre quitté ces lieux qui vous font horreur, mais une question depuis quand suis je dans l’impossibilité de monter une armée ??? Et ses ragots ne viendraient il pas d'une personne qui a abandonne sa ville durant deux mois ???

Mais ne vous tracassez pas, plus besoin de personne pour ces terres de Saint Didier, je m'en vais préparer mon départ de ce Comté qui pour une petite erreur fait payer à un homme toute sa vie cette erreur. Ne vous inquiété pas vous pouvez aller dire à ce Messire qu'il a gagné, et que vous pouvez travailler pour lui.

Ben sortit de la salle d'une humeur incroyable, dégoûté de tout ce qui se passait. Même après avoir été jugé, et avoir payer sa dette il fallait qu'on le lui reproche encore et encore.

Il se tourna vers Aby juste avant de sortir.


Une fois la mairie remise on fait nos valise et adieu Languedoc et sa pourriture pestiférante.

Et Messire Roy, n'oubliez pas de faire colporter la nouvelle, Bentich de Saint Didier quitte ce comté pour toujours. Et qu'on ne lui reprendra plus à servir une terre comme il l'a fait.

Il claqua la porte et parti prévenir tout le personnel qu'il pouvait renter chez lui et que cette terre reviendrait à nouveau à Dame Nature
_________________
Absynthe
Et bien en voilà bien un retournement de situation qui lui ferait presque oublier son livre si mystérieux ! Le si charmant Roy arrivait pour en faite retourner sa veste, et Ben prenait des décisions sans appelle et rentrait dans une fureur folle sans lui en expliquer la raison. Elle soupira et lança un regard à Ryx, la toute petite arriverait sans doute à lui sonner du courage. Elle n'était pas baronne, mais "c'est tous comme"... c'est ce que Louis, Roy et même Bentich lui avait répété... alors soit.... elle agirait comme tel. Prenant une respiration, elle garda une voix cristalline et enjouer comme si de rien n'était.

Ben !..... tu ne comptes tous de même pas me laisser là ?!... j'ai très mal à la cheville et tu me laisserais coincé dans la bibliothèque à ne pouvoir marcher seule.... Lui sourit tendrement, et lui jette un regard entendu et bien veillant lui indiquant de se calmer et de lui faire confiance. je t'en pris viens te rassoir au-près de moi.

Elle voyait son Baron rougir de fureur, suppliant du regard envers son aimée de ne pas lui demander une telle chose. Mais l'homme amoureux ne pouvait résister à la jeune Aby. Elle en avait bien conscience, et heureusement elle l'aimait bien trop pour lui nuire, où même le laisser prendre une décision aussi radical sur un coup de tête.

Le baron, le visage tendu, revint s’assoir au côté de sa promise, le regard foudroyant le pauvre Roy comme s'il avait été face à Salivaire lui même. Absynthe lui pris la main tendrement sous la table, un regard échangé avec sa douce sembla l'apaiser quelque peu.

S'adressant à Roy qui était déjà sur le pas de la porte.


Restez s'il vous plait... restez et assied vous avec nous. Elle lui sourit avec une extrême gentillesse dans le yeux. Elle demanda à ce qu'on leur apporte à boire ce qui fut fait... Sans un mot elle trinqua avec Roy et Bentich. puis d'un ton sans gravité, mais d'une voix assuré, elle repris.

Nous n'allons pas partir du Compté.... ni de Mende sur le champ.... nous ne partirons pas comme des voleurs que nous ne sommes pas !...
nous partirons sert, mais tous de suite, et pas comme ça... Donc reprenons....
Baron, jusqu'à ce que... quelqu'un.... Vous informe que le Baron n'était pas en position de monter une armée. Et vous avez donc changer d'avis....
Or, il se trouve, que vos sources soient erronées...

Est ce que je peux vous inciter messieurs à discuter de tous ceci, de voir quelles sont les autres choses que vous avez entendu Roy... et quelle est ton attention Ben, au sujet de la défense de Mende...



Citation:
HRP : je sais que je viole les règles du RP en faisant agir la poupée de Ben. Mais je le fais avec l'accord du joueur qui n'est pas disponible actuellement... j'enlèverais cette note quand il aura eu le temps de poster.

_________________
Roy
[HRP : pas de problème pour moi, au niveau des marionettes, je comprend qu'on ne puisse pas toujours poster facilement, HRP oblige ]

Roy qui ne s'attendait pas à tout ceci, lança un regard gêné et contrit à Absynthe. Il s'assit à sa demande et attendit que Bentich se soit calmer.


Très bien discutons alors.

C'est en effet, le blond baron, et d'autres personnes qui m'ont raconter ceci. Comme vous le savez, Mende est ma priorité, et j'avoue que si c'est vrai et que vous ne pouvez monter une armée, je ne vous servirai pas.

Cependant, je ne souhaite pas non plus que vous quittiez Mende. Vous avez beaucoup fait pour elle, et comme je vous l'ai dit, j'apprécie énormément tout cela. Etant l'un des plus vieux du village, je peux vous remercier au nom de Mende, malgré les réticences de ceux que vous devinerez.

