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[RP]Saint Didier ou comment faire renaitre une ville

Le_g.
Le Gaucher était toujours là, et il va ouvrir la porte.

Bonjorn Rostang. Je suppose que c'est pour voir le baron, je vais le prévenir.

Il l'invite à entrer et va prévenir le Baron, passe par la cuisine avant de revenir vers le visiteur.

Il termine un entretien, et il arrive. Un godet en attendant ?

Et joignant le geste à la parole, faisant vraiment comme chez lui, il lui en tend un.

Dis, il y aurait sans doute une place à prendre... la mienne, je vais m'absenter quelques temps, et il faudrait veiller sur le baron et sa douce. Intéressé ? Je doute que Sinon veuille quitter Mende. J'sais que Donà Absynthe en a d'jà parlé... mais chef d'la sécurité du Castel du Baron, la place est à prendre.
Absynthe
...je... Livre... tu...Livre...il....Livre...nous... Livres...vous ...Livres...Elles...Livres....


Et oui justement, si nous revenions à ce fameux livres !
Livre !.. ho Livre !.. Ho précieux Livre !.... Pour lui, elle avait escaladé la bibliothèque, pour lui elle s'était tordue la cheville en tombant, pour lui ... non rien d'autre pour le moment. Quoi que... ha si je sais, pour lui elle avait démoli un bon pan de la bibliothèque.

Absynthe savait bien que l'habit ne faisait pas le moine. Pourtant la richesse de la reliure dorée de cet ouvrage l'avait attirée comme une pie voleuse. Hypnotisée par cette beauté elle avait été fort imprudente. Mais qu'importe, puis qu'elle tenait le précieux fruit de sa curiosité entre ses mains. Jamais Aby ne penserait que c'est à cause du livre que la bibliothèque est miette et sa cheville blessée.

Quoi qu'il en soit, quand elle avait voulu l'ouvrir, Roy entra et la pièce. Puis quand elle voulu l'ouvrir à nouveau, la fameuse pièce s'emplit de rage et de cris. Mais quand elle détourna l'attention de son trophée, les choses c'étaient calmées. Puis était venu le moment du repas, puis Ben avait soigné la fameuse cheville, puis heureux de se retrouver seuls le baron et sa promise allèrent se coucher.

la jeune ingénue dormait à point fermée quand Morphée la glissa dans le monde des rêves. Des montagnes de livres volaient lentement au-tour d'elle dans un vide infini. Il n'y avait rien que des livres volant à perte de vu en haut, en bas, à droite à gauche, devant, derrière.... Absynthe avançait tant bien que mal sur les livres volant Quand se profila devant elle un énorme livre doré inatteignable....
Mon Livre !s'écria la demoiselle en se réveillant en sursaut. comment avait elle pu l'oublier ?

Elle se leva doucement, par la fenêtre, on pouvait apercevoir un beau croissant lune entourée d'étoile et parsemé de fins nuages. Elle enfin la robe de chambre en lin qui était assortit à sa chemise de nuit, puis elle alluma une bougie et se rendit dans la bibliothèque. Il était toujours là, il l'attendait...Absynthe s'assit et contempla à nouveau la couverture. Sur le vieux cuire vermoulu était dessiné à l'encre dorée une quantité de petits dessins alignés. Ils représentaient des profiles de serpents, de loups, d'oiseaux, d'hommes, des canes, des bols.... dans différentes positions.

Tous doucement, elle ouvrit...enfin.... ce fameux livre. Et là stupeur !... il était plein de ses mêmes dessins. Elle le feuilleta doucement, de la première à la dernière page, il n'y avait aucune écriture qu'elle connaissait.... juste ces dessins étranges et répétitifs. Elle resta un bon moment à le contempler avant de retourner se coucher sans y avoir rien compris. Elle le montrerait surement à Ben dès son réveil...




Et pour ranger tous les livres ?......