Mais, vous dites que vous pouvez monter un armée. Si c'est le cas, prouvez le moi et nous pourrons alors discuter du contrat, si vous me voulez toujours.


Roy hocha la tête en regardant Absynthe en signe d'approbation de son comportement qu'il juge, digne d'une vraie baronne.

Il leva son verre à nouveau et but une petite gorgée avant de fixer le baron Bentich avec calme et le visage engageant pour montrer qu'il ne lui est pas hostile et enclin à débattre.
Le_g.
Et pendant que Ryx et Absynthe font la "guerre des livres", que le Baron vole à leur rescousse pour pourfendre les vils attaquants de cuir, Louis s'occupe de la porte. Raboter, poncer, couper, faire les encoches pour les rivets de bois, encastrer, et modeler, le bois entre ses mains chante sous la scie et divers outils, avant qu'il ne se mette à sculpter. Rien de bien extraordinaire, il sculpte les armoiries du baron sur la porte de bois qui viendra se positionner comme porte principale. Pour le moment posée sur des billots de bois, il sifflote tout en terminant le travail.

Lorsque c'est fini, il rejoint le Baron et les femmes, et entend Roy, qu'il a déjà pu croiser. Il s'adosse à la porte de la bibliothèque et soupire, se permettant d'intervenir.


Senher, pardonnez-moi.

Il regarde Roy.


Si je te dis que je me suis déjà retrouvé face à l'armée du Baron, tu me croiras ? Ou tu préfèreras croire celui qui dit qu'il faut pardonner, mais ne le fait pas ?

Il esquisse un sourire en coin.

Moi, j'ai une question pour toi aussi, vu que je peux te donner ma parole que le Baron est tout à fait capable de monter une armée, qu'il a les connaissances pour. Voici ma question : qu'est-ce que le Baron Salvaire a fait pour Mende depuis trois mois ? Depuis mon mandat, puis celui de Summa, et maintenant, celui du Baron Bentich... qu'est-ce que cet homme a fait pour la cité ? Du clinquant... de l’apparat... C'est sûr qu'c'est pas l'genre du Baron Bentich. Désolé, j'bosse pour lui, plus pour longtemps, mais j'ai refusé de bosser pour le Baron Salvaire, tu te poses pas la question du pourquoi ?

Oui, j'ai une dette à payer au baron Bentich, pas envers le Baron Salvaire. Ca risque pas envers Salvaire : lui, il n'a rien fait pour Mende ni pour les mendois. Critiquer, semer le trouble, ça il sait y faire. Insulter à mots couverts, rabaisser, ça il sait faire. Il a démissionné lorsque j'étais maire, et sa... j'préfère même pas dire ce que j'pense de Donà Boulga qui est cocue plus souvent qu'à son tour, elle l'a suivi. Il a démissionné lorsqu'il était au conseil Comtal... Il démissionne de partout dès que les gens ne sont pas d'accord avec lui. Faites ce que je dis, pas ce que je fais, c'est sa devise.


Il inspire profondément.

J'sais que j'suis un gueux, que j'ai pas le droit de médire d'un noble, mais lui... il a fait quoi pour le Comté ou pour la cité ? Il a fait pour lui ! Pour lui et pour lui seul. Il veut la gloire, il bosse pour ça, et pour rien d'autre. Qui a été là pour tenir Mende pendant que tout le monde était parti ?


Le Gaucher regarde Roy.

Fais ton choix, mais ne te laisse pas aveugler. Pense à ces aristotéliciens qui prônent le pardon, et ne sont pas capable de pardonner les leurs. Il m'a offert une chance, le Baron Salvaire... Oui, en espérant pouvoir me contrôler, avoir la main mise sur moi et que je lui sois redevable. Raté. Je ne lui ai pas léché les pieds. Il écoute, transforme, dit ne pas supporter que l'on trompe mais s'affiche avec sa maîtresse, donne des leçons de morale qu'il ne s'applique pas à lui-même...

J'ai prouvé que j'étais apte à tenir une mairie, sans ses conseils, sans avoir à attendre son aval. Tu cherches un noble qui pourra être là, présent, et avoir suffisamment dans les braies pour lever une armée si besoin, ou un homme de dentelles dont personnellement, j'attends toujours les preuves de son travail ?


Il esquisse un sourire amusé.

J'vais te dire... J'ai fait appel aux guetteurs une fois... Une seule fois. Il fallait deux personnes, j'ai osé penser que les membres des mesnies des nobles qui prêtent allégeance au comté auraient pu répondre présents. Etrangement, j'ai eu réponse de Donà Boulga me disant qu'elle faisait tourner son moulin, et m'informant le lendemain qu'elle faisait la même chose. Quant au blond baron, il a préféré m'insulter en me comparant à ces fots-en-cul du Conseil Comtal qui m'ont viré de l'ost après avoir récupéré mes idées d'organisation. Alors à ton avis ?