Les jours étaient passé sans qu'elle n'ai pu résoudre un cheveu de son énigme littéraire. Et pendant ce temps, tous les pauvres livres étaient restés au sol, pauvre victime du combat qu'avait mené la jeune femme pour attraper le fameux livre.

Absynthe avait fait la connaissance d'un jeune homme vagabond d'une extrême bonté et qui semblait avoir l'esprit vif. Elle avait nourrit immédiatement pour lui une sincère sympathie et lui avait proposer de venir au domaine pour du travail. Il y avait d'un côté une pauvre bibliothèque dans un triste état, et de l'autre un jeune homme habile de ses mains qui aurait bien besoin d'un travail.

Évidement, elle agissait par pur altruisme, et le fait qu'elle passait elle même tous son temps libre dans la dite bibliothèque et qu'elle appréciait énormément ce Rostang qui avait daigné se laver pour elle, n'entrait pas un ligne de compte...

Comme convenu, il se présenta au domaine, et c'est Louis qui le reçu avec amabilité. Louis était parfait en hôte, mais aby se dit quand même au passage qu'il faudrait qu'elle songe à remplacer sa gouvernante partie en voyage.

Elle entra donc avec le sourire pour rejoindre le chef de la sécurité qui discutait avec le future homme d’entretien du domaine.


Bonjour Louis, comment vous portez vous ?
Rostang... soyez le bienvenu sur le domaine de Saint Didier en Velay.

vous venez pour le poste n'est ce pas ?

_________________
Rostang.
Ce fut avec joie qu'il se vit accueilli par Louis. Tout en sirotant leur verre respectif, il était surpris de la proposition que Louis lui faisait.
A Mende, Rostang avait instinctivement accordé sa confiance à trois personnes : Joan, Absynthe et Louis.
Flatté de celle qu'on voulait bien lui accorder, Rostang pourtant ne savait pas s'il pourrait être l'homme de la situation, ni même s'il serait à la hauteur de telles responsabilités.
Combien de fois malgré tous ses efforts, avait-il déçu les attentes de son père, qui n'avait jamais manqué de lui faire savoir, le bras armé de sa badine.


- Je suis honoré d'une telle marque de crédit, mais crois tu que je suis l'homme indiqué pour si haute tâche?

Tandis qu'ils en devisaient l'un et l'autre, et que Louis lui expliquait en quoi le travail consistait, Dame Absynthe fit son entrée.
Comme à l'accoutumée, vestige de son éducation passée, Rostang s'inclina devant la dame avant de lui faire un baise-main.
Sa mère avait eu à coeur de lui apprendre les bonnes manières et lui prodigua une éducation religieuse.
Comme, elle le fit avec douceur et patience, il ne se rebella jamais, prenant ses leçons au sérieux et souhaitant plus que tout lui complaire.
Puis, dès qu'il fut en âge, il eut un précepteur qui lui enseigna la lecture, l'écriture, le latin et le calcul. A 12 ans, il fut confié à un ami de son Marquis de père, qui en fit son écuyer.


- Bonjour Dame Absynthe, soyez remerciée pour votre chaleureux accueil.
Je viens comme vous me l'avez demandé pour réparer votre bibliothèque, quant au poste que vous me proposez, et bien si vous pensez que je suis l'homme indiqué, ma foi, si cela peut vous être agréable à vous et au Baron, je n'y vois pour ma part nul inconvénient.
Mais laissez-moi d'abord, pour être sure de votre choix, faire mes preuves avec votre infortunée Bibliothèque.
Absynthe
Faire ses preuves ?


Quelque part, un jour, sans doute très loin il y a longtemps, un même levain avait du fournir ces deux pains là. La croute en était serte différente, quoi que croustillante dans les deux cas. Mais la mie d’opale en avait bien la même saveur. Celle de la fausse roture qui a du mal à se masquer, de l'agilité de la langue qui se joue de tous et d'un certain goût les intrigues de la vie...

Les billes vertes fixent les aciers et se fascinent de celui qui les porte. Sans la crasse dont il s'était délesté pour elle, apparaissait presque un gentilhomme. L'ex-bergère apprenti baronne et aux aguets des mystères qui se cachent encore derrière l’acier. fait tes preuves oui mon beau pain dorée, fait tes preuves que je voie si tu a vraiment la saveur de la mie d'opale... ho douce fascination de l'analogue...


La jeune Absynthe, enrobée d'une robe bleu pâle à ruban et dentelle sourit à son protégé de vagabond.


Je me suis promise de vous aider Rostang. Vous vous êtes défendu refusant les écuries et vantant vos talents manuels... vous vous souvenez ? Amusée elle le toise.
Commençons par la bibliothèque mais je trouverais toujours une tache à vous faire faire pour justifier de vous offrir, le gîte, le couvert et ma protection. ... du moins je trouverais jusqu'à ce que vous vous lassiez de mes caprices... L'enfant joueuse rit tentant de transpercer l'acier.

Elle fit alors visiter la demeure à Rostang, lui explica les habitudes de la maison, Et lui montra la chambre qu'il occuperait. Rien d'extraordinaire, un lit de boit recouvert de draps de lin et de deux grosses couvertures de laine, une vieille armoire dans un coin et une table entourée de deux chaises prêt de la fenêtre. Sur la table elle avait disposé deux ensembles de chemise brais et bas, de simple confection mais propre. Un bougeoir avec quelques bougies d'avance ainsi qu'une plume un petit encrier et des parchemins. Elle ne dit mots sur ces attentions qu'elle estimait naturelles. puis sans plus attendre après lui avoir remis la clef de sa chambre, elle l'attira dans la bibliothèque. Sa cheville étant toujours douloureuse, elle lui avait demander son bras avec autant de douceur que d'autorité et s'appuyait sur lui.

Les murs de la pièce était recouverte de livres disposés sur un meuble en bois foncé et travaillé. Des tapisseries, des tableaux de famille des défunts barons de Saint Didier en Velay, des fauteuils recouverts de velours, de multiples chandeliers, une table dédier à l'étude, tout de l’austérité et de la majesté d'une bibliothèque de château. Avec en prime des petits bout d'Aby sous forme de bouquets de fleures un peu partout, de tasses de tisane à moitié bues, de châles mit puis retirés puis oubliés dans un coin. La baronne en devenir passait le plus claire de son temps dans cette pièce.

Les débris de ses exploits étaient restés inertes, planches cassées et livres gisant au pied d'un des murs vide. Mais la jeune femme n'en faisait pas état, en entrant dans la pièce, elle lâcha le bras de son épis de blé et sautilla à cloche pied jusqu'au massif livre doré. il trônait sur la table au milieu de croquis qu'elle avait fait de ces dessins mystérieux et d'autres livres sur la symbolique des enluminures.


Regardez !.... venez admirez celui qui vous emploie aujourd'hui !... Sans lui rien de tous ça ne serait arrivé...

Je n'y comprends rien, mais il est si beau... c'est devenue une vrais obsession ...

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Bentich
Pendant que Aby, Louis et Rostang discutaient au sujet de la bibliothèque, Ben reçu Roy en privé

Bon je ne vais pas y aller par quatre chemin, la façon dont tu as failli quitter la place, ne m'a pas plus du tout, car tu a mis en doute ce que la Baronnie à comme valeur a mes yeux. Maintenant un truc est bien, c'est ta franchise. Bon tu n'a pas eut la présence d'esprit d'écouter tout les points de vue. Tu as fonce tête baissée dans les dires du Double Baron.

Donc voila, la principale remarque que j'avais, tu expliques réellement pourquoi tu refuses vu que je ne sait soit disant pas monter d'armée ce qui n'est nullement le cas. mais d'un autre côté tu ne veux pas partir en guerre



Donc j'ai bien pris connaissance et je crois que cela est très possible
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Roy
Roy regardait le baron. Il répondit alors à sa question :

Je vous rejoint par rapport à votre armée afin qu'elle puisse défendre Mende. En faire un vrai bloc solide de défense.Mais je ne veux pas partir en guerre pour rester ici, défendre Mende au besoin.