Celui que tout le monde dénigre parce qu'il a fait des erreurs ? Ou ceux qui hurlent après lui sans rien faire ?

Ceux qui ne font rien ne risquent pas de faire des erreurs... Ca, c'est certain.

Ceux qui prônent le pardon, mais sans accorder le leur... qui offrent des chances en espérant pouvoir tenir au creux de leurs mains... J'préfère encore le Senher Actarius qui m'a dit en face qu'il m'avait à l'oeil lorsque j'ai été élu maire, ou le Senher Bentich, qui me connait de longue date, vu que son armée a déjà rencontré mon groupe, que le Senher Salvaire qui a fui Mende après que Boulga ait voté Summa, et qui ne fait que médire en taverne sur ceux qui, eux, bossent pour la cité.

Tu le dis toi-même, tu as apprécié ce que le Baron a fait...


Il regarde le Baron Bentich et incline la tête.

Désolé Senher, j'ai pas pu m'empêcher. J'devrais retourner à mon boulot... Mais bon, dire que vous êtes pas capable d'monter une armée, c'vraiment dire n'importe quoi... Vous d'vez aide armée au Comté, et j'sais qu'vous pouvez monter une armée si b'soin, 'fin si l'Comté a b'soin d'une armée, vu qu'le Comte est vot'suzerain. J'pensais pas qu'votre monde était si pourri.
Roy
Roy écoutait les paroles de Louis. Il ne répondit rien. Il avait plein d'information contradictoires en tête, et son absence du à sa retraite ne lui permettait pas de trancher réellement. Aussi décida-t-il, après un hochement de tête envers Louis de regarder à nouveau le baron et d'ouvrir les mains dans un geste signifiant qu'il était prêt à négocier.

Parlons nous, baron?
Bentich
Après que sa douce soit venue le chercher, et durant les longues minutes que dura la conversation des deux amoureux. Le Baron se calma, oui il avait le sang chaud des gens du midi, oui il ne supportait pas les hypocrites, les mécréants, les voleurs, et autres vermines qui vivaient sur terre. et les paroles de Aby lui firent ouvrir les yeux sur le fait que Roy avait été abusé par un homme dont le verbe était sa plus grande force.

Il embrassa sa douce et revint avec elle dans la pièce, au moment ou Louis finissait son laïus.

Le baron se remit la ou il était et écouta Roy.


Nous pouvons toujours discuter, c'est même le mieux. la seule chose est que maintenant tu as mis le doute en moi, à cause de ragot et de parole venant d'une personne qui ne se préoccupe que de son nombril. Aby m'a expliqué que tu vais passé pas mal de temps chez les moines. Que donc tu n'as pas tout les éléments, et que tu as un caractère bon et que pour toi personne n'est mauvais au point de détruire une personne rien que par ses paroles. le seul défaut que je te reproche c'est de ne réagir qu'en entendant un seul son de cloche.

Donc si tu es toujours d'accord je suis toujours prêt a ce que tu rejoigne ma Mesnie. Si tu as des choses a demander pour éclairer ta lanterne, fait le , je n'ai absolument rien a cacher

_________________
Roy
Roy écoutait et hocher la tête. Il se dit que les questions, il les poseraient plus tard.

Il sourit au baron. J'accepte donc.

Après un instant il rajouta :

Cependant, nous avions convenus, auparavant quelques conditions comme celles-ci :
Je ne participerai pas à une levée d'arme. Je ne quitterais pas Mende pour faire la guerre.
Je peux la quitter lorrsque vous, ou votre dame, sera en voyage, et donc, pour vous escorter, ou éventuellement, remettre un message à une quelconque personne de votre choix. Pour la guerre, je me limiterai à la défense de Mende, où...à son attaque si d'éventuels brigands l'auront prise.

Voila, c'était ce dont nous avions parlé. Si vous êtes d'accord, peut être pourrions nous l'écrire?


Il lui sourit, engageant.
Rostang.
"- L'humour, le rire et le sourire sont les politesses de l'espoir, mon fils, et souviens toi toujours que l'amour nous lave de toute désespérance."

Les propos éclairés de sa mère lui revenaient souvent à l'esprit. D'elle, il avait acquis sa bonhomie cordiale, de son père...
Son père voyait en sa fille un trésor, en ses deux fils ainés une fièrté, et en lui une erreur.
Pour faire un cygne d'un canard il n'avait pas trouvé mieux que l'éducation à la dure : rebuffades, humiliations, et les coups.
A dix sept ans le jeune homme avait préféré partir, renonçant à tout et tous.
Il avait vécu au gré du travail qu'on lui donnait, ne rechignant devant aucune tache.
Aussi quand on lui avait demandé de réparer une bibliothèque, il n'avait su refuser.
La main en écharpe, sa sacoche à outils sous le bras, et la vaillance de ses 24 ans vrillée aux tripes, il traversa l'arrière cour où s'activaient les domestiques.
Il se saisit du heurtoir de la porte de service et attendit qu'on lui ouvrit
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)