Il le regarda ensuite et s'approchant un peu, parlant plus bas :

Et peut être des idées qui peuvent vous plaire. Mais j'en parlerais dans un endroit peut etre plus...calme.

Se redressant dans son fauteuil :
Qu'en pensez vous baron?
Jiliann
    C'était une bien belle journée, oui.
    Une belle journée pour s'arracher le coeur.
    Enfin, n'en parlons pas, ou peu.
    Elle avait en ce jour, décidé de revoir une personne qu'elle avait grandement apprécié.
    Et qui, cela était certain, lui manquait.
    Enfin, c'était là un bien grand mot !
    Disons seulement que cela lui ferait plaisir de revoir cette personne.

    D'un pas assuré, laissant encore et toujours sa longue chevelure valsée.
    Elle avance la sauvageonne, oui, elle avance.
    Cette fois-ci, à pied. Sa monture avait besoin d'un bon repos après une chevauchée épuisante.
    C'est aux portes du domaine, qu'elle ne se permet pas d'avancer.
    Elle attend un peu, beaucoup, qui sait.
    Ce qui est certain, c'est qu'elle attend.

    Et espérant qu'on l'entende, elle prend la parole.

      - Y a t'il quelqu'un ?
      Je souhaite rencontrer... Quelqu'un !


    Sourire malicieux sur ses lèvres, elle l'attend.

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Bentich
Le baron écouta avec la plus grande attention ce que Roy avait à lui dire, et l'explication tenait parfaitement bien la route.

Bon écoute on va mettre pour l'instant cette histoire d'armée, car de toute façon il faut l'accord du Comté et les menaces existent mais ne sont pas au point de devoir former une armée. De bon groupe suffisent largement dans l’état actuel des choses pour la défense de Mende.

Donc ce que je te propose, vu le départ de Louis et de Ryxende il y a deux place laissée vacante qui irait très bien avec tes capacités, le poste de responsable de la sécurité du domaine ou celui d'intendant. les deux postes ont de l'importance et je sais que tu pourras les remplir avec brio.


Il attendit la réponse de Roy, et durant ce laps de temps on vint le prévenir que la sergent douanière de Mende, était aux grilles du domaine.

Heu et personne n'a pense à la faire venir jusqu'ici, allez la chercher et faites la venir dans mon bureau, je suis sur que Roy ne verra pas d'inconvénient a ce que je fasse une petite pause pour accueillir Jiliann

Et faites prévenir Dona Absynthe de la présence de son ex collègue.


Si bien sur elle a le temps et l'envie de laisser le réparateur de bibliothèque a son ouvrage pensa t il

Et dépechez vous, on ne fait pas attendre des visiteurs
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Rostang.
[Dans la bibliothèque]

Le château visité, les explications entendues et assimilées, le blond Rostang continuait de suivre la maîtresse de maison à son rythme .
Il lui fut reconnaissant pour la chambre et les vêtements et l'en remercia avec déférence. Lorsqu'enfin ils furent dans la bibliothèque, il prit immédiatement la mesure des dégâts mais surtout le travail qui l'attendait.
Sans demander son reste, et n'écoutant plus que d'une oreille distraite les bavardages de la future Baronne, il prit les mesures, regarda s'il pouvait récupérer certaines pièces de l'ancienne bibliothèque.
Cette première étape faite, il ne s'attarda pas plus longtemps et se rendit dans l'atelier afin de commencer son ouvrage.

[Quelques jours plus tard]

Quand toutes les pièces furent achevées, et que le travail de marqueterie en feuilles d'acanthe fut terminé et collé, les domestiques l'aidèrent à monter le tout dans la pièce réservée à la fameuse bibliothèque.
Il se mit alors à assembler les pièces selon un plan qu'il avait lui même tracé. Plusieurs heures s'étaient écoulées lorsqu'enfin le meuble avait repris sa place d'origine.
Puis il s'attela à assembler sa surprise : une échelle de bibliothèque. Ainsi, la maitresse de maison n'aurait plus à faire des acrobaties pour prendre les livres hors de sa portée.
Satisfait de l'effet, il rangea ses outils et demanda à un domestique qu'on fasse prévenir Dame Absynthe qu'elle pouvait venir inspecter sa commande.
Jiliann
    On n'escalade pas les portails comme ça Jiliann.
    Un sourire se dessina sur ses lèvres, il est vrai que l'idée lui avait traversé l'esprit.
    Son côté sauvage sans doute. Mais elle n'y fit rien.
    Sagement, ses prunelles observaient les moindres recoins.
    Puis un homme arriva, au pas de course, il avait certainement été sermonné.

    Un autre sourire, elle ne l'avait jamais été, elle.
    Et se gardait de recevoir quelconque châtiment d'ailleurs.
    Mais peut être que ça avait du bon...
    Hum.

    Sa longue chevelure ébène glisse sur ses épaules, elle remercie l'homme qui la fait entrer.
    Il marmonne quelques mots, elle n'y fait guère attention.
    Peut être était-elle heureuse d'entrer enfin dans ce domaine qui lui était vierge de toute découverte.
    Elle s'avance donc, une magnifique allée, oui, c'est certain.

    Jil marche puis voit au loin le Baron.
    L'a t'il remarqué ? On le verra bien vite.
    De nombreuses personnes s'affairent, par ci par là.
    Telle une fourmilière ! Le Baron doit payer cher.
    Ou alors, il a trouvé de bonnes âmes dévouées.
    C'est intéressant...

    Elle arrive donc à la hauteur de quelques personnes qu'elle distingue difficilement.

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Le.gaucher
Entre les lettres de Rostang et celles d'Absynthe, il n'avait pas donné beaucoup de nouvelles. Son champs en vente, et vendu d'ailleurs, n'avait pas passé inaperçu. Il vient de quitter Genève, et après sa sieste à Saint-Claude, il rédige tout le courrier qu'il a retard. La première lettre sera pour Absynthe et le Baron.

Citation:
Bonjorn Senher, Damoiselle,
Je donne quelques nouvelles du tournoi, et de mon séjour. Il n'y a pas grand chose à dire en fait. J'ai pu m'amuser, me détendre, retrouver mes amis, ma famille. Le premier jour du tournoi, je me suis bien défendu, et j'ai chopé la bourse d'Aqwa. Le second jour par contre, je me suis laissé distraire par des formes féminines plutôt attrayantes. C'est pas très juste de laisser des femmes se balader avec la marchandise sur l'étalage bien visible.
Du coup, bah, j'ai perdu ce que j'avais pu trouver. Une bonne partie de rigolade, quelques jours à Genève pour reprendre un peu de force, et de quoi manger pour la route, et voilà.
Nous sommes à Saint-Claude, en Franche-Comté aujourd'hui. Mon fils nous a rejoint, et il rentre avec moi sur Mende. J'ai vendu mon champs comme vous le savez peut-être.
Vous allez vous marrer un bon coup... mon frangin est noble ! Il est Seigneur de je sais plus quoi, et ma filleule de trois ans est fière de jouer avec la couronne. J'en suis resté... vous imaginez ma tête hein ? Bah ouaip ! Mon frangin est noble...
Voilà, sinon, je vais bien. J'espère que vous aussi, et que Mende se porte bien également. A bientôt.
Louis.


Il souffle sur la lettre, et la fait partir pour le Castel du Baron. Que dire de plus ? Autant Mende et les mendois lui manquaient quand il est parti, autant, il a la flegme de rentrer, mais il est quand même sur le chemin du retour, malgré tout.
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